633 resultados para Biographies
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[Notice biographique. Hassan Ali Khan Kéboudvendi (français). 1861]
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The St. Catharines and District Council of Women was founded in 1918 and elected as its first president, Mary Malcolmson. In 1910 Mrs. Malcolmson founded North America’s first Girl Guide Association in St. Catharines. The aim of the organization was to work for the betterment of conditions pertaining to the family, community and state. The Council is an umbrella group for various women’s organizations in the area and functions at the provincial, national and international levels and is associated with the United Nations. In the early years the National Council brought in the Victorian Order of Nurses (VON) and started the Women’s Canadian Club. The St. Catharines Council initiated Child Welfare Centres in local churches that grew into the Well Baby Clinics. Women were encouraged to take political office and join committees with much success. In 1929, “Shop at Home” exhibition became an annual event highlighting the services of local merchants. Money raised by the Council was donated to local charities and in 1930 the Council assisted the local Armenian community in building the first Armenian Church in Canada. In 1932 the Council started the Maternal Welfare programme in which Mothers’ Meetings were held weekly with various speakers from the Public Health Department. In 1975 to celebrate International Women’s Year and the 1976 Centennial of the City of St. Catharines, the group sponsored the book Women of Action, 1876-1976, written by two of its members, Lily M. Bell and Kathleen E. Bray. Some time after 1976 the name of the organization changed from St. Catharines Local Council of Women to St. Catharines and District Council of Women. Today the organization functions as an advocacy and educational group.
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The site of present-day St. Catharines was settled by 3000 United Empire Loyalists at the end of the 18th century. From 1790, the settlement (then known as "The Twelve") grew as an agricultural community. St. Catharines was once referred to Shipman's Corners after Paul Shipman, owner of a tavern that was an important stagecoach transfer point. In 1815, leading businessman William Hamilton Merritt abandoned his wharf at Queenston and set up another at Shipman's Corners. He became involved in the construction and operation of several lumber and gristmills along Twelve Mile Creek. Shipman's Corners soon became the principal milling site of the eastern Niagara Peninsula. At about the same time, Merritt began to develop the salt springs that were discovered along the river which subsequently gave the village a reputation as a health resort. By this time St. Catharines was the official name of the village; the origin of the name remains obscure, but is thought to be named after Catharine Askin Robertson Hamilton, wife of the Hon. Robert Hamilton, a prominent businessman. Merritt devised a canal scheme from Lake Erie to Lake Ontario that would provide a more reliable water supply for the mills while at the same time function as a canal. He formed the Welland Canal Company, and construction took place from 1824 to 1829. The canal and the mills made St. Catharines the most important industrial centre in Niagara. By 1845, St. Catharines was incorporated as a town, with the town limits extending in 1854. Administrative and political functions were added to St. Catharines in 1862 when it became the county seat of Lincoln. In 1871, construction began on the third Welland Canal, which attracted additional population to the town. As a consequence of continual growth, the town limits were again extended. St. Catharines attained city status in 1876 with its larger population and area. Manufacturing became increasingly important in St. Catharines in the early 1900s with the abundance of hydro-electric power, and its location on important land and water routes. The large increase in population after the 1900s was mainly due to the continued industrialization and urbanization of the northern part of the city and the related expansion of business activity. The fourth Welland Canal was opened in 1932 as the third canal could no longer accommodate the larger ships. The post war years and the automobile brought great change to the urban form of St. Catharines. St. Catharines began to spread its boundaries in all directions with land being added five times during the 1950s. The Town of Merritton, Village of Port Dalhousie and Grantham Township were all incorporated as part of St. Catharines in 1961. In 1970 the Province of Ontario implemented a regional approach to deal with such issues as planning, pollution, transportation and services. As a result, Louth Township on the west side of the city was amalgamated, extending the city's boundary to Fifteen Mile Creek. With its current population of 131,989, St. Catharines has become the dominant centre of the Niagara region. Source: City of St. Catharines website http://www.stcatharines.ca/en/governin/HistoryOfTheCity.asp (January 27, 2011)
