983 resultados para Communist parties
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v.3 (text, pts. 3-4)
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Undated, unsigned manuscript on contemporary American politics, including observations on the reception of President James Monroe by citizens in different states during his tour of the country in 1817. Likely written by Tudor.
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The Western Balkans integration within the EU has started a legal process which is the rejection of former communist legal/political approaches and the transformation of former communist institutions. Indeed, the EU agenda has brought vertical/horizontal integration and Europeanization of national institutions (i.e. shifting power to the EU institutions and international authorities). At this point, it is very crucial to emphasize the fact that the Western Balkans as a whole region has currently an image that includes characteristics of both the Soviet socialism and the European democracy. The EU foreign policies and enlargement strategy for Western Balkans have significant effects on four core factors (i.e. Schengen visa regulations, remittances, asylum and migration as an aggregate process). The convergence/divergence of EU member states’ priorities for migration policies regulate and even shape directly the migration dynamics in migrant sender countries. From this standpoint, the research explores how main migration factors are influenced by political and judicial factors such as; rule of law and democracy score, the economic liberation score, political and human rights, civil society score and citizenship rights in Western Balkan countries. The proposal of interhybridity explores how the hybridization of state and non-state actors within home and host countries can solve labor migration-related problems. The economical and sociopolitical labor-migration model of Basu (2009) is overlapping with the multidimensional empirical framework of interhybridity. Indisputably, hybrid model (i.e. collaboration state and non-state actors) has a catalyst role in terms of balancing social problems and civil society needs. Paradigmatically, it is better to perceive the hybrid model as a combination of communicative and strategic action that means the reciprocal recognition within the model is precondition for significant functionality. This will shape social and industrial relations with moral meanings of communication.
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Cette thèse propose une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie, saisie sur deux périodes historiques : communisme et postcommunisme. L’analyse porte sur la façon dont divers instruments de gestion des populations en tant que techniques de pouvoir, sont mises en œuvre ; comment une population donnée devient-elle un sujet politique ? Quels sont les effets d’une telle gestion sur les populations en général et sur les populations roms en particulier ? Cette approche, une approche foucaldienne, replace ainsi au centre de l’analyse empirique les politiques, les pratiques et les discours concernant les Roms en Albanie et essaye de saisir les effets qu’ils produisent sur cette population. Cette thèse part de ces éléments pour interroger plus largement les transformations sociétales dans l’Albanie postcommuniste. Ce travail s’inscrit dans le champ de l’anthropologie politique et conjugue à la fois une anthropologie de l’État et une anthropologie de la violence. Il s’articule autour de trois parties. La première porte sur la contextualisation de cette thèse, du point de vue conceptuel, méthodologique et théorique. La deuxième partie propose une analyse des relations que l’État a entretenues avec les Roms pendant la période communiste, phase durant laquelle la population rom a été exposée à diverses mesures administratives visant sa normalisation, à travers une sédentarisation forcée et d’autres mesures coercitives. La troisième partie, précédée par un intermède sur la période de la transition, interroge la relation entre l’État, la violence, la mobilité et la gestion de la population rom en Albanie depuis la chute du communisme. L’analyse se fait à partir d’un cas spécifique, celui des familles roms déplacées et en déplacement aux alentours de Tirana ; une mobilité forcée notamment par peu d’opportunités de sortir de la précarité pour plusieurs familles roms, mais aussi une mobilité induite par les politiques, les pratiques et les discours étatiques, notamment par leur non-action. Au fur et à mesure que l’analyse des pratiques et des discours – complétée par une ethnographie des documents d’archives et dans les quartiers et les campements roms – s’approfondit pendant les deux périodes historiques, elle dévoile de nombreuses – mais différentes – contradictions et controverses au sein du dispositif, lesquelles produisent à leur tour discrimination, exclusion, violence, indifférence et abandon.