989 resultados para Raymond, Jean-Michel


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Contient : « Dictionnaire des mots et termes plus usitez et cachez en l'art spagirique, desquels les philosophes chimiques ont accoutumé de se servir, suivant les lettres de l'alphabet : Acetum philosophorum- » ; inachevé ; « Recueil de plusieurs secretz et pièces curieuses, exactement recherché ; le tout aprouvé pour estre bon et avoir esté esprouvé ; faict par moy, G. D. R., à Paris, ce 30e juillet 1666 » ; Recettes diverses ; « Le débat et question sur la grande oeuvre, entre Aaron et Marie la prophétesse » ; « Le Vade mecum, ou abrégé de l'art chimique, touchant la transmutation des mestaux et vraye pierre des philosophes, extraict des oeuvres du très docte et très vénérable RAYMOND LULLE, traduict fidellement du latin en françois, en faveur des amateurs de la philosophie hermétique... Le livre de l'art compendieuse de Raymond Lulle, qu'il a nommé Vade mecum : La teinture du feu est la plus excellente... » ; l'ouvrage ici traduit est celui qui est imprimé dans la Bibliotheca chemica curiosa de J.-J. Manget, t. I, pp. 849-852, sous le titre : Raymundi Lullii liber Artis compendiosae, quem Vade mecum nuncupavit ; n° CXI de la notice de l'Histoire littéraire de la France, t. XXIX, p. 280 ; « Claviculles de RAYMOND LULLE ; Raymondi Lullii clavicula. Chers enfans, qui voulez estre de nostre doctrine... ; et pour ce que sans ce petit livre et clavicule... » ; traduction et extraits, avec de notables différences, de l'ouvrage imprimé dans la Bibliotheca chemica curiosa de J.-J. Manget, t. I, pp. 872-875, sous le titre : Clavicula Raymundi Lullii..., quae et Apertorium dicitur ; Hist. littér., ibid., p. 284, n° CXVII ; Traités d'alchimie, en vers, probablement copie du recueil publié à Paris, en 1561, sous le titre : De la transformation métallique, trois anciens traités en rithme françoise, et comprenant : La Fontaine des amoureux de science, par Jean DE LA FONTAINE, de Valenciennes (fol. 106), — le Sommaire philosophique, de Nicolas FLAMEL (fol. 117), — et les Remontrances de Nature à l'alchimiste errant, par JEAN DE MEUNG (fol. 120 v°) ; « Du traité de Terra terrarum » ; « Christofle DE GAMON à un singulier » ; poème de C. de Gamon sur l'alchimie, connu sous le titre de « Trésor des Trésors », avec partie du commentaire

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Signatur des Originals: S 36/G04383

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"Catalogue de l'œuvre des Mostaert": p. [151]-152.

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Dissertação apresentada para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Mestre em Filosofia

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Un travail consacré à la sculpture d'ornement implique de s'intéresser à un corps de métier qui n'a guère laissé de trace dans l'historiographie, les sculpteurs d'ornement. A Genève, un seul représentant de cette spécialité est passé à la postérité : Jean Jaquet (1754-1839). L'activité de celui-ci, couvrant les dernières décennies du XVIIIe et les premières années du XIXe siècle, apparaît par conséquent comme un moment de perfection de la sculpture d'ornement dans l'histoire de la République. Comment Jaquet, ce simple entrepreneur en décoration, est-il parvenu à acquérir une forme de notoriété et à entrer dans l'histoire de l'art genevoise ? En quoi son parcours professionnel se distingue-t-il de celui des autres sculpteurs d'ornement actifs à Genève au XVIIIe siècle, ses émules obscurs ? Afin de discuter ces questions, j'ai procédé en trois temps.D'abord, il a fallu se donner les moyens de connaître l'arrière-plan socio-professionnel. Un important travail de dépouillement de sources notamment des registres des permissions de séjour accordées par la Chambre des Etrangers - a permis de se faire une idée des rouages de l'entreprise de décoration, de l'activité des ateliers et de leur succession dans le temps. L'étude de la production reste néanmoins problématique. Le corpus de décorations conservées du XVIIIe siècle est en effet mal identifié et l'absence de documentation historique rend périlleuse toute tentative de classement par ateliers ou par tranches chronologiques. En raison de ces lacunes, il n'a pas paru opportun de chercher à présenter une vision globale de la décoration intérieures au XVIIIe siècle à Genève, ni de proposer une nouvelle carte des attributions. La deuxième partie de la thèse suit par conséquent un principe simple. En raison de l'omniprésence de Jaquet dans l'historiographie, elle analyse la manière dont le corpus de ses oeuvres a été constitué au fil des XIXe et XXe siècle. En d'autres termes, elle vise à déconstruire les mécanismes de l'attribution et à interroger la pertinence de ses critères. Une telle démarche permet de redessiner les contours de la production de décoration à Genève et d'en saisir les enjeux. Les ateliers ont-ils chacun leur manière propre - leur style propre ? Celui-ci se fonde-t-il sur l'expression d'une personnalité artistique autonome ? Ou leur production est-elle avant tout déterminée par une demande sociale stéréotypée, fondée sur la reproduction de modèles convenus ? Sans minimiser l'importance de Jaquet dans la décoration genevoise du XVIIIe siècle, ni la qualité de son travail, la deuxième partie de ce travail vise à révéler certaines faiblesses dans le système des attributions. Indirectement, cela permet de se faire une idée de l'apport d'autres entrepreneurs en ornement.Les deux premières parties posent les bases d'un discours critique sur les producteurs et leurs oeuvres. La troisième analyse, du XIXe au XXIe siècle, les modalités de la promotion et de la réception de Jaquet, en d'autres termes la construction de son image. Grâce à son ambition, le sculpteur s'est hissé au-dessus de sa condition. Parmi les entrepreneurs en décoration actifs à Genève, il est en effet le seul à avoir séjourné à l'étranger, fréquenté les académies, enseigné le dessin et fait quelques incursions dans le domaine de la sculpture figuriste. Par conséquent, il est aussi le seul à avoir une place dans l'histoire des Beaux-Arts, puis, à partir de la fin du XIXe siècle, dans celle des Arts décoratifs à Genève. Ni artiste de talent universel, ni ouvrier, Jaquet est un représentant de première qualité d'une catégorie professionnelle particulière, composée d'individus auxquels les historiens de l'art ne portent qu'un intérêt limité, parce qu'ils sont à la charnière des arts mécaniques et des arts libéraux.