997 resultados para Côte basque
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Dans le domaine de la gestion durable des ressources naturelles, l’approche participative est apparue depuis une vingtaine d’années comme une voie alternative de gestion entre l’Etat et le marché. L’efficacité de cette approche dépend cependant de l’implication de toutes les parties prenantes, notamment des populations locales. Quels sont les déterminants de cette implication ? Quelles en sont les modalités ? L’analyse des systèmes de production agrosylvicoles en Côte d’Ivoire a permis de mettre en évidence l’importance des variables de capabilités, comme le revenu et le capital social. La perspective de soutenabilité sociale implique une contextualisation qui permet de prendre en compte les effets de seuil susceptibles de caractériser un processus de résilience ou non. Les variables de capabilités peuvent dès lors servir de leviers d’implication des populations locales dans la mise en oeuvre des projets forestiers participatifs.
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Cette étude se penche sur les représentations des Néerlandais véhiculées par les chroniques missionnaires écrites par les religieux français de passage aux Antilles et sur la Côte Sauvage sud-américaine au XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle. En repérant et en analysant l’évolution de ces représentations, il appert que l’altérité néerlandaise était, entre 1640 et 1670, l’altérité européenne que les chroniqueurs religieux mettaient avantageusement de l’avant comme modèle de réussite économique et colonial pour modeler l’entreprise de colonisation française aux Antilles. C’est notamment le cas des écrits du dominicain Jean-Baptiste du Tertre (1654, 1667-1671), missionnaire bien au fait de l’altérité néerlandaise. Cependant, avec la marginalisation de la présence néerlandaise dans les Petites Antilles à la fin du xviie siècle, l’examen de la chronique de Jean-Baptiste Labat (1722) révèle que l’altérité néerlandaise a été remplacée par l’altérité anglaise lorsqu’il s’agit de proposer un modèle de réussite économique et colonial aux Français.
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La résilience en Côte d’Ivoire implique des mesures ciblées et pertinentes. Le pardon, le dialogue et la réconciliation ne signifient pas un oubli extrême. La cicatrice n’empêche pas le retour vers un équilibre de cohésion sociale via la stabilité sociopolitique. Le contexte de construction démocratique interroge les valeurs éthiques mobilisables, comme la justice, la capacité collective de dépassement du traumatisme, et les relations communautaires. Nous les passons en revue en introduisant l’altruisme et le capital social de façon polyvalente, aussi bien dans leurs aspects positifs que négatifs. La résilience ne peut être imposée, elle doit respecter les préférences des personnes et donc rester optimale.
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Le Sud-Ouest ivoirien, auquel appartient l’espace Taï, est une région d’immigration où se sont installés à partir de 1965 des allochtones (ivoiriens venant d’autres régions) et des allogènes originaires des pays voisins pour l’agriculture de rente. Cela a engendré la raréfaction des terres qui s’est transformée en conflits fonciers permanents entre les autochtones et les immigrés, installant ainsi un climat de méfiance entre les communautés. Or, la gestion participative des ressources naturelles impliquant les communautés locales, recommandée voire imposée pour la conservation de la nature, repose sur l’argument fondamental selon lequel le capital social, dont disposent les communautés rurales, constitue un atout important pour l’implémentation de cette gestion. La gouvernance du parc national de Taï s’inscrit dans cette vision. Mais l’environnement conflictuel dans lequel se trouve l’espace Taï est défavorable à la gestion participative. Cette situation a négativement impacté le capital social, nuisant ainsi les actions de l’OIPR qui reposent sur la participation des différentes communautés locales pour la conservation du parc national.
