721 resultados para Supplemented diet
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The time course for the reversal of the adaptive increase in pyruvate dehydrogenase kinase (PDK) activity following a 6d high fat diet (HP: 4.2 ± 0.2 % carbohydrate; 75.6 ± 0.4 % fat; 19.5 ± 0.8 % protein) was investigated in human skeletal muscle (vastus lateralis). HF feeding increased PDK activity by 44% (from 0.081 ± 0.025 min"' to 0.247 ± 0.025 mm\p < 0.05). Following carbohydrate re-feeding, (88% carbohydrate; 5% fat; 7% protein), PDK activity had returned to baseline (0.111 ± 0.014 min"') within 3h of re-feeding. The active fraction of pyruvate dehydrognease (PDHa) was depressed following 6d of the HF diet (from 0.89 ± 0.21 mmol/min/kg WW to 0.32 ± 0.05 mmol/min/kg ww,p <0.05) and increased to pre-HF levels by 45 min of post re-feeding (0.74 ±0.19 mmol/min/kg ww) and remained elevated for 3h. Western blotting analysis of the PDK isoforms, PDK4 and PDK2, revealed a 31% increase in PDK4 protein content following the HF diet, with no change in PDK2 protein. This adaptive increase in PDK4 protein content was reversed with carbohydrate re-feeding. It was concluded that the adaptive up-regulation in PDK activity and PDK4 protein content was fiilly reversed by 3h following carbohydrate re-feeding.
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In the field, mosquitoes characteristically feed on sugars soon after emergence and intermittently during their adult lives. Sugar meals are commonly derived from plant nectar and homopteran honeydew, and without them, adults can only survive for a few days on larval reserves. In addition to sugar, females of most species rely on blood for the initiation and maintenance of egg development; thus their reproductive success depends to some extent on the availability of blood hosts. Males, on the other hand, feed exclusively on sugars. Consequently, their sexual maturation and reproductive success is largely dependent upon access to sugar sources. Plant nectar and homopteran honeydew are the two main sugar sources utilized by mosquitoes in the wild. Previous laboratory studies had shown that differences between nectar sources can affect the survivorship and biting frequency of disease vectoring mosquitoes. However, little is known on how sugar composition influence the reproductive processes in male mosquitoes. Male mosquitoes transfer accessory gland proteins and other hormones to their mates along with sperm during mating. In the female, these seminal fluid constituents exert their influence on reproductive genes that control ovulation and vitellogenesis. The present study tests the hypothesis that the mates of males consuming different sugar meals will exhibit varying levels of induction of vitellogenin (a gene which regulates the expression of egg yolk precursor proteins). Real-time quantitative RT-PCR was used to investigate how each sugar meal indirectly influences vitellogenin mRNA abundance in female Anopheles stephensi following mating. Results indicate that mates of nectar-fed males exhibit 2-fold greater change in vitellogenin expression than the mates of honeydew-fed males. However, this response did not occur in non-blood fed controls. These findings suggest that the stimulatory effect of mating on vitellogenesis in blood meal-reliant (i.e. anautogenous) mosquitoes may only be synergistic in nature. The present study also sought to compare the potential fitness costs of mating incurred by females that do not necessarily require a blood meal to initiate a reproductive cycle (i.e., exhibit autogeny). Females of the facultatively autogenous mosquito, Culex molestus were allowed to mate with males sustained on either nectar or honedyew. Mean lifetime fecundity and survivorship of females under the two different mating regimes were then recorded. Additionally, one-dimensional gel electrophoresis was used to verify the transfer of male accessory gland proteins to the sperm storage organs of females during mating.While there was no significant difference in survival between the test treatments, the mates of nectar-fed males produced 11% more eggs on average than mates of honeydew-fed males. However, additional data are needed to justify the extrapolation of these findings to natural settings. These findings prompt further investigation as the differences caused by diet variation in males may be reflected across other life history traits such as mating frequency and insemination capacity.
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Direct high fat (HF) feeding has adverse effects on body composition and bone development in rodents. However, it is unclear whether maternal HF feeding has similar effects in male rat offspring. The objectives of this thesis were to determine if maternal HF feeding altered body composition, plasma hormones, bone development, and bone fatty acid composition in male offspring at weaning and 3 months of age. Maternal HF feeding increased bone mass and altered femur fatty acid composition at weaning, without differences in fat mass, lean mass, plasma hormones, or bone mass (femur or lumbar vertebrae). However, early differences did not persist at 3 months of age or contribute to lower bone strength – following consumption of a control diet post-weaning. These findings suggest that maternal HF feeding can alter body composition and bone development in weanling male offspring, without long-lasting effects if a healthy control diet is consumed post-weaning.