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Au moment où les territoires périurbains se transforment rapidement sous l’impulsion des stratégies de développement de l’industrie immobilière, les préoccupations sociales en matière de qualité des paysages et des cadres de vie se font de plus en plus grandes. Devant ces enjeux, les actions aménagistes privilégient le plus souvent des solutions à partir d’un regard « expert » généralement étranger aux demandes sociales en présence. Devant l’insuffisance des connaissances des regards citoyens, il y a une urgence à développer des méthodes originales aptes à révéler ce savoir local. Une enquête menée à l’automne 2009 à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, révèle la pertinence d’une approche anthropologique sous-utilisée et novatrice en particulier pour les recherches en aménagement : celle du « récit-parcours ». Permettant un accès privilégié aux récits ancrés aux lieux de vies, cette méthode a permis de susciter des discours singuliers et collectifs sur le territoire, de révéler des propos sur les imaginaires portés sur la ville et d’offrir un espace d’expression des préoccupations, des valorisations et des aspirations des résidants. Les résultats de l’enquête à cet effet sont concluants : ce que nous révèlent les résidants de par leurs expériences vécues des lieux et leurs cheminements spatiaux est incontestablement riche et pertinent pour la compréhension des enjeux collectifs d’un milieu. Les logiques existantes derrière les transformations de ces territoires bénéficieraient grandement de ce savoir localisé, complexe et ingénieux dont dispose les résidants de la géographie, de l’environnement, de l’urbanisation et des caractéristiques sociales de leur ville. Ce faisant, le territoire change alors de statut : d’un objet d’évaluation experte, il devient une mise en scène dynamique où s’inscrivent des fragments significatifs d’histoires faisant référence à l’expérience du vécu quotidien, mais aussi, à la potentialité des lieux. Par le biais d’une telle démarche et en conjonction avec des méthodes participatives, il devient possible d’engager une véritable réflexion plurielle envers l’avenir des territoires périurbains, en résonance avec les aspirations locales.
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Comme son titre l’indique, ce mémoire a pour objet une réflexion sur la mise en récit d’un personnage historique. Afin d’explorer l’évolution des points de vue sur un personnage historique (Maurice Duplessis) et l’époque à laquelle il est rattaché dans la mémoire collective (la Grande noirceur), ce travail s’appuiera sur la théorie de la biographie de François Dosse (Le pari biographique) ainsi que sur les mises en récit et le discours de trois auteurs différents. La première biographie analysée sera Maurice Duplessis et son temps, récit historique romancé et admiratif d’une figure quasi royale, écrit par Robert Rumilly, historien royaliste et disciple de Charles Maurras. La seconde biographie analysée sera Duplessis, le grand récit épique d’un conservateur illustre, écrit par Conrad Black, homme d’affaires et historien de sensibilité conservatrice. Finalement, la troisième biographie analysée sera la série télévisée Duplessis, écrite par Denys Arcand, présentant Duplessis comme l’incarnation tragique et séguiniste de la nation canadienne-française, lucide et désabusé par rapport à l’impasse historico-politique de son peuple. Pour compléter l’analyse, ce mémoire s’appuiera aussi sur la théorie de l’identité narrative de Paul Ricœur dans Soi-même comme un autre, Temps et récit et La mémoire, l’histoire, l’oubli, et sur la mise en récit et l’écriture même de l’histoire étudiée par Michel de Certeau dans L’écriture de l’histoire. À travers l’analyse de ces trois biographies, ce mémoire tentera de montrer l’évolution du rapport à la mémoire collective et les distinctions entre l’Histoire et la fiction.
