998 resultados para Tielke, Johann Gottlieb, 1731-87.
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This project consisted of slipforming a 4-inch thick econocrete subbase on a 6-mile section of US 63. The project location extends south from one mile south of Denver, Iowa to Black Hawk County Road C-66 and consisted of the reconstruction and new construction of a divided four-lane facility. The econocrete was placed 27.3 feet wide in a single pass. Fly ash was used in this field study to replace 30, 45 and 60 percent of the portland cement in three portland cement econocrete base paving mixes. The three mixes contained 300, 350 and 400 pounds of cementitious material per cubic yard. Two Class "C" ashes from Iowa approved sources were used. The ash was substituted on the basis of one pound of ash for each pound of cement removed. The work was done October 6-29, 1987 and May 25-June 9, 1988. The twelve subbase mixes were placed in sections 2500 to 3000 feet in length on both the north and southbound roadways. Compressive strengths of all mixes were determined at 3 and 28 days of age. Flexural strengths of all mixes were determined at 7 and 14 days. In all cases strengths were adequate. The freeze/thaw durability of the econocrete mixes used was reduced by increased fly ash levels but remained above acceptable limits. The test results demonstrate the feasibility of producing econocrete with satisfactory properties even using fly ash at substitution rates up to 45 percent.
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La présente recherche se propose de désobstruer un certain nombre de catégories « esthétiques », au sens étendu du terme, de leur métaphysique implicite. La thèse que je souhaite défendre se présente sous la forme d'un paradoxe : d'une part, le sens originel d'« esthétique » a été perdu de vue, d'autre part, malgré cet oubli, quiconque s'interroge philosophiquement sur les beaux-arts reçoit, nolens volens, Baumgarten en héritage. Avec AEsthetica (1750/1758), ouvrage inachevé et hautement problématique, nous pourrions dire, citant René Char, qu'il s'agit-là d'un « héritage précédé d'aucun testament ». En d'autres termes, ce qui nous échoit nous occupe, voire nous préoccupe, sans que nous disposions des outils conceptuels pour nous y rapporter librement. Soyons clairs, je ne soutiens pas que l'esthétique philosophique, telle qu'elle s'énonce à ses débuts, soit un passage obligé pour penser l'art, et ce d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'un passage, mais proprement d'une impasse. Ce que je veux dire, c'est que Kant répond à Baumgarten, et que Hegel répond à Kant et ainsi de suite. Il n'y a pas de tabula rasa dans l'histoire de la pensée, et l'oubli de l'historicité d'une pensée est le meilleur moyen de la neutraliser en simple supplément culturel, tout en demeurant entièrement captifs de ses présupposés.Au départ, la question qui motivait implicitement la rédaction de cette recherche se formulait ainsi : « Dans quelle mesure la philosophie énonce-t-elle quelque chose d'important au sujet des beaux-arts ? » Au fil du temps, la question s'est inversée pour devenir : « Qu'est-ce que les écrits sur les beaux- arts, tels qu'ils foisonnent au 18e siècle, nous enseignent à propos de la philosophie et des limites inhérentes à sa manière de questionner ?» Et gardons-nous de penser qu'une telle inversion cantonne la question de l'esthétique, au sens très large du terme, à n'être qu'une critique immanente à l'histoire de la philosophie. Si la philosophie était une « discipline » parmi d'autres, un « objet » d'étude possible dans la liste des matières universitaires à choix, elle ne vaudrait pas, à mon sens, une seule heure de peine. Mais c'est bien parce que la philosophie continue à orienter la manière dont nous nous rapportons au « réel », au « monde » ou à l'« art » - je place les termes entre guillemets pour indiquer qu'il s'agit à la fois de termes usuels et de concepts philosophiques - que les enjeux de la question de l'esthétique, qui est aussi et avant tout la question du sentir, excèdent l'histoire de la philosophie.Pour introduire aux problèmes soulevés par l'esthétique comme discipline philosophique, j'ai commencé par esquisser à grands traits la question du statut de l'image, au sens le plus général du terme. Le fil conducteur a été celui de l'antique comparaison qui conçoit la poésie comme une « peinture parlante » et la peinture comme une « poésie muette ». Dans le prolongement de cette comparaison, le fameux adage ut pictura poesis erit a été conçu comme le véritable noeud de toute conception esthétique à venir.Il s'est avéré nécessaire d'insister sur la double origine de la question de l'esthétique, c'est-à-dire la rencontre entre la pensée grecque et le christianisme. En effet, l'un des concepts fondamentaux de l'esthétique, le concept de création et, plus