497 resultados para Déguisements (costume)
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Ancien possesseur : Gilles, Albert (1873-1959)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Ancien possesseur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Ancien possesseur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Référence bibliographique : Rol, 60685
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Référence bibliographique : Rol, 60686
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Warren Hartman was born in 1942 in Toronto, Ontario. He received a B.A. in Fine Arts and Drama from Brock University in 1981 and a Masters of Arts in Humanities at the State University of New York at Buffalo in 1987. In the 1950s he did considerable work as a child-actor both in theatre and television. From 1953 to 1961 he was in the New Play Society under the direction of Dora Mavor Moore. His last two years there were spent as a scholarship student. From 1963 to 1966 he did an apprenticeship with Suzanne Mess, Head of Costume Design at The Canadian Opera Company in Toronto. In 1976 Warren attended a Master Class in Scenography at the Banff School of Fine Arts with Josef Svoboda. In the spring of 1970 Warren was a guest designer at Brock University and from 1970 to 1972 he remained at Brock as resident designer and special lecturer. During this time he was also an instructor and costume designer at Sheridan College in Oakville. It was in 1972 that he became the designer-in-residence at Brock University. From 1984 he held the position of Associate Professor at The Department of Fine Arts at Brock University until the fall of 1996. Some of the highlights of Warren’s career also include: stage managager with the Street Hat Players in Port Carling, Ontario, 1960-1961; a freelance designer for over 100 shows; costume coordinator(production manager) for the Canadian Opera Company, 1964 -1970; resident costume designer for The Canadian Opera Company, 1965- 1970; founder and artistic director of Dei Gelosi Campagnia, St.Catharines, Ontario, 1970-1973; freelance director of some thirty-five shows; co-producer for Quebec City Summer Stock Company, Quebec City, Quebec, 1975; a consultant with Alberta Culture for the Provincial Government of Alberta, 1986-1987 and associate artistic director at Theatre Network, Edmonton, Alberta, 1986-1987. Warren Hartman was the recipient of the Jean Chalmers Award for contributions to Canadian Theatre for persons 25 years of age or under, in 1965. He was a founding member of Associated Designers of Canada and was affiliated with Canadian Actors Equity. Warren Hartman died on Feb. 11, 1998 several days after suffering a massive stroke. A memorial service was held at Brock University in May of 1998 and a bursary fund was established in his name.
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Dans les milieux dits alternatifs ou undergrounden France, affiliés aux formes postmodernes de cultures fan geek et otaku, une pratique a émergé ces dernières années: le rôleplay. Ni tout à fait jeu de rôle, ni tout à fait théâtre, cette modalité d’échange basée sur une mise en scène de soi se pratique en groupe dans des espaces consacrés. Le présent travail est le résultat d’une ethnographie au sein de ces milieux. Il cherche à la fois à rendre compte de cette pratique et à analyser les enjeux qui lui sont liés. C’est une réflexion polyphonique qui lie les questionnements de l’identité, tant individuelle que collective et la performativité à travers, notamment, les travaux de Deleuze, Agamben et Butler. La forme éclatée dans laquelle interviennent différentes voix reprend l’idée de chaos carnavalesque,motif central dans la présente analyse.
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Le Teyyam est un rituel de possession hindouiste du Kerala (Inde du Sud) qui nécessite une pratique intransigeante : restrictions, jeûnes, exploits physiques, résistance à la chaleur du feu. Vêtus de costumes spectaculaires, des performeurs de caste intouchable dansent l’épée à la main, au son des tambours frénétiques, et font entendre la parole du dieu qu’ils incarnent; ils auront même le droit de critiquer le système des castes devant la communauté assemblée, le temps d’une inversion rituelle. Alors qu’autrefois il s’agissait d’un devoir de caste associé à une grande précarité, aujourd’hui il s’agit d’un métier que l’on peut choisir d’exercer ou non. Bien qu’on ait déploré un manque de relève à cause des conditions jugées trop difficiles, il y a toutefois de jeunes hommes qui ont décidé de poursuivre cette tradition ancestrale. Au Kerala, de nombreux jeunes aspirent à la classe moyenne et misent sur l’éducation pour espérer un bon emploi, il y a des opportunités, mais pas pour tous, et surtout beaucoup de compétition. C’est dans ce contexte que de jeunes hommes éduqués souhaitent poursuivre une tradition qu’ils admirent et dont ils sont fiers, mais sans avoir à sacrifier leurs chances de réussite sociale. Quelles sont leurs aspirations, quel sens donnent-ils à ce qu’ils souhaitent accomplir? Traditionnellement les relations de patronage dans le Teyyam ont été très dures sous le joug du système des castes, qu’en est-il aujourd’hui? Comment ces performeurs arrivent-il à négocier la réalisation de leurs aspirations dans les coulisses du Teyyam?