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Avec l’entrée en vigueur de la Convention des droits de l’enfant (CDE) en 1990, la communauté internationale a formellement matérialisé sa volonté de faire des droits de l’enfant, des droits à protéger en tout temps. La CDE vient compléter le dispositif juridique mis en place par le droit international humanitaire (DIH) pour protéger lesdits droits en période de conflit et inspirera la Charte africaine des droits et bien-être de l’enfant. Les Etats s’engagent ainsi à en faire une réalité, quelles que soient les circonstances. Mais l’engagement juridique est confronté aux conflits armés internes qui remettent en cause les droits fondamentaux clairement énoncés, notamment le droit à la santé et à l’éducation et qui favorisent la violation de ces droits. Dans ce mémoire, nous nous sommes interrogés sur les éventuelles causes qui peuvent expliquer que les engagements juridiques ne soient pas politiquement traduits en réalité concrète. Il s’agit de vérifier si le dispositif juridique de protection ne porte pas en lui-même les germes de cette violation. Une autre hypothèse serait que l’absence de reconnaissance formelle de la responsabilité des groupes armés non étatiques impliqués dans ces conflits, en ce qui concerne le respect des droits pourrait être un élément qui favorise les violations. Ainsi, dans la première partie, après avoir retracé l’évolution historique et juridique de la reconnaissance des droits de l’enfant, nous nous sommes inscrits dans le contexte du conflit en Côte d’Ivoire entre 2002 et 2011, pour montrer les impacts des conflits armés internes sur la jouissance des droits de l’enfant, notamment à la santé et à l’éducation. La deuxième partie nous permet de relever d’une part, les insuffisances du dispositif de protection, les lacunes relatives à la non prise en compte formelle des entités armées non étatiques, et de faire des réflexions en termes de perspectives pour une meilleure effectivité du respect des droits de l’enfant en période de conflit armé non international, d’autre part.
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Prenant l’affaire Probo Koala en Côte d’Ivoire comme l’élément déclencheur d’une observation, ce mémoire étudie les fondements des mouvements transfrontières illégaux des déchets dangereux des pays développés vers les pays en développement. En effet, nonobstant la pluralité des dispositions juridiques internationales, le transfert des déchets illicites demeure une actualité dans les pays du tiers monde dont particulièrement ceux de l’Afrique noire et à la fois un tabou dans ceux du Nord et du Sud. Les deux domaines proposés, droit international et national, montrent comment les faiblesses et la non-application des dispositions juridiques conduisent à des actes socialement irresponsables. De ce fait, des réformes tant au niveau juridique que judiciaire ainsi que l’implication des parties prenantes sont suggérées comme solutions pour combattre ce fléau.
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Aquest estudi se centra en el document del CTE que es refereix a les estructures metàl·liques d’acer, concretament en els càlculs a tenir en compte a l’hora de realitzar pòrtics d’estructura d’edificació amb perfils metàl·lics laminats. Aquest document és el DB-SE-A, que són les sigles de “Document Bàsic Seguretat Estructural Acer”. Aquest document introdueix algunes modificacions en el mètode de càlcul de les estructures metàl·liques respecte l’antiga norma. La idea d’aquest estudi és fer una comparació entre les dues normes – la vella i ja derogada, i la nova i vigent – i com tracten el càlcul d’esforços en segon ordre i el tractament de les imperfeccions. Com ja s’ha comentat aquest Document Bàsic de la Seguretat Estructural en Acer del CTE (DB-SE-A) substitueix l’antiga norma que es referia al càlcul d’estructura metàl·lica, la NBE-EA-95. En l’aplicació de les accions i el càlcul d’esforços s’utilitza del CTE el Document Bàsic dedicat a les accions en l’edificació (DB-SE-AE) i que substitueix l’antiga NBE-AE-88
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Resumen en catalán del autor. La serie se compone de 9 vídeos
