888 resultados para human immunodeficiency virus type 1


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Les virus exploitent la machinerie cellulaire de l’hôte de façon très variée et plusieurs types vont même jusqu’à incorporer certaines protéines cellulaires. Nous avons récemment effectué la première analyse protéomique du virion mature de l’Herpès simplex de type 1 (HSV-1), ce qui nous a permis de déterminer que jusqu’à 49 protéines cellulaires différentes se retrouvaient dans ce virus (Loret, S. et al. (2008). "Comprehensive characterization of extracellular herpes simplex virus type 1 virions." J Virol 82(17): 8605-18.). Afin de déterminer leur importance dans le cycle de réplication d’HSV-1, nous avons mis au point un système de criblage nous permettant de quantifier le virus produit et relâché dans le milieu extracellulaire en utilisant un virus marqué à la GFP ainsi que des petits ARN interférents (pARNi) ciblant spécifiquement ces protéines cellulaires. Cette approche nous a permis de démontrer que 17 des protéines identifiées précédemment jouaient un rôle critique dans la réplication d’HSV-1, suggérant ainsi que leur incorporation dans le virus n’est pas aléatoire. Nous avons ensuite examiné le rôle d’une de ces protéines, DDX3X (DEAD (Asp-Glu-Ala-Asp) box polypeptide 3, X-linked), une protéine multifonctionnelle connue pour son implication dans les cycles de réplication de plusieurs virus humains. À l’aide de pARNi ainsi que de différentes lignées cellulaires, dont une lignée DDX3X thermosensible, nous avons démontré que l’inhibition de DDX3X résultait en une diminution du nombre de capsides intracellulaires et induisait une importante diminution de l’expression des gènes viraux. Nous avons aussi démontré que la fraction de DDX3X incorporée dans le virion contribuait activement au cycle infectieux d’HSV-1. Ces résultats confirment l’intérêt de notre approche afin d’étudier les interactions hôte-pathogène en plus de démontrer la contribution des protéines cellulaires incorporées à HSV-1 dans l’infection virale.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1), agent étiologique des feux sauvages, possède une structure multicouche comprenant une capside icosaédrale qui protège le génome viral d’ADN, une couche protéique très structurée appelée tégument et une enveloppe lipidique dérivant de la cellule hôte et parsemée de glycoprotéines virales. Tous ces constituants sont acquis séquentiellement à partir du noyau, du cytoplasme et du réseau trans-golgien. Cette structure multicouche confère à HSV-1 un potentiel considérable pour incorporer des protéines virales et cellulaires. Toutefois, l’ensemble des protéines qui composent ce virus n’a pas encore été élucidé. De plus, malgré son rôle critique à différentes étapes de l’infection, le tégument demeure encore mal défini et ce, tant dans sa composition que dans la séquence d’addition des protéines qui le composent. Toutes ces incertitudes quant aux mécanismes impliqués dans la morphogenèse du virus nous amènent à l’objectif de ce projet, soit la caractérisation du processus de maturation d’HSV-1. Le premier article présenté dans cette thèse et publié dans Journal of Virology s’attarde à la caractérisation protéique des virus extracellulaires matures. Grâce à l’élaboration d’un protocole d’isolation et de purification de ces virions, une étude protéomique a pu être effectuée. Celle-ci nous a permis de réaliser une cartographie de la composition globale en protéines virales des virus matures (8 protéines de la capside, 23 protéines du tégument et 13 glycoprotéines) qui a fait la page couverture de Journal of Virology. De plus, l’incorporation potentielle de 49 protéines cellulaires différentes a été révélée. Lors de cette étude protéomique, nous avons aussi relevé la présence de nouveaux composants du virion dont UL7, UL23, ICP0 et ICP4. Le deuxième article publié dans Journal of General Virology focalise sur ces protéines via une analyse biochimique afin de mieux comprendre les interactions et la dynamique du tégument. Ces résultats nous révèlent que, contrairement aux protéines ICP0 et ICP4, UL7 et UL23 peuvent être relâchées de la capside en présence de sels et que les cystéines libres jouent un rôle dans cette relâche. De plus, cet article met en évidence la présence d’ICP0 et d’ICP4 sur les capsides nucléaires suggérant une acquisition possible du tégument au noyau. La complexité du processus de morphogenèse du virus ainsi que la mise en évidence d’acquisition