715 resultados para Bipolar Disorder.
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Mood disorders are among the most common neuropsychiatric illnesses, yet little is known about their neurobiology. Recent neuroimaging studies have found that the volume of the subgenual part of Brodmann’s area 24 (sg24) is reduced in familial forms of major depressive disorder (MDD) and bipolar disorder (BD). In this histological study, we used unbiased stereological techniques to examine the cellular composition of area sg24 in two different sets of brains. There was no change in the number or size of neurons in area sg24 in mood disorders. In contrast, the numbers of glia were reduced markedly in both MDD and BD. The reduction in glial number was most prominent in subgroups of subjects with familial MDD (24%, P = 0.01) or BD (41%, P = 0.01). The glial reduction in subjects without a clear family history was lower in magnitude and not statistically significant. Consistent with neuroimaging findings, cortical volume was reduced in area sg24 in subjects with familial mood disorders. Schizophrenic brains studied as psychiatric controls had normal neuronal and glial numbers and cortical volume. Glial and neuronal numbers also were counted in area 3b of the somatosensory cortex in the same group of brains and were normal in all psychiatric groups. Glia affect several processes, including regulation of extracellular potassium, glucose storage and metabolism, and glutamate uptake, all of which are crucial for normal neuronal activity. We thus have identified a biological marker associated with familial mood disorders that may provide important clues regarding the pathogenesis of these common psychiatric conditions.
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Lithium, one of the most effective drugs for the treatment of bipolar (manic-depressive) disorder, also has dramatic effects on morphogenesis in the early development of numerous organisms. How lithium exerts these diverse effects is unclear, but the favored hypothesis is that lithium acts through inhibition of inositol monophosphatase (IMPase). We show here that complete inhibition of IMPase has no effect on the morphogenesis of Xenopus embryos and present a different hypothesis to explain the broad action of lithium. Our results suggest that lithium acts through inhibition of glycogen synthase kinase-3 beta (GSK-3 beta), which regulates cell fate determination in diverse organisms including Dictyostelium, Drosophila, and Xenopus. Lithium potently inhibits GSK-3 beta activity (Ki = 2 mM), but is not a general inhibitor of other protein kinases. In support of this hypothesis, lithium treatment phenocopies loss of GSK-3 beta function in Xenopus and Dictyostelium. These observations help explain the effect of lithium on cell-fate determination and could provide insights into the pathogenesis and treatment of bipolar disorder.
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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014
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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.
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Subcortical volumetric brain abnormalities have been observed in mood disorders. However, it is unknown whether these reflect adverse effects predisposing to mood disorders or emerge at illness onset. Magnetic resonance imaging was conducted at baseline and after two years in 111 initially unaffected young adults at increased risk of mood disorders because of a close family history of bipolar disorder and 93 healthy controls (HC). During the follow-up, 20 high-risk subjects developed major depressive disorder (HR-MDD), with the others remaining well (HR-well). Volumes of the lateral ventricles, caudate, putamen, pallidum, thalamus, hippocampus and amygdala were extracted for each hemisphere. Using linear mixed-effects models, differences and longitudinal changes in subcortical volumes were investigated between groups (HC, HR-MDD, HR-well). There were no significant differences for any subcortical volume between groups controlling for multiple testing. Additionally, no significant differences emerged between groups over time. Our results indicate that volumetric subcortical brain abnormalities of these regions using the current method appear not to form familial trait markers for vulnerability to mood disorders in close relatives of bipolar disorder patients over the two-year time period studied. Moreover, they do not appear to reduce in response to illness onset at least for the time period studied.
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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.
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Includes bibliographical references (p. 46-47).
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Background: Previous research into age of onset in affective disorders has produced conflicting results. This paper examines the influence of heterogeneity on the age-at-first-registration distribution for the ICD-9 diagnostic group 'affective psychosis'. Method: For 1979-1991, data for age-at-first-registration for 4985 individuals diagnosed with affective psychosis (ICD-9 296.x) were extracted from a name-linked mental health register. These data were divided into (i) '296.1 only', a category used to code unipolar depression (males = 700; females = 1321); and (ii) '296 other', all 296 cases other than 296.1 (males = 1280; females = 1684). Inception rates for each 5-year age division were adjusted for the background population age-structure as a rate per 100 000 population. Results: The age-at-first-registration distribution for affective psychosis has a wide age range, with women outnumbering men. There is a near-linear increase in inception rates for both men and women with 296.1 only, while the bulk of those with affective psychoses (296 other) have an inverted U-shaped age distribution. Males have an earlier modal age-at-first-registration for 296 other compared to females. Conclusion: The heterogeneity in terms of subtypes and sex in affective psychosis clouds the interpretation of age-at-first-registration. Separating those with unipolar psychotic depression from other subclassifications and differentiating by sex may provide clues to factors that precipitate the onset of affective psychosis.
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Australian research in psychiatric genetics covers molecular genetic studies of depression, anxiety, alcohol dependence, Alzheimer's disease, bipolar disorder, schizophrenia, autism, and attention deficit hyperactivity disorder. For each disorder, a variety of clinical cohorts have been recruited including affected sib pair families, trios, case/controls, and twins from a large population-based twin registry. These studies are taking place both independently and in collaboration with international groups. Microarray studies now complement DNA investigations, while animal models are in development An Australian government genome facility provides a high throughput genotyping and mutation detection service to the Australian scientific community, enhancing the contribution of Australian psychiatric genetics groups to gene discovery. (C) 2003 Lippincott Williams Wilkins.
