979 resultados para Chrysophyceae cysts
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Studies were funded by Colegio de Postgraduados, México. CONACyT, México. SRE, México. Ministère de l’Éducation du Québec, University of Montreal and an Operating Grant to B.D. Murphy from the Canadian Institutes of Health Research.
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Le récepteur nucléaire Nr5a2 est exprimé dans l’ovaire, plus spécifiquement dans les cellules de granulosa et lutéales. Une déplétion conditionnelle de Nr5a2 dans les cellules de granulosa au stade de follicule primaire par croisement de souris Nr5a2-flox et Amhr2-Cre (Nr5a2f/fAmhr2Cre/+) génère des problèmes au niveau de l’expansion du cumulus, de l’ovulation et de la lutéinisation. Ainsi, nous estimons que Nr5a2 régule les connexions intercellulaires dans le follicule ovarien via la connexine 43 (Cx43), une protéine de jonction impliquée dans l’expansion du cumulus. Le premier objectif de l’étude était de déterminer si l’absence d’expansion du cumulus chez les souris Amhr2Cre-cKO est liée à l’absence de communication intercellulaire adéquate entre les cellules de granulosa et de cumulus dans les follicules préovulatoires. À cette fin, des ovaires de souris immatures Amhr2Cre-cKO et non transgéniques ont été prélevés (n=3) après un traitement de superstimulation utilisant les gonadotropines eCG suivie de hCG afin d’induire l’ovulation. Nous avons ainsi démontré, par RT-PCR, une sous-expression de Cx43 avant et au moment du stimulus ovulatoire (0 h et 2 h) chez le groupe Amhr2Cre-cKO (P<0.01), ce qui pourrait mener à un problème dans l’acquisition de la compétence développementale de l’oocyte. D’un autre côté, au moment de l’ovulation (12 h), l’ARNm de Cx43 est surexprimé dans le groupe Amhr2Cre-cKO, ce qui pourrait prévenir les cellules du cumulus de se détacher l’une de l’autre. Nous avons ainsi conclu que Cx43 est un gène sous le contrôle de Nr5a2 et qu’une régulation erronée de ce gène est une cause possible du problème d’expansion du cumulus chez les souris Amhr2Cre-cKO. Afin d’examiner le rôle de Nr5a2 dans l’ovulation et la lutéinisation à différents stades de la maturation folliculaire, nous suggérons que Nr5a2 module la séquence temporelle des événements menant à l’ovulation. En croisant des souris Nr5a2-flox et Cyp19-Cre (Nr5a2f/fCyp19Cre/+), l’expression de Nr5a2 a été interrompue dans les cellules de granulosa des follicules antraux et préovulatoires. Aucune portée n’a été obtenue de ces souris (n=4) durant un essai d’accouplement de 6 mois. Chez les souris Cyp19Cre-cKO on remarque la présence de structures s’apparentant à des cellules de type lutéales et les femelles âgées d’un an présentent des kystes folliculaires hémorragiques et une hypertrophie de l’épithélium en surface de l’ovaire. Les deux modèles transgéniques démontrent donc une absence de l’expansion du cumulus et de l’ovulation. En conclusion, Nr5a2 semble réguler différemment la folliculogenèse et l’ovulation dans les cellules de granulosa des follicules primaires et antraux.