de protéines du tégument au noyau nous ont incités à poursuivre nos recherches sur la composition du virus à un stade précoce de son cycle viral. Les capsides C matures, prémisses des virus extracellulaires, ont donc été isolées et purifiées grâce à un protocole innovateur basé sur le tri par cytométrie en flux. L’analyse préliminaire de ces capsides par protéomique a permis d’identifier 28 protéines virales et 39 protéines cellulaires. Les données recueilles, comparées à celles obtenues avec les virus extracellulaires, suggèrent clairement un processus séquentiel d’acquisition des protéines du tégument débutant dans le noyau, site d’assemblage des capsides. Finalement, tous ces résultats contribuent à une meilleure compréhension du processus complexe de maturation d’HSV-1 via l’utilisation de techniques variées et innovatrices, telles que la protéomique et la cytométrie en flux, pouvant être appliquées à d’autres virus mais aussi permettre le développement de meilleurs traitements pour vaincre l’HSV-1.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La transmission mère-enfant (TME) du virus de l’hépatite C (VHC) est la première cause d’acquisition de l’infection chez les enfants des pays développés. Celle-ci prend place dans <10% des cas. Toutefois, dans le cas d’une coinfection maternelle avec le virus de l’immunodéficience de type 1 (VIH-1), ce taux est accru alors qu’il n’existe aucune intervention préventive de la TME du VHC. Le VHC arbore une diversité importante qui est le résultat d’une réplication exempte de mécanisme de correction. Il est donc retrouvé chez son hôte sous la forme d’un spectre de virions génétiquement apparentés mais différents qu’on appelle quasiespèce. Lorsque le VHC est transmis entre adultes, seulement un nombre limité de variantes sont responsables de l’infection, c’est ce qu’on appelle un goulot d’étranglement génétique. L’existence d’un tel profil de transmission lors de la TME du VHC restait, jusqu’à maintenant, à confirmer. En se basant sur la détection par RT-PCR de la virémie à la naissance, la TME du VHC est réputée prendre place in utero et peripartum, une dynamique de transmission qui reste à démontrer. Ici, nous rapportons une analyse longitudinale de la TME du VHC par séquençage de nouvelle génération chez 5 paires mère-enfant dont 3 mères sont également coinfectées avec le VIH-1. L’analyse de l’identité des variantes virales basée sur la séquence nucléotidique des régions hypervariables 1-2 de la glycoprotéine E2 (positions 1491-1787 de l’isolat H77) révèle qu’un nombre limité de variantes virales sont transmises de la mère à l’enfant lorsque la mère est seulement infectée par le VHC (n = 1-4 variantes transmises). Dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1, ce nombre est toutefois drastiquement plus important (n = 111-118). La détection de variantes retrouvées chez la mère au deuxième trimestre et l’enfant mais non détectées subséquemment chez la mère témoigne que la TME du VHC peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse. Finalement, nous montrons que la dynamique d’infection chez l’enfant implique une augmentation transitoire de la virémie concomitante avec une perte de diversité de la quasiespèce. Dans l’ensemble ces résultats sont les premiers à démontrer directement l’existence d’un goulot d’étranglement lors de la TME du VHC. Celui-ci serait moins restringent dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1. Cette transmission peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse et il semblerait qu’un spectre limité de variantes soit responsable pour l’établissement de l’essentiel de la production virale chez le jeune enfant.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : Aujourd’hui, 35,3 millions de personnes vivent avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH)-1 dans le monde ; l’Afrique subsaharienne concentre 70% des nouvelles infections et les femmes en représentent plus de la moitié. Le mode de transmission du VIH le plus répandu est par voie mucosale génitale suite à des relations sexuelles. Le tractus génital féminin (TGF) possède un milieu immunitaire complexe qui doit contrer l’invasion par des pathogènes tout en maintenant la tolérance/contrôle de la flore normale vaginale étant sous la pression de procréation sous influence des hormones sexuelles. De plus, les mécanismes favorisant ou prévenant l’infection du TGF par le VIH ne sont pas précisément identifiés. Hypothèse : Le contexte inflammatoire mucosal