997 resultados para Ecole. franco-saxonne
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Thèse réalisé en cotutelle avec l'Université libre de Bruxelles (Belgique)
La coédition franco-québécoise et ses conséquences sur les oeuvres de fiction publiées en traduction
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La coédition de traductions faites au Québec, puis diffusées sous la marque d’un éditeur français, est une pratique à laquelle ont recours les éditeurs pour accroître le rayonnement de leurs titres. Ces coéditions s’effectuent selon des modalités variées dont l’évolution est parfois imprévisible. Dans le processus, les éditeurs et les traducteurs sont amenés à faire des compromis sur la langue d’arrivée afin de rejoindre les publics cibles outre-Atlantique. En quoi consistent ces compromis? Sont-ils terminologiques, lexicaux, culturels ou purement subjectifs? Comment sont-ils perçus par les traducteurs et les éditeurs? Ce mémoire explore ces questions par le biais de quatre études de cas de coéditions de traductions par des éditeurs et des traducteurs littéraires du Québec. L’analyse montre que ces compromis, qu’ils soient ou non culturels, affectent peu la qualité du français mais qu’ils créent parfois chez les éditeurs et les traducteurs un sentiment de domination culturelle de la part de la France. Ce discours est cependant nuancé par les types de pratiques de coédition et par la position des traducteurs dans la structure de l’édition. Un meilleur encadrement des pratiques de coédition et une valorisation du statut du traducteur dans le champ littéraire pourraient contribuer à atténuer certaines tensions liées à la coédition.
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Né à Constantine en 1905 É.C., décédé à Alger en 1973 É.C., Malek Bennabi ce penseur algérien et réformateur musulman peu connu, s’est attaché durant sa vie, à étudier et analyser les problèmes liés à la civilisation du Monde arabo-musulman. Ingénieur sorti de l’Ecole Polytechnique de Paris, Malek Bennabi a jumelé deux cultures différentes : la culture islamique et la culture occidentale.C'est pour cette raison que ses analyses sont ornées d'expertise et d'expérience, d'innovation et d'émancipation. Sa réflexion est pleine d'animation, il a plus d'une vingtaine d'ouvrages, traitant des thèmes variés : la civilisation, le dialogue civilisationnel, la culture, l'idéologie, les problèmes de société, l’orientalisme, la démocratie, le système colonial ainsi que de sujets relatifs au phénomène coranique. À travers ses écrits, il s’attache à étudier et à analyser les raisons de la stagnation de la Société arabo-musulmane et les conditions d’une nouvelle renaissance. Malek Bennabi, s’attèle à tenter d’éveiller les consciences pour une renaissance de cette société. Ayant vécu l’expérience coloniale et post – coloniale dans son pays, Malek Bennabi demeurera tourmenté par les obstacles de développement. Pour lui l’accession à l’indépendance et la construction d’un État moderne n’auront pas suffi à arracher la société au sous-développement économique, social et culturel. En effectuant une relecture du patrimoine islamique, tout comme l’ont fait deux penseurs décédés récemment : Al Djâbiri et Mohamed Arkoun. Malek Bennabi cherchait à offrir une énergie sociale capable à arracher les sociétés arabo-musulmanes de leur sous-développement et décadence. C’est sous cet angle, que nous allons, dans ce mémoire, mener notre réflexion en l’articulant autour de la problématique centrale qui traverse la pensée de Malek Bennabi, à savoir celle du renouveau de la société islamique marquée par une grande diversité. Nous allons tenter de répondre à plusieurs questions, dont la principale est la suivante : est-ce que Malek Bennabi a présenté, à travers ses idées, de la nouveauté pour changer la réalité arabo-musulmane?
