919 resultados para Interleukin-2 Gene
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Quiescent rat thymocytes were stimulated to divide by a variety of agents. One such mitogen was the neurotransmitter acetylcholine which exhibited a biphasic action. Interaction with low affinity nicotinic receptors was linked with an obligatory requirement for magnesium ions whereas combination with high affinity muscarinic receptors induced mitosis only if calcium ions were present in the medium. Binding of acetylcholine to its muscarinic receptor enhanced calcium influx and increased intracellular calcium levels causing calmodulin activation, a necessary prelude to DNA synthesis and mitosis. Nicotinic receptor activation may be associated with a magnesium influx and stimulation of cells in a calmodulin-independent fashion. Parathyroid hormone and its analogues exhibited only a monophasic mitogenic action. This response was linked to calcium influx, a rise in cytosolic calcium and calmodulin activation. Parathyroid hormone did not stimulate adenylate cyclase in thymocytes and decreased cellular cyclic AMP concentrations. Picomolar amounts of interleukin-2 (IL-2) also stimulated division in thymocytes derived from 3-month old rats by binding to high affinity receptors. The response in thymocytes from newborn and foetal animals was greater reflecting the larger proportion of cells bearing receptors at this age. The mitogenic effect of IL-2 was abolished by a monoclonal antibody directed against the IL-2 receptor. Injections of IL-2 itself or the administration of IL-2 secreting activated syngeneic spleen cells also stimulated proliferation of both thymus and bone marrow cells in vivo. Likewise immunisation with pertussis toxin, which enhances endogenous IL2 production, also increased mitosis in these tissues. Calcium influx, increased cytosolic Ca2+ levels and calmodulin activation are associated features of the mitogenic action of IL-2. Interleukin-1 was also found to be mitogenic in thymic lymphocyte cultures. The responses to this mitogen and to parathyroid hormone and acetylcholine were not inhibited by the anti-IL2 receptor antibody suggesting that the thymic lymphocyte bears discrete receptors for these agents. Subtle interactions of hormones, neurotransmitters and interleukins may thus contribute to the turnover and control of lymphoid cells in the thymus and perhaps bone-marrow.
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Intramuscular injection of naked plasmid DNA is known (1-3) to elicit humoral and cell-mediated immune responses against the encoded antigen. It is thought (2,3) that immunity follows DNA uptake by muscle cells, leading to the expression and extracellular release of the antigen which is then taken up by antigen presenting cells (APC). In addition, it is feasible that some of the injected DNA is taken up directly by APC. Disadvantages (1-3) of naked DNA vaccination include: uptake of DNA by only a minor fraction of muscle cells, exposure of DNA to deoxyribonuclease in the interstitial fluid thus necessitating the use of relatively large quantities of DNA, and, in some cases, injection into regenerating muscle in order to enhance immunity. We have recently proposed (1,4) that DNA immunization via liposomes (phospholipid vesicles) could circumvent the need of muscle involvement and instead facilitate (5) uptake of DNA by APC infiltrating the site of injection or in the lymphatics, at the same time protecting DNA from nuclease attack (6). Moreover, transfection of APC with liposomal DNA could be promoted by the judicial choice of vesicle surface charge, size and lipid composition, or by the co-entrapment, together with DNA, of plasmids expressing appropriate cytokines (e.g., interleukin 2), or immunostimulatory sequences.
