906 resultados para immunosuppressive agents
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ABSTRACT OBJECTIVE To identify the workloads present in the work activities of community health agents (CHAs) and the resulting strain processes. METHOD A descriptive, exploratory, cross-sectional and quantitative study conducted with 137 CHAs. Data were collected through a questionnaire and interview guided by the health surveillance software called SIMOSTE (Health Monitoring System of Nursing Workers), following the ethical codes of the current law. RESULTS In total, were identified 140 workloads involved in 122 strain processes, represented by the occurrence of health problems of the CHAs. The mechanical (55.00%) and biological (16.43%) loads stood out. The most common strain processes were the external causes of morbidity and mortality (62.31%) and diseases of the musculoskeletal system and connective tissue (10.66%). CONCLUSION From the identified overloads, it became evident that all workloads are present in the work process of CHAs, highlighting the mechanical load, represented mainly by external causes of morbidity and mortality that are related to occupational accidents.
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We study the quantitative properties of a dynamic general equilibrium model in which agents face both idiosyncratic and aggregate income risk, state-dependent borrowing constraints that bind in some but not all periods and markets are incomplete. Optimal individual consumption-savings plans and equilibrium asset prices are computed under various assumptions about income uncertainty. Then we investigate whether our general equilibrium model with incomplete markets replicates two empirical observations: the high correlation between individual consumption and individual income, and the equity premium puzzle. We find that, when the driving processes are calibrated according to the data from wage income in different sectors of the US economy, the results move in the direction of explaining these observations, but the model falls short of explaining the observed correlations quantitatively. If the incomes of agents are assumed independent of each other, the observations can be explained quantitatively.
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An important problem in descriptive and prescriptive research in decision making is to identify regions of rationality, i.e., the areas for which heuristics are and are not effective. To map the contours of such regions, we derive probabilities that heuristics identify the best of m alternatives (m > 2) characterized by k attributes or cues (k > 1). The heuristics include a single variable (lexicographic), variations of elimination-by-aspects, equal weighting, hybrids of the preceding, and models exploiting dominance. We use twenty simulated and four empirical datasets for illustration. We further provide an overview by regressing heuristic performance on factors characterizing environments. Overall, sensible heuristics generally yield similar choices in many environments. However, selection of the appropriate heuristic can be important in some regions (e.g., if there is low inter-correlation among attributes/cues). Since our work assumes a hit or miss decision criterion, we conclude by outlining extensions for exploring the effects of different loss functions.
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The hepatitis E virus (HEV) is an RNA virus transmitted via the fecal-oral route or through uncooked animal meat products. Of the 4 known genotypes, genotype 3 is responsible for autochthonous infections in industrialized countries, with a seroprevalence in Switzerland estimated as high as 22%. The majority of infections is asymptomatic but a minority of patients, notably men over 50 or with underlying liver disease, can present with severe acute hepatitis. Chronic hepatitis E with HEV of genotype 3 has been observed in immunosuppressed patients, mostly transplant recipients. Serology is not sufficiently sensitive, especially in immunosuppressed patients, making PCR identification the preferred test for diagnosing active infection. Ribavirin or interferon-alpha can be used to treat chronic hepatitis E if reduction of immunosuppressive treatment does not result in viral elimination.
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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.
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We study financial markets in which both rational and overconfident agents coexist and make endogenous information acquisition decisions. We demonstrate the following irrelevance result: when a positive fraction of rational agents (endogeneously) decides to become informed in equilibrium, prices are set as if all investors were rational, and as a consequence the overconfidence bias does not aect informational efficiency, price volatility, rational traders expected profits or their welfare. Intuitively, as overconfidence goes up, so does price infornativeness, which makes rational agents cut their information acquisition activities, effectively undoing the standard effect of more aggressive trading by the overconfident.
