776 resultados para intervention research
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Depuis l’entrée en vigueur du Programme de formation de l’école québécoise en 2001, l’astronomie est à nouveau enseignée dans les classes du Québec. Malheureusement, l’école est mal outillée pour enseigner des concepts astronomiques complexes se déroulant pour la plupart en dehors des heures de classe et sur de longues périodes de temps. Sans compter que bien des phénomènes astronomiques mettent en jeu des astres se déplaçant dans un espace tridimensionnel auquel nous n’avons pas accès depuis notre point de vue géocentrique. Les phases de la Lune, concept prescrit au premier cycle du secondaire, sont de ceux-là. Heureusement, l’école peut compter sur l’appui du planétarium, musée de sciences dédié à la présentation, en accéléré et à toute heure du jour, de simulations ultra réalistes de divers phénomènes astronomiques. Mais quel type de planétarium secondera l’école ? Récemment, les planétariums ont eux aussi subi leur propre révolution : ces institutions sont passées de l’analogique au numérique, remplaçant les projecteurs optomécaniques géocentriques par des projecteurs vidéo qui offrent la possibilité de se déplacer virtuellement dans une simulation de l’Univers tridimensionnel complètement immersive. Bien que la recherche en éducation dans les planétariums se soit peu penchée sur ce nouveau paradigme, certaines de ses conclusions basées sur l’étude des planétariums analogiques peuvent nous aider à concevoir une intervention didactique fructueuse dans ces nouveaux simulateurs numériques. Mais d’autres sources d’inspiration seront invoquées, au premier chef la didactique des sciences, qui conçoit l’apprentissage non plus comme la transmission de connaissances, mais plutôt comme la construction de savoirs par les apprenants eux-mêmes, avec et contre leurs conceptions premières. La conception d’environnements d’apprentissages constructivistes, dont le planétarium numérique est un digne représentant, et l’utilisation des simulations en astronomie, complèteront notre cadre théorique et mèneront à la conception d’une intervention didactique à propos des phases de la Lune dans un planétarium numérique s’adressant à des élèves âgés de 12 à 14 ans. Cette intervention didactique a été mise à l’essai une première fois dans le cadre d’une recherche de développement (ingénierie didactique) visant à l’améliorer, à la fois sur son versant théorique et sur son versant pratique, par le biais de multiples itérations dans le milieu « naturel » où elle se déploie, ici un planétarium numérique gonflable de six mètres de diamètre. Nous présentons les résultats de notre première itération, réalisée en compagnie de six jeunes de 12 à 14 ans (quatre garçons et deux filles) dont nous avons recueilli les conceptions à propos des phases de la Lune avant, pendant et après l’intervention par le biais d’entrevues de groupe, questionnaires, mises en situation et enregistrement des interventions tout au long de l’activité. L'évaluation a été essentiellement qualitative, basée sur les traces obtenues tout au long de la séance, en particulier sous la voûte du planétarium. Ce matériel a ensuite été analysé pour valider les concepts théoriques qui ont mené à la conception de l'intervention didactique, d'une part, mais aussi pour faire émerger des améliorations possibles visant à bonifier l'intervention. Nous avons ainsi constaté que l'intervention provoque effectivement l'évolution des conceptions de la majorité des participants à propos des phases de la Lune, mais nous avons également identifié des façons de rendre l’intervention encore plus efficace à l’avenir.
