999 resultados para köyhäinhoito - lapset - 1920-luku - 1930-luku
Resumo:
Quan Miguel Primo de Rivera va pujar al poder l’any 1923, una de les primeres accions que va portar a terme fou la imposició de la censura en la premsa, tant pel que fa a les publicacions periòdiques com als llibres. A la pràctica, però, l’impacte d’aquesta censura en l’edició de llibres va ser força reduït: de fet, durant els anys que va durar el directori el món editorial va viure un creixement considerable, tant pel que fa als volums editats (originals i traduïts) com al nombre de segells editorials. Amb aquest treball em proposo construir una base de dades que inclogui totes les traduccions publicades a Catalunya de 1923 a 1930 a partir de la qual em sigui possible valorar diversos aspectes relacionats amb l’activitat traductora durant la dictadura de Primo de Rivera (per exemple, les matèries i llengües més traduïdes, el perfil dels traductors més actius o les editorials i col•leccions més actives en la traducció).
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Le but principal de ce travail est de comparer les idées sur la langue et sur la linguistique a l'intérieur de deux processus de « construction de monde », à savoir le réagencement de l'Europe après la Première guerre mondiale et la création du monde nouveau voulu par l'Union soviétique. La comparaison est rendue pertinente par le fait que ces deux « constructions de monde » eurent lieu dans des atmosphères idéologiques opposées, puisque la Première guerre mondiale et la révolution bolchevique s'opposent radicalement en représentant, respectivement, le triomphe des nations et celui de l'internationalisme de classe. La comparaison se fera aussi à l'intérieur de l'Union soviétique, puisque l'internationalisme des années 1920 laissera la place dans les années 1930 et jusqu'à la mort de Staline en 1953 à un nationalisme soviétique représenté par la métaphore de la « citadelle assiégée ». L'hypothèse du travail est la suivante : la façon d'utiliser les faits de langue et la linguistique, et la façon de considérer l'objet-langue dans un processus de construction étatique dépendent de l'atmosphère idéologique à l'intérieur de laquelle cette utilisation a lieu. Dans la première partie, nous analysons les idées de trois linguistes professionnels (Antoine Meillet, Aleksandar Belic et Jordan Ivanov) relatives au réagencement de l'Europe après la guerre. De l'analyse de ces trois corpus de textes ressortira une espèce de contradiction, puisque ces linguistes qui, au début du XXème siècle, entendaient user de la science linguistique pour asseoir sur des bases solides la nouvelle Europe, le firent avec une « conscience linguistique » d'inspiration romantique, tout droit sortie du XIXeme siècle. La nécessité de proposer pour l'Europe une solution pratique et durable a très certainement amené ces linguistes à privilégier, peut-être inconsciemment, des théories linguistiques certes dépassées, mais qui avaient l'avantage de considérer les langues comme des objets discontinus et homogènes. Dans notre deuxième partie consacrée à l'Union soviétique, nous analysons des textes (d'auteurs parfois méconnus) traitant de ce que nous avons appelé la « révolution en langue » : partant du principe que le monde nouveau de la dictature du prolétariat allait être totalement différent du monde que l'on avait connu précédemment, certains auteurs des années 1920 furent convaincus que ce monde nouveau allait avoir besoin d'une langue nouvelle. Mais au lieu d'attendre que cette langue nouvelle apparaisse spontanément, par évolution, certains proposèrent d'introduire consciemment dans la langue, par révolution, les changements selon eux nécessaires pour que la langue corresponde aux nouveaux besoins. Dans ce contexte, l'objet-langue est considéré comme un simple outil de communication qu'il est possible de modifier à sa guise, et la linguistique comme une discipline technique. Cette idée de changer la langue disparaîtra de l'URSS des années 1930, avec le passage vers le nationalisme soviétique. A la place, on préférera rappeler que les langues ne peuvent évoluer que par évolution, que l'on ne peut pas changer la langue, que l'on ne peut pas créer une langue selon notre volonté. Dans le contexte de la « citadelle assiégée », la langue russe deviendra le signe distinctif de l'Union soviétique qu'il sera impossible de toucher et de modifier. La langue n'est plus un outil, elle est désormais un symbole. Avec la comparaison de ces deux situations particulières (trois si l'on distingue les deux atmosphères de l'URSS), nous pensons avoir montré que l'apparition de certaines idées sur la langue et sur la linguistique est liée au contexte et aux besoins.