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Le développement de la multirésistance chez Escherichia coli est un problème important en médecine animale et humaine. En outre, l’émergence et la diffusion des déterminants de résistance aux céphalosporines à larges spectres de troisième génération (ESCs) parmi les isolats, incluant des céphalosporines essentielles en médecine humaine (ex. ceftriaxone et ceftiofur), est un problème majeur de santé publique. Cette thèse visait trois objectifs. D’abord étudier la dynamique de la résistance aux antimicrobiens (AMR) ainsi que la virulence et les profils génétiques de la AMR des E. coli isolées de porcs recevant une nourriture post-sevrage supplémentée avec de la chlortétracycline et de la pénicilline G, et, accessoirement, évaluer les effets d'additifs alimentaires sur cette dynamique en prenant pour exemple d'étude un minéral argileux, la clinoptilolite, étant donné son possible lien avec le gène blaCMY-2 qui confère la résistance au ceftiofur. L'objectif suivant était d'investiguer les mécanismes menant à une augmentation de la prévalence du gène blaCMY-2 chez les porcs qui reçoivent de la nourriture médicamentée et qui n'ont pas été exposés au ceftiofur Ici encore,nous avons examiné les effets d’un supplément alimentaire avec un minéral argileux sur ce phénomène. Enfin, notre dernier objectif était d’étudier, dans le temps, les génotypes des isolats cliniques d'E. coli résistant au ceftiofur, isolés de porcs malades au Québec à partir du moment où la résistance au ceftiofur a été rapportée, soit de 1997 jusqu'à 2012. Dans l'étude initiale, la prévalence de la résistance à 10 agents antimicrobiens, incluant le ceftiofur, s’accroît avec le temps chez les E.coli isolées de porcelets sevrés. Une augmentation tardive de la fréquence du gène blaCMY-2, encodant pour la résistance au ceftiofur, et la présence des gènes de virulence iucD et tsh a été observée chez les isolats. La nourriture supplémentée avec de la clinoptilolite a été associée à une augmentation rapide mais, par la suite, à une diminution de la fréquence des gènes blaCMY-2 dans les isolats. En parallèle, une augmentation tardive dans la fréquence des gènes blaCMY-2 et des gènes de virulence iucD et tsh a été observée dans les isolats des porcs contrôles, étant significativement plus élevé que dans les porcs ayant reçu l'additif au jour 28. La diversité, au sein des E. coli positives pour blaCMY-2 , a été observée au regard des profils AMR. Certaines lignées clonales d'E.coli sont devenues prédominantes avec le temps. La lignée clonale du phylotype A prédominait dans le groupe supplémenté, alors que les lignées clonales du phylotype B1, qui possèdent souvent le gène de virulence iucD associé aux ExPEC, prédominaient dans le groupe contrôle. Les plasmides d'incompatibilité (Inc) des groupes, I1, A/C, et ColE, porteurs de blaCMY-2, ont été observés dans les transformants. Parmi les souches cliniques d'E.coli ESC-résistantes, isolées de porcs malades au Québec de 1997 à 2012, blaCMY-2 était le gène codant pour une β-lactamase le plus fréquemment détecté; suivi par blaTEM et blaCTX-M,. De plus, les analyses clonales montrent une grande diversité génétique. Par contre, des isolats d'E. coli avec des profils PFGE identiques ont été retrouvés dans de multiples fermes la même année mais aussi dans des années différentes. La résistance à la gentamicine, kanamycine, chloramphenicol, et la fréquence de blaTEM et de IncA/C diminuent significativement au cour de la période étudiée, alors que la fréquence de IncI1 et de la multirésistance à sept catégories d'agents antimicrobiens augmente significativement avec le temps. L'émergence d'isolats d'E. coli positifs pour blaCTX-M, une β-lactamase à large spectre et produisant des ESBL, a été observée en 2011 et 2012 à partir de lignées clonales distinctes et chez de nombreuses fermes. Ces résultats, mis ensemble, apportent des précisions sur la dissémination de la résistance au ceftiofur dans les E. coli isolées de porcs. Au sein des échantillons prélevés chez les porcs sevrés recevant l'alimentation médicamentée sur une ferme, et pour laquelle une augmentation de la résistance au ceftiofur a été observée, les données révèlent que les souches d'E. coli positives pour blaCMY-2 et résistantes aux ESCs appartenaient à plusieurs lignées clonales différentes arborant divers profils AMR. Le gène blaCMY-2 se répand à la fois horizontalement et clonalement chez ces E. coli. L'ajout de clinoptilotite à la nourriture et le temps après le sevrage influencent la clonalité et la prévalence du gène blaCMY-2 dans les E. coli. Durant les 16 années d'étude, plusieurs lignées clonales différentes ont été observées parmi les souches d'E. coli résistantes au ceftiofur isolées de porc malades de fermes québécoises, bien qu’aucune lignée n'était persistante ou prédominante pendant l'étude. Les résultats suggèrent aussi que le gène blaCMY-2 s'est répandu à la fois horizontalement et clonalement au sein des fermes. De plus, blaCMY-2 est le gène majeur des β-lactamases chez ces isolats. À partir de 2011, nous rapportons l'émergence du gène blaCTX-M dans des lignées génétiques distinctes.
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To explain the missing heritability after the genome-wide association studies era, sequencing studies allow the identification of low-frequency variants with a stronger effect on disease risk. Common variants in the interleukin 10 gene (IL10) have been consistently associated with Behçet's disease (BD) and the goal of this study is to investigate the role of low-frequency IL10 variants in BD susceptibility.