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Ce mémoire porte sur le mouvement de l’Association des Paysans de Vallue (APV), qui a vu le jour après la chute de la dictature des Duvalier en Haïti en 1986. La recherche vise à cerner les stratégies mises en œuvre par l’APV dans le développement local, la portée et les impacts de ses initiatives locales sur les conditions de vie des paysans et sur leur relation avec le territoire de Vallue. Elle vise également à identifier les modes de participation des paysans dans la dynamique de développement local qui est implantée par l’APV à Vallue. Après avoir présenté une brève revue de littérature sur le développement local en Haïti, nous évoquons les problèmes confrontés par les paysans et les stratégies qu’ils ont développées en vue de trouver des moyens de survie. Pour comprendre et étudier l’expérience de l’APV à Vallue, nous nous sommes inspirés des perspectives théoriques portant sur le développement local et sur les stratégies d’intervention. La recherche est de type qualitatif ; elle est articulée autour de dix-sept (17) entretiens réalisés avec les vingt-et-un (21) participants recrutés à Vallue. Les résultats de la recherche indiquent que l’APV a su orchestrer des stratégies variées pour réaliser un développement qui est ancré localement et qui répond aux besoins des paysans. En misant sur l’éducation, la sensibilisation, la négociation, la concertation, le partenariat et en mobilisant des ressources locales et externes, l’APV a su réaliser des interventions qui provoquent tout un changement de mentalité et une conscience collective chez les paysans qui développent de nouvelles manières de faire dans l’éducation de leurs enfants et dans la protection de l’environnement de la zone. La route construite par l’association rend Vallue accessible et ouverte, ce qui facilite le développement et permet l’organisation d’une activité comme la foire de la montagne qui met en valeur les produits locaux et la culture locale. L’APV a su apporter des éléments de solution aux problèmes confrontés par les paysans et ses interventions ont des impacts sur leurs conditions de vie et sur leur relation avec le territoire de Vallue. Ils s’identifient mieux au territoire et développent toute une fierté par rapport à leur espace. En outre, la participation des paysans tant dans les élections, la prise de décision et les projets, constitue un élément important. Toutefois, cette participation comporte certaines limites liées au niveau d’éducation des membres de certains groupes. Enfin, il importe de souligner qu’à travers le dernier chapitre de la recherche nous dégageons les points de convergence et de divergence entre la partie théorique et la partie empirique.
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La vie de famille avec un adolescent comporte son lot de défis. Les émotions de l’adolescent qui se présentent parfois comme des montagnes russes peuvent rendre les relations tendues et difficiles au sein de la cellule familiale, voire même au-delà de celle-ci. Par son caractère inattendu, l’avènement d’un traumatisme craniocérébral (TCC) chez l’adolescent vient fragiliser encore davantage la dynamique familiale. En outre, la myriade d’impacts engendrés par le TCC contraint la famille à modifier son projet de vie en s’investissant ensemble pour le reconstruire. La résilience devant une situation de traumatisme ne se manifeste pas de la même façon pour toutes les familles qui y sont confrontées. Certaines d’entre elles réussissent à se transformer positivement, tandis que d’autres n’y parviennent pas ou manifestent plus de difficultés. Il convient alors d’actualiser des approches de soins interdisciplinaires centrées sur la famille qui favoriseraient la reconnaissance des éléments pouvant soutenir son processus de résilience à travers cette épreuve et, enfin, aider à transformer son projet de vie. Avec comme perspective disciplinaire le modèle humaniste des soins infirmiers (Cara, 2012; Cara & Girard, 2013; Girard & Cara, 2011), cette étude qualitative et inductive (LoBiondo-Wood, Haber, Cameron, & Singh, 2009), soutenue par une approche collaborative de recherche (Desgagné, 1997), a permis la coconstruction des composantes d’un programme d’intervention en soutien à la résilience familiale, avec des familles dont un adolescent est atteint d’un TCC modéré ou sévère et des professionnels de la réadaptation. Le modèle de développement et de validation d’interventions complexes (Van Meijel, Gamel, Van Swieten-Duijfjes, & Grypdonck, 2004) a structuré la collecte des données en trois volets. Le premier volet consistait à identifier les composantes du programme d’intervention selon les familles (n=6) et les professionnels de la réadaptation (n=5). La priorisation et la validation des composantes du programme d’intervention, soit respectivement le deuxième et troisième volets, se sont réalisées auprès de ces mêmes familles (n=6 au volet 2 et n=4 au volet 3) et professionnels de la réadaptation (n=5 aux volets 2 et 3). Le processus d’analyse des données (Miles & Huberman, 2003) a repéré cinq thèmes intégrateurs, considérés comme les composantes du programme d’intervention en soutien à la résilience familiale à la suite du TCC modéré ou sévère d’un adolescent. Ce sont : 1) les caractéristiques de la famille et ses influences; 2) les stratégies familiales positives; 3) le soutien familial et social; 4) la prise en charge de l’aspect occupationnel et; 5) l’apport de la communauté et des professionnels de la santé. Les résultats issus de ce processus de coconstruction ont produit une matrice solide, suffisamment flexible pour pouvoir s’adapter aux différents contextes dans lesquels évoluent les familles et les professionnels de la réadaptation. Cette étude offre en outre des avenues intéressantes tant pour les praticiens que pour les gestionnaires et les chercheurs en sciences infirmières et dans d’autres disciplines quant à la mise en place de stratégies concrètes visant à soutenir le processus de résilience des familles dans des situations particulièrement difficiles de leur vie.
