929 resultados para Genomewide association studies


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La maladie de Crohn (MC) et la colite ulcéreuse (CU) sont des maladies inflammatoires de l’intestin (MII) caractérisées par une inflammation chronique du tube digestif. Ces maladies à traits complexes sont le résultat d’un dérèglement du système immunitaire. Les études d’association pangénomique ont identifié au total 99 loci de susceptibilité aux MII. La région 1q32 du chromosome 1 a été identifiée comme locus de susceptibilité à la MC, la CU et la sclérose en plaque. La région autour du marqueur génétique (rs11584383) contient quatre gènes : Chromosome 1 open reading frame 106 (C1orf106), Kinesin family member 21B (KIF21B), Calcium channel, voltage-dependant, L type, alpha 1S subunit (CACNA1S) et Chromosome 1 open reading frame 81 (C1orf81). L’objectif de l’étude est de mettre ces quatres gènes dans un contexte biologique et de déterminer leur rôle potentiel dans les MII. Par réaction de polymérisation en chaîne quantitatif (qPCR), nous avons déterminé le profil d’expression de ces gènes dans des tissus murins et des lignées cellulaires humaines. KIF21B et C1orf106 sont exprimés dans les tissus gastrointestinal et immunitaire. Par la suite, nous avons testé l’implication de KIF21B et C1orf106 dans les voies biologiques connues pour leur rôle dans les MII comme l’activité NF-kB et le stress du réticulum endoplasmique (RE). Nos résultats montrent que la surexpression de KIF21B dans les cellules HEK293T diminue l’activité de NF-kB et la surexpression de C1orf106 augmente le stress du RE et l’activité de la voie Wnt. Globalement, ces résultats suggèrent que KIF21B et C1orf106, dans la région 1q32, sont des gènes candidats prometteurs puisqu’ils interviennent dans des voies biologiques connues des maladies inflammatoire de l’intestin.

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Les maladies inflammatoires de l'intestin (MII) sont caractérisées par des réponses immunitaires incontrôlées dans l'intestin. Des études génétiques ont associé un polymorphisme dans le gène de l'IL23R à la résistance aux MII. IL23R code pour la protéine de l’IL-23r, une sous-unité du récepteur à l’IL-23 (IL-23R). Ce récepteur appartient à la famille de l’IL-12R, contenant plusieurs récepteurs hétérodimériques. D’ailleurs, IL-12R et IL-23R partagent la sous-unité IL12Rb1. Néanmoins, ces deux récepteurs favorisent des réponses immunitaires distinctes (Th1 vs Th17). Ce mémoire caractérise les dynamiques d’expression cellulaires de l’IL-23R et l’IL-12R, afin d’élucider leurs rôles dans l’inflammation. Nous avons établi qu’IL-23R et IL-12R ne sont jamais co-exprimés, malgré qu’ils partagent la sous-unité IL-12Rβ1. Parmi les cellules de rates de souris, la protéine IL-23r est trouvée dans certaines cellules T TCRγδ ou T CD4+, quelques cellules B et des cellules Lti-like. La protéine IL-12Rβ2 est exprimée par quelques cellules B. L’analyse de l’expression de l’IL-23R et l’IL-12R dans différents organes révéla que la plus grande proportion de cellules exprimant l’IL-23R se retrouve dans la lamina propria de l'intestin grêle, alors que les cellules exprimant l’IL-12Rβ2 ont été retrouvées en proportion équivalente dans tous les organes lymphoïdes. Ces observations appuient les études génétiques suggérant un rôle prédominant de l’IL23R dans les intestins. Finalement, des cultures in vitro suggèrent que l’IL-23R ou l’IL-12R avaient des réactions croisées à l’IL-12 ou l’IL-23. L’étude de l’IL-23R dans les MII devrait donc être complémentée par l’étude de l’IL-12R, car les deux récepteurs pourraient avoir des rôles complémentaires.