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While high levels of Pkd1 expression are detected in tissues of patients with autosomal dominant polycystic kidney disease (ADPKD), it is unclear whether enhanced expression could be a pathogenetic mechanism for this systemic disorder. Three transgenic mouse lines were generated from a Pkd1-BAC modified by introducing a silent tag via homologous recombination to target a sustained wild type genomic Pkd1 expression within the native tissue and temporal regulation. These mice specifically overexpressed the Pkd1 transgene in extrarenal and renal tissues from approximately 2- to 15-fold over Pkd1 endogenous levels in a copy-dependent manner. All transgenic mice reproducibly developed tubular and glomerular cysts leading to renal insufficiency. Interestingly, Pkd1(TAG) mice also exhibited renal fibrosis and calcium deposits in papilla reminiscent of nephrolithiasis as frequently observed in ADPKD. Similar to human ADPKD, these mice consistently displayed hepatic fibrosis and approximately 15% intrahepatic cysts of the bile ducts affecting females preferentially. Moreover, a significant proportion of mice developed cardiac anomalies with severe left ventricular hypertrophy, marked aortic arch distention and/or valvular stenosis and calcification that had profound functional impact. Of significance, Pkd1(TAG) mice displayed occasional cerebral lesions with evidence of ruptured and unruptured cerebral aneurysms. This Pkd1(TAG) mouse model demonstrates that overexpression of wildtype Pkd1 can trigger the typical adult renal and extrarenal phenotypes resembling human ADPKD.
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Bien que les infections à Besnoitia tarandi sont documentées chez l’espèce Rangifer sp. depuis 1922, les données récoltées sur l’écologie et la distribution de cette parasitose demeurent rares. Les objectifs de cette étude ont donc été (i) d’identifier le meilleur tissu à échantillonner pour détecter les infections à Besnoitia tarandi dans les populations de caribous, (ii) de calculer la sensibilité et la spécificité de l’examen visuel comparativement à l’examen microscopique et (iii) d’identifier les facteurs de risques intrinsèques et extrinsèques associés à cette parasitose afin (iv) de comparer la prévalence et la densité des kystes parasitaires entre certains troupeaux. Nos résultats suggèrent que l'examen microscopique du derme superficiel d’une section de peau provenant du tiers moyen antérieur du métatarse devrait être privilégié pour dépister les infections par B. tarandi et en évaluer l'intensité. L’examen microscopique est également un outil très sensible comparativement à l’examen visuel des kystes parasitaires. Besnoitia tarandi, qui semble être absent du Groenland, a été observé dans environ un tiers des caribous nord-américains. Une variation saisonnière de prévalence et d'intensité de B. tarandi a été détectée; le parasite étant plus abondant chez cet hôte intermédiaire durant la période de l'automne/hiver comparativement à celle du printemps/été. Cet effet saisonnier pourrait être associé à une augmentation de l'abondance du parasite suite à la saison des insectes (i.e. été), supportant ainsi le rôle présumé des arthropodes piqueurs comme vecteurs de la maladie. Cette différence saisonnière pourrait aussi être expliquée par la diminution de la charge parasitaire par le système immunitaire et/ou par un taux de survie inférieur des animaux les plus parasités durant la saison froide. Les niveaux d'infection étaient légèrement plus élevés chez les mâles que chez les femelles, ce qui suggère soit une diminution du taux de mortalité, soit une exposition accrue ou une plus grande susceptibilité au parasite des mâles en comparaison aux femelles. La densité d’infection supérieure dans le troupeau Rivière-aux-Feuilles (Nunavik) suggère des niveaux d'exposition au parasite plus élevés et/ou une diminution des niveaux de résistance de ces caribous à ce protozoaire. Les résultats de cette étude démontrent que B. tarandi peut réduire les chances de survie des caribous infectés. Il sera donc important de continuer à surveiller les infections à B. tarandi surtout en cette période de changements climatiques.