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Rapport de stage présenté à la faculté des sciences infirmières en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) en sciences infirmières option expertise-conseil en soins infirmiers
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La présente thèse se base sur les principes de la théorisation ancrée (Strauss & Corbin, 1998) afin de répondre au manque de documentation concernant les stratégies adoptées par des « agents intermédiaires » pour promouvoir l’utilisation des connaissances issues de la recherche auprès des intervenants en éducation. Le terme « agent intermédiaire » réfère aux personnes qui sont positionnées à l’interface entre les producteurs et les utilisateurs des connaissances scientifiques et qui encouragent et soutiennent les intervenants scolaires dans l’application des connaissances scientifiques dans leur pratique. L’étude s’inscrit dans le cadre d’un projet du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec visant à améliorer la réussite scolaire des élèves du secondaire provenant de milieux défavorisés. Des agents intermédiaires de différents niveaux du système éducatif ayant obtenu le mandat de transférer des connaissances issues de la recherche auprès des intervenants scolaires dans les écoles visées par le projet ont été sollicités pour participer à l’étude. Une stratégie d’échantillonnage de type « boule-de-neige » (Biernacki & Waldorf, 1981; Patton, 1990) a été employée afin d’identifier les personnes reconnues par leurs pairs pour la qualité du soutien offert aux intervenants scolaires quant à l’utilisation de la recherche dans leur pratique. Seize entrevues semi-structurées ont été réalisées. L’analyse des données permet de proposer un modèle d’intervention en transfert de connaissances composé de 32 stratégies d’influence, regroupées en 6 composantes d’intervention, soit : relationnelle, cognitive, politique, facilitatrice, évaluative, de même que de soutien et de suivi continu. Les résultats suggèrent que les stratégies d’ordre relationnelle, cognitive et politique sont interdépendantes et permettent d’établir un climat favorable dans lequel les agents peuvent exercer une plus grande influence sur l’appropriation du processus de l’utilisation des connaissances des intervenants scolaire. Ils montrent en outre que la composante de soutien et de suivi continu est importante pour maintenir les changements quant à l’utilisation de la recherche dans la pratique chez les intervenants scolaires. Les implications théoriques qui découlent du modèle, ainsi que les explications des mécanismes impliqués dans les différentes composantes, sont mises en perspective tant avec la documentation scientifique en transfert de connaissances dans les secteurs de la santé et de l’éducation, qu’avec les travaux provenant de disciplines connexes (notamment la psychologie). Enfin, des pistes d’action pour la pratique sont proposées.