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ASA (acetylsalicylic acid) is an NSAID (non-steroidal anti-inflammatory drug). ASA has gained attention as a potential chemopreventive and chemotherapeutic agent for several neoplasms. The aim of this study was to analyse the possible antitumoural effects of ASA in two erythroleukaemic cell lines, with or without the MDR (multidrug resistance) phenotype. The mechanism of action of different concentrations of ASA were compared in K562 (non-MDR) and Lucena (MDR) cells by analysing cell viability, apoptosis and necrosis, intracellular ROS (reactive oxygen species) formation and bcl-2, p53 and cox-2 gene expression. ASA inhibited the cellular proliferation or induced toxicity in K562 and Lucena cell lines, irrespective of the MDR phenotype. The ASA treatment provoked death by apoptosis and necrosis in K562 cells and only by necrosis in Lucena cells. ASA also showed antioxidant activity in both cell lines. The bcl-2, p53 and cox-2 genes in both cell lines treated with ASA seem to exhibit different patterns of expression. However, normal lymphocytes treated with the same ASA concentrations were more resistant than tumoral cells. The results of this work show that both cell lines responded to treatment with ASA, demonstrating a possible antitumoral and anti-MDR role for this drug.
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Background: Between 1961-1971 vitamin D deficiency was recognized as a public health issue in the UK, because of the lack of effective sunlight and the population mix [1, 2]. In recent years, health care professionals have cited evidence suggesting a re-emergence of the vitamin D deficiency linked to a number of health consequences as a concern [3-6]. Evidence from observational studies has linked low vitamin D status with impairment in glucose homeostasis and immune dysfunction [7-9]. However, interventional studies, particularly those focused on paediatric populations, have been limited and inconsistent. There is a need for detailed studies, to clarify the therapeutic benefits of vitamin D in these important clinical areas. Objective: The aims of this PhD thesis were two-fold. Firstly, to perform preliminary work assessing the association between vitamin D deficiency and bone status, glucose homeostasis and immune function, and to explore any changes in these parameters following short term vitamin D3 replacement therapy. Secondly, to assess the effectiveness of an electronic surveillance system (ScotPSU) as a tool to determine the current incidence of hospital-based presentation of childhood vitamin D deficiency in Scotland. Methods: Active surveillance was performed for a period of two years as a part of an electronic web-based surveillance programme performed by the Scottish Paediatric Surveillance Unit (ScotPSU). The validity of the system was assessed by identifying cases with profound vitamin D deficiency (in Glasgow and Edinburgh) from the regional laboratory. All clinical details were checked against those identified using the surveillance system. Thirty-seven children aged 3 months to 10 years, who had been diagnosed with vitamin D deficiency, were recruited for the bone, glucose and immunity studies over a period of 24 months. Twenty-five samples were analysed for the glucose and bone studies; of these, 18 samples were further analysed for immune study. Treatment consisted of six weeks taking 5000 IU units cholecalciferol orally once a day. At baseline and after completion of treatment, 25 hydroxyvitamin D (25(OH)D), parathyroid hormone (PTH), alkaline phosphatase (ALP), collagen type 1 cross-linked C-telopeptide (CTX), osteocalcin (OCN), calcium, phosphate, insulin, glucose, homeostasis model assessment index, estimated insulin resistance (HOMA IR), glycated hemoglobin (HbA1c), sex hormone binding globulin (SHBG), lipids profiles, T helper 1 (Th1) cytokines (interleukin-2 ( IL-2), tumor necrosis factors-alpha (TNF-α), interferon-gamma (INF-γ)), T helper 2 (Th2) cytokines (interleukin-4 (IL-4), interleukin-5 (IL-5), interleukin-6 (IL-6)), T helper 17 (Th17) cytokine (interleukin-17 (IL-17)), Regulatory T (Treg) cytokine (interleukin-10 (IL-10)) and chemokines/cytokines, linked with Th1/Th2 subset balance and/or differentiation (interleukin-8 (IL-8), interleukin-12 (IL-12), eosinophil chemotactic protein ( EOTAXIN), macrophage inflammatory