génital et la résultante de dialogues intercellulaires tel qu’entre les cellules épithéliales génitales (CEG) et les cellules dendritiques myéloïdes (mDC), qui sont des premières à rencontrer le virus aux portes d’entrée mucosales, modulent l’activité des lymphocytes qui est déterminante dans le type de réponse immunitaire élaborée par l’hôte. Méthodologie : Des spécimens provenant d’une cohorte de travailleuses du sexe (TS) recrutées à Cotonou au Bénin en Afrique subsaharienne ont été analysés. Nous avons caractérisé le milieu mucosal génital féminin hautement exposé au VIH de TS séronégatives (highly exposed seronegative; HESN) en comparaison avec celui de TS séropositives. Brièvement, les liquides cervicaux-vaginaux ont été déterminés par des techniques de multiplexes/Luminex ou par ELISA et le milieu cellulaire a été décrit suite à des analyses de cytométrie en flux (phénotypage et tri cellulaire). Résultats : Nous avons observé la présence augmentée d’un facteur soluble antiviral, immunomodulateur et antiprolifératif sécrété dans le TGF des TS HESN qui est l’interféron (IFN)-α. La présence augmentée de cette cytokine suggère l’existence possible de connexions intercellulaires clés qui pourraient mener à une régulation homéostatique du compartiment immunitaire génital permettant de contrôler l’infection par le VIH-1. En étudiant l’expression de molécules impliquées dans les voies de signalisation associées à la production d’IFN-α dans les CEG et les cellules myéloïdes du TGF, nous avons pu mettre en évidence l’existence d’un microenvironnement présentant un profil «tolérogénique/régulateur» dans le TGF des TS HESN. Conclusion : Nos observations nous ont permis d’élucider certaines hypothèses sur un potentiel mécanisme d’immunité naturelle protecteur chez les TS HESN. De plus, nous sommes des premiers à décrire une population myéloïde présentant des caractéristiques de DC «tolérogéniques» de par leur expression d’interleukine (IL)-10, de human leukocyte antigen (HLA)-G et de immunoglobulin-like transcript (ILT)-4 dans le TGF de TS HESN. Cette étude aura des implications majeures dans le développement de stratégies d’interventions préventives afin de moduler des conditions inflammatoires préexistantes ainsi établissant une défense mucosale rapide et durable contre le VIH-1.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La dérégulation du compartiment de cellules B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1). On observe notamment une diminution des nombres de lymphocytes B sanguins ainsi qu’une variation des fréquences relatives des différentes populations de lymphocytes B chez les individus infectés par rapport aux contrôles sains. Notre laboratoire a précédemment démontré l’implication des cellules dendritiques dans la dérégulation des lymphocytes B via la roduction excessive de BLyS/BAFF, un stimulateur des cellules B. De plus, lors l’études menées chez la souris transgénique présentant une maladie semblable au SIDA, et chez la souris BLyS/BAFF transgénique, l’infection au VIH-1 fut associée à une expansion de la zone marginale (MZ) de la rate. De façon intéressante, nous observons chez les contrôleurs élites une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ. Il s’agit du seul changement important chez les contrôleurs élites et reflète possiblement un recrutement de ces cellules vers la périphérie ainsi qu’une implication dans des mécanismes de contrôle de l’infection. Pour tenter d’expliquer et de mieux comprendre ces variations dans les fréquences des populations B, nous avons analysé les axes chimiotactiques CXCL13-CXCR5, CXCL12-CXCR4/CXCR7, CCL20-CCR6 et CCL25-CCR9. L’étude longitudinale de cohortes de patients avec différents types de progression clinique ou de contrôle de l’infection démontre une modulation des niveaux plasmatiques de la majorité des chimiokines analysées chez les progresseurs rapides et classiques. Au contraire, les contrôleurs élites conservent des niveaux normaux de chimiokines, démontrant leur capacité à maintenir l’homéostasie. La migration des populations de cellules B semble être modulée selon la progression ou le contrôle de l’infection. Les contrôleurs élites présentent une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ et une augmentation de la fréquence d’expression du récepteur CXCR7 associé à la MZ chez la souris, suggérant un rôle important des cellules de la MZ dans le contrôle de l’infection au VIH-1. De façon générale, les résultats dans cette étude viennent enrichir nos connaissances du compartiment de cellules B dans le contexte de l’infection au VIH-1 et pourront contribuer à élaborer des stratégies préventives et thérapeutiques contre ce virus.