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La souffrance psychologique des adolescents fait l'objet d'une attention croissante des pouvoirs publics, des mondes associatifs, et bien sûr des cliniciens et des travailleurs psychosociaux. Pour les adolescents migrants, cette souffrance, aggravée par la fragilité, les malaises et les tensions de l'adolescence, est compliquée par l'appareil de santé publique bureaucratique complexe destiné à traduire dans le langage des soins le malaise des attitudes, des comportements et des tendances qui se dégagent de leur statut de migrant tantôt mal vécu, tantôt réprouvé par leur environnement et leur parcours personnel et familial. Ce mémoire de maîtrise a exploré l'un d'entre eux, celui de la clinique de psychiatrie transculturelle, où l'écoute de ce qui se dit importe tout autant que la traduction et la gestion de ces souffrances. En utilisant une approche anthropologique, j'analyse les discours et les attitudes de dix thérapeutes et les travailleurs sociaux qui interviennent auprès de ces familles. Cette recherche montre que le cadre de gestion sociale et culturelle qui inclut les soignants et les familles, et les ambivalences de jeunes adolescents, ne peut être analysé sans référencer le contexte plus large des différences de classes, d'accès au pouvoir, d'orientations et de bagages culturels affectant à la fois le vécu des adolescents et la manière avec laquelle leurs angoisses seront communiquées et traduites. Dans cette perspective particulière, les paradoxes et les résistances de certains professionnels médicaux et sociaux, dont les positions qu'ils occupent au sein des structures du pouvoir, autrement, pourraient les tenter de s'engager dans des diagnostics faciles liés à la socialisation prétendument difficile de ces adolescences. Au lieu de cela, ils créent des stratégies uniques qui respectent les idiomes officiels encadrant leur autorité médicale et sociale.
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Ce mémoire a pour objectif de comprendre l’expérience de travail des agents œuvrant en réinsertion sociale auprès de condamnés provinciaux en collectivité au Québec. Plus précisément, cette recherche souhaite saisir le rôle exercé par ces agents, dans un contexte où ils exercent un double mandat de sécurité publique et de réinsertion sociale. L’étude tente aussi de mettre en lumière leurs pratiques de travail, inscrites dans une logique de gestion efficace des risques. Enfin, ce mémoire vise à comprendre la place qu’occupe la réinsertion sociale dans le cadre de leur travail. Pour ce faire, l’approche qualitative a permis de mener quinze (15) entretiens auprès d’agents de probation et d’intervenants issus du secteur communautaire responsables de la surveillance de justiciables provinciaux en collectivité. Deux (2) thèmes principaux émergent de ces entrevues. D’une part, Le travail est décrit par les participants en regard du double rôle exercé, des responsabilités légales et cliniques qui leur incombent, et de l’intervention centrée sur le risque et la réinsertion sociale auprès des contrevenants. D’autre part, Le contexte de travail réfère au partenariat établi entre les intervenants, au recours aux outils actuariels, ainsi qu’aux instances modulant leurs pratiques de travail : les médias, la Commission québécoise des libérations conditionnelles et les Services correctionnels du Québec. Il ressort de nos analyses que la sécurité publique par la gestion efficace des risques se manifeste par une forme de rationalisation des pratiques de travail et par l’intégration d’un rôle de contrôle. Il appert cependant que ces deux (2) aspects sont motivés avant tout par le désir de venir en aide à la population contrevenante. Il résulte finalement de l’étude que la réinsertion sociale ne constitue qu’un objectif de l’intervention parmi d’autres. Les participants doivent jongler avec ces diverses finalités afin de s’ajuster à l’acteur principal de leur travail : le contrevenant.
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Nutrition science finds itself at a major crossroad. On the one hand we can continue the current path, which has resulted in some substantial advances, but also many conflicting messages which impair the trust of the general population, especially those who are motivated to improve their health through diet. The other road is uncharted and is being built over the many exciting new developments in life sciences. This new era of nutrition recognizes the complex relation between the health of the individual, its genome, and the life-long dietary exposure, and has lead to the realisation that nutrition is essentially a gene - environment interaction science. This review on the relation between genotype, diet and health is the first of a series dealing with the major challenges in molecular nutrition, analyzing the foundations of nutrition research. With the unravelling of the human genome and the linking of its variability to a multitude of phenotypes from " healthy'' to an enormously complex range of predispositions, the dietary modulation of these propensities has become an area of active research. Classical genetic approaches applied so far in medical genetics have steered away from incorporating dietary effects in their models and paradoxically, most genetic studies analyzing diet-associated phenotypes and diseases simply ignore diet. Yet, a modest but increasing number of studies are accounting for diet as a modulator of genetic associations. These range from observational cohorts to intervention studies with prospectively selected genotypes. New statistical and bioinformatics approaches are becoming available to aid in design and evaluation of these studies. This review discusses the various approaches used and provides concrete recommendations for future research.