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Les dinoflagellés sont des eucaryotes unicellulaires que l’on retrouve autant en eau douce qu’en milieu marin. Ils sont particulièrement connus pour causer des fleurs d’algues toxiques nommées ‘marée-rouge’, ainsi que pour leur symbiose avec les coraux et pour leur importante contribution à la fixation du carbone dans les océans. Au point de vue moléculaire, ils sont aussi connus pour leur caractéristiques nucléaires uniques, car on retrouve généralement une quantité immense d’ADN dans leurs chromosomes et ceux-ci sont empaquetés et condensés sous une forme cristalline liquide au lieu de nucléosomes. Les gènes encodés par le noyau sont souvent présents en multiples copies et arrangés en tandem et aucun élément de régulation transcriptionnelle, y compris la boite TATA, n’a encore été observé. L’organisation unique de la chromatine des dinoflagellés suggère que différentes stratégies sont nécessaires pour contrôler l’expression des gènes de ces organismes. Dans cette étude, j’ai abordé ce problème en utilisant le dinoflagellé photosynthétique Lingulodinium polyedrum comme modèle. L. polyedrum est d’un intérêt particulier, car il a plusieurs rythmes circadiens (journalier). À ce jour, toutes les études sur l’expression des gènes lors des changements circadiens ont démontrées une régulation à un niveau traductionnel. Pour mes recherches, j’ai utilisé les approches transcriptomique, protéomique et phosphoprotéomique ainsi que des études biochimiques pour donner un aperçu de la mécanique de la régulation des gènes des dinoflagellés, ceci en mettant l’accent sur l’importance de la phosphorylation du système circadien de L. polyedrum. L’absence des protéines histones et des nucléosomes est une particularité des dinoflagellés. En utilisant la technologie RNA-Seq, j’ai trouvé des séquences complètes encodant des histones et des enzymes modifiant les histones. L polyedrum exprime donc des séquences conservées codantes pour les histones, mais le niveau d’expression protéique est plus faible que les limites de détection par immunodétection de type Western. Les données de séquençage RNA-Seq ont également été utilisées pour générer un transcriptome, qui est une liste des gènes exprimés par L. polyedrum. Une recherche par homologie de séquences a d’abord été effectuée pour classifier les transcrits en diverses catégories (Gene Ontology; GO). Cette analyse a révélé une faible abondance des facteurs de transcription et une surprenante prédominance, parmi ceux-ci, des séquences à domaine Cold Shock. Chez L. polyedrum, plusieurs gènes sont répétés en tandem. Un alignement des séquences obtenues par RNA-Seq avec les copies génomiques de gènes organisés en tandem a été réalisé pour examiner la présence de transcrits polycistroniques, une hypothèse formulée pour expliquer le manque d’élément promoteur dans la région intergénique de la séquence de ces gènes. Cette analyse a également démontré une très haute conservation des séquences codantes des gènes organisés en tandem. Le transcriptome a également été utilisé pour aider à l’identification de protéines après leur séquençage par spectrométrie de masse, et une fraction enrichie en phosphoprotéines a été déterminée comme particulièrement bien adapté aux approches d’analyse à haut débit. La comparaison des phosphoprotéomes provenant de deux périodes différentes de la journée a révélée qu’une grande partie des protéines pour lesquelles l’état de phosphorylation varie avec le temps est reliées aux catégories de liaison à l’ARN et de la traduction. Le transcriptome a aussi été utilisé pour définir le spectre des kinases présentes chez L. polyedrum, qui a ensuite été utilisé pour classifier les différents peptides phosphorylés qui sont potentiellement les cibles de ces kinases. Plusieurs peptides identifiés comme étant phosphorylés par la Casein Kinase 2 (CK2), une kinase connue pour être impliquée dans l’horloge circadienne des eucaryotes, proviennent de diverses protéines de liaison à l’ARN. Pour évaluer la possibilité que quelques-unes des multiples protéines à domaine Cold Shock identifiées dans le transcriptome puissent moduler l’expression des gènes de L. polyedrum, tel qu’observé chez plusieurs autres systèmes procaryotiques et eucaryotiques, la réponse des cellules à des températures froides a été examinée. Les températures froides ont permis d’induire rapidement un enkystement, condition dans laquelle ces cellules deviennent métaboliquement inactives afin de résister aux conditions environnementales défavorables. Les changements dans le profil des phosphoprotéines seraient le facteur majeur causant la formation de kystes. Les phosphosites prédits pour être phosphorylés par la CK2 sont la classe la plus fortement réduite dans les kystes, une découverte intéressante, car le rythme de la bioluminescence confirme que l’horloge a été arrêtée dans le kyste.