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L’histoire des relations franco-japonaises est source de bien des surprises pour les historiens, ces deux pays n’ayant, à première vue, que peu de raisons de se rapprocher. La France du Second Empire est l’une des premières puissances à se rendre au Japon et elle démontre rapidement un vif intérêt pour le développement du Japon. Dès la signature des premiers traités en 1859, la présence française se développe pour atteindre son sommet quelques années plus tard. Malgré les changements de régime au Japon et en France, cette présence restera forte jusqu’au début des années 1880, avant de décliner. Qu’est-ce qui explique cet intérêt? Et, surtout, qu’est-ce qui explique le désintérêt de la France après les années 1880? Il n’y a que quelques auteurs qui ont tenté d’y trouver des réponses, et celles-ci sont, à notre point de vue, peu concluantes: soit la France agit pour faire grandir son prestige, soit elle agit en fonction de ses représentants. Nous tenterons dans le présent travail de cerner et, si possible, de trouver en utilisant une variété de sources françaises une autre cause plus convaincante comme explication de la position française au Japon. Serait-ce le commerce qui a motivé la France au Japon, notamment à cause de la crise du ver à soie? Serait-ce la religion, avec toute la question des persécutions des chrétiens? Ou encore, est-ce une raison plus globale liée à la colonisation de l’Indochine? Afin d’y répondre, nous avons étudié avec minutie les archives du gouvernement français ainsi que les données économiques de l’époque, afin de cerner l’importance qu’ont eue certaines raisons, telles la crise de la soie, les persécutions religieuses et la présence française en Indochine, dans les décisions du gouvernement français.
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Esta monografía analiza la amenaza que representa ETA para Francia y España; la respuesta frente al problema de los Estados implicados y propone los posibles factores limitantes a la cooperación que no han permitido eliminar la amenaza terrorista.
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La población roma/gitana representa la minoría étnica más numerosa de Europa occidental, y así mismo constituye una de las poblaciones más vulnerables que enfrenta serios problemas de discriminación y exclusión en la mayoría de sociedades europeas. La falta de efectividad en la formulación de políticas de inserción y las medidas adoptadas por los gobiernos nacionales para la gestión de la inmigración en general, tienen serias repercusiones sobre este colectivo. En efecto, las agendas políticas han securitizado el tema de la inmigración con la finalidad de controlar los flujos migratorios no solo a nivel nacional, sino ahora a nivel comunitario. De los países de Europa del este, Rumania constituye el principal país emisor de esta migración y Francia es uno de los principales países receptores en Europa occidental. La relación franco-rumana se ha potencializado en parte gracias al debate en torno al tema roma/gitano y así mismo se han adoptado medidas de carácter bilateral en términos de seguridad. Como consecuencia del ingreso de Rumania a la Unión Europea en el año 2007 y su futuro ingreso al espacio Schengen de libre circulación, la población romaní incrementará hasta los 4.4 millones aproximadamente y dejará de ser una migración internacional para convertirse en una migración de carácter interno, lo cual implica un cambio en la gestión migratoria hacia este colectivo a nivel comunitario.
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Comment faire évoluer sa pratique professionnelle? Notre proposition s'intéresse à l'activité des professeurs des écoles confrontés à la volonté de l’institution (IO 2008) de renforcer la place du récit dans l'enseignement de l'histoire à l’école aux dépens de la pédagogie du « tout document » (IO 2002). De plus, excepté le lapidaire « par l’usage du récit », aucune précision supplémentaire n'est apportée quant aux modalités. Aussi modifier sa pratique professionnelle est-il problématique lorsque les textes officiels sont aussi peu explicites quant au fond et à la forme
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La crisis griega no condicionó de manera especial la manera de negociar de Francia y Alemania. Si se comparan las ruedas de negociación para votar los salvavidas económicos y las negociaciones que se dieron para la firma del Tratado de Maastricht, se puede concluir que, en general, negociaron de una manera similar.
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El interés de este estudio de caso es mostrar y analizar las diferentes dinámicas políticas y económicas que se produjeron a lo largo de las negociaciones entre Francia y Alemania para la creación de una moneda única, el euro, durante la creación del Tratado de Maastricht, en el periodo 1990-1998. En este trabajo se muestra cómo convergen las posturas alemana y francesa y a la vez se diferencian en el transcurso de las negociaciones. Además, se analiza cómo dos Estados con posturas distintas lograron llegar a mutuos acuerdos por un objetivo superior a ellos, el cual beneficiaría a toda una región. Este análisis se desarrolló desde la perspectiva teórica de Andrew Moravcsik, basándose en los conceptos de Preferencias Nacionales y Negociaciones Interestatales.
