998 resultados para binding kinetics
Resumo:
Methanol oxidation, Kinetics, Mechanism, Rate expression, MEA, PtRu catalysts, Cyclone Flow Cell
Resumo:
Drying of porous media, pore network, pore structure, capillary forces, viscous forces, drying kinetics
Resumo:
Purinergic receptors, nucleotides, P2Y, diastereoselectivity, potency, mutagenesis, ligand recognition, heterooligomerization, endocytosis, co-pulldown
Resumo:
Magdeburg, Univ., Fak. für Naturwiss., Diss., 2009
Resumo:
Magdeburg, Univ., Medizin. Fakultät, Diss., 2008
Resumo:
Magdeburg, Univ., Fak. für Verfahrens- und Systemtechnik, Diss., 2015
Resumo:
The culture forms of L. mexicana pifanoi (LRC L-90), L. mexicana mexicana (LRC L-94, M-379); L. braziliensis braziliensis (LRC L-77, L-1, M-2903, H-LSS) and L. mexicana amazonensis (H-JMMO, M-JOF, H-21, H-PLL,M-1696) were tested with the following lectins: Canavalia ensiformis, Ricinus communis-120, Axinella polypoides, Phaseolus vulgaris, Evonymus europaeus, lotus tetragonolobus, Dolichos biflorus, Aaptos papillata II, Laburnum alpinum, Ulex europaeus, Arachis hypogaea and Soja hispida. All examined strains of Leishmania were agglutinated by C. ensiformis, R. communis-120 and A. popypoides. No agglutination reactions were observed with P. vulgaris, D.biflorus, A. papillata II, E. europaeus and L. tetragonolobus. Only L. m. pifanoi and the L. m. amazonensis strains H-JMMO and MJOF showed agglutination reactions with S. hispida, U. europaeus, L. alpinum and A. hypogaea, while L. m. mexicana (LRC L-94; M-379) strains, L. b. braziliensis H. LSS, LRC L-77; L-1; M-2903 and the L. m. amazonensis strains, H-PLL, H-21, M-1696 showed no agglutination reactions with these four lectins.
Resumo:
We report a simple method for evaluating the binding of concanavalin A (ConA) to human peripheral blood mononuclear cells (PBMC). The binding is evidenced by an immunoenzymic assay using peroxidase-conjugated immunoglobulins of a rabbit anti-ConA serum. Using the method we show that sera from patients with American leishmaniasis do not interfere with binding of ConA to PBMC.
Resumo:
Els dominis d’activació (ADs) de les procarboxipeptidases de la subfamília A/B sempre han sorprès ja que representen una quarta part del proenzim. S’han realitzat alguns estudis per intentar descobrir-ne alguna possible funció alternativa, però no han estat fructífers. El descobriment de l’elevada velocitat de plegament del domini d’activació de la procarboxipeptidasa A2 humana, (ADA2h), emperò, va portar a proposar la possibilitat de que realitzessin una funció d’assistència al plegament del domini enzimàtic. Posteriorment, l’anàlisi del plegament d’ADA2h a pH baix va revelar la capacitat d’aquest domini per formar fibres amiloides, a més de demostrar que un increment de l’estabilitat proteica podia prevenir la formació d’aquests agregats. La profunda caracterització del plegament d’ADA2h va fer que aquesta proteïna fos un bon model amiloidogènic, de manera que es van proposar un seguit d’experiments que s’han desenvolupat en el present treball per tal de conèixer millor aquest procés. S’han dut a terme estudis cinètics d’agregació per tal de valorar la contribució dels diferents aminoàcids de la seqüència polipeptídica, utilitzant 29 variants puntuals d’ADA2h. Es va eliminar la contribució de l’estabilitat mitjançant la utilització d’urea, i per dicroïsme circular conjuntament amb un aparell de flux detingut, es van obtenir dues velocitats diferents, v1 i v2, que corresponen a la formació d’un intermediari i a la seva reorganització, respectivament. Experiments complementaris utilitzant espectroscòpia d’infraroig (IR) revelaren la reorganització de l’estat natiu (en aquest cas) per a donar la forma agregada. Les cinètiques d’IR van mostrar que ADA2h forma l’estructura _ típica de les fibres amiloides, previ desplegament les seves hèlixs-_. Finalment, s’han realitzat estudis de biocomputació per tal d’esbrinar possibles funcions alternatives dels ADs. Les superposicions estructurals semblen mostrar similaritat dels ADs amb dominis de reconeixement d’RNA (RRM). Aquesta hipòtesi s’ha comprovat experimentalment amb ADA4h, mostrant una dèbil, però existent, unió a RNA.