proteins-1beta (MIP-1β), interferon-gamma-induced protein-10 (IP-10), regulated on activation, normal T cell expressed and secreted (RANTES), monocyte chemoattractant protein-1(MCP-1)) were measured. Leukoocyte subset analysis was performed for T cells, B cells and T regulatory cells and a luminex assay was used to measure the cytokiens. Results: Between September 2009 and August 2011, 163 cases of vitamin D deficiency were brought to the attention of the ScotPSU, and the majority of cases (n = 82) were reported in Glasgow. The cross-validation checking in Glasgow and Edinburgh over a one-year period revealed only 3 (11%) cases of clearly symptomatic vitamin D deficiency, which had been missed by the ScotPSU survey in Glasgow. While 16 (67%) symptomatic cases had failed to be reported through the ScotPSU survey in Edinburgh. For the 23 children who are included in bone and glucose studies, 22 (96%) children had basal serum 25(OH)D in the deficiency range (< 50 nmol/l) and one (4%) child had serum 25(OH)D in the insufficiency range (51-75 nmol/l). Following vitamin D3 treatment, 2 (9%) children had final serum 25(OH)D lower than 50 nmol/l, 6 (26%) children had final serum 25(OH)D between >50-75 nmol/l, 12 (52%) children reached a final serum 25(OH)D >75-150 nmol/l and finally 3 (13%) exceeded the normal reference range with a final 25(OH)D >150 nmol/l. Markers for remodelling ALP and PTH had significantly decreased (p = 0.001 and <0.0001 for ALP and PTH respectively). In 17 patients for whom insulin and HOMA IR data were available and enrolled in glucose study, significant improvements in insulin resistance (p = 0.04) with a trend toward a reduction in serum insulin (p = 0.05) was observed. Of those 14 children who had their cytokines profile data analysed and enrolled in the immunity study, insulin and HOMA IR data were missed in one child. A significant increase in the main Th2 secreted cytokine IL-4 (p = 0.001) and a tendency for significant increases in other Th2 secreted cytokines IL-5 (p = 0.05) and IL-6 (p = 0.05) was observed following vitamin D3 supplementation. Conclusion: An electronic surveillance system can provide data for studying the epidemiology of vitamin D deficiency. However, it may underestimate the number of positive cases. Improving vitamin D status in vitamin D deficient otherwise healthy children significantly improved their vitamin D deficient status, and was associated with an improvement in bone profile, improvements in insulin resistance and an alteration in main Th2 secreting cytokines.
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Background: Obesity and asthma are an important public health problem in Saudi Arabia. An increasing body of data supports the hypothesis that obesity is a risk factor for asthma. Asthma appears to be associated with low bone mineral density (BMD) due to long-term use of corticosteroids. Studies recently showed that weight bearing exercise training can increase mineral bone density, reduce weight and improve metabolic control. Objective: The present study aimed to measure the effects of treadmill walking exercises on bone mineral status and inflammatory cytokines in obese asthmatic patients treated with long term intake of corticosteroids. Methods: Eighty obese asthmatic patients of both sexes, their age ranged from 41 to 53 years. Subjects were divided into two equal groups: training group (group A) received aerobic exercise training on treadmill for six months in addition to the medical treatment where, the control group (group B) received only the medical treatment. Results: The results of this study indicated a significant increase in BMD of the lumbar spine & the radius, serum calcium and high density lipoprotein cholesterol (HDL-c) & significant reduction in parathyroid hormone, leptin, tumor necrosis factor– alpha(TNF-α), interleukin-2 (IL-2), interleukin-4 (IL-4), interleukin-6 (IL-6), low density lipoprotein cholesterol (LDL-c), triglycerides (TG) and body mass index (BMI) in group (A), while these changes were not significant in group (B).Also; there was a significant difference between both groups at the end of the study. Conclusion: Treadmill walking exercise training is an effective treatment policy to improve bone mineral status and modulates inflammatory cytokines and blood lipids profile in obese asthmatic patients with long term intake of corticosteroids.