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La polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD) est une des maladies génétiques les plus communes. ADPKD se manifeste le plus souvent au stade adulte par la présence de kystes rénaux, et bien souvent de kystes hépatiques, avec une progression très variable. ADPKD mène à une insuffisance rénale: les seuls recours sont la dialyse puis la transplantation rénale. Les mutations dispersées sur les gènes PKD1 (majoritairement; la protéine polycystine-1, PC1) et PKD2 (la protéine polycystine-2, PC2) sont responsables de l’ADPKD. Le mécanisme pathogénétique de perte de fonction (LOF) et donc d’un effet récessif cellulaire est évoqué comme causatif de l’ADPKD. LOF est en effet supporté par les modèles murins d’inactivation de gènes PKD1/PKD2, qui développent de kystes, quoique in utéro et avec une rapidité impressionnante dans les reins mais pas dans le foie. Malgré de nombreuses études in vitro, le rôle de PC1/PC2 membranaire/ciliaire reste plutôt hypothétique et contexte-dépendant. Ces études ont associé PC1/PC2 à une panoplie de voies de signalisation et ont souligné une complexité structurelle et fonctionnelle exceptionnelle, dont l’implication a été testée notamment chez les modèles de LOF. Toutefois, les observations patho-cellulaires chez l’humain dont une expression soutenue, voire augmentée, de PKD1/PC1 et l’absence de phénotypes extrarénaux particuliers remet en question l’exclusivité du mécanisme de LOF. Il était donc primordial 1) d’éclaircir le mécanisme pathogénétique, 2) de générer des outils in vivo authentiques d’ADPKD en terme d’initiation et de progression de la maladie et 3) de mieux connaitre les fonctions des PC1/PC2 indispensables pour une translation clinique adéquate. Cette thèse aborde tous ces points. Tout d’abord, nous avons démontré qu’une augmentation de PKD1 endogène sauvage, tout comme chez l’humain, est pathogénétique en générant et caractérisant en détail un modèle murin transgénique de Pkd1 (Pkd1TAG). Ce modèle reproduit non seulement les caractéristiques humaines rénales, associées aux défauts du cil primaire, mais aussi extrarénales comme les kystes hépatiques. La sévérité du phénotype corrèle avec le niveau d’expression de Pkd1 ce qui supporte fortement un modèle de dosage. Dans un deuxième temps, nous avons démontré par les études de complémentations génétiques que ces deux organes reposent sur une balance du clivage GPS de Pc1, une modification post-traductionelle typique des aGPCR, et dont l’activité et l’abondance semblent strictement contrôlées. De plus, nous avons caractérisé extensivement la biogénèse de Pc1 et de ses dérivés in vivo générés suite au clivage GPS. Nous avons identifié une toute nouvelle forme et prédominante à la membrane, la forme Pc1deN, en plus de confirmer deux fragments N- et C-terminal de Pc1 (NTF et CTF, respectivement) qui eux s’associent de manière non-covalente. Nous avons démontré de façon importante que le trafic de Pc1deN i.e., une forme NTF détachée du CTF, est toutefois dépendant de l’intégrité du fragment CTF in vivo. Par la suite, nous avons généré un premier modèle humanisant une mutation PKD1 non-sens tronquée au niveau du domaine NTF(E3043X) en la reproduisant chez une souris transgénique (Pkd1extra). Structurellement, cette mutation, qui mimique la forme Pc1deN, s’est également avérée causative de PKD. Le modèle Pkd1extra a permis entre autre de postuler l’existence d’une cross-interaction entre