spécifiquement la possibilité d'une création ex nihiio, a été en premier lieu un dogme théologique. Si j'ai beaucoup insisté sur ce point, ce n'est point pour établir une stricte identité entre ce dogme théologique et le concept de création esthétique qui, force est de l'admettre, est somme toute souvent assez flottant dans les écrits du 18e siècle. L'essor majeur de la notion de création, couplée avec celle de génie, sera davantage l'une des caractéristiques majeures du romantisme au siècle suivant. La démonstration vise plutôt à mettre en perspective l'idée selon laquelle, à la suite des théoriciens de l'art de la Renaissance, les philosophes du Siècle des Lumières ont accordé au faire artistique ou littéraire une valeur parfaitement inédite. Si l'inventeur du terme « esthétique » n'emploie pas explicitement le concept de création, il n'en demeure pas moins qu'il attribue aux poètes et aux artistes le pouvoir de faire surgir des mondes possibles et que ceux-ci, au même titre que d'autres régions de l'étant, font l'objet d'une saisie systématique qui vise à faire apparaître la vérité qui leur est propre. Par l'extension de l'horizon de la logique classique, Baumgarten inclut les beaux-arts, à titre de partie constituante des arts libéraux, comme objets de la logique au sens élargi du terme, appelée « esthético- logique ». L'inclusion de ce domaine spécifique d'étants est justifiée, selon les dires de son auteur, par le manque de concrétude de la logique formelle. Or, et cela n'est pas le moindre des paradoxes de l'esthétique, la subsomption des beaux-arts sous un concept unitaire d'Art et la portée noétique qui leur est conférée, s'opère à la faveur du sacrifice de leur singularité et de leur spécificité. Cela explique le choix du titre : « métaphysique de l'Art » et non pas « métaphysique de l'oeuvre d'art » ou « métaphysique des beaux-arts ». Et cette aporîe constitutive de la première esthétique est indépassable à partir des prémices que son auteur a établies, faisant de la nouvelle discipline une science qui, à ce titre, ne peut que prétendre à l'universalité.Au 18e siècle, certaines théories du beau empruntent la voie alternative de la critique du goût. J'ai souhaité questionner ces alternatives pour voir si elles échappent aux problèmes posés par la métaphysique de l'Art. Ce point peut être considéré comme une réplique à Kant qui, dans une note devenue célèbre, soutient que « les Allemands sont les seuls à se servir du mot "esthétique" pour désigner ce que d'autres appellent la critique du goût ». J'ai démontré que ces deux termes ne sont pas synonymes bien que ces deux positions philosophiques partagent et s'appuient sur des présupposés analogues.La distinction entre ces deux manières de penser l'art peut être restituée synthétiquement de la sorte : la saisie systématique des arts du beau en leur diversité et leur subsomption en un concept d'Art unitaire, qui leur attribue des qualités objectives et une valeur de vérité indépendante de toute saisie subjective, relègue, de facto, la question du jugement de goût à l'arrière-plan. La valeur de vérité de l'Art, définie comme la totalité des qualités intrinsèques des oeuvres est, par définition, non tributaire du jugement subjectif. Autrement dit, si les oeuvres d'art présentent des qualités intrinsèques, la question directrice inhérente à la démarche de Baumgarten ne peut donc nullement être celle d'une critique du goût, comme opération subjective {Le. relative au sujet, sans que cela soit forcément synonyme de « relativisme »), mais bien la quête d'un fondement qui soit en mesure de conférer à l'esthétique philosophique, en tant que métaphysique spéciale, sa légitimité.Ce qui distingue sur le plan philosophique le projet d'une métaphysique de l'Art de celui d'une esthétique du goût réside en ceci que le premier est guidé, a priori, par la nécessité de produire un discours valant universellement, indépendant des oeuvres d'art, tandis que le goût, pour s'exercer, implique toujours une oeuvre singulière, concrète, sans laquelle celui-ci ne reste qu'à l'état de potentialité. Le goût a trait au particulier et au contingent, sans être pour autant quelque chose d'aléatoire. En effet, il n'est pas un véritable philosophe s'interrogeant sur cette notion qui n'ait entrevu, d'une manière ou d'une autre, la nécessité de porter le goût à la hauteur d'un jugement, c'est-à-dire lui conférer au moins une règle ou une norme qui puisse le légitimer comme tel et le sauver du relativisme, pris en son sens le plus péjoratif. La délicatesse du goût va même jusqu'à être tenue pour une forme de « connaissance », par laquelle les choses sont appréhendées dans toute leur subtilité. Les différents auteurs évoqués pour cette question (Francis Hutcheson, David Hume, Alexander Gerard, Louis de Jaucourt, Montesquieu, Voltaire, D'Alembert, Denis Diderot, Edmund Burke), soutiennent