995 resultados para Willette, Adolphe, 1857-1926.


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Depuis deux siècles, les transformations les plus remarquables du phénomène du suicide concernent la relation avec la variable âge. En effet, le suicide a longtemps progressé avec l'âge pour culminer à la vieillesse, mais le dernier quart de siècle au Québec a vu ce rapport modifié, suggérant qu'il s'agit désormais d'un phénomène de jeunes. Notre étude examine les tendances récentes de l'évolution de la mortalité par suicide au Québec du point de vue de l'âge, discute des effets respectifs possibles de l'âge, de la période et de la génération de 1926 à 2004 et offre des pistes d'interprétation sociologique. Nous présentons dans un premier temps les transformations de la société québécoise depuis 1930 ainsi qu'un bilan synthétique des connaissances sur le suicide au Québec par rapport aux tendances internationales, ceci du point de vue de différentes variables sociodémographiques. Notre étude rappelle ensuite les grandes théories et idées sur le suicide, de la littérature classique aux réflexions contemporaines. On y remarque que la variable âge est rarement au coeur de ces conceptions, mais plutôt en marge de celles-ci, médiatisées par d'autres variables sociales. Les résultats de notre analyse montrent la présence d'un net effet de génération dans l'évolution de la mortalité masculine due au suicide au Québec. Ce phénomène n'est pas présent chez les femmes. Les générations récentes adoptent toutefois un comportement différent de celles des baby-boomers et il sera intéressant de suivre leur trajectoire dans l'avenir.

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La France est souvent perçue comme la principale garante du traité de Versailles. Le révisionnisme français envers l’ordre établi par le traité, contrairement au même courant chez les responsables allemands, est un sujet peu étudié. Il a été abordé par quelques auteurs, tels George-Henri Soutou et Stanislas Jeannesson, mais la question mérite davantage d’élaboration. Grâce à l’analyse de la presse française, ce mémoire vérifie l’existence d’une volonté de rendre le traité de paix plus favorable à la France. Une Machtpolitik ainsi qu’un révisionnisme français sont apparents de 1919 à 1923 avec, comme zénith, l’occupation de la Ruhr. Les années suivantes virent la situation de la France se détériorer sur les plans politique, économique et diplomatique. La dégradation de sa posture inclina la France à se tourner vers une conciliation qui émanait de l’esprit du traité de Versailles. La couverture de l’actualité internationale de trois journaux français (Le Temps, L’Action française et L’Humanité) avant et après l’invasion de la Ruhr est analysée. On constate l’existence d’un révisionnisme français qui mène, après son échec en 1924, à un recentrage de la politique allemande de la France. En liant la perception des différents journaux à leur idéologie, nous avons aussi expliqué les variations dans leurs analyses des mêmes événements. L’étude de la presse, conjuguée aux sources secondaires, révèle un discours teinté d’une volonté révisionniste. Elle porte à croire, aussi, que le traité de Versailles ne fut réellement défendu en France qu’après l’échec de la politique de puissance et du révisionnisme français.

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Silence et soumission aux valeurs patriarcales dominantes : ainsi peut être brossée dans son ensemble et sans pour autant la déformer l’image de la condition féminine encore pleinement opérante à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle en France. La femme, ouvrière, bourgeoise ou noble, est destinée à la maternité, et ses désirs sont méprisés au profit de ceux de son (futur) époux. En littérature cependant, à partir de Madame Bovary (1857) et parallèlement à la montée timide du féminisme, apparaissent plusieurs figures féminines éminemment tragiques qui contestent la condition féminine. Louise Marles, Véronique Cheminot, Mouchette et Thérèse Desqueyroux – et tant d’autres encore… – sont autant de (jeunes) personnages féminins qui rejettent plus ou moins violemment la mise sous tutelle de la femme et l’impossibilité d’avoir un statut social et juridique accepté en dehors du mariage. Pourtant, parce qu’en ces figures de femme – et souvent malgré elles – refuse de se taire une torturante aspiration à la liberté, elles sont fatalement vouées à la folie et à la mort, deviennent prostituées, criminelles, internées ou suicidaires, voire les quatre. Selon nous, la folie est l’état dans lequel ces personnages féminins s’enlisent car ils remettent profondément en question les valeurs établies par des hommes et pour des hommes. Nous pensons que la folie est le moyen littéraire utilisé par les écrivains pour montrer l’ampleur de leur souffrance existentielle et son unique langage possible ; en ce sens, la folie serait la représentation extérieure d’une écrasante souffrance morale et psychologique. Enfin, la possession diabolique est une autre cause portée par Bernanos pour répondre à la question de la folie des femmes. Notre étude portera sur quatre figures tragiques de personnages féminins imaginées par quatre écrivains catholiques : Louise dans En rade (Huysmans, 1887), Véronique dans Le Désespéré (Léon Bloy, 1887), Mouchette dans Sous le soleil de Satan (Bernanos, 1926) et Thérèse Desqueyroux dans le roman éponyme de Mauriac (1927).

