873 resultados para premature rupture of membranes
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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La prééclampsie est responsable du quart des mortalités maternelles et est la deuxième cause de décès maternels associés à la grossesse au Canada et dans le monde. L’identification d’une stratégie efficace pour la prévention de la prééclampsie est une priorité et un défi primordial dans les milieux de recherche en obstétrique. Le rôle des éléments nutritifs dans le développement de la prééclampsie a récemment reçu davantage d’attention. Plusieurs études cliniques et épidémiologiques ont été menées pour déterminer les facteurs de risque alimentaires potentiels et examiner les effets d’une supplémentation nutritive dans le développement de troubles hypertensifs de la grossesse. Pour déterminer les effets de suppléments antioxydants pris pendant la grossesse sur le risque d’hypertension gestationnelle (HG) et de prééclampsie, un essai multicentrique contrôlé à double insu a été mené au Canada et au Mexique (An International Trial of Antioxidants in the Prevention of Preeclampsia – INTAPP). Les femmes, stratifiées par risque, étaient assignées au traitement expérimental quotidien (1 gramme de vitamine C et 400 UI de vitamine E) ou au placebo. En raison des effets secondaires potentiels, le recrutement pour l’essai a été arrêté avant que l’échantillon complet ait été constitué. Au total, 2640 femmes éligibles ont accepté d’être recrutées, dont 2363 (89.5%) furent incluses dans les analyses finales. Nous n’avons retrouvé aucune évidence qu’une supplémentation prénatale de vitamines C et E réduisait le risque d’HG et de ses effets secondaires (RR 0,99; IC 95% 0,78-1,26), HG (RR 1,04; IC 95% 0,89-1,22) et prééclampsie (RR 1,04; IC 95% 0,75-1,44). Toutefois, une analyse secondaire a révélé que les vitamines C et E augmentaient le risque de « perte fœtale ou de décès périnatal » (une mesure non spécifiée au préalable) ainsi qu’une rupture prématurée des membranes avant terme. Nous avons mené une étude de cohorte prospective chez les femmes enceintes recrutées dans l’INTAPP afin d’évaluer les relations entre le régime alimentaire maternel en début et fin de grossesse et le risque de prééclampsie et d’HG. Un questionnaire de fréquence alimentaire validé était administré deux fois pendant la grossesse (12-18 semaines, 32-34 semaines). Les analyses furent faites séparément pour les 1537 Canadiennes et les 799 Mexicaines en raison de l’hétérogénéité des régimes alimentaires des deux pays. Parmi les canadiennes, après ajustement pour l’indice de masse corporelle (IMC) précédant la grossesse, le groupe de traitement, le niveau de risque (élevé versus faible) et les autres facteurs de base, nous avons constaté une association significative entre un faible apport alimentaire (quartile inférieur) de potassium (OR 1,79; IC 95% 1,03-3,11) et de zinc (OR 1,90; IC 95% 1,07-3,39) et un risque augmenté de prééclampsie. Toujours chez les Canadiennes, le quartile inférieur de consommation d’acides gras polyinsaturés était associé à un risque augmenté d’HG (OR 1,49; IC 95% 1,09-2,02). Aucun des nutriments analysés n’affectait les risques d’HG ou de prééclampsie chez les Mexicaines. Nous avons entrepris une étude cas-témoins à l’intérieur de la cohorte de l’INTAPP pour établir le lien entre la concentration sérique de vitamines antioxydantes et le risque de prééclampsie. Un total de 115 cas de prééclampsie et 229 témoins ont été inclus. Les concentrations de vitamine E ont été mesurées de façon longitudinale à 12-18 semaines (avant la prise de suppléments), à 24-26 semaines et à 32-34 semaines de grossesse en utilisant la chromatographie liquide de haute performance. Lorsqu’examinée en tant que variable continue et après ajustement multivarié, une concentration de base élevée de gamma-tocophérol était associée à un risque augmenté de prééclampsie (quartile supérieur vs quartile inférieur à 24-26 semaines : OR 2,99, IC 95% 1,13-7,89; à 32-34 semaines : OR 4,37, IC 95% 1,35-14,15). Nous n’avons pas trouvé de lien entre les concentrations de alpha-tocophérol et le risque de prééclampsie. En résumé, nous n’avons pas trouvé d’effets de la supplémentation en vitamines C et E sur le risque de prééclampsie dans l’INTAPP. Nous avons toutefois trouvé, dans la cohorte canadienne, qu’une faible prise de potassium et de zinc, tel qu’estimée par les questionnaires de fréquence alimentaire, était associée à un risque augmenté de prééclampsie. Aussi, une plus grande concentration sérique de gamma-tocophérol pendant la grossesse était associée à un risque augmenté de prééclampsie.
