956 resultados para Bauerle, William
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from William Tilney's anthology
El lenguaje vectorial en geometría : los pioneros William Rowan Hamilton y Herman Günther Grassmann.
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Resumen del autor. Este artículo pertenece a un número en homenaje a Gonzalo Sánchez Vázquez
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Se compara la diferencias que presenta el texto original del soneto XVII de Shakespeare y las diversas traducciones al español, señalando el escaso acierto a la hora de traducir la rica gama de significados y matices del poema original.
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El pensador y economista británico Sir William Beveridge, visitó la Faculta de Ciencias Políticas y Económicas de la Universidad Central, con motivo de la inauguración de la Cátedra de Seguridad Social y pronunció un discurso sobre 'Seguridad Social' y 'La ocupación total en una sociedad libre'. En cuanto al primero de los temas, se refirió a la seguridad de los individuos fomentada por el Estado frente a los riesgos que pudieran sobrevenirles, incluso cuando la situación de la sociedad fuera satisfactoria. Comentó el Plan de Seguridad Social que elevó al gobierno británico en 1942, mediante el cual, todos los ciudadanos quedaban protegidos garantizándoles una renta suficiente para atender su subsistencia cuando sus ingresos se interrumpieran. Este plan podría ser aplicable a cualquier país, pero adaptándolo a las propias características del mismo y a sus necesidades. En cuanto a la ocupación de los ciudadanos para asegurar una sociedad libre, precisaba el economista que era necesario que existieran y se ocuparan tantos trabajos como hombres y mujeres disponibles y en edad de trabajar con el fin de desarrollar un sociedad en la que sus ciudadanos pudieran tener una vida plena.
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Le silence est une composante fondamentale de la création artistique, aussi bien dans le domaine musical qu’au cinéma. La notion de silence atteint toutefois un espace limite dans le domaine littéraire, comme le note Gilles Deleuze en évoquant le « silence dans les mots », la « limite asyntaxique » qui n’est pas « extérieure au langage » dans la poésie d’Antonin Artaud ; cette même notion devenant plus problématique encore dans le domaine de l’autobiographie, traditionnellement informative. Nous posons tout d’abord la question de savoir comment l’auteur, se racontant lui-même, sa vie, son parcours, peut choisir de ne donner à lire qu’un silence plus ou moins long, et sembler ainsi renoncer à sa tâche, pour ensuite étudier le poème « Agrippa—A Book of the Dead » (1992) de l’écrivain américain William Gibson (né en 1948). Inspiré par la découverte d’un album de photos appartenant à son père, l’auteur y évoque les souvenirs de son enfance en Virginie. La singularité d’« Agrippa » réside surtout dans les mécanismes mis en oeuvre lors de sa lecture : à l’origine seulement disponible sur disquette, un programme d’ « encryption » ou « bombe logique » efface le texte au fur et à mesure que l’ordinateur le déchiffre, afin de n’être lu qu’une fois seulement, laissant la place au vide, au silence. Nous proposons ici d’étudier le poème « Agrippa » en démontrant comment la disparition progressive du texte a, dans le travail d’écriture de Gibson, une portée originale. L’objectif de l’étude est de montrer que Gibson se sert du poème pour proposer une révolution littéraire où l’art « quitte le cadre », où « le mot écrit quitte la page » de façon concrète et effective pour soumettre au lecteur un questionnement, esthétique, philosophique, voire théologique fécond – Maurice Blanchot arguant que Dieu communique « seulement par son silence ».