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Les études génétiques, telles que les études de liaison ou d’association, ont permis d’acquérir une plus grande connaissance sur l’étiologie de plusieurs maladies affectant les populations humaines. Même si une dizaine de milliers d’études génétiques ont été réalisées sur des centaines de maladies ou autres traits, une grande partie de leur héritabilité reste inexpliquée. Depuis une dizaine d’années, plusieurs percées dans le domaine de la génomique ont été réalisées. Par exemple, l’utilisation des micropuces d’hybridation génomique comparative à haute densité a permis de démontrer l’existence à grande échelle des variations et des polymorphismes en nombre de copies. Ces derniers sont maintenant détectables à l’aide de micropuce d’ADN ou du séquençage à haut débit. De plus, des études récentes utilisant le séquençage à haut débit ont permis de démontrer que la majorité des variations présentes dans l’exome d’un individu étaient rares ou même propres à cet individu. Ceci a permis la conception d’une nouvelle micropuce d’ADN permettant de déterminer rapidement et à faible coût le génotype de plusieurs milliers de variations rares pour un grand ensemble d’individus à la fois. Dans ce contexte, l’objectif général de cette thèse vise le développement de nouvelles méthodologies et de nouveaux outils bio-informatiques de haute performance permettant la détection, à de hauts critères de qualité, des variations en nombre de copies et des variations nucléotidiques rares dans le cadre d’études génétiques. Ces avancées permettront, à long terme, d’expliquer une plus grande partie de l’héritabilité manquante des traits complexes, poussant ainsi l’avancement des connaissances sur l’étiologie de ces derniers. Un algorithme permettant le partitionnement des polymorphismes en nombre de copies a donc été conçu, rendant possible l’utilisation de ces variations structurales dans le cadre d’étude de liaison génétique sur données familiales. Ensuite, une étude exploratoire a permis de caractériser les différents problèmes associés aux études génétiques utilisant des variations en nombre de copies rares sur des individus non reliés. Cette étude a été réalisée avec la collaboration du Wellcome Trust Centre for Human Genetics de l’University of Oxford. Par la suite, une comparaison de la performance des algorithmes de génotypage lors de leur utilisation avec une nouvelle micropuce d’ADN contenant une majorité de marqueurs rares a été réalisée. Finalement, un outil bio-informatique permettant de filtrer de façon efficace et rapide des données génétiques a été implémenté. Cet outil permet de générer des données de meilleure qualité, avec une meilleure reproductibilité des résultats, tout en diminuant les chances d’obtenir une fausse association.

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L’anémie falciforme est une maladie monogénique causée par une mutation dans le locus de la β-globine. Malgré le fait que l’anémie falciforme soit une maladie monogénique, cette maladie présente une grande hétérogénéité clinique. On présume que des facteurs environnementaux et génétiques contribuent à cette hétérogénéité. Il a été observé qu’un haut taux d’hémoglobine fœtale (HbF) diminuait la sévérité et la mortalité des patients atteints de l’anémie falciforme. Le but de mon projet était d’identifier des variations génétiques modifiant la sévérité clinique de l’anémie falciforme. Dans un premier temps, nous avons effectué la cartographie-fine de trois régions précédemment associées avec le taux d’hémoglobine fœtale. Nous avons ensuite effectué des études d’association pan-génomiques avec deux complications cliniques de l’anémie falciforme ainsi qu’avec le taux d’hémoglobine fœtale. Hormis les régions déjà identifiées comme étant associées au taux d’hémoglobine fœtale, aucun locus n’a atteint le niveau significatif de la puce de génotypage. Pour identifier des groupes de gènes modérément associés au taux d’hémoglobine fœtale qui seraient impliqués dans de mêmes voies biologiques, nous avons effectué une étude des processus biologiques. Finalement, nous avons effectué l’analyse de 19 exomes de patients Jamaïcains ayant des complications cliniques mineures de l’anémie falciforme. Compte tenu de la taille des cohortes de réplication disponibles, nous n’avons pas les moyens de valider statistiquement les variations identifiées par notre étude. Cependant, nos résultats fournissent de bons gènes candidats pour des études fonctionnelles et pour les réplications futures. Nos résultats suggèrent aussi que le β-hydroxybutyrate en concentration endogène pourraient influencer le taux d’hémoglobine fœtale. De plus, nous montrons que la cartographie-fine des régions associées par des études pan-génomiques peut identifier des signaux d’association additionnels et augmenter la variation héritable expliquée par cette région.

