994 resultados para littérature provençale du Moyen Âge


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Title from caption.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Includes bibliographical references (p. [333]-358) and index.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Alors qu’elle se trouve au Mont Parnasse, la narratrice du Chemin de Long Estude de Christine de Pizan affirme reconnaître l’endroit pour l’avoir déjà lu chez Dante. Cette mention surprend considérant la quasi absence de la Comédie dans la littérature française de la fin du Moyen Âge, et si la tradition critique a eu tendance à y voir la revendication d’un projet mimétique, où le poème de Christine de Pizan serait une tentative d’imitation de la Comédie, les nombreux échos dantesques de l’oeuvre témoignent à l’inverse d’un important travail d’appropriation, en mettant systématiquement l’accent sur l’acquisition du savoir et l’inscription dans une filiation intellectuelle. Plus qu’une recension, le présent mémoire aspire à faire le point sur les présences de la Comédie dans le Chemin de Long Estude de même qu’à inscrire ces dernières dans un réseau. Cela amène non seulement à considérer l’oeuvre de Christine de Pizan dans sa totalité, mais aussi en regard des considérations littéraires de l’époque. Dans le premier cas, les renvois à Dante permettent de réfléchir au projet général de l’oeuvre, alors que le poème italien, plus que de représenter un idéal à reproduire, participe à une conquête de l’ordre par le savoir, aux côtés de la Consolation de Philosophie de Boèce et du Chemin de Long Estude lui-même. Dans le second cas, le fait de fonder le travail d’écriture sur la lecture préalable d’un auteur italien témoigne de la bibliophilie du siècle et de l’importance de la lecture, mais aussi de l’émergence timide de nouvelles autorités vernaculaires.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Boecio introdujo cambios notables en la consideración de algunas nociones filosóficas y teológicas, en particular en las de «persona», «esencia» y «eternidad». Estudio la evolución de estas tres ideas, representadas en los textos objeto de análisis por palabras y expresiones como «personne», «créature humaine» o «éternel». Para hacerlo, interrogo desde perspectivas diversas –léxica, semántica, sintáctica y pragmática–, un corpus compuesto por obras de reflexión (tratados, cartas, memorias...) escritos en francés por mujeres entre los siglos XIV y XVIII.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Partant de la réputation naïve, colorée et digressive de La Conquête de Constantinople de Robert de Clari, ce mémoire propose une analyse méthodique de ce récit en prose vernaculaire de la quatrième croisade de façon à en circonscrire les moments de continuité et de rupture. En fonction de plusieurs facteurs, dont leurs formules d’introduction et de clôture, leur rapport au temps de la croisade, leur longueur relative ainsi que leur positionnement dans l’économie globale du texte, les épisodes divergents sont identifiés puis analysés en travaillant lestement avec trois caractéristiques fondamentales de la digression plutôt qu’avec une définition nucléaire du concept, ce qui permet de discerner des degrés de digressif et d’offrir un panorama nuancé de l’oeuvre. Afin d’adopter un regard plus large sur le phénomène de la digression, quatre autres récits de croisade sont étudiés, et tous, qu’ils soient écrits en prose ou en vers, en français ou en latin, sont à leur façon coupables de s’être laissés emporter par leur sujet dans des excursus qui trahissent la personnalité et les convictions de leur auteur. Tout comme Clari, Villehardouin, l’auteur de l’Estoire de la guerre sainte, Eudes de Deuil et Albert d’Aix laissent entrevoir leur propre histoire lorsque celle qu’ils mettent à l’écrit s’égare de la droite voie de sa narration. Les digressions contenues dans les récits de croisade constituent ainsi une fenêtre privilégiée sur l’histoire des mentalités du Moyen Âge central, une mine d’informations qui ne peut être adéquatement exploitée que par les efforts conjoints de l’histoire et de la littérature.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Partant de la réputation naïve, colorée et digressive de La Conquête de Constantinople de Robert de Clari, ce mémoire propose une analyse méthodique de ce récit en prose vernaculaire de la quatrième croisade de façon à en circonscrire les moments de continuité et de rupture. En fonction de plusieurs facteurs, dont leurs formules d’introduction et de clôture, leur rapport au temps de la croisade, leur longueur relative ainsi que leur positionnement dans l’économie globale du texte, les épisodes divergents sont identifiés puis analysés en travaillant lestement avec trois caractéristiques fondamentales de la digression plutôt qu’avec une définition nucléaire du concept, ce qui permet de discerner des degrés de digressif et d’offrir un panorama nuancé de l’oeuvre. Afin d’adopter un regard plus large sur le phénomène de la digression, quatre autres récits de croisade sont étudiés, et tous, qu’ils soient écrits en prose ou en vers, en français ou en latin, sont à leur façon coupables de s’être laissés emporter par leur sujet dans des excursus qui trahissent la personnalité et les convictions de leur auteur. Tout comme Clari, Villehardouin, l’auteur de l’Estoire de la guerre sainte, Eudes de Deuil et Albert d’Aix laissent entrevoir leur propre histoire lorsque celle qu’ils mettent à l’écrit s’égare de la droite voie de sa narration. Les digressions contenues dans les récits de croisade constituent ainsi une fenêtre privilégiée sur l’histoire des mentalités du Moyen Âge central, une mine d’informations qui ne peut être adéquatement exploitée que par les efforts conjoints de l’histoire et de la littérature.