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Résumé: Les anti-infectieux sont parmi les médicaments les plus utilisés pendant la grossesse. Les indications pour l’utilisation de ces médicaments, telles que les infections bactériennes, figurent parmi les facteurs de risque les plus importants pour la prématurité et les enfants nés petits pour l'âge gestationnel («Small-for-gestational-age », SGA). Ces complications de la grossesse peuvent avoir des incidences sur la santé du nouveau né et sur son développement futur. Compte tenu des impacts sur la santé de la mère et de l’enfant, la prise en charge et le traitement efficace de ces infections sont impératifs. Cependant, l'utilisation des anti-infectieux, pour éviter des issues de grossesse défavorables, fait l’objet d’une controverse dans la littérature. Cette controverse est en partie liée à la qualité méthodologique discutable des études disponibles sur le sujet. Les quatre études présentées dans cette thèse ont donc pour objectif d’investiguer l’utilisation des anti-infectieux durant la grossesse ainsi que d’évaluer le risque de prématurité et de SGA après utilisation de ces médicaments en période gestationnelle. Une révision systématique de la littérature sur l’utilisation du métronidazole durant la grossesse est également présentée. Nous avons utilisé, comme source de données le Registre des Grossesses du Québec, une cohorte longitudinale conçue à partir du jumelage de trois bases de données administratives de la province du Québec (RAMQ, Med-Echo et ISQ). Le registre fournit des informations sur les prescriptions, les services pharmaceutiques et médicaux, ainsi que des donnés sur les soins d’hospitalisation de courte durée et démographiques. Les deux premières études présentées dans cette thèse ont eu pour objectif d’évaluer la prévalence, les tendances, les indications et les prédicteurs de l’utilisation des anti-infectieux dans une cohorte, extraite du registre, de 97 680 femmes enceintes. A l’aide d’un devis cas-témoins, les 2 dernières études ont mesuré l’association entre l’utilisation d’anti-infectieux durant les 2 derniers trimestres de grossesse et le risque de prématurité et de SGA, respectivement. Un cas de prématurité a été défini comme un accouchement survenu avant 37 semaines de gestation. Un cas de SGA a été défini comme l’accouchement d’un enfant dont le poids à la naissance se situe sous le 10ème percentile du poids normalisé à la naissance (compte tenu de l’âge gestationnel et du sexe du bébé). Les données ont été recueillies pour les agents systémiques oraux, ainsi que pour les classes et les agents individuels. Nos résultats ont montré que la prévalence de l’utilisation des anti-infectieux durant la grossesse était comparable à celle d’autres études déjà publiées (25%). Nous avons observé une augmentation de l’utilisation des agents plus anciens et ayant des profils d’innocuité connus. Les prédicteurs de l’usage en début de grossesse identifiés sont : avoir eu plus de deux différentes prescriptions (OR ajusté = 3,83, IC 95% : 3,3-4,3), avoir eu un diagnostic d’infection urinaire (OR= 1,50, IC 95% : 1,3-1,8) et un diagnostic d’infection respiratoire (OR= 1,40, IC 95% : 1,2-1,6). L’utilisation des macrolides a été associée à une diminution du risque de prématurité (OR =0,65, IC 95% : 0,50-0,85). En revanche, les femmes ayant été exposées au métronidazole ont vu leur risque augmenté de 80% (OR=1,81, IC 95% : 1,30-2,54). L’utilisation d’azithromycine a été associée à une diminution importante du risque chez les femmes ayant un diagnostic de rupture prématurée des membranes (OR=0,31, IC 95% : 0,10-0,93). Cependant, l'utilisation de sulfaméthoxazole-triméthoprime (SXT) a été significativement associée à une augmentation du risque de SGA (OR= 1,61, IC 95% : 1,16-2,23), tandis que celle des anti-infectieux urinaires a été associée à une diminution du risque (OR= 0,80, 95%CI : 0.65-0.97). Les conclusions de nos travaux suggèrent que l’utilisation des macrolides et des pénicillines diminuent le risque de prématurité et de SGA. Nous devons considérer l'utilisation de différents choix thérapeutiques tels que l’azithromycine, lors de la prise en charge des infections pouvant induire la prématurité et le SGA.