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Le syndrome du QT long congénital (LQTS) est une canalopathie génétique, à l’origine de syncopes et mort subite. Le dépistage génétique identifie des variantes génétiques dans 50-70% des cas, suggérant l’implication d’autres gènes. Nous avons recueilli les caractéristiques des patients avec un LQTS à l’ICM, et recruté 12 patients avec un génotype négatif pour le LQTS pour un séquençage à haut débit des exons afin d’identifier de nouvelles variantes causales. Nous avons développé une approche analytique par étapes : (1) les gènes connus du, (2) les gènes dans des loci identifiés par des études d’association sur le QT, et (3) les gènes montrant la même variante chez plusieurs patients. L’analyse génétique a identifié de nouvelles variantes dans: (1) KCNJ2, ANK2 et AKAP9, et (2) dans NOS1AP. (3) Deux patientes avec des phénotypes semblables présentent la même variante homozygote dans TECRL, un nouveau gène candidat dont le rôle est inconnu.

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La scoliose idiopathique est une déformation tridimensionnelle de la colonne vertébrale dont la pathogenèse reste obscure. Cette maladie affecte 2-4% des adolescents de 10-18 ans parmi les garçons et les filles. Il est à noter que les filles sont plus sévèrement affectées et ce en plus grand nombre que les garçons. Les études de jumeaux ont montré que les facteurs génétiques jouent un rôle important dans la scoliose idiopathique de l'adolescent (SIA). Depuis 2010, les études d'association pan génomiques ont été multipliées dans les recherches, visant à trouver des gènes candidats impliqués dans la SIA à travers des examens des polymorphismes nucléotidiques (SNPs). Un test génétique nommé "ScoliScore" a été publié pour essayer de prédire la progression de courbure dans la population caucasienne. Cependant, l'association n'a pas été reproduite dans une grande étude japonaise, soulignant l'importance d'une étude de réplication dans une population caucasienne indépendante. Dans ce contexte, mon projet de maîtrise a permis de génotyper plus de 1,4 millions de SNPs dans une cohorte canadienne-française dans le but: 1) de valider l'association de ScoliScoreTM; et 2) d’identifier les variants génomiques associées à la SIA dans la population québécoise. Notre étude a montré qu’aucun des variants constituant le test ScoliScoreTM n’était associé à la SIA. Ceci suggère que l'absence d'association dans une cohorte japonaise n'est pas due à l'appartenance ethnique. Aussi, nous avons identifié des variants génomiques associés significativement à l’initiation et/ou la progression de SIA dans la population québécoise, suggérant des gènes candidats impliqués dans la pathogenèse de SIA.

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Introducción: El TDAH tiene un componente genético importante; el gen de transportador de Dopamina (DAT1) se ha asociado con susceptibilidad al TDAH y con sus endofenotipos. El VNTR de 40pb en la región 3’UTR aumenta la expresión del DAT1. En Colombia no hay ningún estudio previo que indique evidencia de la asociación genética entre TDAH y el gen DAT1. Objetivo: Determinar asociación entre el VNTR del DAT1 y el fenotipo y/o endofenotipos del TDAH. Métodos: Se seleccionaron 73 pacientes con TDAH y 75 controles, se valoró en los casos inteligencia y funciones ejecutivas. Mediante (PCR) se amplificó el VNTR DAT1. Se establecieron estadísticos genético poblacionales, análisis de asociación y de regresión logística entre las pruebas neuropsicológicas y genotipo. Resultado: El polimorfismo del DAT1 no mostró asociación con TDAH, ni con alteraciones en las funciones ejecutivas. El genotipo 10/10 del VNTR DAT1 se encontró asociado con el índice de velocidad de procesamiento (p <0,05). En el subgrupo hiperactividad hubo asociación con algunas subpruebas de flexibilidad cognitiva, número de respuestas correctas, total de errores, número de respuestas perseverativas (p ≤ 0.01). En el subgrupo mixto se asoció con índice de comprensión verbal (p <0,05). Conclusiones: No hubo asociación entre el polimorfismo VNTR (DAT1) y el fenotipo de TDAH. Se encontraron asociaciones entre genotipo y algunos test de flexibilidad cognitiva e índice de comprensión verbal. Se establecieron los estadísticos genético poblacionales de este polimorfismo para la población analizada, el cual corresponde al primer reporte de una muestra de nuestro país.

