Repenser l’histoire de la jouabilité : l’émergence du jeu de stratégie en temps réel

L’objectif de cette thèse est de réfléchir aux enjeux d’une histoire du jeu de stratégie en temps réel (STR). Il s’agit de mieux comprendre les contextes dans lesquels le genre prend sens pour historiciser son émergence et sa période classique. Cette thèse cherche à documenter, d’une part, la cristallisation du STR en tant qu’objet ayant une forme relativement stable et en tant que corpus précis et identifié et, d’autre part, l’émergence des formes de jouabilité classiques des STR. La première partie est consacrée à décrire l’objet de cette recherche, pour mieux comprendre la complexité du terme « stratégie » et de la catégorisation « jeu de stratégie ». La seconde partie met en place la réflexion épistémologique en montrant comment on peut tenir compte de la jouabilité dans un travail historien. Elle définit le concept de paradigme de jouabilité en tant que formation discursive pour regrouper différents énoncés actionnels en une unité logique qui n’est pas nécessairement l’équivalent du genre. La troisième partie cartographie l’émergence du genre entre les wargames des années 1970 et les jeux en multijoueur de la décennie suivante. Deux paradigmes de jouabilité se distinguent pour former le STR classique : le paradigme de décryptage et le paradigme de prévision. La quatrième partie explique et contextualise le STR classique en montrant qu’il comporte ces deux paradigmes de jouabilité dans deux modes de jeu qui offrent des expériences fondamentalement différentes l’une de l’autre.

Repenser l’histoire de la jouabilité : l’émergence du jeu de stratégie en temps réel

L’objectif de cette thèse est de réfléchir aux enjeux d’une histoire du jeu de stratégie en temps réel (STR). Il s’agit de mieux comprendre les contextes dans lesquels le genre prend sens pour historiciser son émergence et sa période classique. Cette thèse cherche à documenter, d’une part, la cristallisation du STR en tant qu’objet ayant une forme relativement stable et en tant que corpus précis et identifié et, d’autre part, l’émergence des formes de jouabilité classiques des STR. La première partie est consacrée à décrire l’objet de cette recherche, pour mieux comprendre la complexité du terme « stratégie » et de la catégorisation « jeu de stratégie ». La seconde partie met en place la réflexion épistémologique en montrant comment on peut tenir compte de la jouabilité dans un travail historien. Elle définit le concept de paradigme de jouabilité en tant que formation discursive pour regrouper différents énoncés actionnels en une unité logique qui n’est pas nécessairement l’équivalent du genre. La troisième partie cartographie l’émergence du genre entre les wargames des années 1970 et les jeux en multijoueur de la décennie suivante. Deux paradigmes de jouabilité se distinguent pour former le STR classique : le paradigme de décryptage et le paradigme de prévision. La quatrième partie explique et contextualise le STR classique en montrant qu’il comporte ces deux paradigmes de jouabilité dans deux modes de jeu qui offrent des expériences fondamentalement différentes l’une de l’autre.

Higher mathematics. A text-book for classical and engineering colleges.

"Bibliography ... general works on the history of mathematics in the nineteenth century": p. 568-570.

Department of Education : the Eisenhower Math and Science State Grant Program : report to the Chairman, Subcommittee on Elementary, Secondary, and Vocational Education, Committee on Education and Labor, House of Representatives /

"November 1992."

Cambridge problems: being a collection of the printed questions proposed to the candidates for the degree of bachelor of arts at the general examinations, from 1801 to 1820, inclusive.

Mode of access: Internet.

Solutions of the Cambridge problems, from 1800 to 1820.

"Appendix, containing a selection of college examination papers": v. 2, p. [649]-714.

The approximate numerical solution of boundary value problems by relaxation methods,

"Contract N7 onr-358, T. O. I., NR-041-032."

Solutions of the Cambridge problems, from 1800 to 1820.

Mode of access: Internet.

Decompositions of complete tripartite graphs into triangles with an edge attached

Let K(r, s, t) denote the complete tripartite graph with partite sets of size r, s and t, where r less than or equal to s less than or equal to t. Let D be the graph consisting of a triangle with an edge attached. We show that K(r, s, t) may be decomposed into copies of D if and only if 4 divides rs + st + rt and t less than or equal to 3rs/(r + s).

Existence of complementary pairs of proportionally balanced designs

Proportionally balanced designs (pi BDs) were introduced by Gray and Matters in response to a need for the allocation of markers of the Queensland Core Skills Test to have a certain property. Subsequent papers extended the theoretical results relating to such designs and provided further instances and general constructions. This work focused on designs comprising blocks of precisely two sizes, and when each variety occurs with one of precisely two possible frequencies. Two designs based on the set V of varieties are complementary if, whenever B is a block of one, then its complement with regard to the set V is a block of the other. Here we present necessary conditions for the existence of complementary pairs of such pi BDs and provide lists of some restricted parameter sets satisfying these necessary conditions. The lists are arranged according to the number of blocks. We demonstrate that not all of these parameter sets give rise to designs. However we establish by construction of the sets of blocks that, for every feasible number of blocks less than or equal to 100, with the possible exception of 63, there exists at least one pair of complementary pi BDs. We also investigate the conditions under which the complementary design can be isomorphic to the original design, and again provide a list of feasible parameters for pairs of such designs with at most 400 blocks.

Strategy-making process and firm performance in small firms

This paper argues that individual small firms just like large firms, place differing emphasis on strategy-making and may employ different modes of strategy-making. It offers a typology of the different modes of strategy-making that seem most likely to exist in small firms, and hypothesises how this typology relates to performance. It then describes the results of an empirical study of the strategy-making processes of small firms. The structural equation analysis of the data from 477 small firms with less than 100 employees indicates among other results that the simplistic, adaptive, intrapreneurial and participative modes of strategy-making exist in these small firms. Of these modes, the simplistic mode exhibits the strongest relationship with firm performance.