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Rotina bacteriológica do conteúdo vaginal e cervical de 22 mulheres com histórico de aborto recente ou ruptura precoce das membranas foi realizada. Chlamydia trachomatis, Streptococcus pyogenes, Streptococcus agalactiae, Candida sp e Gardnerella vaginalis foram isolados em 54,5% (12) das pacientes. Apesar de Ureaplasma urealyticum ter sido frequentemente encontrado (45,5%), somente em 5 das 22 mulheres foi o único microrganismo presente nos materiais analisados. Esses resultados chamam a atenção para a importância de investigação quantitativa bem como qualitativa da microbiota genital em gestantes, tendo em vista ter consequências na gestação.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Perinatal care of pregnant women at high risk for preterm delivery and of preterm infants born at the limit of viability (22-26 completed weeks of gestation) requires a multidisciplinary approach by an experienced perinatal team. Limited precision in the determination of both gestational age and foetal weight, as well as biological variability may significantly affect the course of action chosen in individual cases. The decisions that must be taken with the pregnant women and on behalf of the preterm infant in this context are complex and have far-reaching consequences. When counselling pregnant women and their partners, neonatologists and obstetricians should provide them with comprehensive information in a sensitive and supportive way to build a basis of trust. The decisions are developed in a continuing dialogue between all parties involved (physicians, midwives, nursing staff and parents) with the principal aim to find solutions that are in the infant's and pregnant woman's best interest. Knowledge of current gestational age-specific mortality and morbidity rates and how they are modified by prenatally known prognostic factors (estimated foetal weight, sex, exposure or nonexposure to antenatal corticosteroids, single or multiple births) as well as the application of accepted ethical principles form the basis for responsible decision-making. Communication between all parties involved plays a central role. The members of the interdisciplinary working group suggest that the care of preterm infants with a gestational age between 22 0/7 and 23 6/7 weeks should generally be limited to palliative care. Obstetric interventions for foetal indications such as Caesarean section delivery are usually not indicated. In selected cases, for example, after 23 weeks of pregnancy have been completed and several of the above mentioned prenatally known prognostic factors are favourable or well informed parents insist on the initiation of life-sustaining therapies, active obstetric interventions for foetal indications and provisional intensive care of the neonate may be reasonable. In preterm infants with a gestational age between 24 0/7 and 24 6/7 weeks, it can be difficult to determine whether the burden of obstetric interventions and neonatal intensive care is justified given the limited chances of success of such a therapy. In such cases, the individual constellation of prenatally known factors which impact on prognosis can be helpful in the decision making process with the parents. In preterm infants with a gestational age between 25 0/7 and 25 6/7 weeks, foetal surveillance, obstetric interventions for foetal indications and neonatal intensive care measures are generally indicated. However, if several prenatally known prognostic factors are unfavourable and the parents agree, primary non-intervention and neonatal palliative care can be considered. All pregnant women with threatening preterm delivery or premature rupture of membranes at the limit of viability must be transferred to a perinatal centre with a level III neonatal intensive care unit no later than 23 0/7 weeks of gestation, unless emergency delivery is indicated. An experienced neonatology team should be involved in all deliveries that take place after 23 0/7 weeks of gestation to help to decide together with the parents if the initiation of intensive care measures appears to be appropriate or if preference should be given to palliative care (i.e., primary non-intervention). In doubtful situations, it can be reasonable to initiate intensive care and to admit the preterm infant to a neonatal intensive care unit (i.e., provisional intensive care). The infant's clinical evolution and additional discussions with the parents will help to clarify whether the life-sustaining therapies should be continued or withdrawn. Life support is continued as long as there is reasonable hope for survival and the infant's burden of intensive care is acceptable. If, on the other hand, the health car...