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Within target T lymphocytes, human immunodeficiency virus type I (HIV-1) encounters the retroviral restriction factor APOBEC3G (apolipoprotein B mRNA-editing enzyme, catalytic polypeptide-like 3G; A3G), which is counteracted by the HIV-1 accessory protein Vif. Vif is encoded by intron-containing viral RNAs that are generated by splicing at 3' splice site (3'ss) A1 but lack splicing at 5'ss D2, which results in the retention of a large downstream intron. Hence, the extents of activation of 3'ss A1 and repression of D2, respectively, determine the levels of vif mRNA and thus the ability to evade A3G-mediated antiviral effects. The use of 3'ss A1 can be enhanced or repressed by splicing regulatory elements that control the recognition of downstream 5'ss D2. Here we show that an intronic G run (G(I2)-1) represses the use of a second 5'ss, termed D2b, that is embedded within intron 2 and, as determined by RNA deep-sequencing analysis, is normally inefficiently used. Mutations of G(I2)-1 and activation of D2b led to the generation of transcripts coding for Gp41 and Rev protein isoforms but primarily led to considerable upregulation of vif mRNA expression. We further demonstrate, however, that higher levels of Vif protein are actually detrimental to viral replication in A3G-expressing T cell lines but not in A3G-deficient cells. These observations suggest that an appropriate ratio of Vif-to-A3G protein levels is required for optimal virus replication and that part of Vif level regulation is effected by the novel G run identified here.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

While human immunodeficiency virus (HIV)-1 chemokine co-receptors 5 tropism and the GWGR motif in the envelope third variable region (V3 loop) have been associated with a slower disease progression, their influence on antiretroviral response remains unclear. The impact of baseline V3 characteristics on treatment response was evaluated in a randomised, double blind, prospective cohort study with patients initiating highly active antiretroviral therapy with lopinavir or efavirenz plus azithothymidine/3TC (1:1) over 48 weeks. Similar virological and immunological responses were observed for both treatment regimens. The 43 individuals had a mean baseline CD4 T cell count of 119 cells/mm(3) [standard deviation (SD) = 99] and a mean viral load of 5.09 log(10) copies/mL (SD = 0.49). The GWGR motif was not associated with a CD4 T cell response, but predicted R5 tropism by the geno2pheno([clinical20%]) algorithm correlated with higher CD4 T cell levels at all monitoring points (p < 0.05). Moreover, higher false-positive rates (FPR) values from this analysis revealed a strong correlation with CD4 T cell recovery (p < 0.0001). Transmitted drug resistance mutations, documented in 3/41 (7.3%) cases, were unrelated to the assigned antiretroviral regimen and had no impact on patient outcomes. In conclusion, naive HIV-1 R5 infected patients exhibited higher CD4 T cell counts at baseline; this difference was sustained throughout therapy. The geno2pheno[clinical] option FPR positively correlated with CD4 T cell gain and may be useful in predicting CD4 T cell recovery.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Most of the antiretroviral (ARV) studies in Brazil have been reported in treatment-experienced and naive patients rather than in the setting of treatment interruption (TI). In this study, we analysed reasons given for TI and resistance mutations occurring in 150 HIV-1-infected patients who underwent TI. Of the patients analysed, 110 (73.3%) experienced TI following medical advice, while the remaining patients stopped antiretroviral therapy (ART) of their own accord. The main justifications for TI were: ARV-related toxicities (38.7%), good laboratory parameters (30%) and poor adherence (20%). DNA sequencing of the partial pol gene was successful in 137 (91.3%) patients, of whom 38 (27.7%) presented mutations conferring ARV resistance. A higher viral load prior to TI correlated with drug resistance (P < 0.05). Our results demonstrate that there are diverse rationales for TI and that detection of resistant strains during TI most likely indicates a fitter virus than the wild type. High viral loads coupled with unprotected sex in this group could increase the likelihood of transmission of drug-resistant virus. Thus, treating physicians should be alerted to this problem when the use of ARVs is interrupted.