différentes formes de Pc1. De plus, nos deux modèles murins sont tous les deux associés à des niveaux altérés de c-Myc et Pc2, et soutiennent une implication réelle de ces derniers dans l’ADPKD tou comme une interaction fonctionnelle entre les polycystines. Finalement, nous avons démontré un chevauchement significatif entre l’ADPKD et le dommage rénal aigüe (ischémie/AKI) dont une expression augmentée de Pc1 et Pc2 mais aussi une stimulation de plusieurs facteurs cystogéniques tel que la tubérine, la β-caténine et l’oncogène c-Myc. Nos études ont donc apporté des évidences cruciales sur la contribution du gène dosage dans l’ADPKD. Nous avons développé deux modèles murins qui serviront d’outil pour l’analyse de la pathologie humaine ainsi que pour la validation préclinique ADPKD. L’identification d’une nouvelle forme de Pc1 ajoute un niveau de complexité supplémentaire expliquant en partie une capacité de régulation de plusieurs voies de signalisation par Pc1. Nos résultats nous amènent à proposer de nouvelles approches thérapeutiques: d’une part, le ciblage de CTF i.e., de style chaperonne, et d’autre part le ciblage de modulateurs intracellulaires (c-Myc, Pc2, Hif1α). Ensemble, nos travaux sont d’une importance primordiale du point de vue informatif et pratique pour un avancement vers une thérapie contre l’ADPKD. Le partage de voies communes entre AKI et ADPKD ouvre la voie aux approches thérapeutiques parallèles pour un traitement assurément beaucoup plus rapide.
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Objetivo: Reportar la experiencia obtenida con la realización de Nefrectomía Parcial para el tratamiento de masas renales en la Fundación Santa Fe de Bogotá y Fundación Cardioinfantil. Materiales y Métodos: Se revisó el registro de procedimientos quirúrgicos de las dos instituciones entre enero de 2005 y marzo de 2011. Se incluyeron los pacientes llevados a nefrectomía parcial y se revisaron las historias clínicas. Se excluyeron pacientes operados por patología no tumoral. Se registraron variables preoperatorias, intraoperatorias y postoperatorias. Se creó una base de datos en Excel y se elaboró un análisis descriptivo de las variables utilizando el paquete estadístico Stata 10.0. Resultados: Se realizaron un total de 63 nefrectomías parciales. Se analizaron 59 que fueron realizadas por sospecha de patología tumoral (quistes complejos o cáncer). El promedio de edad fué 60.7 años. En los pacientes con sospecha de tumor renal, la principal indicación para el procedimiento conservador fue el tamaño de la masa (82.53%). La creatinina preoperatoria fue 1.01 mg/dl en promedio. El abordaje utilizado con mayor frecuencia fue la lumbotomía (89.8%). En 79.6% de los casos se realizó isquemia fría. El sangrado fue 354 cc en promedio. En 6.77 % de los pacientes fue necesario ampliar el margen. El diagnóstico definitivo más frecuente fue carcinoma de células claras en el 72.8% de los casos. La creatinina postoperatoria fue de 1.14mg/dl en promedio. Un 98.3% de los pacientes permanecen libres de recaída con un seguimiento promedio de 27 meses. Conclusiones: La nefrectomía parcial por abordaje a cielo abierto es un procedimiento oncológicamente efectivo, con baja morbimortalidad y que permite mantener la función renal, en manos experimentadas. Es considerada el patrón de oro para el tratamiento de masas renales en estado T1a, tumores bilaterales, en pacientes con falla renal o en aquellos que tengan enfermedades que potencialmente la afecten.