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En 1683, la monarchie française expédie en Nouvelle-France trois compagnies d’infanterie de la Marine afin de mettre un terme à la guerre contre les Iroquois qui menace la colonie sous juridiction de la Marine. Ce premier contingent se montrant incapable de mater l’ennemi, le roi envoie d’autres compagnies dirigées par des officiers qui détiennent soit une expérience dans le service de la Marine ou dans les régiments d’infanterie. La guerre dorénavant ouverte avec les colonies britanniques, force l’enracinement de ce corps d’armée au Canada. Les administrateurs vont l’appeler troupes de la Marine. Un autre facteur d’enracinement est la permission que les autorités royales accordent aux nobles de la colonie canadienne de s’engager dans le corps d’officiers. Les Canadiens y deviennent majoritaires quelques décennies plus tard. Plusieurs de ces officiers, notamment nés en colonie ont fait l’objet de biographies. Quelques études se sont penchées sur le corps d’officiers en tant qu’acteur social. Cependant, l’ensemble de la carrière militaire d’un officier des troupes de la Marine en Nouvelle-France n’a jamais été abordé. Les capitaines, étant parvenus au sommet de la hiérarchie des troupes de la Marine avant 1739, constituent le sujet de cette recherche. Ce sera donc les grandes étapes de leur expérience militaire coloniale que l’on tentera d’approfondir tout en prenant en considération le lieu de naissance de l’officier, ce qui nous permet dégager certaines tendances relatives à la carrière d’officiers militaires dans la société d’Ancien Régime.
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Ce mémoire propose un regard transdisciplinaire : historique, sociologique et musical sur Harmonium, un groupe culte de folk-rock progressif québécois des années 1970. Y sont étudiées la révolution musicale engendrée par l’arrivée du folk et du rock progressif au Québec ainsi que la mise en récit de l’œuvre et de l’histoire d’Harmonium. Les œuvres du groupe, les sources écrites d’époque (articles de journaux et de revues), l’histoire documentaire et l’histoire et la mémoire publiques y sont confrontées pour analyser les processus narratifs. D’abord, l’essor du groupe est situé dans les transformations de la scène musicale québécoise au cours des années 1960-1970. L’histoire d’Harmonium, entre 1972 et 1978, est ensuite reconstituée au travers des sources d’époque, articles scientifiques et biographies. Par la suite, les caractéristiques musicales des œuvres ainsi que les thèmes, valeurs et messages véhiculés par le groupe sont examinés. L’essor et le succès d’Harmonium sont ainsi réinterprétés au travers du développement de la scène musicale progressive internationale et de la popularisation de la contre-culture. Finalement, en regard de l’ambiguïté politique d’Harmonium dans les sources historiques, la prédominance des réinterprétations néonationalistes de son œuvre et de son histoire sont analysées selon un processus de mise en récit de l’histoire nationale. Il en ressort que la narration prédominante au sein de l’histoire et de la mémoire publiques semble assimiler le destin des artistes québécois à celui du peuple et de la nation. Dans le cas d’Harmonium, ce récit qui s’appuie principalement sur le nationalisme de Serge Fiori, la figure de proue du groupe, contribue à l’occultation du projet artistique spirituel, progressif, contre-culturel et « authentique » du groupe.