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Adenosine deaminases acting on RNA (ADARs) catalyze the hydrolytic deamination of adenosine to inosine in double-stranded RNA (dsRNA) and thereby potentially alter the information content and structure of cellular RNAs. Notably, although the overwhelming majority of such editing events occur in transcripts derived from Alu repeat elements, the biological function of non-coding RNA editing remains uncertain. Here, we show that mutations in ADAR1 (also known as ADAR) cause the autoimmune disorder Aicardi-Goutieres syndrome (AGS). As in Adar1-null mice, the human disease state is associated with upregulation of interferon-stimulated genes, indicating a possible role for ADAR1 as a suppressor of type I interferon signaling. Considering recent insights derived from the study of other AGS-related proteins, we speculate that ADAR1 may limit the cytoplasmic accumulation of the dsRNA generated from genomic repetitive elements.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To evaluate cases of mother-to-child transmission of HIV-1 at multiple sites in Latin America and the Caribbean in terms of missed opportunities for prevention. Methods: Pregnant women infected with HIV-1 were eligible for inclusion if they were enrolled in either the NISDI Perinatal or LILAC protocols by October 20, 2009, and had delivered a live infant with known HIV-1 infection status after March 1, 2006. Results: Of 711 eligible mothers, 10 delivered infants infected with HIV-1. The transmission rate was 1.4% (95% CI, 0.7-2.6). Timing of transmission was in utero or intrapartum (n = 5), intrapartum (n = 2), intrapartum or early postnatal (n = 1), and unknown (n = 2). Possible missed opportunities for prevention included poor control of maternal viral load during pregnancy; late initiation of antiretrovirals during pregnancy; lack of cesarean delivery before labor and before rupture of membranes; late diagnosis of HIV-1 infection; lack of intrapartum antiretrovirals; and incomplete avoidance of breastfeeding. Conclusion: Early knowledge of HIV-1 infection status (ideally before or in early pregnancy) would aid timely initiation of antiretroviral treatment and strategies designed to prevent mother-to-child transmission. Use of antiretrovirals must be appropriately monitored in terms of adherence and drug resistance. If feasible, breastfeeding should be completely avoided. Presented in part at the XIX International AIDS Conference (Washington, DC; July 22-27, 2012); abstract WEPE163. (c) 2012 Published by Elsevier Ireland Ltd. on behalf of International Federation of Gynecology and Obstetrics.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Anti-viral drug treatment of human immunodeficiency virus type I (HIV-1) and hepatitis B virus (HBV) infections causes rapid reduction in plasma virus load. Viral decline occurs in several phases and provides information on important kinetic constants of virus replication in vivo and pharmacodynamical properties. We develop a mathematical model that takes into account the intracellular phase of the viral life-cycle, defined as the time between infection of a cell and production of new virus particles. We derive analytic solutions for the dynamics following treatment with reverse transcriptase inhibitors, protease inhibitors, or a combination of both. For HIV-1, our results show that the phase of rapid decay in plasma virus (days 2-7) allows precise estimates for the turnover rate of productively infected cells. The initial quasi-stationary phase (days 0-1) and the transition phase (days 1-2) are explained by the combined effects of pharmacological and intracellular delays, the clearance of free virus particles, and the decay of infected cells. Reliable estimates of the first three quantities are not possible from data on virus load only; such estimates require additional measurements. In contrast with HIV-1, for HBV our model predicts that frequent early sampling of plasma virus will lead to reliable estimates of the free virus half-life and the pharmacological properties of the administered drug. On the other hand, for HBV the half-life of infected cells cannot be estimated from plasma virus decay.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