qu'il y a bien quelque chose comme des « normes » du goût, que celles-ci soient inférées des oeuvres de génie ou qu'elles soient postulées a priori, garanties par une transcendance divine ou par la bonté de la Nature elle-même, ce qui revient, en dernière instance au même puisque le geste est similaire : rechercher dans le suprasensible, dans l'Idée, un fondement stable et identique à soi en mesure de garantir la stabilité de l'expérience du monde phénoménal.La seconde partie de la recherche s'est articulée autour de la question suivante : est-ce que les esthétiques du goût qui mesurent la « valeur » de l'oeuvre d'art à l'aune d'un jugement subjectif et par l'intensité du sentiment échappent aux apories constitutives de la métaphysique de l'Art ?En un sens, une réponse partielle à cette question est déjà contenue dans l'expression « esthétique du goût ». Cette expression ne doit pas être prise au sens d'une discipline ou d'un corpus unifié : la diversité des positions présentées dans cette recherche, bien que non exhaustive, suffit à le démontrer. Mais ce qui est suggéré par cette expression, c'est que ces manières de questionner l'art sont plus proches du sens original du terme aisthêsis que ne l'est la première esthétique philosophique de l'histoire de la philosophie. L'exercice du goût est une activité propre du sentir qui, en même temps, est en rapport direct avec la capacité intellectuelle à discerner les choses et à un juger avec finesse et justesse.Avec le goût esthétique s'invente une espèce de « sens sans organe » dont la teneur ontologique est hybride, mais dont le nom est identique à celui des cinq sens qui procurent la jouissance sensible la plus immédiate et la moins raisonnable qui soit. Par la reconnaissance de l'existence d'un goût « juste » et « vrai », ou à défaut, au moins de l'existence d'une « norme » indiscutable de celui-ci, c'est-à-dire de la possibilité de formuler un jugement de goût une tentative inédite de spîritualisation de la sensibilité a lieu.Par conséquent, il est loin d'être évident que ce que j'ai appelé les esthétiques du goût échappent à un autre aspect aporétique de la métaphysique de l'Art, à savoir : passer à côté du caractère singulier de telle ou telle oeuvre afin d'en dégager les traits universels qui permettent au discours de s'étayer. Dans une moindre mesure, cela est même le cas dans les Salons de Diderot où, trop souvent, le tableau sert de prétexte à l'élaboration d'un discours brillant.Par contre, tout l'intérêt de la question du goût réside en ceci qu'elle présente, de façon particulièrement aiguë, les limites proprement métaphysiques dont l'esthétique, à titre de discipline philosophique, se fait la légataire et tente à sa manière d'y remédier par une extension inédite du concept de vérité et sa caractérisai ion en termes de vérité « esthéticologique » au paragraphe 427 de Y Esthétique. Cela dit, le fait même que dans l'empirisme la sensibilité s'oppose, une fois de plus, à l'intellect comme source de la naissance des idées - même si c'est dans la perspective d'une réhabilitation de la sensibilité -, indique que l'horizon même de questionnement demeure inchangé. Si le goût a pu enfin acquérir ses lettres de noblesse philosophique, c'est parce qu'il a été ramené, plus ou moins explicitement, du côté de la raison. Le jugement portant sur les arts et, de manière plus générale, sur tout ce qui est affaire de goût ne saurait se limiter au sentiment de plaisir immédiat. Le vécu personnel doit se transcender en vertu de critères qui non seulement permettent de dépasser le relativisme solipsiste, mais aussi de donner forme à l'expérience vécue afin qu'elle manifeste à chaque fois, et de façon singulière, une portée universelle.Le goût, tel qu'il devient un topos des discours sur l'art au 18e siècle, peut, à mon sens, être interprété comme l'équivalent de la glande pinéale dans la physiologie cartésienne : l'invention d'un « je ne sais quoi » situé on ne sait où, sorte d'Hermès qui assure la communication entre l'âme et le corps et sert l'intermédiaire entre l'intellect et la sensibilité. L'expérience décrite dans l'exercice du goût implique de facto une dimension par définition occultée par la métaphysique de l'Art : le désir. Pour goûter, il faut désirer et accepter d'être rempli par l'objet de goût. Dans l'exercice du goût, le corps est en jeu autant que l'intellect, il s'agit d'une expérience totale dans laquelle aucune mise à distance théorétique n'est, en un premier temps, à même de nous prémunir de la violence des passions qui nous affectent. L'ambiguïté de cette notion réside précisément dans son statut ontologiquement problématique. Mais cette incertitude est féconde puisqu'elle met en exergue le caractère problématique de la distinction entre corps et esprit. Dans la notion de goût est contenue l'idée que le corps pense aussi et que, par voie de