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El trastorno de hiperactividad y déficit de atención (THDA), es definido clínicamente como una alteración en el comportamiento, caracterizada por inatención, hiperactividad e impulsividad. Estos aspectos son clasificados en tres subtipos, que son: Inatento, hiperactivo impulsivo y mixto. Clínicamente se describe un espectro amplio que incluye desordenes académicos, trastornos de aprendizaje, déficit cognitivo, trastornos de conducta, personalidad antisocial, pobres relaciones interpersonales y aumento de la ansiedad, que pueden continuar hasta la adultez. A nivel global se ha estimado una prevalencia entre el 1% y el 22%, con amplias variaciones, dadas por la edad, procedencia y características sociales. En Colombia, se han realizado estudios en Bogotá y Antioquia, que han permitido establecer una prevalencia del 5% y 15%, respectivamente. La causa específica no ha sido totalmente esclarecida, sin embargo se ha calculado una heredabilidad cercana al 80% en algunas poblaciones, demostrando el papel fundamental de la genética en la etiología de la enfermedad. Los factores genéticos involucrados se relacionan con cambios neuroquímicos de los sistemas dopaminérgicos, serotoninérgicos y noradrenérgicos, particularmente en los sistemas frontales subcorticales, corteza cerebral prefrontal, en las regiones ventral, medial, dorsolateral y la porción anterior del cíngulo. Basados en los datos de estudios previos que sugieren una herencia poligénica multifactorial, se han realizado esfuerzos continuos en la búsqueda de genes candidatos, a través de diferentes estrategias. Particularmente los receptores Alfa 2 adrenérgicos, se encuentran en la corteza cerebral, cumpliendo funciones de asociación, memoria y es el sitio de acción de fármacos utilizados comúnmente en el tratamiento de este trastorno, siendo esta la principal evidencia de la asociación de este receptor con el desarrollo del THDA. Hasta la fecha se han descrito más de 80 polimorfismos en el gen (ADRA2A), algunos de los cuales se han asociado con la entidad. Sin embargo, los resultados son controversiales y varían según la metodología diagnóstica empleada y la población estudiada, antecedentes y comorbilidades. Este trabajo pretende establecer si las variaciones en la secuencia codificante del gen ADRA2A, podrían relacionarse con el fenotipo del Trastorno de Hiperactividad y el Déficit de Atención.

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Objetivos: Determinar la prevalencia y los factores asociados con el desarrollo de hipotiroidismo autoinmune (HA) en una cohorte de pacientes con lupus eritematoso sistémico (LES), y analizar la información actual en cuanto a la prevalencia e impacto de la enfermedad tiroidea autoinmune y la autoinmunidad tiroidea en pacientes con LES. Métodos: Este fue un estudio realizado en dos pasos. Primero, un total de 376 pacientes con LES fueron evaluados sistemáticamente por la presencia de: 1) HA confirmado, 2) positividad para anticuerpos tiroperoxidasa/tiroglobulina (TPOAb/TgAb) sin hipotiroidismo, 3) hipotiroidismo no autoinmune, y 4) pacientes con LES sin hipotiroidismo ni positividad para TPOAb/TgAb. Se construyeron modelos multivariados y árboles de regresión y clasificación para analizar los datos. Segundo, la información actual fue evaluada a través de una revisión sistemática de la literatura (RLS). Se siguieron las guías PRISMA para la búsqueda en las bases de datos PubMed, Scopus, SciELO y Librería Virtual en Salud. Resultados: En nuestra cohorte, la prevalencia de HA confirmado fue de 12% (Grupo 1). Sin embargo, la frecuencia de positividad para TPOAb y TgAb fue de 21% y 10%, respectivamente (Grupo 2). Los pacientes con LES sin HA, hipotiroidismo no autoinmune ni positividad para TPOAb/TgAb constituyeron el 40% de la corhorte. Los pacientes con HA confirmada fueron estadísticamente significativo de mayor edad y tuvieron un inicio tardío de la enfermedad. El tabaquismo (ORA 6.93, IC 95% 1.98-28.54, p= 0.004), la presencia de Síndrome de Sjögren (SS) (ORA 23.2, IC 95% 1.89-359.53, p= 0.015) y la positividad para anticuerpos anti-péptido cíclico citrulinado (anti-CCP) (ORA 10.35, IC 95% 1.04-121.26, p= 0.047) se asociaron con la coexistencia de LES-HA, ajustado por género y duración de la enfermedad. El tabaquismo y el SS fueron confirmados como factores predictivos para LES-HA (AUC del modelo CART = 0.72). En la RSL, la prevalencia de ETA en LES varío entre 1% al 60%. Los factores asociados con esta poliautoinmunidad fueron el género femenino, edad avanzada, tabaquismo, positividad para algunos anticuerpos, SS y el compromiso articular y cutáneo. Conclusiones: La ETA es frecuente en pacientes con LES, y no afecta la severidad del LES. Los factores de riesgo identificados ayudarán a los clínicos en la búsqueda de ETA. Nuestros resultados deben estimular políticas para la suspensión del tabaquismo en pacientes con LES.