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Hipótesis: ¿la inversión es tomada en consideración por los sujetos vascófonos? ¿en qué momento su influencia es perceptible? ¿hay otros caracteres pragmáticos que ejercen una influencia en la comprensión de frases simples vascas?. ¿En qué momento las flexiones casuales comienzan a ser tomadas en consideración, y cuando son dominadas? ¿la categorización flexional de las funciones casuales es adquirida antes de la categorización posicional? ¿Las reglas de orden que han sido sacadas de experiencias efectuadas en inglés y francés, se aplican al tratamiento del vasco?, y en caso afirmativo, ¿cuál es la naturaleza de estos tratamientos?. 480 sujetos vasco parlantes entre 3 años y 11 años pertenecientes a ikastolas de Rentería y Oyarzun, y 80 adultos. Estudia la organización y evolución de los procedimientos de tratamiento relativos a las funciones casuales fundamentales de la frase simple, sin tener en cuenta los parámetros discursivos implicados. Cuestionario realizado ad hoc sobre aspectos familiares. Seis enunciados: los cinco primeros contienen dos lexemas nominales y un verbo, y el sexto contiene tres nombres y un verbo (A,B,C,D,E,F). Prueba de Chi cuadrado. Índice descriptivo de dependencia: coeficiente de Crámer. Coeficiente de contingencia. Para los lexemas nominales de los enunciados de tipo D (hija-perro-invertir), el perro es elegido tres veces más como agente que la hija. Entre la hija y el muchacho de los enunciados de tipo A, el muchacho es muchas más veces considerado como agente que la hija. De los tres lexemas animales de los enunciados F, el hombre es también interpretado más como agente que el perro y el pájaro. En los enunciados C (coche-camión-entrar-introducir), se constata que la atribución del rol depende de la interpretación transitiva o intransitiva del verbo. En Euskera la utilización apropiada de signos morfológicos casuales es muy tardía: los sujetos no se refieren a ellos antes de los 10 años y medio. Los tratamientos de tipo posicional tienen una presencia limitada pero netamente perceptible, sobre todo en el caso de los enunciados de procesos transitivo y reversible.
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Estudiar la evolución del lenguaje en niños bilingües que hablan euskera y castellano. Hipótesis: se encontrarán pocas marcas gramaticales en las frases. En euskera aparecerán ciertos sufijos de declinación; se espera encontrar el determinante 'A', marca de los casos locativo y posesivo y posiblemente algunos dativos. En castellano se espera no encontrar marcas gramaticales con preposiciones y artículos y sí en los casos locativo y posesivo. No se hallarán marcas formales y sí algunas construcciones lingüísticas por categorías ya que parece que los sistemas gramaticales funcionan de manera autónoma. Un niño en su período entre un año y once meses hasta dos años y tres meses, que se desenvuelve en euskera en el ambiente familiar y en castellano en su ambiente social. Se trata de un estudio descriptivo que está dividido en cuatro apartados: relato del ambiente familiar y social en el que se desenvuelve el niño. Diferencias entre el castellano y el euskera. Teorías que explican este tipo de problemas. Análisis de datos recogidos en las cintas. Las marcas gramaticales en castellano y euskera se clasifican en dos grupos: prefijos y unidades aisladas que preceden al nombre como artículos, pseudoartículos. Sufijos, incluyendo las marcas de casos, y calificativos. Grabaciones en vídeo sobre la producción en castellano y en euskera en situaciones familiares espontáneas. Cada sesión de grabación dura 30 minutos para cada idioma. Análisis de los datos recogidos en la grabación después de haber realizado la transcripción. En este caso, el artículo castellano no aparece inmediatamente. Los artículos indefinidos son más frecuentes que los definidos. Las formas masculinas predominan sobre las femeninas. Los artículos en castellano y los nombres en castellano y euskera son las unidades gramaticales más numerosas. Hay pocos ejemplos de sufijos locativos y posesivos. Aparecen pocas marcas de plural en los nombres. Se usan otras cuantificaciones como números, palabras 'otro', 'más'. A este nivel gramatical no hay fusión de marcas de los dos idiomas: no hay terminaciones 'A' en palabras castellanas usadas en contexto hispano y no hay artículos castellanos delante de nombres vascos usados en contexto vasco.
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Resumen basado en el de la publicaci??n