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En aquest treball de tesi doctoral es descriu l'estructura gonadal, gametogènesi i cicle anual de Scorpaena porcus, S. scrofa i S. elongata per tal d'aprofundir en el coneixement dels diferents graus d'especialització dins l'oviparisme en peixos. Es pretén fer èmfasi en aquells trets inusuals que difereixen del què s'ha descrit fins ara per la majoria de les espècies ovípares de teleostis, i relacionar-los amb l'estratègia reproductiva de les espècies que els presenten El mostreig s'ha dut a terme de forma intensiva entre l'any 2000 i 2002, tot i que s'ha continuat recol·lectant mostres fins a l'agost de 2004, amb més o menys freqüència segons la necessitat. En total s'han obtingut 258 exemplars de S. porcus, 119 de S. scrofa i 46 de S. elongata. S'ha pogut veure com S. porcus, S. scrofa i S. elongata són espècies ovípares ovulípares especialitzades, ja que la seva estructura ovàrica presenta tot una sèrie de trets molt particulars i poc comuns a la resta de peixos ovípars estudiats fins ara: posició central del raquis musculo-connectiu que es troba envoltat completament pel lumen i la paret ovàrica; presència de peduncles en oòcits en fase de creixement secundari; escassetat i mida petita dels alvèols corticals; poc gruix de la zona radiata; i secreció d'una massa gelatinosa que engloba els ous en el moment de la posta. Totes aquestes característiques també s'han observat en Scorpaena notata, suggerint que l'especialització de l'oviparisme ovulípar es dóna en tot el gènere Scorpaena. L'estructura testicular i l'espermatogènesi d'aquestes espècies també és força particular. Per una banda els testicles són del tipus lobular no-restringit, tot i que presenten algunes característiques com la ordenació parcial dels cists segons l'estadi de maduració de les cèl·lules germinals que contenen i l'absència de lumen central, que actualment només s'ha observat en testicles del tipus lobular restringit de les espècies de la sèrie Aterinomorpha. Per l'altre banda, l'espermatogènesi és del tipus semicística, és a dir, els cists s'obren abans d'acabar tot el procés i les cèl·lules germinals s'acaben de desenvolupar a la llum del lòbul fins a espermatozoides. La posta d'aquestes espècies és múltipla i constisteix en una massa gelatinosa d'ous pelàgica, que en el cas de S. porcus s'alliberen entre els mesos de juny i agost, i en S. scrofa, a partir del mes de juliol. S'ha relacionat la presència d'aquesta massa amb un aparellament mascle-femella, de manera que el mascle alliberaria l'esperma directament sobre la massa d'ous, assegurant així la fartilització total dels mateixos.
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A RAPD-PCR assay was developed and used to test For competitive variability in growth of the nematode biological control fungus Pochonia chlamydosporia. Saprophytic competence in soil with or without tomato plants was examined in three isolates of the fungus: RES 280 (J), originally isolated from potato cyst nematode (PCN) cysts; RES 200 (1) and RES 279 (S), both originally isolated from root knot nematode (RKN) eggs. Viable counts taken at 70 d indicated that I was the best saprophyte followed by S, with J the poorest. RAPD-PCR analysis of colonies from mixed treatments revealed that there was a cumulative effect of adding isolates to the system. This Suggested that the isolates did not interact and that they may occupy separate niches in soil and the rhizosphere. To investigate parasitic ability, soils were seeded with two isolates of the fungus: J and S, singly or in combination. Tomato or potato plants were grown in these soils; free of nematodes, or inoculated with PCN or RKN, and incubated for 77 d. The abundance of the PCN isolate J in PCN cysts was significantly greater than that of the RKN isolate S but in RKN egg masses, S was significantly more abundant than J. RAPD-PCR analysis of colonies from mixed treatments confirmed that J was more abundant than S ill PCN cysts whereas the converse was observed on RKN egg masses. This substantiates the phenomenon of nematode host preference at the infraspecific level of P. chlamydosporia and highlights its relevance for biological control of plant parasitic nematodes.