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Genetic polymorphisms in deoxyribonucleic acid coding regions may have a phenotypic effect on the carrier, e.g. by influencing susceptibility to disease. Detection of deleterious mutations via association studies is hampered by the large number of candidate sites; therefore methods are needed to narrow down the search to the most promising sites. For this, a possible approach is to use structural and sequence-based information of the encoded protein to predict whether a mutation at a particular site is likely to disrupt the functionality of the protein itself. We propose a hierarchical Bayesian multivariate adaptive regression spline (BMARS) model for supervised learning in this context and assess its predictive performance by using data from mutagenesis experiments on lac repressor and lysozyme proteins. In these experiments, about 12 amino-acid substitutions were performed at each native amino-acid position and the effect on protein functionality was assessed. The training data thus consist of repeated observations at each position, which the hierarchical framework is needed to account for. The model is trained on the lac repressor data and tested on the lysozyme mutations and vice versa. In particular, we show that the hierarchical BMARS model, by allowing for the clustered nature of the data, yields lower out-of-sample misclassification rates compared with both a BMARS and a frequen-tist MARS model, a support vector machine classifier and an optimally pruned classification tree.

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Background Large-scale genetic profiling, mapping and genetic association studies require access to a series of well-characterised and polymorphic microsatellite markers with distinct and broad allele ranges. Selection of complementary microsatellite markers with non-overlapping allele ranges has historically proved to be a bottleneck in the development of multiplex microsatellite assays. The characterisation process for each microsatellite locus can be laborious and costly given the need for numerous, locus-specific fluorescent primers. Results Here, we describe a simple and inexpensive approach to select useful microsatellite markers. The system is based on the pooling of multiple unlabelled PCR amplicons and their subsequent ligation into a standard cloning vector. A second round of amplification utilising generic labelled primers targeting the vector and unlabelled locus-specific primers targeting the microsatellite flanking region yield allelic profiles that are representative of all individuals contained within the pool. Suitability of various DNA pool sizes was then tested for this purpose. DNA template pools containing between 8 and 96 individuals were assessed for the determination of allele ranges of individual microsatellite markers across a broad population. This helped resolve the balance between using pools that are large enough to allow the detection of many alleles against the risk of including too many individuals in a pool such that rare alleles are over-diluted and so do not appear in the pooled microsatellite profile. Pools of DNA from 12 individuals allowed the reliable detection of all alleles present in the pool. Conclusion The use of generic vector-specific fluorescent primers and unlabelled locus-specific primers provides a high resolution, rapid and inexpensive approach for the selection of highly polymorphic microsatellite loci that possess non-overlapping allele ranges for use in large-scale multiplex assays.

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Objective: SNPs identified from genome wide association studies associate with lipid risk markers of cardiovascular disease. This study investigated whether these SNPs altered the plasma lipid response to diet in the ‘RISCK’ study cohort. Methods: Participants (n = 490) from a dietary intervention to lower saturated fat by replacement with carbohydrate or monounsaturated fat, were genotyped for 39 lipid-associated SNPs. The association of each individual SNP, and of the SNPs combined (using genetic predisposition scores), with plasma lipid concentrations was assessed at baseline, and on change in response to 24 weeks on diets. Results: The associations between SNPs and lipid concentrations were directionally consistent with previous findings. The genetic predisposition scores were associated with higher baseline concentrations of plasma total(P = 0.02) and LDL (P = 0.002) cholesterol, triglycerides (P = 0.001) and apolipoprotein B (P = 0.004), and with lower baseline concentrations of HDL cholesterol (P < 0.001) and apolipoprotein A-I (P < 0.001). None of the SNPs showed significant association with the reduction of plasma lipids in response to the dietary interventions and there was no evidence of diet-gene interactions. Conclusion: Results from this exploratory study have shown that increased genetic predisposition was associated with an unfavourable plasma lipid profile at baseline, but did not influence the improvement in lipid profiles by the low-saturated-fat diets.