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Aquesta investigació és un primer pas per a una anàlisi del paper de la traducció en la construcció de la imatge de l'Altre japonès. Aquesta tesina consta d'un corpus de literatura japonesa traduïda a Espanya entre el 1930 i el 2005, incloent els gèneres d'assaig i tècnico-científics, i una anàlisi de les dades principalment quantitativa. S'analitza el tipus de traducció (directa o indirecta) de forma diacrònica i per gèneres, i també la selecció temàtica per observar si es tendeix a l'"exotisme", així com la utilitat dels paratextos per a aconseguir informació sobre el procés traductor
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Résumé : Nous nous proposons de suivre l'emploi et les réflexions autour du concept de «minorité linguistique» dans les travaux des linguistes soviétiques des années 1920-1930. L'État soviétique ne s'est pas uniquement formé suivant un principe terri-torial et géographique mais aussi selon un principe ethno-culturel. Dans les années 1920, nombre de linguistes ont participé aux recensements ethniques et linguis-tiques. Ils ont joué un rôle important dans la réalisation du premier recensement soviétique de 1926, en élaborant la nomenclature des ethnies d'Union soviétique et en les distinguant en différentes catégories (nation, peuple, ethnie, minorité linguis-tique) qui furent ensuite utilisées par les dirigeants dans l'organisation administra-tive de l'État. Nous nous arrêterons sur l'instrumentalisation du concept de «minorité linguistique», qui devient un objet de discours, et sur l'idée de mettre sur pied une politique linguistique en matière de minorités.
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Trypanosoma rangeli, a parasite generally considered non-pathogenic for man, is the second species of human trypanosome to be reported from the New World. The geographical distribution of T. rangeli often overlaps with that of T. cruzi, the same vertebrate and invertebrate hosts being infected. Their differentiation thus becomes of real, practical importance, particularly as they share approximately half the antigenic determinants recognized by the humoral response. Little is known about the life cycle of T. rangeli in the vertebrate host, although thousands of human and wild animal infections have been reported. Recent studies have revealed 2 major phylogenetic lineages in T. rangeli having different characteristics, thus leading to better understanding of the epidemiology and interactions with this parasite's vertebrate hosts and triatomine vectors. Based on further genetic characterization analysis, the authors have proposed 2 alternative hypotheses and consider that T. rangeli could have had clonal evolution or have been subjected to speciation processes.
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The aim of this work was to identify and report the occurrence of Trypanosoma rangeli and Trypanosoma cruzi in naturally infected Rhodnius nasutus (Hemiptera, Reduviidae, Triatominae) in the state of Ceará, Brazil. Triatomines feces, salivary glands, and hemolymph were collected for fresh examination, and specific detection of T. rangeli and T. cruzi DNA by polymerase chain reaction was carried out. The specific characterization of these two parasites showed the simultaneous presence of both parasites in two (7.7%) of the 26 positive insects. Our results provide further knowledge on the geographical distribution of T. rangeli in Brazil.
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Durant la primera meitat del segle XX, el nivell de vida i les condicions de treball de molts sectors pagesos varen deteriorar-se. La imatge més contundent d'aquest deteriorament es troba en el contlicte que esclatà durant els anys trenta, a recés d'unes condicions polítiques oberturistes i esperonat per una depressió económica mundial
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L'ouvrage se propose de faire connaître l'héritage théorique du linguiste soviétique Evgenij Dmitrievic Polivanov (1891-1938), sociolinguiste, phonologue, spécialiste de poésie et de dialectologie, un des principaux acteurs de l'« édification linguistique » en URSS. Accompagné d'une présentation et de commentaires, ce choix de textes offre une nouvelle clé de lecture pour comprendre la politique linguistique en Union soviétique dans les années 1920-1930. Derrière des initiatives souvent présentées comme politiques, on redécouvre les idées de Polivanov sur le rapport entre langue et société, entre dialecte et langue normée, entre alphabet et politique, entre marxisme et linguistique. La préface d'Elena Simonato rappelle le contexte historique et épistémologique dans lequel est née la « linguistique marxiste » de Polivanov. Suivent quatre textes en version bilingue. Le lecteur y découvrira une pensée d'une grande modernité. L'oeuvre de Polivanov constitue la base des idées du Cercle de Prague et de l'école linguistique de Leningrad, à la source de deux disciplines qui ont marqué le xxe siècle : la phonologie et la sociolinguistique
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 57513
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Référence bibliographique : Rol, 57559