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Le développement de la multirésistance chez Escherichia coli est un problème important en médecine animale et humaine. En outre, l’émergence et la diffusion des déterminants de résistance aux céphalosporines à larges spectres de troisième génération (ESCs) parmi les isolats, incluant des céphalosporines essentielles en médecine humaine (ex. ceftriaxone et ceftiofur), est un problème majeur de santé publique. Cette thèse visait trois objectifs. D’abord étudier la dynamique de la résistance aux antimicrobiens (AMR) ainsi que la virulence et les profils génétiques de la AMR des E. coli isolées de porcs recevant une nourriture post-sevrage supplémentée avec de la chlortétracycline et de la pénicilline G, et, accessoirement, évaluer les effets d'additifs alimentaires sur cette dynamique en prenant pour exemple d'étude un minéral argileux, la clinoptilolite, étant donné son possible lien avec le gène blaCMY-2 qui confère la résistance au ceftiofur. L'objectif suivant était d'investiguer les mécanismes menant à une augmentation de la prévalence du gène blaCMY-2 chez les porcs qui reçoivent de la nourriture médicamentée et qui n'ont pas été exposés au ceftiofur Ici encore,nous avons examiné les effets d’un supplément alimentaire avec un minéral argileux sur ce phénomène. Enfin, notre dernier objectif était d’étudier, dans le temps, les génotypes des isolats cliniques d'E. coli résistant au ceftiofur, isolés de porcs malades au Québec à partir du moment où la résistance au ceftiofur a été rapportée, soit de 1997 jusqu'à 2012. Dans l'étude initiale, la prévalence de la résistance à 10 agents antimicrobiens, incluant le ceftiofur, s’accroît avec le temps chez les E.coli isolées de porcelets sevrés. Une augmentation tardive de la fréquence du gène blaCMY-2, encodant pour la résistance au ceftiofur, et la présence des gènes de virulence iucD et tsh a été observée chez les isolats. La nourriture supplémentée avec de la clinoptilolite a été associée à une augmentation rapide mais, par la suite, à une diminution de la fréquence des gènes blaCMY-2 dans les isolats. En parallèle, une augmentation tardive dans la fréquence des gènes blaCMY-2 et des gènes de virulence iucD et tsh a été observée dans les isolats des porcs contrôles, étant significativement plus élevé que dans les porcs ayant reçu l'additif au jour 28. La diversité, au sein des E. coli positives pour blaCMY-2 , a été observée au regard des profils AMR. Certaines lignées clonales d'E.coli sont devenues prédominantes avec le temps. La lignée clonale du phylotype A prédominait dans le groupe supplémenté, alors que les lignées clonales du phylotype B1, qui possèdent souvent le gène de virulence iucD associé aux ExPEC, prédominaient dans le groupe contrôle. Les plasmides d'incompatibilité (Inc) des groupes, I1, A/C, et ColE, porteurs de blaCMY-2, ont été observés dans les transformants. Parmi les souches cliniques d'E.coli ESC-résistantes, isolées de porcs malades au Québec de 1997 à 2012, blaCMY-2 était le gène codant pour une β-lactamase le plus fréquemment détecté; suivi par blaTEM et blaCTX-M,. De plus, les analyses clonales montrent une grande diversité génétique. Par contre, des isolats d'E. coli avec des profils PFGE identiques ont été retrouvés dans de multiples fermes la même année mais aussi dans des années différentes. La résistance à la gentamicine, kanamycine, chloramphenicol, et la fréquence de blaTEM et de IncA/C diminuent significativement au cour de la période étudiée, alors que la fréquence de IncI1 et de la multirésistance à sept catégories d'agents antimicrobiens augmente significativement avec le temps. L'émergence d'isolats d'E. coli positifs pour blaCTX-M, une β-lactamase à large spectre et produisant des ESBL, a été observée en 2011 et 2012 à partir de lignées clonales distinctes et chez de nombreuses fermes. Ces résultats, mis ensemble, apportent des précisions sur la dissémination de la résistance au ceftiofur dans les E. coli isolées de porcs. Au sein des échantillons prélevés chez les porcs sevrés recevant l'alimentation médicamentée sur une ferme, et pour laquelle une augmentation de la résistance au ceftiofur a été observée, les données révèlent que les souches d'E. coli positives pour blaCMY-2 et résistantes aux ESCs appartenaient à plusieurs lignées clonales différentes arborant divers profils AMR. Le gène blaCMY-2 se répand à la fois horizontalement et clonalement chez ces E. coli. L'ajout de clinoptilotite à la nourriture et le temps après le sevrage influencent la clonalité et la prévalence du gène blaCMY-2 dans les E. coli. Durant les 16 années d'étude, plusieurs lignées clonales différentes ont été observées parmi les souches d'E. coli résistantes au ceftiofur isolées de porc malades de fermes québécoises, bien qu’aucune lignée n'était persistante ou prédominante pendant l'étude. Les résultats suggèrent aussi que le gène blaCMY-2 s'est répandu à la fois horizontalement et clonalement au sein des fermes. De plus, blaCMY-2 est le gène majeur des β-lactamases chez ces isolats. À partir de 2011, nous rapportons l'émergence du gène blaCTX-M dans des lignées génétiques distinctes.