La dérégulation du compartiment de cellules B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1). On observe notamment une diminution des nombres de lymphocytes B sanguins ainsi qu’une variation des fréquences relatives des différentes populations de lymphocytes B chez les individus infectés par rapport aux contrôles sains. Notre laboratoire a précédemment démontré l’implication des cellules dendritiques dans la dérégulation des lymphocytes B via la roduction excessive de BLyS/BAFF, un stimulateur des cellules B. De plus, lors l’études menées chez la souris transgénique présentant une maladie semblable au SIDA, et chez la souris BLyS/BAFF transgénique, l’infection au VIH-1 fut associée à une expansion de la zone marginale (MZ) de la rate. De façon intéressante, nous observons chez les contrôleurs élites une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ. Il s’agit du seul changement important chez les contrôleurs élites et reflète possiblement un recrutement de ces cellules vers la périphérie ainsi qu’une implication dans des mécanismes de contrôle de l’infection. Pour tenter d’expliquer et de mieux comprendre ces variations dans les fréquences des populations B, nous avons analysé les axes chimiotactiques CXCL13-CXCR5, CXCL12-CXCR4/CXCR7, CCL20-CCR6 et CCL25-CCR9. L’étude longitudinale de cohortes de patients avec différents types de progression clinique ou de contrôle de l’infection démontre une modulation des niveaux plasmatiques de la majorité des chimiokines analysées chez les progresseurs rapides et classiques. Au contraire, les contrôleurs élites conservent des niveaux normaux de chimiokines, démontrant leur capacité à maintenir l’homéostasie. La migration des populations de cellules B semble être modulée selon la progression ou le contrôle de l’infection. Les contrôleurs élites présentent une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ et une augmentation de la fréquence d’expression du récepteur CXCR7 associé à la MZ chez la souris, suggérant un rôle important des cellules de la MZ dans le contrôle de l’infection au VIH-1. De façon générale, les résultats dans cette étude viennent enrichir nos connaissances du compartiment de cellules B dans le contexte de l’infection au VIH-1 et pourront contribuer à élaborer des stratégies préventives et thérapeutiques contre ce virus.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

The karyophilic properties of the human immunodeficiency virus, type I (HIV-1) pre-integration complex (PIC) allow the virus to infect non-dividing cells. To better understand the mechanisms responsible for nuclear translocation of the PIC, we investigated nuclear import of HIV-1 integrase (IN), a PIC-associated viral enzyme involved in the integration of the viral genome in the host cell DNA. Accumulation of HIV-1 IN into nuclei of digitonin-permeabilized cells does not result from passive diffusion but rather from an active transport that occurs through the nuclear pore complexes. HIV-1 IN is imported by a saturable mechanism, implying that a limiting cellular factor is responsible for this process. Although IN has been previously proposed to contain classical basic nuclear localization signals, we found that nuclear accumulation of IN does not involve karyopherins alpha, beta1, and beta2-mediated pathways. Neither the non-hydrolyzable GTP analog, guanosine 5'-O-(thiotriphosphate), nor the GTP hydrolysis-deficient Ran mutant, RanQ69L, significantly affects nuclear import of IN, which depends instead on ATP hydrolysis. Therefore these results support the idea that IN import is not mediated by members of the karyopherin beta family. More generally, in vitro nuclear import of IN does not require addition of cytosolic factors, suggesting that cellular factor(s) involved in this active but atypical pathway process probably remain associated with the nuclear compartment or the nuclear pore complexes from permeabilized cells.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Eight simple N-arylindoles were designed, synthesized and evaluated as human immunodeficiency virus (HIV)-1 integrase inhibitors in vitro for the first time. Among these compounds, 3b, 3e and 3g demonstrated significant anti-HIV-1 integrase activity. Espe

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Ten dibenzofurans were synthesized and evaluated as human immunodeficiency virus (HIV)-1 inhibitors in vitro for the first time. Among these compounds, compounds 1, 6, 7 and 8 demonstrated significant anti-HIV-1 activity. Especially compound 1 showed the