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Dar una visión de la Sociedad de Amigos del País de Málaga y las actividades que llevan a cabo durante los años 1906-1926 y su repercusión en la vida social y cultural. Elaborar un marco referencial histórico-pedagógico y descubrir si esta sociedad hizo de la educación el instrumento de la reforma para solucionar los males del país. Se aborda y se analiza la sociedad española del siglo XVIII, que hace que nazcan las Sociedades Económicas de Amigos del País. Elaborar un marco histórico-pedagógico en la sociedad malagueña de esta época y la necesidad de crear una sociedad económica. Documentos de archivo, legajos, boletínes, actas y otros documentos escritos. Deducción y análisis de las estructuras y de la organización del tema objeto de estudio. El estudio de las Sociedades Económicas de Amigos del País han permitido el conocimiento de una serie de hechos: su nacimiento surge como portavoz a las ideas del gobierno; su finalidad es el desarrollo de la agricultura, comercio y la insustria, así como el fomento de las ideas ilustradas; su trayectoria fue irregular, ya que varias veces desaparecen para aparecer más tarde; y la finaciación era a través de cuotas de los socios. En Málaga, nace como iniciativa gubernamental con las características ya descritas. Se dan clases gratuitas y se establece un cuadro de asignaturas, profesorado, etc. Realizan actividades culturales para el beneficio de la juventud malagueña y destacó la figura de D. Pedro Gómez Chaix, autor de la construcción del barrio obrero América, así como del Ateneo Comercial, la Biblioteca Popular, etc..

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Esta comunicación, presentada en el XV Congreso de Historia de la Educación celebrado en Pamplona, en julio de 2009, ofrece un acercamiento al papel desempeñado por los maestros de la primera infancia desde mediados del siglo XIX hasta 1970. Se analizan los cambios surgidos en la formación inicial, el grado de especialización alcanzado, y cuáles han sido los criterios y mecanismos de selección y acceso a la profesión hasta la plena especialización marcada por la Ley General de Educación de 1970.

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El estudio de la estructura administrativa de la provincia de Bogotá en el siglo IX es importante por cuanto se muestra por primera vez cuales fueron los primeros entes administrativos que se crearon durante este periodo, fundamentalmente durante la vigencia de la constitución de 1832. El régimen territorial de las provincias se dividió a su vez en cantones y éstos, en distritos parroquiales.

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“Perseguir el vicio y amparar la virtud”: Prostitución, lujuria y control en Pereira 1857-1907 examina los distintos estereotipos, discursos, mecanismos políticos y dispositivos establecidos con el fin de controlar los discursos de género, específicamente, aquellos alrededor de la prostitución en el Distrito de Pereira en el período de 1857 a 1907. Políticas públicas, diarios de viajeros, prensa local, estudios médicos y otros documentos son usados para argumentar que a finales del siglo XIX y principios del XX el establecimiento de controles sobre el género, la sexualidad y la prostitución fueron uno de los aspectos centrales en la constitución sociopolítica de la ciudad de Pereira. “Perseguir el vicio y amparar la virtud”: Prostitución, lujuria y control en Pereira 1857-1907 recalca la importancia de investigar la relación entre el control de la sexualidad y la implantación de los mecanismos y tecnologías del Estado-Nación. Valiéndose de las perspectivas de la antropología histórica y del género, esta investigación provee un acercamiento que permite comprender cómo el Estado utilizó las políticas de control sobre la sexualidad, la prostitución y la lujuria en como vías de implantación de mecanismos de normalización y vigilancia sobre la población de la naciente ciudad de Pereira.