conséquence, la sensibilité n'est pas dépourvue de dimension spirituelle. Reste que formuler les choses de la sorte revient à rejouer, en quelque sorte, l'antique diaphorâ platonicienne et à convoquer, une fois de plus, les grandes oppositions métaphysiques telles que corps et âme, sensible et intelligible, matière et forme.La troisième partie est entièrement consacrée à Shaftesbury qui anticipe le statut ontologiquement fort de l'oeuvre d'art (tel qu'il sera thématisé par Baumgarten) et l'allie à une critique du goût. Cet auteur peut être considéré comme une forme d'exception qui confirme la règle puisque sa métaphysique de l'Art laisse une place prépondérante à une critique du goût. Mais le cumul de ces deux caractéristiques opposées un peu schématiquement pour les besoins de la démonstration n'invalide pas l'hypothèse de départ qui consiste à dire que la saisie philosophique de la question du goût et l'invention conjointe de l'esthétique au 18e siècle sont deux tentatives de trouver une issue au problème du dualisme des substances.Cette recherche doit être prise comme une forme de propédeutique à la fois absolument nécessaire et parfaitement insuffisante. Après Baumgarten et le siècle du goût philosophique, les propositions de dépassement des apories constitutives d'une tradition qui pense l'art à partir de couples d'oppositions métaphysiques tels qu'âme et corps, forme et matière, ainsi que leurs traductions dans les arts visuels (dessin et couleur ou encore figuration et abstraction), n'ont pas manqué. Il aurait fallu in fine s'effacer pour laisser la place aux plasticiens eux-mêmes, mais aussi aux poètes, non plus dans l'horizon de Y ut pictura, mais lorsqu'ils expriment, sans verser dans l'analyse conceptuelle, leurs rencontres avec telle ou telle oeuvre (je pense à Baudelaire lorsqu'il évoque Constantin Guys, à Charles Ferdinand Ramuz lorsqu'il rend hommage à Cézanne ou encore à Pascal Quignard lorsqu'il raconte les fresques de la maison des Dioscures à Pompéi, pour ne citer que trois noms qui affleurent immédiatement à ma mémoire tant leur souvenir est vivace et leur exemple un modèle). Et puis il s'agit, malgré tout, de ne pas renoncer pour autant au discours esthétique, c'est- à-dire à la philosophie, mais de réinterroger les catégories dont nous sommes les légataires et de penser avec et au-delà des limites qu'elles nous assignent. Mais cela ferait l'objet d'un autre ouvrage.
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Fast Track concrete has proven to be successful in obtaining high early strengths. This benefit does not come without cost. Special Type III cement and insulating blankets to accelerate the cure add to its expense when compared to conventional paving. This research was intended to determine the benefit derived from the use of insulating blankets to accelerate strength gain in three concrete mixes using Type I cement. The goal was to determine mixes and curing procedures that would result in a range of opening times. This determination would allow the most economical design for a particular project by tailoring it to a specific time restraint. Three mixes of various cement content were tested in the field. Flexural beams were cast for each mix and tested at various ages. Two test sections were placed for each mix, one section being cured with the addition of insulating blankets and the other being cured with only conventional curing compound. Iowa Department of Transportation specifications require 500 psi flexural strength before a pavement can be opened to traffic. Concrete with Fast Track proportions (nominal 7 1/2 bag), Type I cement, and insulating blankets reached that strength in approximately 36 hr, a standard mix (nominal 6 1/2 bag) using the blankets in approximately 48 hr, and the Fast Track proportions with Type I cement without blankets in about 60 hr. The results showed a significant improvement in early strength gain with the use of insulating blankets.
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Two specialty cements are currently being marketed as a way to achieve portland cement concrete pavement opening strengths at less than 12 hours after placement. The cements are Pyrament from Pyrament/Lone Star Industries of Houston, Texas and Ideal Regulated-Set (RS) Portland Cement from Ideal Cement Company of Saratoga, Arkansas. The objective of the study was to evaluate the strength gain and durability of concrete produced with Pyrament and Ideal RS cement as Fast Track concrete. Mixes with 610 lb/cu yd (362 kg/cu m) cement were made and tested. Both Pyrament and Ideal RS are capable of producing pavement opening times less than 12 hours. Recent changes to Ideal RS cement have produced concrete flexural strengths of 550 psi (3792 kPa) at 4 hours in Iowa tests. Freeze/thaw durability of the concrete was not adversely affected by using either cement.