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A fast and reliable assay for the identification of dermatophyte fungi and nondermatophyte fungi (NDF) in onychomycosis is essential, since NDF are especially difficult to cure using standard treatment. Diagnosis is usually based on both direct microscopic examination of nail scrapings and macroscopic and microscopic identification of the infectious fungus in culture assays. In the last decade, PCR assays have been developed for the direct detection of fungi in nail samples. In this study, we describe a PCR-terminal restriction fragment length polymorphism (TRFLP) assay to directly and routinely identify the infecting fungi in nails. Fungal DNA was easily extracted using a commercial kit after dissolving nail fragments in an Na(2)S solution. Trichophyton spp., as well as 12 NDF, could be unambiguously identified by the specific restriction fragment size of 5'-end-labeled amplified 28S DNA. This assay enables the distinction of different fungal infectious agents and their identification in mixed infections. Infectious agents could be identified in 74% (162/219) of cases in which the culture results were negative. The PCR-TRFLP assay described here is simple and reliable. Furthermore, it has the possibility to be automated and thus routinely applied to the rapid diagnosis of a large number of clinical specimens in dermatology laboratories.
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Lithium is widely used in psychotherapy. The (6)Li isotope has a long intrinsic longitudinal relaxation time T(1) on the order of minutes, making it an ideal candidate for hyperpolarization experiments. In the present study we demonstrated that lithium-6 can be readily hyperpolarized within 30 min, while retaining a long polarization decay time on the order of a minute. We used the intrinsically long relaxation time for the detection of 500 nM contrast agent in vitro. Hyperpolarized lithium-6 was administered to the rat and its signal retained a decay time on the order of 70 sec in vivo. Localization experiments imply that the lithium signal originated from within the brain and that it was detectable up to 5 min after administration. We conclude that the detection of submicromolar contrast agents using hyperpolarized NMR nuclei such as (6)Li may provide a novel avenue for molecular imaging.
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T O THE E DITOR-Besides viruses, Mycoplasma pneumoniae and Chlamydia pneumoniae are common causes of community-acquired respiratory infections (CARI) in children. However, the causal agent of CARI remains unknown in many cases [ 1]. Growing evidence suggests that Chlamydia-related bacteria might have a pathogenic role in humans [ 2, 3]. Parachlamydia acanthamoebae and Protochlamydia naegleriophila have been detected in respiratory clinical samples [ 4, 5], and the role of Parachlamydia acanthamoebae in pneumonia is supported by in vitro studies and animal models [ 6]. Rhabdochlamydia crassificans and Rhabdochlamydia porcellionis are intracellular pathogens of arthropods that also belong to the Chlamydiales order [ 7, 8]. A recent analysis suggests that Rhabdochlamydia species might affect morbidity and mortality in premature newborns [ 9], but their role ...
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Although important progresses have been achieved in the therapeutic management of transplant recipients, acute and chronic rejections remain the leading causes of premature graft loss after solid organ transplantation. This, together with the undesirable side effects of immunosuppressive drugs, has significant implications for the long-term outcome of transplant recipients. Thus, a better understanding of the immunological events occurring after transplantation is essential. The immune system plays an ambivalent role in the outcome of a graft. On one hand, some T lymphocytes with effector functions (called alloreactive) can mediate a cascade of events eventually resulting in the rejection, either acute or chronic, of the grafted organ ; on the other hand, a small subset of T lymphocytes, called regulatory T cells, has been shown to be implicated in the control of these harmful rejection responses, among other things. Thus, we focused our interest on the study of the balance between circulating effectors (alloreactive) and regulatory T lymphocytes, which seems to play an important role in the outcome of allografts, in the context of kidney transplantation. The results were correlated with various variables such as the clinical status of the patients, the immunosuppressive drugs used as induction or maintenance agents, and past or current episodes of rejection. We observed that the percentage of the alloreactive T lymphocyte population was correlated with the clinical status of the kidney transplant recipients. Indeed, the highest percentage was found in patients suffering from chronic humoral rejection, whilst patients on no or only minimal immunosuppressive treatment or on sirolimus-based immunosuppression displayed a percentage comparable to healthy non-transplanted individuals. During the first year after renal transplantation, the balance between effectors and regulatory T lymphocytes was tipped towards the detrimental effector immune response, with the two induction agents studied (thymoglobulin and basiliximab). Overall, these results indicate that monitoring these immunological parameters may be very useful for the clinical follow-up of transplant recipients ; these tests may contribute to identify patients who are more likely to develop rejection or, on the contrary, who tolerate well their graft, in order to adapt the immunosuppressive treatment on an individual basis.