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Background: Medication errors are an important cause of morbidity and mortality in primary care. The aims of this study are to determine the effectiveness, cost effectiveness and acceptability of a pharmacist-led information-technology-based complex intervention compared with simple feedback in reducing proportions of patients at risk from potentially hazardous prescribing and medicines management in general (family) practice. Methods: Research subject group: "At-risk" patients registered with computerised general practices in two geographical regions in England. Design: Parallel group pragmatic cluster randomised trial. Interventions: Practices will be randomised to either: (i) Computer-generated feedback; or (ii) Pharmacist-led intervention comprising of computer-generated feedback, educational outreach and dedicated support. Primary outcome measures: The proportion of patients in each practice at six and 12 months post intervention: - with a computer-recorded history of peptic ulcer being prescribed non-selective non-steroidal anti-inflammatory drugs - with a computer-recorded diagnosis of asthma being prescribed beta-blockers - aged 75 years and older receiving long-term prescriptions for angiotensin converting enzyme inhibitors or loop diuretics without a recorded assessment of renal function and electrolytes in the preceding 15 months. Secondary outcome measures; These relate to a number of other examples of potentially hazardous prescribing and medicines management. Economic analysis: An economic evaluation will be done of the cost per error avoided, from the perspective of the UK National Health Service (NHS), comparing the pharmacist-led intervention with simple feedback. Qualitative analysis: A qualitative study will be conducted to explore the views and experiences of health care professionals and NHS managers concerning the interventions, and investigate possible reasons why the interventions prove effective, or conversely prove ineffective. Sample size: 34 practices in each of the two treatment arms would provide at least 80% power (two-tailed alpha of 0.05) to demonstrate a 50% reduction in error rates for each of the three primary outcome measures in the pharmacist-led intervention arm compared with a 11% reduction in the simple feedback arm. Discussion: At the time of submission of this article, 72 general practices have been recruited (36 in each arm of the trial) and the interventions have been delivered. Analysis has not yet been undertaken.
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In recent years there has been a rapid growth of interest in exploring the relationship between nutritional therapies and the maintenance of cognitive function in adulthood. Emerging evidence reveals an increasingly complex picture with respect to the benefits of various food constituents on learning, memory and psychomotor function in adults. However, to date, there has been little consensus in human studies on the range of cognitive domains to be tested or the particular tests to be employed. To illustrate the potential difficulties that this poses, we conducted a systematic review of existing human adult randomised controlled trial (RCT) studies that have investigated the effects of 24 d to 36 months of supplementation with flavonoids and micronutrients on cognitive performance. There were thirty-nine studies employing a total of 121 different cognitive tasks that met the criteria for inclusion. Results showed that less than half of these studies reported positive effects of treatment, with some important cognitive domains either under-represented or not explored at all. Although there was some evidence of sensitivity to nutritional supplementation in a number of domains (for example, executive function, spatial working memory), interpretation is currently difficult given the prevailing 'scattergun approach' for selecting cognitive tests. Specifically, the practice means that it is often difficult to distinguish between a boundary condition for a particular nutrient and a lack of task sensitivity. We argue that for significant future progress to be made, researchers need to pay much closer attention to existing human RCT and animal data, as well as to more basic issues surrounding task sensitivity, statistical power and type I error.