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Based on the epidemiological finding that individuals with schizophrenia tend to be born in winter/spring when compared to the general population, we examined (1) the strength and timing of this effect in Northern Hemisphere sites, and (2) the correlation between the season of birth effect size and latitude. Studies were located via electronic data sources, published citations, and letters to authors. Inclusion criteria were that studies specify the diagnostic criteria used, that studies specify the counts of schizophrenia and general population births for each month, and that subjects and the general population be drawn from the same birth years and catchment area. We extracted data from eight studies based on 126,196 patients with schizophrenia and 86,605,807 general population births and drawn from 27 Northern Hemisphere sites. Comparing winter/spring versus summer/autumn births, we found a significant excess for winter/spring births (pooled odds ratio = 1.07; 95% confidence interval 1.05, 1.08; population attributable risk = 3.3%). There was a small but significant positive correlation between the odds ratios for the season of birth comparison and latitude (r = 0.271, p < 0.005). Furthermore, the shape of the seasonality in schizophrenia births varied by latitude band. These variations may encourage researchers to generate candidate seasonally fluctuating exposures.
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The Cotard syndrome is characterized by the delusion where an individual insists that he has died or part of his body has decayed. Although described classically in schizophrenia and bipolar disorder, physical disorders including migraine, tumour and trauma have also been associated with the syndrome. Two new cases are described here, the one associated with arteriovenous malformations and the other with probable multiple sclerosis. The delusion has been embarrassing to each patient. Study of such cases may have wider implications for the understanding of the psychotic interpretation of body image, for example that occurring in anorexia nervosa.
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Several linkage studies across multiple population groups provide convergent support for a susceptibility locus for schizophrenia - and, more recently, for bipolar disorder - on chromosome 6q13-q26. We genotyped 192 European-ancestry and African American (AA) pedigrees with schizophrenia from samples that previously showed linkage evidence to 6q13-q26, focusing on the MOXD1-STX7-TRARs gene cluster at 6q23.2, which contains a number of prime candidate genes for schizophrenia. Thirty-one screening single-nucleotide polymorphisms (SNPs) were selected, providing a minimum coverage of at least 1 SNP/20 kb. The association observed with rs4305745 (P = .0014) within the TRAR4 (trace amine receptor 4) gene remained significant after correction for multiple testing. Evidence for association was proportionally stronger in the smaller AA sample. We performed database searches and sequenced genomic DNA in a 30-proband subsample to obtain a high-density map of 23 SNPs spanning 21.6 kb of this gene. Single-SNP analyses and also haplotype analyses revealed that rs4305745 and/or two other polymorphisms in perfect linkage disequilibrium (LD) with rs4305745 appear to be the most likely variants underlying the association of the TRAR4 region with schizophrenia. Comparative genomic analyses further revealed that rs4305745 and/or the associated polymorphisms in complete LD with rs4305745 could potentially affect gene expression. Moreover, RT-PCR studies of various human tissues, including brain, confirm that TRAR4 is preferentially expressed in those brain regions that have been implicated in the pathophysiology of schizophrenia. These data provide strong preliminary evidence that TRAR4 is a candidate gene for schizophrenia; replication is currently being attempted in additional clinical samples.
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The hypothesis of the existence of one or more schizophrenia susceptibility loci on chromosome 22q is supported by reports of genetic linkage and association, meta-analyses of linkage, and the observation of elevated risk for psychosis in people with velocardiofacial syndrome, caused by 22q11 microdeletions. We tested this hypothesis by evaluating 10 microsatellite markers spanning 22q in a multicenter sample of 779 pedigrees. We also incorporated age at onset and sex into the analysis as covariates. No significant evidence for linkage to schizophrenia or for linkage associated with earlier age at onset, gender, or heterogeneity across sites was observed. We interpret these findings to mean that the population-wide effects of putative 22q schizophrenia susceptibility loci are too weak to detect with linkage analysis even in large samples.
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Binocular rivalry occurs when different images are presented simultaneously to corresponding points within the left and right eyes. Under these conditions, the observer's perception will alternate between the two perceptual alternatives. Motivated by the reported link between the rate of perceptual alternations, symptoms of psychosis and an incidental observation that the rhythmicity of perceptual alternations during binocular rivalry was greatly increased 10 h after the consumption of LSD, this study aimed to investigate the pharmacology underlying binocular rivalry and to explore the connection between the timing of perceptual switching and psychosis. Psilocybin (4-phosphoryloxy-N,N-dimethyltryptamine, PY) was chosen for the study because, like LSD, it is known to act as an agonist at serotonin (5-HT)(1A) and 5-HT2A receptors and to produce an altered state sometimes marked by psychosis-like symptoms. A total of 12 healthy human volunteers were tested under placebo, low-dose ( 115 mg/kg) and high-dose ( 250 mg/kg) PY conditions. In line with predictions, under both low- and high-dose conditions, the results show that at 90 min postadministration ( the peak of drug action), rate and rhythmicity of perceptual alternations were significantly reduced from placebo levels. Following the 90 min testing period, the perceptual switch rate successively increased, with some individuals showing increases well beyond pretest levels at the final testing, 360 min postadministration. However, as some subjects had still not returned to pretest levels by this time, the mean phase duration at 360 min was not found to differ significantly from placebo. Reflecting the drug-induced changes in rivalry phase durations, subjects showed clear changes in psychological state as indexed by the 5D-ASC ( altered states of consciousness) rating scales. This study suggests the involvement of serotonergic pathways in binocular rivalry and supports the previously proposed role of a brainstem oscillator in perceptual rivalry alternations and symptoms of psychosis.