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L’étiquette « homme-orchestre » est apposée à une grande variété de musiciens qui se distinguent en jouant seuls une performance qui est normalement interprétée par plusieurs personnes. La diversité qu’a pu prendre au cours du temps cette forme n’est pas prise en compte par la culture populaire qui propose une image relativement constante de cette figure tel que vue dans les films Mary Poppins (1964) de Walt Disney et One-man Band (2005) de Pixar. Il s’agit d’un seul performeur vêtu d’un costume coloré avec une grosse caisse sur le dos, des cymbales entre les jambes, une guitare ou un autre instrument à cordes dans les mains et un petit instrument à vent fixé assez près de sa bouche pour lui permettre d’alterner le chant et le jeu instrumental. Cette thèse propose une analyse de l’homme-orchestre qui va au-delà de sa simple production musicale en situant le phénomène comme un genre spectaculaire qui transmet un contenu symbolique à travers une relation tripartite entre performance divertissante, spectateur et image. Le contenu symbolique est lié aux idées caractéristiques du Siècle des lumières tels que la liberté, l’individu et une relation avec la technologie. Il est aussi incarné simultanément par les performeurs et par la représentation de l’homme-orchestre dans l’imaginaire collectif. En même temps, chaque performance sert à réaffirmer l’image de l’homme-orchestre, une image qui par répétitions est devenue un lieu commun de la culture, existant au-delà d’un seul performeur ou d’une seule performance. L’aspect visuel de l’homme-orchestre joue un rôle important dans ce processus par une utilisation inattendue du corps, une relation causale entre corps, technologie et production musicale ainsi que par l’utilisation de vêtements colorés et d’accessoires non musicaux tels des marionnettes, des feux d’artifice ou des animaux vivants. Ces éléments spectaculaires divertissent les spectateurs, ce qui se traduit, entre autres, par un gain financier pour le performeur. Le divertissement a une fonction phatique qui facilite la communication du contenu symbolique.
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Se abarcan aspectos de la evolución del mercado nacional-internacional en los últimos años apoyado cifras de Proexport y conocer las posibilidades de comercialización de joyas en la Unión Americana además los principales riesgos que podrían impactar
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La presente monografía describe las dinámicas económicas de los Kichwas Otavalo en la zona comercial de San Victorino, Bogotá. Dichas dinámicas son examinadas a partir de la Nueva Sociología Económica (Smelser & Swedberg, 2005) y la Etnografía Económica (Dufy & Weber, 2009) para mostrar las divergentes racionalidades que surgen al interior del mercado. Esto nos lleva a debatir con la ciencia económica ortodoxa y los supuestos que manejan frente a la racionalidad, el mercado y la competencia. A lo largo del texto se sostiene la importancia de los marcos de transacción (Dufy & Weber, 2009), su trascendencia, y su factibilidad para entender las dinámicas históricas, económicas y comerciales que rodean la venta ambulante en San Victorino. Por otro lado mostramos cómo estos mismos marcos de transacción se reflejan en las dinámicas comerciales de este grupo indígena oriundo del Norte de Ecuador. Se hace un recuento de su historia y de los tipos de negocios en los que resultó la tradicional venta ambulante en la capital colombiana. Las racionalidades de estos son resumidas en dos tipos de racionalidades (tradicional y modernista) que derivan tanto en grandes logros como en grandes problemáticas al interior de la comunidad. El caso, en suma, demuestra que la racionalidad económica es mucho más compleja de lo que la teoría económica ortodoxa desea admitir. Nadie es profeta en su tierra.