20 resultados para aporia
Resumo:
El concepto de "aporía", del griego "aporia", que significa dificultad, perplejidad, es utilizado por Josep Acebillo para referirse a lo que él llama "una dificultad lógica insoluble que resulta de la mala utilización de conceptos teóricos.? (2007:86) Además, el autor nos advierte de sus posibles efectos, ya que vivimos una auténtica eclosión de aporías: ?Una de las consecuencias de este mal uso es la aparición de posiciones disciplinarias que pueden ocasionar que la arquitectura vaya a la deriva. "(2007: 86). A este respecto, hay muchas intervenciones en el campo de la arquitectura y el urbanismo que pueden causar perplejidad en el espectador por su tendencia a ignorar la verdad y a proponer una confusión entre realidad y deseo. Una de ellas es el uso de ?disfraces? para enmascarar lo que hay debajo. Es también lo que le sucede a menudo a muchos urbanistas que consideran el paisaje como una simplificación de la complejidad territorial e intentan reducir un problema serio e interdisciplinario a un mero problema de revestimiento, de fachada. El objetivo de este artículo es explicar cómo la arquitectura y el urbanismo utilizan diferentes tipos de disfraces, distinguir entre los distintos tipos de ocultamiento y reflexionar sobre cuáles son las principales razones de su uso. Además, se llamará la atención sobre el hecho de que algunas de las categorías descritas llevan consigo un despilfarro económico que debe controlarse en el interés de todos en una época en la que palabras como sostenibilidad y ahorro suponen un deber moral.
Resumo:
En prenant pour appui initial le caractère équivoque de la communication, cette dissertation interroge les manières par lesquelles la vie en commun prend aussi effet comme œuvre de mort. S’inspirant du renouvellement de la recherche sur le thème de la communauté, l’interrogation se déploie en trois mouvements principaux. Chacun de ces mouvements ouvre et négocie trois grandes impasses : épistémologique, politique et éthique. La recherche propose de s’y frayer un chemin en s’appuyant principalement sur les travaux de Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben et Roberto Esposito. Le premier mouvement ouvre au voilement de l’idée de communication. L’idée de communication est voilée par une idéologie qui hérite elle-même d’une certaine conception humaniste de la communauté. Un examen de l’essai de Pic de la Mirandole Sur la dignité de l’homme permet d’exposer les valeurs associées à cette tradition qui recouvrent le caractère ambivalent de la communication. Ce premier mouvement mène au seuil de la situation politique contemporaine, marquée notamment par la nécessité de penser « notre » condition après la crise des valeurs humanistes. Le deuxième mouvement s’applique à l’examen de trois événements politiques contemporains. Chacun donne à comprendre comment s’exprime le péril associé à ce voilement : la fusillade au Collège Dawson de Montréal en 2006, un incident impliquant l’usage de gaz lacrymogènes lors de manifestations menées en 2013 à la Place Taksim à Istanbul, en Turquie, et une analyse de la crise de la dette publique grecque. L’aporie qui articule communication et incommunicabilité y est examinée à partir des thèmes de l’incommensurabilité des modes de vie en commun, de la biopolitique et du fascisme. Le fait que le péril qui menace de « nous » partager soit encore, malgré tout, ce que « nous » avons en partage invite à avancer là où aucune voie ne semble s’ouvrir. Le troisième mouvement présente les manières par lesquelles l’aporie de la communication peut être saisie en montrant qu’il est possible de penser par delà l’opposition de la communication et de la non-communication. Ce problème est abordé à l’horizon de la tradition philosophique concernant la question de l’être. Le saisissement du commun comme d’un propre — l’appropriation de l’inappropriable — ouvre à une conception de la communication « hors du commun ». Ces trois mouvements ne portent pas jusqu’à une conclusion. Ils ouvrent plutôt sur une autre conception de la communication. Celle-ci expose la possibilité sans cesse reconduite de l’événement fragile et intime dont « nous » sommes le nom.