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Background: Medication errors in general practice are an important source of potentially preventable morbidity and mortality. Building on previous descriptive, qualitative and pilot work, we sought to investigate the effectiveness, cost-effectiveness and likely generalisability of a complex pharm acist-led IT-based intervention aiming to improve prescribing safety in general practice. Objectives: We sought to: • Test the hypothesis that a pharmacist-led IT-based complex intervention using educational outreach and practical support is more effective than simple feedback in reducing the proportion of patients at risk from errors in prescribing and medicines management in general practice. • Conduct an economic evaluation of the cost per error avoided, from the perspective of the National Health Service (NHS). • Analyse data recorded by pharmacists, summarising the proportions of patients judged to be at clinical risk, the actions recommended by pharmacists, and actions completed in the practices. • Explore the views and experiences of healthcare professionals and NHS managers concerning the intervention; investigate potential explanations for the observed effects, and inform decisions on the future roll-out of the pharmacist-led intervention • Examine secular trends in the outcome measures of interest allowing for informal comparison between trial practices and practices that did not participate in the trial contributing to the QRESEARCH database. Methods Two-arm cluster randomised controlled trial of 72 English general practices with embedded economic analysis and longitudinal descriptive and qualitative analysis. Informal comparison of the trial findings with a national descriptive study investigating secular trends undertaken using data from practices contributing to the QRESEARCH database. The main outcomes of interest were prescribing errors and medication monitoring errors at six- and 12-months following the intervention. Results: Participants in the pharmacist intervention arm practices were significantly less likely to have been prescribed a non-selective NSAID without a proton pump inhibitor (PPI) if they had a history of peptic ulcer (OR 0.58, 95%CI 0.38, 0.89), to have been prescribed a beta-blocker if they had asthma (OR 0.73, 95% CI 0.58, 0.91) or (in those aged 75 years and older) to have been prescribed an ACE inhibitor or diuretic without a measurement of urea and electrolytes in the last 15 months (OR 0.51, 95% CI 0.34, 0.78). The economic analysis suggests that the PINCER pharmacist intervention has 95% probability of being cost effective if the decision-maker’s ceiling willingness to pay reaches £75 (6 months) or £85 (12 months) per error avoided. The intervention addressed an issue that was important to professionals and their teams and was delivered in a way that was acceptable to practices with minimum disruption of normal work processes. Comparison of the trial findings with changes seen in QRESEARCH practices indicated that any reductions achieved in the simple feedback arm were likely, in the main, to have been related to secular trends rather than the intervention. Conclusions Compared with simple feedback, the pharmacist-led intervention resulted in reductions in proportions of patients at risk of prescribing and monitoring errors for the primary outcome measures and the composite secondary outcome measures at six-months and (with the exception of the NSAID/peptic ulcer outcome measure) 12-months post-intervention. The intervention is acceptable to pharmacists and practices, and is likely to be seen as costeffective by decision makers.
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Background: Medication errors are common in primary care and are associated with considerable risk of patient harm. We tested whether a pharmacist-led, information technology-based intervention was more effective than simple feedback in reducing the number of patients at risk of measures related to hazardous prescribing and inadequate blood-test monitoring of medicines 6 months after the intervention. Methods: In this pragmatic, cluster randomised trial general practices in the UK were stratified by research site and list size, and randomly assigned by a web-based randomisation service in block sizes of two or four to one of two groups. The practices were allocated to either computer-generated simple feedback for at-risk patients (control) or a pharmacist-led information technology intervention (PINCER), composed of feedback, educational outreach, and dedicated support. The allocation was masked to general practices, patients, pharmacists, researchers, and statisticians. Primary outcomes were the proportions of patients at 6 months after the intervention who had had any of three clinically important errors: non-selective non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs) prescribed to those with a history of peptic ulcer without co-prescription of a proton-pump inhibitor; β blockers prescribed to those with a history of asthma; long-term prescription of angiotensin converting enzyme (ACE) inhibitor or loop diuretics to those 75 years or older without assessment of urea and electrolytes in the preceding 15 months. The cost per error avoided was estimated by incremental cost-eff ectiveness analysis. This study is registered with Controlled-Trials.com, number ISRCTN21785299. Findings: 72 general practices with a combined list size of 480 942 patients were randomised. At 6 months’ follow-up, patients in the PINCER group were significantly less likely to have been prescribed a non-selective NSAID if they had a history of peptic ulcer without gastroprotection (OR 0∙58, 95% CI 0∙38–0∙89); a β blocker if they had asthma (0∙73, 0∙58–0∙91); or an ACE inhibitor or loop diuretic without appropriate monitoring (0∙51, 0∙34–0∙78). PINCER has a 95% probability of being cost eff ective if the decision-maker’s ceiling willingness to pay reaches £75 per error avoided at 6 months. Interpretation: The PINCER intervention is an effective method for reducing a range of medication errors in general practices with computerised clinical records. Funding: Patient Safety Research Portfolio, Department of Health, England.