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T-cell based vaccines against human immunodeficiency virus (HIV) generate specific responses that may limit both transmission and disease progression by controlling viral load. Broad, polyfunctional, and cytotoxic CD4+ T-cell responses have been associated with control of simian immunodeficiency virus/HIV-1 replication, supporting the inclusion of CD4+ T-cell epitopes in vaccine formulations. Plasmid-encoded granulocyte-macrophage colony-stimulating factor (pGM-CSF) co-administration has been shown to induce potent CD4+ T-cell responses and to promote accelerated priming and increased migration of antigen-specific CD4+ T-cells. However, no study has shown whether co-immunisation with pGM-CSF enhances the number of vaccine-induced polyfunctional CD4+ T-cells. Our group has previously developed a DNA vaccine encoding conserved, multiple human leukocyte antigen (HLA)-DR binding HIV-1 subtype B peptides, which elicited broad, polyfunctional and long-lived CD4+ T-cell responses. Here, we show that pGM-CSF co-immunisation improved both magnitude and quality of vaccine-induced T-cell responses, particularly by increasing proliferating CD4+ T-cells that produce simultaneously interferon-γ, tumour necrosis factor-α and interleukin-2. Thus, we believe that the use of pGM-CSF may be helpful for vaccine strategies focused on the activation of anti-HIV CD4+ T-cell immunity.
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Purpose: To construct a cluster model or a gene signature for Stevens-Johnson syndrome (SJS) using pathways analysis in order to identify some potential biomarkers that may be used for early detection of SJS and epidermal necrolysis (TEN) manifestations. Methods: Gene expression profiles of GSE12829 were downloaded from Gene Expression Omnibus database. A total of 193 differentially expressed genes (DEGs) were obtained. We applied these genes to geneMANIA database, to remove ambiguous and duplicated genes, and after that, characterized the gene expression profiles using geneMANIA, DAVID, REACTOME, STRING and GENECODIS which are online software and databases. Results: Out of 193 genes, only 91 were used (after removing the ambiguous and duplicated genes) for topological analysis. It was found by geneMANIA database search that majority of these genes were coexpressed yielding 84.63 % co-expression. It was found that ten genes were in Physical interactions comprising almost 14.33 %. There were < 1 % pathway and genetic interactions with values of 0.97 and 0.06 %, respectively. Final analyses revealed that there are two clusters of gene interactions and 13 genes were shown to be in evident relationship of interaction with regards to hypersensitivity. Conclusion: Analysis of differential gene expressions by topological and database approaches in the current study reveals 2 gene network clusters. These genes are CD3G, CD3E, CD3D, TK1, TOP2A, CDK1, CDKN3, CCNB1, and CCNF. There are 9 key protein interactions in hypersensitivity reactions and may serve as biomarkers for SJS and TEN. Pathways related gene clusters has been identified and a genetic model to predict SJS and TEN early incidence using these biomarker genes has been developed.
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Introduction: Mutations in the leucine-rich repeat kinase 2 gene (LRRK2 or Dardarin) are considered to be a common cause of autosomal dominant and sporadic Parkinson´s disease, but the prevalence of these mutations varies among populations. Objective: To analyzed the frequency of the LRRK2 p.G2019S mutation (c.6055G>A transition) in a sample of Colombian patients. Methods: In the present study we have analyzed the frequency of the LRRK2 p.G2019S mutation in 154 patients with familial or sporadic Parkinson Disease, including early and late onset patients, and 162 normal controls. Results: Our results show occurrence of this mutation in two cases (2/154, 1.3%) with classical Parkinson´s signs, and one completely asymptomatic control (1/162, 0.6%). Conclusion: The p.G2019S mutation is not an important causal factor of Parkinson Disease in Colombia having similar frequencies to those reported in other Latin American populations.