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Le concept d’Hôpital Promoteur de Santé (HPS) a pris beaucoup d’importance depuis son élaboration vers la fin des années quatre-vingt. Dans le contexte de la dernière réforme, le réseau montréalais des HPS et CSSS a été créé. Le Centre Universitaire de Santé McGill (CUSM) fait partie de ce réseau depuis 2007. Cette étude vise la création d’un milieu hospitalier promoteur de la santé pour les patients et s’adresse à l’expérience d’un repas pour les personnes âgées nécessitant une diète purée. Une étude de cas qualitative a été utilisée pour explorer la perception de patients vis-à-vis les aspects relatifs à leur cabaret, l’assistance qu’ils recevaient et le contexte social de leur repas. Les impressions des professionnels de la santé quant à l’expérience des patients ont aussi été obtenues. Les résultats indiquent que l’identification difficile des aliments en purée, la saveur, l’apparence et la variété sont tous des éléments qui affectent négativement leur expérience repas. Des sentiments d’impuissance ont aussi été rapportés par les patients et les professionnels de la santé. Le contexte social du repas a été souligné comme étant un aspect à cibler pour améliorer l’expérience des patients. Un programme utilisant des purées formées pourrait contrecarrer les effets négatifs de la prescription d’une diète purée. Des changements dans les pratiques infirmières, à savoir la création d’une ambiance sociale agréable au moment des repas, semble être une option peu couteuse qui pourrait améliorer l’expérience repas des patients et diminuer les sentiments d’impuissance relevés par les professionnels de la santé à l’égard de cet aspect de soin.
Association between diet quality and metabolic syndrome in overweight and obese postmenopausal women
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Résumé Objectifs : Le syndrome métabolique (MetS) est un ensemble de composantes (obésité, résistance à l'insuline, intolérance au glucose, dyslipidémie, hypertension) qui sont associées à une augmentation du risque de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires. Aux États-Unis, la fréquence du MetS atteint des proportions épidémiques avec une prévalence de 25% de la population. Les études nutritionnelles traditionnelles se sont concentrées sur l’effet d’un nutriment alors que les études plus récentes ont déterminé l’effet global de la qualité alimentaire sur les facteurs de risque. Cependant, peu d'études ont examiné la relation entre la qualité alimentaire et le MetS. Objectif: Déterminer l'association entre la qualité alimentaire et le MetS et ses composantes. Méthodes: La présence du MetS a été déterminée chez 88 femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses, selon la définition du National Cholesterol Education Program Adult treatment Panel III alors que la qualité alimentaire a été évaluée selon le Healthy Eating Index (HEI). La sensibilité à l’insuline, la composition corporelle et le métabolisme énergétique ont été mesurés. Résultats: Le HEI corrélait négativement avec la plupart des mesures de masse grasse et du poids mais pas avec la sensibilité à l'insuline, l’hypertension et la plupart des marqueurs lipidiques. Cependant, l’HEI corrélait positivement avec LDL-C/ApoB et négativement avec le métabolisme énergétique. Conclusion: Les résultats démontrent que l’HEI est associé avec les mesures de gras corporel et la grosseur des LDL. Mots clés: Obésité, qualité alimentaire, métabolisme lipidique, syndrome métabolique.
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Au Québec, l’abattage des poulets se fait entre 33 et 40 jours. Pour permettre cet abattage, les poulets devront être vaccinés en présence d’anticorps maternels puisque la période d’attente après la vaccination est de 21 jours. L’objectif de cette étude a été de déterminer l’efficacité d’une forte dose de vaccin et de vitamine E à contourner les anticorps maternels et à vacciner par contact les poulets non vaccinés. Des vaccins à dose normale de 104,35 TCID50/ml/oiseau et à forte dose de 105,35 TCID50/ml/oiseau ont été utilisées sur 1200 poulets repartis en 4 groupes; (1) FD100%, groupe dans lequel tous les oiseaux ont été vaccinés, (2) FD10%, groupe dans lequel 10% des oiseaux ont été vacciné à forte dose, (3) DN100%, groupe dans lequel tous les oiseaux ont été vacciné à dose normale et (4) Contrôle, groupe dans lequel aucun oiseau n’a été vacciné. Chaque groupe a été divisé en 2 sous-groupes ; un a été supplémenté en vitamine E de 50 à 100UI/kg d’aliment et l’autre de 20 à 27 UI/kg. Les résultats de la présente étude ont montré que le virus vaccinal est capable de surmonter les anticorps maternels, qui ont persisté jusqu’à 20 jours d’âge, et à provoquer une réponse immunitaire humorale. Cette étude a aussi montré que le virus est capable de se transmettre par contact direct dans un même parquet et par contact indirect d’un parquet à l’autre. Aucun retour à la virulence ni une mutation du nucléotide VP2 n’a été observé au niveau des oiseaux vaccinés par contact. Cette étude a aussi montré qu’une amélioration de l’apport de vitamine E augmente la réponse humorale après vaccination avec un vaccin vivant contre la maladie de Gumboro.