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Gross cystic breast disease (GCBD) is the most common benign breast disorder, but the molecular basis of cyst formation remains to be identified. If the use of aluminium-based antiperspirant salts is involved in the etiology of gross breast cyst formation, it might be expected that aluminium would be at elevated levels in human breast cyst fluid (BCF). Aluminium was measured by ICP-MS in 48 samples of BCF, 30 samples of human blood serum and 45 samples of human breast milk at different stages of lactation (colostrum, intermediate, mature). The median level of aluminium in apocrine type I BCF (n:= 27, 150 mu g I-1) was significantly higher than in transuclative type II BCF (n = 21, 32 mu g I-1; P < 0.0001). By comparison, aluminium measurements gave a median concentration of 6 mu g I-1 in human serum and 25 mu g I-1 in human breast milk, with no difference between colostrum, intermediate and mature milk. Levels of aluminium were significantly higher in both types of BCF than in human serum (P < 0.0001). However when compared with human breast milk, aluminium levels were only significantly higher in apocrine type I BCF (P < 0.0001) and not in transudative type II BCF (P = 0.152). It remains to be identified why such high levels of aluminium were found in the apocrine type I BCF and from where the aluminium originated. However, if aluminium-based antiperspirants are found to be the source and to play any causal role in development of breast cysts, then it might become possible to prevent this common breast disorder. Copyright (C) 2008 John Wiley & Sons, Ltd.
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A RAPD-PCR assay was developed and used to test For competitive variability in growth of the nematode biological control fungus Pochonia chlamydosporia. Saprophytic competence in soil with or without tomato plants was examined in three isolates of the fungus: RES 280 (J), originally isolated from potato cyst nematode (PCN) cysts; RES 200 (1) and RES 279 (S), both originally isolated from root knot nematode (RKN) eggs. Viable counts taken at 70 d indicated that I was the best saprophyte followed by S, with J the poorest. RAPD-PCR analysis of colonies from mixed treatments revealed that there was a cumulative effect of adding isolates to the system. This Suggested that the isolates did not interact and that they may occupy separate niches in soil and the rhizosphere. To investigate parasitic ability, soils were seeded with two isolates of the fungus: J and S, singly or in combination. Tomato or potato plants were grown in these soils; free of nematodes, or inoculated with PCN or RKN, and incubated for 77 d. The abundance of the PCN isolate J in PCN cysts was significantly greater than that of the RKN isolate S but in RKN egg masses, S was significantly more abundant than J. RAPD-PCR analysis of colonies from mixed treatments confirmed that J was more abundant than S ill PCN cysts whereas the converse was observed on RKN egg masses. This substantiates the phenomenon of nematode host preference at the infraspecific level of P. chlamydosporia and highlights its relevance for biological control of plant parasitic nematodes.
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Sediments from the Black Sea, a region historically dominated by forests and steppe landscapes, are a valuable source of detailed information on the changes in regional terrestrial and aquatic environments at decadal to millennial scales. Here we present multi-proxy environmental records (pollen, dinoflagellate cysts, Ca, Ti and oxygen isotope data) from the uppermost 305 cm of the core 22-GC3 (42°13.53′N, 36°29.55′E) collected from a water depth of 838 m in the southern part of the Black Sea in 2007. The records span the last ~ 18 kyr (all ages are given in cal kyr BP). The pollen data reveal the dominance of the Artemisia-steppe in the region, suggesting rather dry/cold environments ~ 18–14.5 kyr BP. Warming/humidity increase during melt-water pulses (~ 16.1–14.5 kyr BP), indicated by δ18O records from the 22-GC3 core sediment and from the Sofular Cave stalagmite, is expressed in more negative δ13C values from the Sofular Cave, usually interpreted as the spreading of C3 plants. The records representing the interstadial complex (~ 14.5–12.9 kyr BP) show an increase in temperature and moisture, indicated by forest development, increased primary productivity and reduced surface run-off, whereas the switch from primary terrigenous to primary authigenic Ca origin occurs ~ 500 yr later. The Younger Dryas cooling is clearly demonstrated by more negative δ13C values from the Sofular Cave and a reduction of pines. The early Holocene (11.7–8.5 kyr BP) interval reveals relatively dry conditions compared to the mostly moist and warm middle Holocene (8.5–5 kyr BP), which is characterized by the establishment of the species-rich warm mixed and temperate deciduous forests in the low elevation belt, temperate deciduous beech-hornbeam forests in the middle and cool conifer forest in upper mountain belt. The border between the early and middle Holocene in the vegetation records coincides with the opening of the Mediterranean corridor at ~ 8.3 kyr BP, as indicated by a marked change in the dinocyst assemblages and in the sediment lithology. Changes in the pollen assemblages indicate a reduction in forest cover after ~ 5 kyr BP, which was likely caused by increased anthropogenic pressure on the regional vegetation.