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With the substantial economic and social burden of CVD, the need to modify diet and lifestyle factors to reduce risk has become increasingly important. Milk and dairy products, being one of the main contributors to SFA intake in the UK, are a potential target for dietary SFA reduction. Supplementation of the dairy cow's diet with a source of MUFA or PUFA may have beneficial effects on consumers' CVD risk by partially replacing milk SFA, thus reducing entry of SFA into the food chain. A total of nine chronic human intervention studies have used dairy products, modified through bovine feeding, to establish their effect on CVD risk markers. Of these studies, the majority utilised modified butter as their primary test product and used changes in blood cholesterol concentrations as their main risk marker. Of the eight studies that measured blood cholesterol, four reported a significant reduction in total and LDL-cholesterol (LDL-C) following chronic consumption of modified milk and dairy products. Data from one study suggested that a significant reduction in LDL-C could be achieved in both the healthy and hypercholesterolaemic population. Thus, evidence from these studies suggests that consumption of milk and dairy products with modified fatty acid composition, compared with milk and dairy products of typical milk fat composition, may be beneficial to CVD risk in healthy and hypercholesterolaemic individuals. However, current evidence is insufficient and further work is needed to investigate the complex role of milk and cheese in CVD risk and explore the use of novel markers of CVD risk.
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This paper examines the extent to which a structured undergraduate research intervention, UROP, permits undergraduate students early access to legitimate peripheral participation (LPP) in a research community of practice. Accounts of placement experiences suggest that UROP affords rich possibilities for engagement with research practice. Undergraduates tread a path of gaining access to mature practice while also building their own independence, participating in work that they see matters to the community and making gains in use of a shared research repertoire. Students place UROP experiences in a contrasting frame to research exercises experienced during degree programmes; their sense of the authenticity of the research experienced through UROP emerges as a key element of these accounts. The data generate the interesting question that the degree of engagement with mature practice may account for more of the gain from UROP than simply the quantity of contact other researchers.
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There has been an increasing interest in the impact of individual well-being on the attitudes and actions of people receiving services designed to offer support. If well-being factors are important in the uptake and success of service programmes it is important that the nature of the relationships involved is understood by service designers and implementers. As a contribution to understanding, this paper examines the impact of well-being on the uptake of intervention programmes for homeless people. From the literature on well-being a number of factors are identified that contribute towards overall well-being, which include personal efficacy and identity, but also more directly well-being can be viewed as personal or group/collective esteem. The impact of these factors on service use is assessed by means of two studies of homelessness service users, comparing the implementation of two research tools: a shortened and a fuller one. The conclusions are that the factors identified are related to service use. The higher the collective esteem – esteem drawn from identification with services and their users and providers – and the less that they feel isolated, the more benefits that homeless people will perceive with service use, and in turn the more likely they are to be motivated to use services. However, the most important factors in explaining service use are a real sense that it is appropriate to accept social support from others, a rejection of the social identity as homeless but a cultivation of being valued as part of a non-homeless community, and a positive perception of the impact of the service.