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Se re??ne la escasa informaci??n disponible sobre la educaci??n en el municipio de Algaida en la primera mitad del siglo XIX haciendo especial incidencia sobre la evoluci??n de las escuelas y la escolarizaci??n. Por una parte se detalla la situaci??n entre 1783 y 1833, cuando la educaci??n primaria se encontraba en manos de cl??rigos y maestras solteras, y por otro, el periodo de normalizaci??n de la escolarizaci??n, entre 1833 y 1857. Entre otras cuestiones se recoge la figura de Joan Antoni Mulet Munar, que fue alumno en la Escuela Normal de Maestros de Palma y maestro de la escuela de ni??os a partir de 1852, cuando Margalida Tom??s abandonaba la escuela de ni??as en la que hab??a trabajado como maestra desde 1830, y se incorporaba en su puesto Esperan??a Rossell??, sustitu??da posteriormente por Francisca Mas Rigo. Finalmente se comenta la situaci??n de las escuelas de Pina y Randa.

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Durante el siglo XIX y principios del XX se puede decir que no hab??a en Mallorca ning??n edificio escolar. Las escuelas p??blicas, unitarias casi todas, se encontraban en casas particulares o en otros locales alquilados, incluso pisos, sin las condiciones sanitarias m??nimas. Pero se observa una preocupaci??n por la mejora de la ense??anza primaria, la creaci??n de las escuelas normales y la construcci??n de edificios escolares, que en muchas ocasiones asumen las administraciones locales, aunque ello exige gastos considerables que no constituyen prioridades pol??ticas por lo que con frecuencia se habilitan edificios preexistentes. La tarea de construcci??n de las escuelas, promovida y dirigida por el inspector de Primera Ense??anza Joan Cap?? y por el arquitecto Guillem Forteza, y ejecutada entre 1924 y 1936, supuso la institucionalizaci??n de los edificios escolares. Se detalla y analiza el proceso de construcci??n de una escuela a partir de la documentaci??n referente al municipio de Algaida.