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La autora se??ala que el dilatado per??odo que discurre entre 1936 y 1975 en la historia de Espa??a, conformado en todos los ??rdenes de la realidad social por unas caracter??sticas fuertemente unificadoras, va a suponer, para la mujer, un largo y costoso camino en el que tiene que aceptar y vivir desde un modelo de referencia femenino que condiciona y limita su estilo de presencia en la sociedad. En este proceso distingue diferentes etapas, marcadas por los cambios inevitables de ciertas condiciones econ??micas y sociales.
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Demuestra las limitaciones de los libros de texto como recurso para la enseñanza de la Historia a partir del análisis del tratamiento que hacen del franquismo. Por un lado, ofrecen una visión anticuada de la historia como forma de conocimiento y una deficiente incorporación de los resultados de la historiografía, en este caso sobre el franquismo. Por otro lado, desde el punto didáctico no facilitan al alumno la elaboración de una explicación y la conceptualización del franquismo, acciones fundamentales para cualquier aprendizaje histórico. Aparte de una renovación didáctica para la selección y secuencia de los contenidos, hay que saber también la forma de enseñarlos. En otro de los apartados muestra que la propia investigación historiográfica junto a una nueva concepción del aprendizaje aportan elementos para elaborar una alternativa didáctica, o sea, nuevos contenidos enseñados con una nueva metodología, que facilite al alumno el desarrollo de sus capacidades relacionadas con el conocimiento de la realidad social.
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Proyecto financiado a través del programa Sócrates Comenius 1.1. Otros centros que participaron en el proyecto: I.E.S. Gabriel y Galán (Plasencia, España), Collège 'Les Gondoliers' (La Roche sur Yon, Francia), 2ième Gymnase (Livadia, Grecia), Dominican Collège (Portstewart, Irlanda del Norte), Scuola Media 'A cavallari' (Portomaggiore, Italia) Escola Secundaria Nuno Alvares (Castelo Branco, Portugal) y Lycée Jacques Yves Cousteau (Saint Pétersbourg, Rusia)
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Estudiar la libertad de enseñanza en la España de Franco. Libertad de enseñanza entendida como el derecho de los particulares e instituciones no estatales a crear Centros de enseñanza, y más concretamente, Centros de enseñanza superior o Universidades. Consta de seis capítulos: 1.- Es introductorio y en él se presentan datos correspondientes a la trayectoria histórica en política universitaria desde el siglo XIX (a partir de la Constitución de 1812) hasta aproximadamente el primer tercio del siglo XX (incluida la II República española), al hilo de los intentos y logros legislativos más significativos. En ellas se reflejan las ideas educativas que quisieron aplicar los diferentes grupos dirigentes o susceptibles de serlo, a través de la configuración de un específico sistema educativo. 2.- Se contemplan las modificaciones que se produjeron en España durante los primeros años del franquismo, por actuación del Ministerio de Educación Nacional, para contribuir a la transformación de la vida del país, a través de reformas en el Bachillerato, en las altas instituciones científicas dedicadas principalmente a la investigación y en la Universidad. 3.- Está dedicado a considerar las sugerencias, propuestas y opiniones de determinadas instituciones de católicos (que de una u otra forma se dedican a la docencia), en relación con la anunciada reforma de la Universidad española, fundamentalmente las que hacen una referencia más directa a la libertad de enseñanza de la Iglesia en materia universitaria. 4.- Se centra en el proceso legislativo que precede a la promulgación de la Ley de Ordenación de la Universidad española de 1943 y en el estudio particular de los factores implicados en el reconocimiento de Centros universitarios no estatales. 5.- Considera la evolución cronológica del tema de la creación y reconocimiento de Centros de enseñanza superior no estatales en España, desde 1944 hasta los años finales del Ministerio de Joaquín Ruiz Giménez. 