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Objetivo. Determinar en un grupo de pacientes llevados a revascularización miocárdica si existió asociación entre la presencia de niveles de calcio iónico inferiores a 1,1 en las 24 horas del post operatorio y la ocurrencia de fibrilación auricular post operatoria. Metodología. Estudio observacional, analítico de casos y controles, en donde de manera consecutiva se incluyeron 110 sujetos (57 en el grupo de casos con presencia de fibrilación auricular post operatoria y 54 en el grupo de controles sin evidencia de fibrilación auricular) estos sujetos fueron llevados a revascularización miocárdica en la Fundación Cardioinfantil en los años 2010 a 2015. Resultados. Hubo 13 casos de fibrilación auricular post operatoria en pacientes con niveles de calcio iónico inferiores a 1,1 mmol/l en las primeras 24 horas del post operatorio OR: 0,5, IC (0,2-1,2) p: 0,1. Sin determinarse asociación por limitaciones del estudio, sin embargo un 29% de los pacientes con fibrilación auricular tuvieron niveles de calcio inferiores a 1,1 mmol/l en las primeras 24 horas del post operatorio, este valor aumenta a 31% cuando se analizan por separado los valores de calcio obtenidos a las 12 horas. Conclusiones. Aunque no se logró determinar asociación entre la fibrilación auricular post operatoria y las concentraciones de calcio iónico, de manera exploratoria se pudo establecer que un 29% de los pacientes con fibrilación auricular tuvieron concentraciones de calcio iónico inferiores a 1,1 mmol/l, este valor aumenta a 31% cuando se analizan los niveles de calcio iónico por separado.
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The upstream proinflammatory interleukin-1 (IL-1) cytokines, together with a naturally occurring IL-1 receptor antagonist (IL-1Ra), play a significant role in several diseases and physiologic conditions. The IL-1 proteins affect glucose homeostasis at multiple levels contributing to vascular injuries and metabolic dysregulations that precede diabetes. An association between IL-1 gene variations and IL-1Ra levels has been suggested, and genetic studies have reported associations with metabolic dysregulation and altered inflammatory responses. The principal aims of this study were to: 1) examine the associations of IL-1 gene variation and IL-1Ra expression in the development and persistence of thyroid antibodies in subacute thyroiditis; 2) investigate the associations of common variants in the IL-1 gene family with plasma glucose and insulin concentrations, glucose homeostasis measures and prevalent diabetes in a representative population sample; 3) investigate genetic and non-genetic determinants of IL-1Ra phenotypes in a cross-sectional setting in three independent study populations; 4) investigate in a prospective setting (a) whether variants of the IL-1 gene family are predictors for clinically incident diabetes in two population-based observational cohort studies; and (b) whether the IL-1Ra levels predict the progression of metabolic syndrome to overt diabetes during the median follow-up of 10.8 and 7.1 years. Results from on patients with subacte thyroiditis showed that the systemic IL-1Ra levels are elevated during a specific proinflammatory response and they correlated with C-reactive protein (CRP) levels. Genetic variation in the IL-1 family seemed to have an association with the appearance of thyroid peroxidase antibodies and persisting local autoimmune responses during the follow-up. Analysis of patients suffering from diabetes and metabolic traits suggested that genetic IL-1 variation and IL-1Ra play a role in glucose homeostasis and in the development of type 2 diabetes. The coding IL-1 beta SNP rs1143634 was associated with traits related to insulin resistance in cross-sectional analyses. Two haplotype variants of the IL-1 beta gene were associated with prevalent diabetes or incident diabetes in a prospective setting and both of these haplotypes were tagged by rs1143634. Three variants of the IL-1Ra gene and one of the IL-1 beta gene were consistently identified as significant, independent determinants of the IL-1Ra phenotype in two or three populations. The proportion of the phenotypic variation explained by the genetic factors was modest however, while obesity and other metabolic traits explained a larger part. Body mass index was the strongest predictor of systemic IL-1Ra concentration overall. Furthermore, the age-adjusted IL-1Ra concentrations were elevated in individuals with metabolic syndrome or diabetes when compared to those free of metabolic dysregulation. In prospective analyses the systemic IL-1Ra levels were found as independent predictors for the development of diabetes in people with metabolic syndrome even after adjustment for multiple other factors, including plasma glucose and CRP levels. The predictive power of IL-1Ra was better than that of CRP. The prospective results also provided some evidence for a role of common IL-1 alpha promoter SNP rs1800587 in the development of type 2 diabetes among men and suggested that the role may be gender specific. Likewise, common variations in the IL-1 beta coding region may have a gender specific association with diabetes development. Further research on the potential benefits of IL-1Ra measurements in identifying individuals at high risk for diabetes, who then could be targeted for specific treatment interventions, is warranted. It has been reported in the recent literature that IL-1Ra secreted from adipose tissue has beneficial effects on glucose homeostasis. Furthermore, treatment with recombinant human IL-1Ra has been shown to have a substantial therapeutic potential. The genetic results from the prospective analyses performed in this study remain inconclusive, but together with the cross-sectional analyses they suggest gender-specific effects of the IL-1 variants on the risk of diabetes. Larger studies with more extensive genotyping and resequencing may help to pinpoint the exact variants responsible and to further elucidate the biological mechanisms for the observed associations. This would improve our understanding of the pathways linking inflammation and obesity with glucose and insulin metabolism.