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Revisar la progresiva consolidación de la reforma educativa liberal-burguesa en el estado español. Desentrañar el papel que jugaron los planteamientos, ideas y propuestas liberales en la construcción del sistema escolar. Se sabe que para muchos la educación debía ser un elemento de control social, instrumento político; hecho que generaba conflicto desde el poder y desde la oposición. De todas formas, los planteamientos educativos ideados para incidir en la sociedad y amoldarla según el nuevo modelo de convivencia, no siempre llegaron a la realidad educativa y si lo hicieron fue de manera muy localizada. Planteamientos educativos liberales, especialmente los dedicados a la primera enseñanza y a la formación de maestros. La enseñanza secundaria o intermedia y la universitaria no se tratan en profundidad, tan sólo como elementos implicados en la construcción del conjunto del sistema educativo y como elementos imprescindibles para completar el análisis globalizador de la época estudiada. Tras analizar el contexto socio-político y cultural englobado entre los años 1833 y 1857, se plantea la concepción educativa de los liberales (moderados y progresistas), diferenciando dos etapas: del 33 al 45 y del 45 al 57. En ambas se tratan tres niveles: el social (control ideológico de la educación, etc.), el de la teoría de la educación (pedagogos, teóricos de la educación, políticos, etc. más significativos) y el escolar (instituciones educativas, castellanización, etc.). Por último se revisa el significado de la Reforma Moyano en la construcción del sistema escolar como culminación de la primera gran etapa del reformismo liberal. Revisión documental. Metodología histórica, 'síntesis' basada en aportaciones interdisciplinares. Para ordenar la complejidad de ideas, planteamientos y hechos analizados se han tenido presentes una serie de niveles: 1. Nivel político-ideológico. 2. Nivel político-jurídico y normativo. 3. Nivel de planteamientos educativos no estrictamente oficiales, desde el punto de vista social. 4. Nivel de planteamientos teóricos presentados por diversos autores significativos en la época estudiada, sin limitarse a los eminentemente liberales, incidieran o no directamente en la institucionalización del sistema escolar. 5. Nivel de institucionalización y praxis del sistema escolar. 6. Nivel perspectivo en que se realizaban los planteamientos educativos para conseguir una operatividad a largo plazo, tanto oficial como no oficial. Los liberales consideraron la educación como un elemento de control, estabilidad social y progreso. Se pretendía conseguir un estado fuerte y un mercado interior unificado. Siguieron el modelo francés de planificación educativa. Aunque valoraran más la secundaria y la universidad, su pretensión era generalizar la primaria; no se consiguió por falta de condiciones materiales y humanas. Los liberales más consecuentes pensaban que la centralización debía ser momentánea. Los moderados en el poder consolidaron la política educativa anterior, con mentalidad centralista, uniformadora y jerarquizante. Se cedió ante las presiones inspectoras de la iglesia por lo que la secularización, pretendida por los progresistas, resultó muy parcial. Los principales ideólogos del estado español, liberales o socialistas utópicos, se consideraban cristianos avanzados a pesar de criticar a la iglesia como institución. Montesino introdujo la educación integral aunque sólo fuera en el ámbito teórico. Monlau introdujo el concepto de educación popular. Lista distinguía entre privada, para ricos y dirigentes, y pública, para pobres. Esta dicotomía entre escuela estatal y escuela privada quedó consolidada por el principio de libertad de enseñanza y de creación de centros. Otros autores importantes fueron: Monturiol, de la Sagra, Figuerola, Avendaño, Carderera, Gil de Zárate,... En 1849 se creó la inspección de instrucción primaria, herramienta de control y vigilancia por parte del estado. Muchos maestros ejercían sin título, las escuelas normales eran insuficientes. Las publicaciones periódicas dedicadas a los niños (Minerva de la juventud, Museo de las familias, etc.) proliferaban; permitían incidir en la moral de los futuros ciudadanos, informar a los profesionales de los planteamientos oficiales y de las líneas pedagógicas que se iban introduciendo. Algunos literatos significativos como Aribau, Larra, etc. transmitieron un mensaje pedagógico claro. Para ellos, la ignorancia generaba desigualdad, dificultaba la democracia y soberanía popular. La castellanización o aculturación se utilizó para la transmisión ideológica; el castellano se consideraba signo de poder, cultura y ciencia. Los cambios, lentos y no generalizados, se hicieron desde planteamientos moderados. Los libros de texto solían reeditarse sin aportaciones novedosas, reproduciendo la moral anterior más que la nueva mentalidad burguesa. La ley Moyano implantó los niveles educativos desde primaria hasta la universidad; no obstante, la burguesía no supo aprovechar esta herramienta de poder, de control social. La escuela obligatoria no se llegó a impulsar convenientemente, es más, se convirtió en una fuente de lucha y control político (reflejo de la dinámica socio-política del momento). Además, el control eclesiástico sobre el sistema educativo impidió su secularización. La no-generalización de la primaria así como la libertad de educación facilitaron este proceso. El estado consiguió una escuela burocratizada, funcionarial. La reforma moderada estructuró la desigualdad educativa, la jerarquización, el populismo paternalista; en definitiva, unos intereses poco populares al servicio de la diferenciación de clases, en un ambiente facilitador del individualismo pedagógico y social. Las instituciones no acabaron de responder a la necesidad de democratización del sistema educativo y al utilitarismo necesario que demandaba la sociedad. El marco legal del sistema educativo escolar, cualquier intento de reforma, choca siempre con las fuerzas conservadoras y reaccionarias.