Procédés toponymiques chez Michon, Millet et Bergounioux


Autoria(s): Nardout-Lafarge, Élisabeth
Data(s)

22/01/2016

22/01/2016

2011

Resumo

Dans la perspective d’un réexamen du rôle du nom propre dans « le pacte autobiographique », quelle place faire à ces autres noms que sont les toponymes ? Exception faite, bien sûr, de quelques textes canoniques — au premier rang desquels « Noms de pays : le nom » —, qui constituent eux-mêmes des théories littéraires du nom propre, le toponyme, objet privilégié de l’onomastique historique, reste le parent pauvre des études sur le nom propre littéraire, qui ne le retiennent généralement qu’au titre de la mimesis, comme l’un des effets de réel les plus attestables, marqueur d’un espace référentiel soit familier, soit dépaysant. Parallèlement, les études sur le biographique, qu’elles portent sur les biographies, les autobiographies ou les autofictions, s’interrogent moins sur le lieu que sur le milieu ou la famille du sujet dont l’histoire est racontée. [Introduction]

Identificador

Nardout-Lafarge, Élisabeth, « Procédés toponymiques chez Michon, Millet et Bergounioux », dans Yves Baudelle et Élisabeth Nardout-Lafarge (dir.), Nom propre et écritures de soi, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 2011, p. 122-135.

http://hdl.handle.net/1866/12950

Idioma(s)

fr

Publicador

Les Presses de l’Université de Montréal

Palavras-Chave #Toponymie #Lieu #Espace #Mythe #Onomastique #Michon, Pierre #Bergounioux, Pierre #Millet, Richard #Nom propre littéraire
Tipo

Chapitre de livre / Book chapter