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This paper presents a comparative proteomic analysis of human maternal plasma and amniotic fluid (AF) samples from the same patient at term of pregnancy in order to find specific AF proteins as markers of premature rupture of membranes, a complication frequently observed during pregnancy. Maternal plasma and the corresponding AF were immunodepleted in order to remove the six most abundant proteins before the systematic analysis of their protein composition. The protein samples were then fractionated by IEF Off-Gel electrophoresis (OGE), digested and analyzed with nano-LC-MS/MS separation, revealing a total of 73 and 69 proteins identified in maternal plasma and AF samples, respectively. The proteins identified in AF have been compared to those identified in the mother plasma as well as to the reference human plasma protein list reported by Anderson et al. (Mol. Cell. Proteomics 2004, 3, 311-326). This comparison showed that 26 proteins were exclusively present in AF and not in plasma among which 10 have already been described to be placenta or pregnancy specific. As a further validation of the method, plasma proteins fractionated by OGE and analysed by nano-LC-MS/MS have been compared to the Swiss 2-D PAGE reference map by reconstructing a map that matches 2-D gel and OGE experimental data. This representation shows that 36 of 49 reference proteins could be identified in both data sets, and that isoform shifts in pI are well conserved in the OGE data sets.
Perinatal mortality and quality of care at the National Institute of Perinatology: A 3-year analysis
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Quality of medical care has been indirectly assessed through the collection of negative outcomes. A preventable death is one that could have been avoided if optimum care had been offered. The general objective of the present project was to analyze the perinatal mortality at the National Institute of Perinatology (located in Mexico City) by social, biological and some available components of quality of care such as avoidability, provider responsibility, and structure and process deficiencies in the delivery of medical care. A Perinatal Mortality Committee data base was utilized. The study population consisted of all singleton perinatal deaths occurring between January 1, 1988 and June 30, 1991 (n = 522). A proportionate study was designed.^ The population studied mostly corresponded to married young adult mothers, who were residents of urban areas, with an educational level of junior high school or more, two to three pregnancies, and intermediate prenatal care. The mean gestational age at birth was 33.4 $\pm$ 3.9 completed weeks and the mean birthweight at birth was 1,791.9 $\pm$ 853.1 grams.^ Thirty-five percent of perinatal deaths were categorized as avoidable. Postnatal infection and premature rupture of membranes were the most frequent primary causes of avoidable perinatal death. The avoidable perinatal mortality rate was 8.7 per 1000 and significantly declined during the study period (p $<$.05). Preventable perinatal mortality aggregated data suggested that at least part of the mortality decline for amenable conditions was due to better medical care.^ Structure deficiencies were present in 35% of avoidable deaths and process deficiencies were present in 79%. Structure deficiencies remained constant over time. Process deficiencies consisted of diagnosis failures (45.8%) and treatment failures (87.3%), they also remained constant through the years. Party responsibility was as follows: Obstetric (35.4%), pediatric (41.4%), institutional (26.5%), and patient (6.6%). Obstetric responsibility significantly increased during the study period (p $<$.05). Pediatric responsibility declined only for newborns less than 1500 g (p $<$.05). Institutional responsibility remained constant.^ Process deficiencies increased the risk for an avoidable death eightfold (confidence interval 1.7-41.4, p $<$.01) and provider responsibility ninety-fivefold (confidence interval 14.8-612.1, p $<$.001), after adjustment for several confounding variables. Perinatal mortality due to prematurity, barotrauma and nosocomial infection, was highly preventable, but not that due to transpartum asphyxia. Once specific deficiencies in the quality of care have been identified, quality assurance actions should begin. ^