Resumo:
PURPOSE: The purpose of this study was to develop a mathematical model (sine model, SIN) to describe fat oxidation kinetics as a function of the relative exercise intensity [% of maximal oxygen uptake (%VO2max)] during graded exercise and to determine the exercise intensity (Fatmax) that elicits maximal fat oxidation (MFO) and the intensity at which the fat oxidation becomes negligible (Fatmin). This model included three independent variables (dilatation, symmetry, and translation) that incorporated primary expected modulations of the curve because of training level or body composition. METHODS: Thirty-two healthy volunteers (17 women and 15 men) performed a graded exercise test on a cycle ergometer, with 3-min stages and 20-W increments. Substrate oxidation rates were determined using indirect calorimetry. SIN was compared with measured values (MV) and with other methods currently used [i.e., the RER method (MRER) and third polynomial curves (P3)]. RESULTS: There was no significant difference in the fitting accuracy between SIN and P3 (P = 0.157), whereas MRER was less precise than SIN (P < 0.001). Fatmax (44 +/- 10% VO2max) and MFO (0.37 +/- 0.16 g x min(-1)) determined using SIN were significantly correlated with MV, P3, and MRER (P < 0.001). The variable of dilatation was correlated with Fatmax, Fatmin, and MFO (r = 0.79, r = 0.67, and r = 0.60, respectively, P < 0.001). CONCLUSIONS: The SIN model presents the same precision as other methods currently used in the determination of Fatmax and MFO but in addition allows calculation of Fatmin. Moreover, the three independent variables are directly related to the main expected modulations of the fat oxidation curve. SIN, therefore, seems to be an appropriate tool in analyzing fat oxidation kinetics obtained during graded exercise.
Resumo:
Le glucose est notre principale source d'énergie. Après un repas, le taux de glucose dans le sang (glycémie) augmente, ce qui entraine la sécrétion d'insuline. L'insuline est une hormone synthétisée au niveau du pancréas par des cellules dites bêta. Elle agit sur différents organes tels que les muscles, le foie ou le tissu adipeux, induisant ainsi le stockage du glucose en vue d'une utilisation future.¦Le diabète est une maladie caractérisée par un taux élevé de glucose dans le sang (hyperglycémie), résultant d'une incapacité de notre corps à utiliser ou à produire suffisamment d'insuline. A long terme, cette hyperglycémie entraîne une détérioration du système cardio-vasculaire ainsi que de nombreuses complications. On distingue principalement deux type de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2, le plus fréquent (environ 90% des cas). Bien que ces deux maladies diffèrent sur beaucoup de points, elles partagent quelques similitudes. D'une part, on décèle une diminution de la quantité de cellules bêta. Cette diminution est cependant partielle dans le cas d'un diabète de type 2, et totale dans celui d'un diabète de type 1. D'autre part, la présence dans la circulation de médiateurs de l'inflammation nommés cytokines est décelée aussi bien chez les patients de type 1 que de type 2. Les cytokines sont sécrétées lors d'une inflammation. Elles servent de moyen de communication entre les différents acteurs de l'inflammation et ont pour certaines un effet néfaste sur la survie des cellules bêta.¦L'objectif principal de ma thèse a été d'étudier en détail l'effet de petites molécules régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs. Basé sur le fait que de nombreuses publications ont démontré que les microARNs étaient impliqués dans différentes maladies telles que le cancer, j'ai émis l'hypothèse qu'ils pouvaient également jouer un rôle important dans le développement du diabète.