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le travail offre une vision d’ensemble des représentations du Moyen Âge tardif (XIVe-XVIe siècles), consacrées à des héroïnes féminines, en vue d’une étude de synthèse encore manquante sur le sujet. Le domaine culturel examiné est français, mais le panorama est élargi aux représentations provençales et toscanes quand on a de traces de représentation en France, même si le texte original est perdu. Les protagonistes des drames conservés sont des héroïnes de la foi : l’étude se focalise en particulier sur les drames qui mettent en scène des martyres. En outre, sont analysés d’un côté deux dialogues dramatiques latins de Hrotsvita (Xe siècle), qui constituent l’exemple le plus ancien d’un drame médiéval consacré à une sainte martyre, dans une perspective comparatiste qui prend aussi en compte la diachronie ; de l’autre côté, sont proposés des excursus sur le culte et l’iconographie ainsi qu’une comparaison avec les légendes hagiographiques. Le commentaire des textes du corpus révèle non seulement leurs qualités poétiques et leurs potentialités performatives, mais il présente aussi les constantes dramaturgiques qui les relient ainsi que les singularités qui les distinguent. Enfin, la comparaison avec deux exemples de drames européens de la même époque qui mettent en scène respectivement une héroïne historique et une figure légendaire, placées dans un horizon mondain et non saint, vient enrichir la lecture de l’héroïne martyre. La thèse se donne pour perspective de montrer que les problèmes posés par les textes (la stigmatisation du sujet féminin libre, la répression de la résistance au pouvoir, la contradiction entre un corps vulnérable et une parole puissante) sont d’un intérêt considérable non seulement pour le lecteur expert, mais aussi pour un spectateur et un metteur en scène potentiels, de sorte que se trouve justifiée la redécouverte de ces représentations médiévales par et sur les scènes d’aujourd’hui.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La tragi-comédie de Corneille, «Le Cid» (1636-7), est davantage une pièce d‘amour qui illustre bien la condition de la femme au XVIIème siècle. Le triangle amoureux constitué par l‘Infante, Chimène et Rodrigue est l‘un des fondements de la pièce. Cependant, comme les personnages sont insérés dans un système féodal basé sur une idéologie aristocratique, l‘amour ne se présente pas comme une jouissance paisible. De cette façon, il y a une lutte acharnée entre l‘amour, le devoir et l‘honneur, ce qui est frappant au niveau lexical. Les personnages les plus jeunes utilisent beaucoup de mots associés au thème de l‘amour et qui ont le radical amour-, tandis que les plus âgés emploient très souvent des mots qui appartiennent au champ lexical de l‘honneur et de la gloire. Selon D. Diègue, l‘honneur a plus de puissance que l‘amour, et il trouve que l‘homme qui s‘endort dans l‘amour oublie ses devoirs. Pour l‘Infante, Chimène et Rodrigue, l‘amour est lié à la souffrance. L‘Infante souffre, mais elle se conforme, parce qu‘étant donné qu‘elle est fille de roi, elle ne peut pas aimer Rodrigue qui appartient à un rang inférieur. Chimène est le revers de l‘Infante, c‘est une femme rebelle qui veut mouler sa destinée. Cependant, tout au long de la pièce, l‘héroïne est assujettie à une force mâle: si parfois l‘amour entre elle et Rodrigue ressemble à l‘amour courtois du Moyen âge quand il se met à la disposition de sa maîtresse et la place au-dessus de lui, la plupart du temps il met la passion en dessous de l‘honneur, parce que c‘est un homme et descend d‘une famille de guerriers vaillants. Selon le code chevaleresque dans lequel il est inséré la femme est inférieure à l‘homme. À la fin de la pièce, il y a une victoire de l‘amour sur l‘honneur et le devoir : Chimène abdique de son honneur en pardonnant et en prenant pour mari l‘assassin de son père. Le monde de l‘élément masculin triomphe et elle devient le prix de la victoire de Rodrigue. Mais si son statut de femme l‘empêche de sortir victorieuse, elle ne se conforme pas et dans sa dernière tirade elle met en question la justice et défie la société féodale.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Dans l'histoire européenne ont commencé à se former, à partir de la fin du XVIIIe siècle, des objets politiques inédits que l'on appelle maintenant des nations. Le mouvement a commencé en France et en Grande-Bretagne, pour se propager rapi- dement dans toute l'Europe, soutenu par les profonds bouleversements entraînés par la révolution industrielle et une timide démocratisation des sociétés. Au milieu de ce continent en pleine mutation se trouve un autre objet politique, au moins aussi étrange, vieille confédération d'États souverains sortie tout droit du Moyen-Âge et qu'on appelait encore il y a peu le «Corps helvétique». La Suisse, puisque c'est d'elle qu'il s'agit, est-elle affectée par ce vaste mouvement des nationalismes, et si oui comment ? Les nations européennes se construisent fondamentalement autour de quatre éléments : un État centralisé, un territoire, une histoire et un peuple. Dans leur pléni- tude, ces quatre éléments manquent à la Suisse. En fait d'État centralisé, on trouve plutôt un pouvoir central faible, débordé à la fois par des cantons ayant conservé de nombreuses prérogatives et par des associations privées redoutablement efficaces. Son territoire n'est que le résultat hasardeux de traités d'entraide successifs; son histoire est marquée par la désunion et les guerres; quant au peuple suisse, il faut avoir une imagination fertile pour en concevoir concrètement l'existence. C'est pourquoi il faut parler, à propos de la Suisse, d'une fêlure nationale. A défaut de peuple facilement identifiable, on construit des mythes politiques rassembleurs, parmi lesquels la neutralité armée, le consensus, le fédéralisme ou la démocratie. Mais cette mythologie tourne toujours un peu à vide, ce sera le propos de cet essai de le montrer.