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Background. An abnormally high incidence (44%) of bronchopulmonary dysplasia with variations in rates among cities was observed in Colombia among premature infants. Objective. To identify risk factors that could explain the observed high incidence and regional variations of bronchopulmonary dysplasia. Study Design. A case-control study was designed for testing the hypothesis that differences in the disease rates were not explained by differences in city-of-birth specific population characteristics or by differences in respiratory management practices in the first 7 days of life, among cities. Results. Multivariate analysis showed that premature rupture of membranes, exposure to mechanical ventilation after received nasal CPAP, no surfactant exposure, use of rescue surfactant (instead of early surfactant), PDA, sepsis and the median daily FIO2, were associated with a higher risk of dysplasia. Significant differences between cases and controls were found among cities. Models exploring for associations between city of birth and dysplasia showed that being born in the highest altitude city (Bogotá) was associated with a higher risk of dysplasia (OR 1.82 95% CI 1.31–2.53). Conclusions. Bronchopulmonary dysplasia was manly explained by traditional risk factors. Findings suggest that altitude may play an important role in the development of this disease. Prenatal steroids did not appear to be protective at high altitude.
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Introducción: la Endometritis Posparto constituye la causa más frecuente de fiebre puerperal, y su incidencia aumenta con la presencia de factores de riesgo como cesárea, ruptura prematura de membranas, mayor numero de tactos vaginales, índice de masa corporal mayor de 30, presencia de Vaginitis/Vaginosis, entre otros. Esta última puede incrementar el riesgo hasta 15 veces según la población en estudio. Materiales y Métodos: se realizó un estudio de casos y controles para determinar el riesgo de Endometritis Posparto asociado a Vaginitis/Vaginosis tratada incluyendo todas las pacientes atendidas por el servicio de urgencias en la Clínica Universitaria Colombia, durante el 2008. Resultados: se presentaron un total de 88 pacientes divididas en 2 grupos, pareados en una relación 1:1 por edad materna, paridad y vía del parto. Al realizar el análisis univariado el nivel educativo y la vía del parto mostraron resultados no concluyentes (OR 1.0, p<0.05). El resto de las variables a estudio como: edad, paridad, estado civil, nivel socioeconómico, numero de tactos vaginales, ruptura de membranas, corioamnionitis, infección de vías urinarias, anemia y presencia de flujo vaginal, asociado a endometritis no mostraron resultados estadísticamente significativos. La asociación entre presencia de flujo y endometritis y la presencia de un flujo polimicrobiano evidenciaron un ligero aumento del riesgo sin evidencia estadísticamente significativa Conclusión: No existe una asociación estadísticamente significativa entre Vaginitis/Vaginosis tratada y Endometritis Posparto. Se requiere la realización de nuevos estudios con un mayor número de pacientes y otros diseños tipo cohorte para establecer de forma más clara esta asociación.