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Les Indigènes canadiens vivent une rapide transition nutritionnelle marquée par une consommation accrue des produits commercialisés au dépit des aliments traditionnels. Ce mémoire cherche à identifier les patrons alimentaires associés à une meilleure alimentation des femmes autochtones vivant dans les réserves en Colombie Britannique. L’échantillon (n=493) a été sélectionné de l’étude ‘First Nations Food, Nutrition, and Environment Study’. L’étude a utilisé des rappels alimentaires de 24 heures. Pour identifier les patrons alimentaires, un indice de qualité alimentaire (QA) basé sur 10 éléments nutritionnels (fibre alimentaire, gras totaux/saturés, folate, magnésium, calcium, fer, vitamines A, C, D) a permis de classifier les sujets en trois groupes (tertiles). Ces groupes ont été comparés sur leur consommation de 25 groupes alimentaires (GAs) en employant des tests statistiques non-paramétriques (Kruskal-Wallis et ANCOVA). Une analyse discriminante (AD) a confirmé les GAs associés à la QA. La QA des sujets était globalement faible car aucun rappel n’a rencontré les consommations recommandées pour tous les 10 éléments nutritionnels. L'AD a confirmé que les GAs associés de façon significative à la QA étaient ‘légumes et produits végétaux’, ‘fruits’, ‘aliments traditionnels’, ‘produits laitiers faibles en gras’, ‘soupes et bouillons’, et ‘autres viandes commercialisées’ (coefficients standardisés= 0,324; 0,295; 0,292; 0,282; 0,157; -0.189 respectivement). Le pourcentage de classifications correctes était 83.8%. Nos résultats appuient la promotion des choix alimentaires recommandés par le « Guide Alimentaire Canadien- Premières Nations, Inuits, et Métis ». Une consommation accrue de légumes, fruits, produits laitiers faibles en gras, et aliments traditionnels caractérise les meilleurs patrons alimentaires.
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Les oxydants infusés avec la nutrition parentéral (NP) néonatale induisent une modification du métabolisme des lipides et du glucose, donnant lieu à l’âge adulte à un phénotype de carence énergétique (faible poids, baisse de l’activité physique). L’hypothèse qu’une diète précoce riche en glucose prévient ces symptômes plus tard dans la vie, fut évalué chez le cobaye par un ANOVA en plan factoriel complet à deux facteurs (p < 0:05) : NP du jour 3 à 7, suivit d’une nourriture régulière (chow) (NP+) vs. chow à partir du 3ième jour (NP-), combiné avec une eau de consommation enrichie en glucose (G+) ou non (G-) à partir de la 3ième semaine. Les paramètres suivant ont été mesurés à l’âge de 9 semaine: taux de croissance, activité physique, activité de phosphofructokinase-1 et glucokinase (GK), niveau hépatique de glucose-6-phosphate (G6P), glycogène, pyruvate et potentiel redox du glutathion, poids du foie, glycémie, tolérance au glucose, concentrations hépatiques et plasmatiques en triacylglycérides (TG) et cholestérol. Le groupe G+ (vs. G-) avait un taux de croissance plus bas, une activité de GK et une concentration en G6P plus élevée, et un potentiel redox plus bas (moins oxydé). Le niveau plasmatique de TG était moins élevé dans le groupe NP+ (vs. NP-). Les traitements n’eurent aucun effet sur les autres paramètres. Ces résultats suggèrent qu’indépendamment de la NP, une alimentation riche en glucose stimule la glycolyse et déplace l’état redox vers un statut plus réduit, mais ne surmonte pas les effets de la NP sur le phénotype physique de carence énergétique.