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Dans la perspective d’un réexamen du rôle du nom propre dans « le pacte autobiographique », quelle place faire à ces autres noms que sont les toponymes ? Exception faite, bien sûr, de quelques textes canoniques — au premier rang desquels « Noms de pays : le nom » —, qui constituent eux-mêmes des théories littéraires du nom propre, le toponyme, objet privilégié de l’onomastique historique, reste le parent pauvre des études sur le nom propre littéraire, qui ne le retiennent généralement qu’au titre de la mimesis, comme l’un des effets de réel les plus attestables, marqueur d’un espace référentiel soit familier, soit dépaysant. Parallèlement, les études sur le biographique, qu’elles portent sur les biographies, les autobiographies ou les autofictions, s’interrogent moins sur le lieu que sur le milieu ou la famille du sujet dont l’histoire est racontée. [Introduction]
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Cette thèse de doctorat porte sur l’évolution du discours critique et théorique sur le cinéma développé par les écrivains français de l’entre-deux-guerres (1918-1939). À une époque où le cinéma prend de plus en plus de place dans la société, les écrivains s’intéressent à cette nouveauté, y réfléchissent et tentent d’élaborer des canevas à partir desquels peut se former une cinéologie, c’est-à-dire, une écriture sur le cinéma. De très nombreux textes (articles, chroniques, essais, manifestes, préfaces, biographies), issus de publications diverses (revues de cinéma, revues littéraires, revues d’art, presse quotidienne, édition), témoignent de l’engouement pour ce qui sera rapidement présenté comme un art. S’inscrivant dans un vaste réseau de diffusion, ces textes aux prémisses essayistiques laissent une place centrale à la réflexion et sont représentatifs des tendances et des enjeux de l'époque. Ainsi, ils montrent les débats autour de l’acceptation du cinéma comme art tout comme les prises de position au sujet du parlant, ils abordent les relations avec la forme de représentation rivale qu’est le théâtre, ils témoignent de la modernité du nouveau média et en proposent des définitions mettant l’accent sur certains de ses aspects – thématiques (comme le rêve et l’inconscient), pratiques (comme la dépendance vis-à-vis de l’industrie et de la finance) et techniques (comme la photogénie et le rythme). Cette production textuelle doit également être abordée comme une mémoire du cinéma où se côtoient des figures (Charlie Chaplin, Douglas Fairbanks, ou encore Erich von Stroheim) et des films (The Cheat, Le Cabinet du Docteur Caligari, ou Hallelujah!) dont les seules évocations fonctionnent comme des citations et des arguments appuyant les propos. En plus de la richesse des idées proposées, l'étude de la posture, l’analyse des renvois intertextuels et des inventions lexicales montrent que des écrivains comme Louis Aragon, Blaise Cendrars, Pierre Mac Orlan, Jean Prévost ou encore Marcel Pagnol, ont largement contribué à l'élaboration d’un pan du savoir cinématographique et au développement d'un discours qui place l’expérience du cinéma et celle du spectateur au centre des préoccupations cinéphiliques.
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The present study is entitled The Aesthetics of Paul Verlaine and Changampuzha Krishnapillai - a comparative perspective. The purpose of the study is to compare the poetic genius of the French poet Paul Verlaine (1844-1896) and that of the Malayalam poet Changampuzha Krishnapillai (1911-1948), within a descriptive framework. The investigation will hopefully answer the questions- Has Changampuzha been indeed influenced by Verlaine, if so, to what extent? Can the aesthetic appreciation be justified in both poets as illustrated in their works? The comparative methodology of juxtaposing the selected oeuvres of the poets is largely adopted in the study. Since the span of analysis is across national and linguistic borders, the distinguishing as well as exclusive traits of the individual poets will be of much importance in formulating the comparative assumption in this work. The vastly differing geographical, linguistic and cultural milieus of these two poets,-one a national French poet and the other, a regional Indian poet writing in Malayalam prima facie,endow the theme of the dissertation with an innate hue of diversity. Such an ambitious task would naturally entail a renewed research into the dedication of the poets to their muses and their ultimate contributions to poetics. The analysis, while attempting to illuminate from a fresh angle, the amply researched oeuvre of Verlaine and the lesser studied one of Changampuzha, cannot but be aware of the limitations of the task at hand. The present study is the first of its kind on the specific theme of analysis, and is hoped that it would be of relevance since no work has so far been known to have been undertaken on the topic. At a time when the birth centenary celebrations of Changampuzha have just concluded, this study is hoped to assume significance as it would help in isolating the originality of the poet's works, extricating the garb of the French influence. Ultimately, this study aims at creating a wider appreciation of the impact that the French writers have had on Malayalam writers, thus shedding new light on the benign foreign influences that served to enhance the beauty of our cultural heritage