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Objetivo: determinar los factores de riesgo asociados a la mayor severidad de EMH. Materiales y Métodos: estudio observacional con componente analítico tipo casos y controles. Resultados: total de pacientes 64, 13 (20.3%) con EMH severa y 51 EMH leve moderada. Se encontró relación entre la ruptura prematura de membranas, la cesárea sin trabajo de parto, la asfixia-acidosis fetal y la infección neonatal temprana con mayor requerimiento surfactante p<0.05. La PMVA requerida fue mayor en los hijos de madre diabética y los recién nacidos con asfixia-acidosis fetal p<0.05. El tiempo de ventilación mecánica fue menor en los que recibieron esteroides antenatales p<0.05. Se encontró una tendencia para presentar EMH severa en los pacientes con diabetes gestacional, quienes tuvieron un parto por cesárea sin haber iniciado el trabajo de parto o tuvieron el antecedente de hemorragia del tercer trimestre. Conclusiones: no se encontraron diferencias significativas en las variables de Diabetes gestacional, Hemorragia del tercer trimestre y cesárea sin trabajo de parto, probablemente por el tamaño de la muestra. Se considera entonces la posibilidad de realizar más estudios a futuro que relacionen estos factores con la severidad de la enfermedad de membrana hialina. Objetivo: Determinar los factores de riesgo asociados a la mayor severidad de EMH. Materiales y Métodos: Estudio observacional con componente analítico tipo casos y controles. Resultados: Total de pacientes 64, 13 (20.3%) con EMH severa y 51 EMH leve moderada. Se encontró relación entre la ruptura prematura de membranas, la cesárea sin trabajo de parto, la asfixia-acidosis fetal y la infección neonatal temprana con mayor requerimiento surfactante p<0.05. La PMVA requerida fue mayor en los hijos de madre diabética y los recién nacidos con asfixia-acidosis fetal p<0.05. El tiempo de ventilación mecánica fue menor en los que recibieron esteroides antenatales p<0.05. Se encontró una tendencia para presentar EMH severa en los pacientes con diabetes gestacional, quienes tuvieron un parto por cesárea sin haber iniciado el trabajo de parto o tuvieron el antecedente de hemorragia del tercer trimestre. Conclusiones: No se encontraron diferencias significativas en las variables de Diabetes gestacional, Hemorragia del tercer trimestre y cesárea sin trabajo de parto, probablemente por el tamaño de la muestra. Se considera entonces la posibilidad de realizar más estudios a futuro que relacionen estos factores con la severidad de la enfermedad de membrana hialina. Palabras Claves: Enfermedad de membrana hialina, ruptura prematura de membranas, diabetes gestacional.
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Introducción: El manejo de los neonatos pretermino en la Unidad de Cuidados Intensivos (UCIN) de la Fundación Santafé sigue protocolos internacionales, sin embargo no se conoce si las estadísticas internacionales se correlacionan con las locales. El estudio pretende determinar la morbimortalidad en esta población de pretérminos, buscar si existen factores de riesgo asociados a esta y plantear propuestas para mejorar en los cuidados de los pacientes. Materiales y Métodos: Estudio descriptivo de corte Transversal, que incluyó neonatos preterminos menores de 1500 gr que hubieran estado hospitalizados en la UCIN en un periodo de 5 años desde enero del 2005 a diciembre de 2009. Se analizo la información estadísticamente y se buscaron diferencias entre los grupos que presentaron mortalidad y los que sobrevivieron. Resultados: Fueron recolectadas 106 historias clínicas, murieron (12,3%) y sobrevivieron (87,7%). La diferencia entre el peso medio fue de 387 gramos (IC95% 245.5 a 528,5; p<0,05), mayor en los que sobrevivieron que en los que murieron; al igual que la diferencia entre las semanas de gestación fue de 2 semanas (IC95% 0.7 a 3,3; p<0,05) también mayor en los sobrevivientes. La principal indicación de parto fue Ruptura Prematura de Membranas (23,1% y 25,8% respectivamente) y el 87,7% fue diagnosticado con Enfermedad de Membrana Hialina. Conclusión: La Fundación Santafé presenta estadísticas de mortalidad de preterminos muy por debajo del nivel mundial, pero debido a la falta de seguimiento de los pacientes que egresan no es posible la comparación con los datos de los estudios encontrados en la literatura.
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Pós-graduação em Patologia - FMB
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Pós-graduação em Patologia - FMB
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Pós-graduação em Pediatria - FMB