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En prenant pour appui initial le caractère équivoque de la communication, cette dissertation interroge les manières par lesquelles la vie en commun prend aussi effet comme œuvre de mort. S’inspirant du renouvellement de la recherche sur le thème de la communauté, l’interrogation se déploie en trois mouvements principaux. Chacun de ces mouvements ouvre et négocie trois grandes impasses : épistémologique, politique et éthique. La recherche propose de s’y frayer un chemin en s’appuyant principalement sur les travaux de Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben et Roberto Esposito. Le premier mouvement ouvre au voilement de l’idée de communication. L’idée de communication est voilée par une idéologie qui hérite elle-même d’une certaine conception humaniste de la communauté. Un examen de l’essai de Pic de la Mirandole Sur la dignité de l’homme permet d’exposer les valeurs associées à cette tradition qui recouvrent le caractère ambivalent de la communication. Ce premier mouvement mène au seuil de la situation politique contemporaine, marquée notamment par la nécessité de penser « notre » condition après la crise des valeurs humanistes. Le deuxième mouvement s’applique à l’examen de trois événements politiques contemporains. Chacun donne à comprendre comment s’exprime le péril associé à ce voilement : la fusillade au Collège Dawson de Montréal en 2006, un incident impliquant l’usage de gaz lacrymogènes lors de manifestations menées en 2013 à la Place Taksim à Istanbul, en Turquie, et une analyse de la crise de la dette publique grecque. L’aporie qui articule communication et incommunicabilité y est examinée à partir des thèmes de l’incommensurabilité des modes de vie en commun, de la biopolitique et du fascisme. Le fait que le péril qui menace de « nous » partager soit encore, malgré tout, ce que « nous » avons en partage invite à avancer là où aucune voie ne semble s’ouvrir. Le troisième mouvement présente les manières par lesquelles l’aporie de la communication peut être saisie en montrant qu’il est possible de penser par delà l’opposition de la communication et de la non-communication. Ce problème est abordé à l’horizon de la tradition philosophique concernant la question de l’être. Le saisissement du commun comme d’un propre — l’appropriation de l’inappropriable — ouvre à une conception de la communication « hors du commun ». Ces trois mouvements ne portent pas jusqu’à une conclusion. Ils ouvrent plutôt sur une autre conception de la communication. Celle-ci expose la possibilité sans cesse reconduite de l’événement fragile et intime dont « nous » sommes le nom.
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Avicenna (d. 1037) bequeathed the Arabic philosophical tradition with an aporia : self-knowledge is conceived, at times, in terms of intellection, at other times, in terms of apperception. In his Book of Discussions and Book of Notes, Avicenna has lengthy discussions on apperception, defined as a direct ontological mode of knowledge. Heir to this tradition, Shihāb al-Dīn al-Suhrawardī (d. 1191) moved away from the first conception of self-knowledge as intellection to adopt the second conception of an apperception of the self as a direct, intuitive and "presential (hcombining dot belowudcombining dot belowūrī)" perception, and which he defended with four types of arguments.
Resumo:
Esta pesquisa propõe-se a tematizar a religião no pensamento de Paul Ricoeur. Correlaciona filosofia e teologia e tem na nomeação de Deus o primeiro pro-blema. Ao analisar os limites do assunto, a hipótese da tese sustenta que a inter-secção das áreas é produtiva e que um trabalho original de pensamento pode vir deste cruzamento. A tese sugere o termo da dobra da religião, tendo em vista a apropriação da tarefa do reconhecimento do si na ontologia quebrada. O desdo-bramento das aporias, pela filosofia reflexiva, articula a ontologia do possível nas categorias existenciais do autor, sobretudo em termos da linguagem religio-sa, da esperança e da aporia da graça. A pesquisa é feita com base no método fenomenológico e hermenêutico, dividido em quatro etapas: num primeiro mo-mento, introduz-se a relação da filosofia com a teologia e o teônimo como a primeira dobra da religião. No segundo capítulo, aborda-se a importância tempo-ralidade e a narratividade na mito-poética. O terceiro capítulo versa sobre a in-terpretação metafórica da religião na ontologia do possível. O quarto e último capítulo apresenta a dobra existencial cujo movimento se dá como um espiral fi-losófico na própria vida de Ricoeur. A pesquisa é concluída no horizonte do ser humano capaz e o reconhecimento de si mediado pela dobra da religião. Espera-se que o resultado seja uma reflexão que permita uma melhor compreensão da filosofia de Ricoeur, bem como que sirva de referencial e fundamento para fu-turos estudos acerca da filosofia da religião.