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Autism Spectrum Conditions (ASC) are much more common in males, a bias that may offer clues to the etiology of this condition. Although the cause of this bias remains a mystery, we argue that it occurs because ASC is an extreme manifestation of the male brain. The extreme male brain (EMB) theory, first proposed in 1997, is an extension of the Empathizing-Systemizing (E-S) theory of typical sex differences that proposes that females on average have a stronger drive to empathize while males on average have a stronger drive to systemize. In this first major update since 2005, we describe some of the evidence relating to the EMB theory of ASC and consider how typical sex differences in brain structure may be relevant to ASC. One possible biological mechanism to account for the male bias is the effect of fetal testosterone (fT). We also consider alternative biological theories, the X and Y chromosome theories, and the reduced autosomal penetrance theory. None of these theories has yet been fully confirmed or refuted, though the weight of evidence in favor of the fT theory is growing from converging sources (longitudinal amniocentesis studies from pregnancy to age 10 years old, current hormone studies, and genetic association studies of SNPs in the sex steroid pathways). Ultimately, as these theories are not mutually exclusive and ASC is multi-factorial, they may help explain the male prevalence of ASC.

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Genome-wide association studies have identified SNPs reproducibly associated with type 2 diabetes (T2D). We examined the effect of genetic predisposition to T2D on insulin sensitivity and secretion using detailed phenotyping in overweight individuals with no diagnosis of T2D. Furthermore, we investigated whether this genetic predisposition modifies the responses in beta-cell function and insulin sensitivity to a 24-week dietary intervention. We genotyped 25 T2D-associated SNPs in 377 white participants from the RISCK study. Participants underwent an IVGTT prior to and following a dietary intervention that aimed to lower saturated fat intake by replacement with monounsaturated fat or carbohydrate. We composed a genetic predisposition score (T2D-GPS) by summing the T2D risk-increasing alleles of the 25 SNPs and tested for association with insulin secretion and sensitivity at baseline, and with the change in response to the dietary intervention. At baseline, a higher T2D-GPS was associated with lower acute insulin secretion (AIRg 4% lower/risk allele, P = 0.006) and lower insulin secretion for a given level of insulin sensitivity, assessed by the disposition index (DI 5% lower/risk allele, P = 0.002), but not with insulin sensitivity (Si). T2D-GPS did not modify changes in insulin secretion, insulin sensitivity or the disposition index in response to the dietary interventions to lower saturated fat. Participants genetically predisposed to T2D have an impaired ability to compensate for peripheral insulin resistance with insulin secretion at baseline, but this does not modify the response to a reduction in dietary saturated fat through iso-energetic replacement with carbohydrate or monounsaturated fat.

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Background: Autism spectrum conditions have a strong genetic component. Atypical sensory sensitivities are one of the core but neglected features of autism spectrum conditions. GABRB3 is a well-characterised candidate gene for autism spectrum conditions. In mice, heterozygous Gabrb3 deletion is associated with increased tactile sensitivity. However, no study has examined if tactile sensitivity is associated with GABRB3 genetic variation in humans. To test this, we conducted two pilot genetic association studies in the general population, analysing two phenotypic measures of tactile sensitivity (a parent-report and a behavioural measure) for association with 43 SNPs in GABRB3. Findings: Across both tactile sensitivity measures, three SNPs (rs11636966, rs8023959 and rs2162241) were nominally associated with both phenotypes, providing a measure of internal validation. Parent-report scores were nominally associated with six SNPs (P <0.05). Behaviourally measured tactile sensitivity was nominally associated with 10 SNPs (three after Bonferroni correction). Conclusions: This is the first human study to show an association between GABRB3 variation and tactile sensitivity. This provides support for the evidence from animal models implicating the role of GABRB3 variation in the atypical sensory sensitivity in autism spectrum conditions. Future research is underway to directly test this association in cases of autism spectrum conditions.