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The main genetic determinant of soluble interleukin 6 receptor (sIL-6R) levels is the missense variant rs2228145 that maps to the cleavage site of IL-6R. For each Ala allele, sIL-6R serum levels increase by ∼20 ng ml -1 and asthma risk by 1.09-fold. However, this variant does not explain the total heritability for sIL-6R levels. Additional independent variants in IL6R may therefore contribute to variation in sIL-6R levels and influence asthma risk. We imputed 471 variants in IL6R and tested these for association with sIL-6R serum levels in 360 individuals. An intronic variant (rs12083537) was associated with sIL-6R levels independently of rs4129267 (P=0.0005), a proxy single-nucleotide polymorphism for rs2228145. A significant and consistent association for rs12083537 was observed in a replication panel of 354 individuals (P=0.033). Each rs12083537:A allele increased sIL-6R serum levels by 2.4 ng ml -1. Analysis of mRNA levels in two cohorts did not identify significant associations between rs12083537 and IL6R transcription levels. On the other hand, results from 16 705 asthmatics and 30 809 controls showed that the rs12083537:A allele increased asthma risk by 1.04-fold (P=0.0419). Genetic risk scores based on IL6R regulatory variants may prove useful in explaining variation in clinical response to tocilizumab, an anti-IL-6R monoclonal antibody.
Resumo:
L'arthrose (OA) est une maladie articulaire dégénérative, classée comme la forme la plus fréquente au monde. Elle est caractérisée par la dégénérescence du cartilage articulaire, l’inflammation de la membrane synoviale, et le remodelage de l’os sous-chondral. Ces changements structurels et fonctionnels sont dues à de nombreux facteurs. Les cytokines, les prostaglandines (PG), et les espèces réactives de l'oxygène sont les principaux médiateurs impliqués dans la pathophysiologie de l'OA. L'interleukine-1β (IL-1β) est une cytokine pro-inflammatoire majeure qui joue un rôle crucial dans l'OA. L'IL-1β induit l'expression de la cyclooxygénase-2 (COX-2), la microsomale prostaglandine E synthase-1 (mPGES-1), la synthase inductible de l'oxyde nitrique (iNOS), ainsi que leurs produits la prostaglandine E2 (PGE2) et l'oxyde nitrique (NO). Ce sont des médiateurs essentiels de la réponse inflammatoire au cours de l'OA qui contribuent aux mécanismes des douleurs, de gonflement, et de destruction des tissus articulaires. Les modifications épigénétiques jouent un rôle très important dans la régulation de l’expression de ces gènes pro-inflammatoires. Parmi ces modifications, la méthylation/ déméthylation des histones joue un rôle critique dans la régulation des gènes. La méthylation/ déméthylation des histones est médiée par deux types d'enzymes: les histones méthyltransférases (HMT) et les histones déméthylases (HDM) qui favorisent l’activation et/ou la répression de la transcription. Il est donc nécessaire de comprendre les mécanismes moléculaires qui contrôlent l’expression des gènes de la COX-2, la mPGES-1, et l’iNOS. L'objectif de cette étude est de déterminer si la méthylation/déméthylation des histones contribute à la régulation de l’expression des gènes COX-2, mPGES-1, et iNOS dans des chondrocytes OA humains induits par l'IL-1β. Nous avons montré que la méthylation de la lysine K4 de l'histone H3 (H3K4) par SET-1A contribue à l’activation des gènes COX-2 et iNOS dans les chondrocytes humains OA induite par l'IL-1β. Nous avons également montré que la lysine K9 de l’histone H3 (H3K9) est déméthylée par LSD1, et que cette déméthylation contribue à l’expression de la mPGES-1 induite par IL-1β dans les chondrocytes humains OA. Nous avons aussi trouvé que les niveaux d'expression des enzymes SET-1A et LSD1 sont élevés au niveau du cartilage OA. Nos résultats montrent, pour la première fois, l'implication de la méthylation/ déméthylation des histones dans la régulation de l’expression des gènes COX-2, mPGES-1, et iNOS. Ces données suggèrent que ces mécanismes pourraient être une cible potentielle pour une intervention pharmacologique dans le traitement de la physiopathologie de l'OA.