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There are projects where opening the pavement to traffic in less than the 5 to 7 days is needed, but an 8 to 12 hour opening time is not necessary. The study examined fast track concrete with Type I cement and admixtures. The variables studied were: (1) cure temperature, (2) cement brand, (3) accelerators, and (4) water reducers. A standard water reducer and curing blankets appear to be effective at producing a 24 hour to 36 hour opening strength. An accelerator and/or high range water reducer may produce opening strength in 12 to 24 hours. Calcium chloride was most effective at achieving high-early strength.
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Chloride ion penetration through concrete to reinforcing steel is causing the premature deterioration of numerous bridge decks in Iowa. The purpose of the research reported in this paper was to determine whether any of several additives or alternative deicing chemicals could inhibit corrosion of reinforcing steel. The deicers tested were calcium magnesium acetate (CMA), CMA plus NaCl (NaCl: sodium chloride), Quicksalt plus PCI, and CG-90, a polyphosphate solution being developed by Cargill. Two tests were established. First, steel coupons were placed in a 15% solution of a deicer and distilled water to determine which alternative deicer would cause the least amount of corrosion in solution. The coupons were weighed periodically to determine each coupon's weight loss from corrosion. The second test involved ponding a 15% solution of each material on reinforced concrete blocks. Weekly copper-copper sulfate electrical half-cell (CSE) potential readings were taken on each block to determine whether corrosive activity was occurring at the steel surface. When the ponding research was concluded, concrete samples were taken from one of the three blocks ponded with each deicer. The samples were used to determine the chloride ion content at the level of the steel. Results show that all the deicers were less corrosive than NaCl. Only pure CMA, however, significantly inhibited the corrosion of steel embedded in concrete.
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The Iowa DOT has been correlating its roadmeters to the CHLOE Profilometer since 1968. The same test method for the Present Serviceability Index (PSI) deduction from the pavement condition (crack and patch) survey has also been used since 1968. Resulting PSI measurements on the Interstate and Primary Highway Systems have had good continuity through the years due to these test procedures. A computer program called PSITREND has been developed to plot PSI versus year tested for every rural pavement section in the State of Iowa. PSITREND provides pavement performance trends which are very useful for prediction of rehabilitation needs and for evaluation of new designs or rehabilitation techniques. The PSITREND data base should be maintained through future years to expand on nineteen years of historical PSI test information already collected.
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Friction testing of pavements has been a continuing effort by the Iowa Department of Transportation since 1969. This report details results of tests of asphaltic concrete pavements on the primary and interstate road systems. Both sprinkle treated and non-sprinkle treated pavements placed between 1975 - 1985 are included. A total of 1785 miles representing 216 separate paving projects were examined. The effect of fog sealing sprinkle treated pavements was studied by testing friction levels before and after the application of the fog seals. Conclusions of the report are: 1. Current aggregate selection criteria for a.c. pavement surface courses provides adequate friction levels through 10 years and should remain effective through a 15 year design life. 2. Sprinkle treatment of pavements has, for the most part, provided macrotexture in the pavement surface as evidenced by smooth tire testing. 3. Fog sealing sprinkle treated pavements does not significantly alter the friction properties.
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La comarca d’Osona ha disposat sempre d’aigua abundant i de bona qualitat, però en els darrers anys s’ha observat un increment del contingut de nitrats a les aigües subterrànies. Des de 1988 i fins a l’actualitat es mostreja puntualment l’aigua d’algunes fonts i se n’analitzen els nitrats. En aquest estudi s’analitza l’evolució del contingut de nitrats i com ha afectat a la mineralització de l’aigua d’aquestes fonts i en quin estat es troben actualment. La legislació actual (RD 140/2003) considera que valors de nitrats a l’aigua de consum superiors a 50 mg/l poden provocar problemes de salut pública.
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The basic purpose of this study was to determine if an expanded polystyrene insulating board could prevent subgrade freezing and thereby reduce frost heave. The insulating board was placed between a nine inch P. C. concrete slab and a frost-susceptible subgrade. In one section at the test site, selected backfill material was placed under the pavement. The P. C. pavement was later covered by asphalt surfacing. Thermocouples were installed for obtaining temperature recordings at various locations in the surfacing, concrete slab, subgrade and shoulders. This report contains graphs and illustrations showing temperature distributions for two years, as well as profile elevations and the results of moisture tests.
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Des Moines River Plat Maps.
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Des Moines River Plat Maps.