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The human population is exposed to aluminium (Al) from diet, antacids and vaccine adjuvants, but frequent application of Al-based salts to the underarm as antiperspirant adds a high additional exposure directly to the local area of the human breast. Coincidentally the upper outer quadrant of the breast is where there is also a disproportionately high incidence of breast cysts and breast cancer. Al has been measured in human breast tissues/fluids at higher levels than in blood, and experimental evidence suggests that at physiologically relevant concentrations, Al can adversely impact on human breast epithelial cell biology. Gross cystic breast disease is the most common benign disorder of the breast and evidence is presented that Al may be a causative factor in formation of breast cysts. Evidence is also reviewed that Al can enable the development of multiple hallmarks associated with cancer in breast cells, in particular that it can cause genomic instability and inappropriate proliferation in human breast epithelial cells, and can increase migration and invasion of human breast cancer cells. In addition, Al is a metalloestrogen and oestrogen is a risk factor for breast cancer known to influence multiple hallmarks. The microenvironment is established as another determinant of breast cancer development and Al has been shown to cause adverse alterations to the breast microenvironment. If current useage patterns of Al-based antiperspirant salts contribute to causation of breast cysts and breast cancer, then reduction in exposure would offer a strategy for prevention, and regulatory review is now justified.
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Introduction: The inability to distinguish periapical cysts from granulomas before performing root canal treatment leads to uncertainty in treatment outcomes because cysts have lower healing rates. Searching for differential expression of molecules within cysts or granulomas could provide information with regard to the identity of the lesion or suggest mechanistic differences that may form the basis for future therapeutic intervention. Thus, we investigated whether granulomas and cysts exhibit differential expression of extracellular matrix (ECM) molecules. Methods: Human periapical granulomas, periapical cysts, and healthy periodontal ligament tissues were used to investigate the differential expression of ECM molecules by microarray analysis. Because matrix metalloproteinases (MMP) showed the highest differential expression in the microarray analysis, MMPs were further examined by in situ zymography and immunohistochemistry. Data were analyzed by using one-way analysis of variance followed by the Tu-key test. Results: We observed that cysts and granulomas differentially expressed several ECM molecules, especially those from the MMP family. Compared with cysts, granulomas exhibited higher MMP enzymatic activity in areas stained for MMP-9. These areas were composed of polymorphonuclear cells (PMNs) in contrast to cysts. Similarly, MMP-13 was expressed by a greater number of cells in granulomas compared with cysts. Conclusion: Our findings indicate that high enzymatic MIMP activity in PMNs together with MMP-9 and MMP-13 stained cells could be a molecular signature of granulomas unlike periapical cysts. (J Endod 2009;35:1234-1242)
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This study investigated the immunodetection of PCNA in epithelial components of dental follicles associated with impacted third molars without radiographical and morphological signs of pathosis. A total of 105 specimens of dental follicles associated with impacted third molars with incomplete rhizogenesis (between Nolla`s stage 6 and 9) were surgically removed from 56 patients. Epithelial cell proliferating was determined by using immunohistochemical labeling. Statistical analysis was performed using the Fisher exact test. Of the 105 dental follicles collected, 6 were PCNA-positive (approximate to 6%). The specimens with squamous metaplasia and epithelial hyperplasia had higher rates of positivity for PCNA, as well as those with proliferative remnants of odontogenic epithelium. In conclusion, this study shows that dental follicles at this stage of development have low proliferative potential, but suggests that squamous metaplasia, hyperplasia of the epithelial lining and presence of proliferative odontogenic epithelial rests in the connective tissue may be early signs of developing lesions of odontogenic origin.