¦Nous avons commencé par mettre des cellules bêta en culture en présence de cytokines, imitant ainsi un environnement inflammatoire. Nous avons pu de ce fait identifier les microARNs dont les niveaux d'expression étaient modifiés. A l'aide de méthodes biochimiques, nous avons ensuite observé que la modulation de certains microARNs par les cytokines avaient des effets néfastes sur la cellule bêta : sur sa production et sa sécrétion d'insuline, ainsi que sur sa mort (apoptose). Nous avons en conséquence pu démontrer que ces petites molécules avaient un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta induit par les cytokines, aboutissant au développement du diabète.¦-¦La cellule bêta pancréatique est une cellule endocrine présente dans les îlots de Langerhans, dans le pancréas. L'insuline, une hormone sécrétée par ces cellules, joue un rôle essentiel dans la régulation de la glycémie. Le diabète se développe si le taux d'insuline relâché par les cellules bêta n'est pas suffisant pour couvrir les besoins métaboliques corporels. Le diabète de type 1, qui représente environ 5 à 10% des cas, est une maladie auto-immune qui se caractérise par une réaction inflammatoire déclenchée par notre système immunitaire envers les cellules bêta. La conséquence de cette attaque est une disparition progressive des cellules bêta. Le diabète de type 2 est, quant à lui, largement plus répandu puisqu'il représente environ 90% des cas. Des facteurs à la fois génétiques et environnementaux sont responsables d'une diminution de la sensibilité des tissus métabolisant l'insuline, ainsi que d'une réduction de la sécrétion de l'insuline par les cellules bêta, ce qui a pour conséquence le développement de la maladie. Malgré les différences entre ces deux types de diabète, ils ont pour points communs la présence d'infiltrat immunitaire et la diminution de l'état fonctionnel des cellules bêta.¦Une meilleure compréhension des mécanismes aboutissant à l'altération de la cellule bêta est primordiale, avant de pouvoir développer de nouvelles stratégies thérapeutiques capables de guérir cette maladie. Durant ma thèse, j'ai donc étudié l'implication de petites molécules d'ARN, régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs, dans les conditions physiopathologiques qui aboutissent au développement du diabète. J'ai débuté mon étude par l'identification de microARNs dont le niveau d'expression était modifié lorsque les cellules bêta étaient exposées à des conditions favorisant à la fois le développement du diabète de type 1 (cytokines) et celui du diabète de type 2 (palmitate). Nous avons découvert qu'une modification de l'expression des miR-21, -34a et -146a était commune aux deux traitements. Ces changements d'expressions ont également été confirmés dans deux modèles animaux : les souris NOD qui développent un diabète s'apparentant au diabète de type 1 et les souris db/db qui développent plutôt un diabète de type 2. Puis, à l'aide de puces à ADN, nous avons comparé l'expression de microARNs chez des souris NOD pré-diabétiques. Nous avons alors retrouvé des changements au niveau de l'expression des mêmes microARNs mais également au niveau d'une famille de microARNs : les miR-29a, -29b et -29c. De manière artificielle, nous avons ensuite surexprimé ou inhibé en conditions physiopathologiques l'expression de tous ces microARNs et nous nous sommes intéressés à l'impact d'un tel changement sur différentes fonctions de la cellule bêta comme la synthèse et la sécrétion d'insulinè ainsi que leur survie. Nous avons ainsi pu démontrer que les miR-21, -34a, -29a, -29b, -29c avaient un effet délétère sur la sécrétion d'insuline et que la surexpression de tous ces microARNs (excepté le miR-21) favorisait la mort. Finalement, nous avons démontré que la plupart de ces microARNs étaient impliqués dans la régulation d'importantes voies de signalisation responsables de l'apoptose des cellules bêta telles que les voies de NFKB, BCL2 ou encore JNK.¦Par conséquent, nos résultats démontrent que les microARNs ont un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta lors de la mise en place du diabète.