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Pvridoxine deficiency causes physiologically significant decrease in brain serotonin (5-HT) due to decreased decarboxylation of 5- hvdroxvtrvptophan (5-HTP). We have examined the effect of pyridoxine deficiency on indoleamine metabolism in the pineal gland, a tissue with high indoleamine turnover. Adult male Sprague-Dawley rats were fed either a pyridoxine-supplemented or pyridoxinedeficient diet for 8 weeks. Pyridoxine deficiency did not alter the pattern of circadian rhythm of pineal 5-HT. 5-hvdroxvindoleacetic acid (5-HIAA), V-acetvlserotonin (NAS). and melatonin. However the levels of these compounds were significantly lower in the pineal glands of pyridoxine-deficient animals. Pineal 5-HTP levels were consistently higher in the pyridoxine-deficient animals and a conspicuous increase was noticed at 22.00 h. Increase in pineal NAS and melatonin levels caused by isoproterenol (5 mg kg at 17.00 h) were significantly lower (P < 0.05) in the pyridoxine-deficient animals. Treatment of pyridoxine-deficient rats with pvridoxine restored the levels of pineal 5-HT, 5-HIAA. NAS. and melatonin to values seen in pyridoxine-supplemented control animals. These results suggest that 5-HT availability could be an important factor in the regulation of the synthesis of pineal NAS and melatonin.
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Pyridoxal phosphate is the coenzyme of various decarboxylases involved in the formation of monoamine neurotransmitters such as y-aminobutyric acid , serotonin , dopamine, and norepinephrine . Adult male Sprague-Dawley rats placed on a pyridoxine -deficient diet for 8 weeks showed significant hypertension compared with pyridoxine -supplemented controls . Hypothalamic contents of pyridoxal phosphate , y-aminobutyric acid, and serotonin in the pyridoxine - deficient rats were significantly lower than those in pyridoxine -supplemented controls . Hypertension was associated with sympathetic stimulation . Treatment of pyridoxine-deficient rats with a single dose of pyridoxine (10 mg/kg body weight) reversed the blood pressure to normal levels within 24 hours, with concomitant restorations of hypothalamic serotonin and y-aminobutyric acid as well as the return of plasma norepinephrine and epinephrine to normal levels . Also, pyridoxine treatment reversed the hypothalamic hypothyroidism observed in pyridoxine -deficient rats . These results indicate an association between pyridoxine deficiency and sympathetic stimulation leading to hypertension.
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Pyridoxal phosphate (PLP) is the coenzyme of various decarboxylases involved in the formation of monoamine urotransmitters such as y-aminobulyric acid (GAE3A), serotonin (5-HT) and dopamine. 1-lowever; in the pyridoxine-deficient rats GABA and 5-HT are decreased in various brain areas including the hypothalamus, with no change in the catecholamine levels. Serotonin and GABA are known to be involved in blood pressure control mechanisms. In this study adult Sprague-Dawley rats placed on a pyridoxine-deficient diet for 8 weeks showed significant hypertension compared with pyridoxine-supplemented controls. This was associated with a general sympathetic stimulation. Treatment of deficient rats with a single dose of pyridoxine (10 mg/kg body weight) reversed the blood pressure to normal levels within 24 h, with concomitant restoration of hypothalamic 5-HT and GABA, as well as the return of plasma norepinephrine to nornr;l levels. The results indicate that there is a cause-and-effect relationship between pyridoxine deficiency and hypertension.
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One of the major problems facing aquaculture is the inadequate supply of fish oil mostly used for fish feed manufacturing. The continued growth in aquaculture production cannot depend on this finite feed resources, therefore, it is imperative that cheap and readily available substitutes that do not compromise fish growth and fillet quality be found. To achieve this, a 12-week feeding trial with Heterobranchus longifilis fed diets differing in lipid source was conducted. Diets were supplemented with 6% lipid as fish oil, soybean oil, palm oil, coconut oil, groundnut oil and melon seed oil. Triplicate groups of 20 H. longifilis were fed the experimental diets two times a day to apparent satiation, over 84 days. Growth, digestibility, and muscle fatty acid profile were measured to assess diet effects. At the end of the study, survival, feed intake and hepatosomatic index were similar for fish fed experimental diets. However, weight gain, SGR and FCR of fish fed soybean oil-based diet was significantly reduced. Apparent nutrient digestibility coefficients were significantly lower in fish fed soybean, coconut and groundnut oil-based diets. Fillet and hepatic fatty acid compositions differed and reflected the fatty acid compositions of the diets. Docosahexaenoic acid (22:6n-3), 20:5n-3 and 20:4n-6 were conserved in vegetable oils-based diets fed fish possibly due to synthesis of HUFA from 18:3n-3 and 18:4n-6. Palm oil diet was the least expensive, and had the best economic conversion ratio. The use of vegetable oils in the diets had positive effect on growth and fillet composition of H. longifilis.