6.- La primera parte trata de la Ley de Ordenación de las Enseñanzas Técnicas de 1957, cuya promulgación supone la ruptura del monopolio estatal en la enseñanza técnica superior. La segunda parte del capítulo se refiere más específicamente a los aspectos que rodean la firma del Convenio entre el Estado Español y la Santa Sede, en 1962, que regula las condiciones para el reconocimiento civil de los estudios no eclesiásticos realizados en las Universidades de la Iglesia. 1.- En los años de Gobierno de Franco no se ha encontrado ninguna opinión destacada que cuestione el cometido de la Universidad como formadora de las minorías dirigentes. 2.- En el nuevo Estado surgido del golpe del 18 de julio la preocupación por la reforma de la Universidad es temprana (Proyecto de 1939 que regula las Universidades del Estado, Anteproyecto de Ley de Organización de las Universidades Nacionales de 1941, la Ley de Ordenación de la Universidad de 1943_). 3.- Con respecto a la reforma de la Universidad en los primeros años del franquismo deber señalarse que tanto las instituciones de católicos (reclaman el derecho de la Iglesia a crear Universidades), como algunos falangistas (también católicos, pero pertenecientes a instituciones oficiales), afirman que el liberalismo es el causante de los males de la Universidad española. 4.- En general, al reclamar la libertad de enseñanza se piensa en el derecho de creación de Centros docentes independientes de los del Estado. 5.- La firma del Concordato de 1953 supone el reconocimiento por el Estado español de los derechos de la Iglesia en todos los niveles de la enseñanza. 6.- Con la Ley de Ordenación de las Enseñanzas Técnicas de 20 de julio de 1957 se asiste a un punto de inflexión en el tema de la libertad de enseñanza. Dos avances significativos: El derecho a la existencia de Escuelas de Enseñanza Técnica de Grado Superior no estatales y el establecimiento de un examen global ante un Tribunal mixto para esas Enseñanzas Técnicas no estatales. 7.- El régimen de Franco, al reconocer los derechos docentes de la Iglesia hace posible que se haga realidad la libertad de creación de Universidades no estatales.
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Se reúnen los principales puntos tratados en las conversaciones franco-españolas para la revisión bilateral de los Manuales escolares de Historia. Las conversaciones fueron organizadas por las Comisiones Nacionales de la UNESCO de España y Francia, bajo los auspicios de la UNESCO. La reunión previa tuvo lugar en Madrid los días 4, 5 y 8 de abril de 1961. Se citan los representantes de ambos países que formaron parte de ambas Comisiones. Se llegó a un acuerdo sobre los principios y el procedimiento a seguir, que se formuló en los siguientes puntos: no se trata de llegar a conseguir la elaboración de manuales comunes de historia, ni de realizar un estudio crítico completo de los manuales de historia, sino de examinar cómo son presentados en los manuales, los períodos de más estrecha relación entre ambos países. También se tratará de señalar en los manuales: los errores de hecho, los olvidos, las interpretaciones capciosas y lo vocablos desafortunados. Otros aspectos que se destacan es el deseo de que en los manuales se llegue a conclusiones comunes, y el hecho de que las revisiones de los manuales se lleve a cabo en manuales de tipo medio, dirigidos a alumnos entre once y dieciocho años. En cumplimiento de este acuerdo, establecido en la citada reunión de representantes de las Comisiones Nacionales de la UNESCO Francesa y Española, se formó una Comisión mixta de historiadores de ambos países para proceder a la revisión de los mencionados manuales escolares. Las reuniones de esta Comisión mixta tuvieron lugar en Madrid, del 7 al 11 de noviembre de 1961. También se señalan los miembros que formaron parte de esta comisión. En ella se analizó como se muestra la historia de España en unos manuales escolares franceses determinados, y viceversa. Como elemento final se recogen una serie de conclusiones.