Resumo:
Semliki Forest virus (SFV) vectors have been efficiently used for rapid high level expression of several G protein-coupled receptors. Here we describe the use of SFV vectors to express the alpha 1b-adrenergic receptor (AR) alone or in the presence of the G protein alpha q and/or beta 2 and gamma 2 subunits. Infection of baby hamster kidney (BHK) cells with recombinant SFV-alpha 1b-AR particles resulted in high specific binding activity of the alpha 1b-AR (24 pmol receptor/mg protein). Time-course studies indicated that the highest level of receptor expression was obtained 30 hours post-infection. The stimulation of BHK cells, with epinephrine led to a 5-fold increase in inositol phosphate (IP) accumulation, confirming the functional coupling of the receptor to G protein-mediated activation of phospholipase C. The SFV expression system represents a rapid and reproducible system to study the pharmacological properties and interactions of G protein coupled receptors and of G protein subunits.
Resumo:
A murine monoclonal antibody (SJL 2-4) specific for the antigen apo-cytochrome c was shown to inhibit both antigen-induced proliferation and lymphokine secretion by an apo-cytochrome c-specific BALB/c helper T cell clone. The inhibition was specific because additional apo-cytochrome c-specific T cell clones were not inhibited by the same monoclonal antibody. Time course studies of the inhibition indicated that the initial 8 hr of contact between T cell clones and antigen-presenting cells were critical for activation of the T cell clones. Inhibition of T cell functions by antigen-specific antibodies appeared to correlate with the antibody-antigen binding constant because a second monoclonal antibody (Cyt-1-59), with identical specificity but with a lower affinity constant for apo-cytochrome c, had very little inhibitory effect on the proliferation or lymphokine secretion of apo-cytochrome c-specific T cell clones.
Resumo:
During the schistosomiasis infection there is a [quot ]dance of the cells[quot ], varying from site to site and related to the time of infection. 1 - Eosinophil levels exhibit a bimodal pattern, with the first peak related to the egg deposition and maturation and increased Kupfferian hyperplasia; the second peak precedes the death of some adult worms; 2 - The peritoneal eosinophilic levels are inversely proportional to the blood eosinophilic levels; 3 - Eosinopoiesis in the bone marrow begins at day 40, reaching the highest levels at day 50 and coincides with hepatic eosinophilic and neutrophilic metaplasia; 4 - Peritoneal mast cell levels present a bimodal pattern similar to the blood eosinophils, and inverse to the peritoneal eosinophils. They also show a cyclic behaviour within the hepatic and intestinal granulomas. Integral analysis of the events related to the eosinophils in the blood, bone marrow, peritoneal cavity and hepatic and intestinal granulomas allows the detection of two important eosinophilic phases: the first is due to mobilization and redistribution of the marginal pool and the second originates from eosinophilic production in the bone marrow and liver. The productive phase is characterized by an increase in the number of eosinophils and monocyte/macrophages, and a decrease in neutrophils and stabilization of megakariocytes and erithroid lineages.
Resumo:
Cellular responses to LPS, the major lipid component of the outer membrane of Gram-negative bacteria, are enhanced markedly by the LPS-binding protein (LBP), a plasma protein that transfers LPS to the cell surface CD14 present on cells of the myeloid lineage. LBP has been shown previously to potentiate the host response to LPS. However, experiments performed in mice with a disruption of the LBP gene have yielded discordant results. Whereas one study showed that LBP knockout mice were resistant to endotoxemia, another study did not confirm an important role for LBP in the response of mice challenged in vivo with low doses of LPS. Consequently, we generated rat mAbs to murine LBP to investigate further the contribution of LBP in experimental endotoxemia. Three classes of mAbs were obtained. Class 1 mAbs blocked the binding of LPS to LBP; class 2 mAbs blocked the binding of LPS/LBP complexes to CD14; class 3 mAbs bound LBP but did not suppress LBP activity. In vivo, class 1 and class 2 mAbs suppressed LPS-induced TNF production and protected mice from lethal endotoxemia. These results show that the neutralization of LBP accomplished by blocking either the binding of LPS to LBP or the binding of LPS/LBP complexes to CD14 protects the host from LPS-induced toxicity, confirming that LBP is a critical component of innate immunity.