126 resultados para Victimisation
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The release of ex-combatants and the mechanisms for their re-integration within society has become an increasingly controversial issue in peace settlements. Yet to date, the view of victims concerning such arrangements in post-conflict societies remains unexplored. Mindful of this omission and using Northern Ireland as a case study, this article investigates the relationship between victimisation and attitudes towards the treatment of former political prisoners. Based on the 2011 Northern Ireland Social and Political Attitudes Survey, the results suggest that individual victims—those who directly and/or indirectly experienced violent incidents—are notably less supportive of a punitive approach towards the treatment of former political prisoners than non-victims. Moreover, this is particularly the case when victims from within the Catholic community are considered. The Northern Ireland evidence suggests that victims can act as a positive and inclusive force in terms of the rehabilitation and re-integration of former combatants in societies emerging from conflict.
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Cette étude s’intéresse aux relations d’amitié et aux caractéristiques des amis comme facteurs de risque interpersonnels susceptibles de prédire les changements à travers le temps, de la victimisation par les pairs au début du secondaire. L’échantillon est composé de 524 élèves de secondaire I et II pour lesquels le niveau de victimisation a été mesuré par les pairs lors de deux années consécutives. Les facteurs de risque individuel associés à la victimisation par les pairs (i.e. les comportements agressifs, les comportements de retrait social et le rejet par les pairs) ainsi que les caractéristiques des amis (i.e. agressivité, retrait social et victimisation des amis) ont également été évalués par les pairs lors du premier temps de mesure. Les résultats démontrent qu’au-delà des facteurs de risque individuels, un plus grand nombre d’amis prédit une diminution de la victimisation par les pairs sur une période d’un an. De plus, pour les élèves rejetés socialement, la victimisation des amis permet de rendre compte d’une augmentation de la victimisation dans le temps. Contrairement aux résultats obtenus par d’autres études, l’agressivité des amis permet de prédire une diminution de la victimisation seulement pour les élèves bien acceptés socialement. Pour les jeunes qui sont rejetés socialement, l’agressivité des amis permet de prédire une augmentation de la victimisation par les pairs. Ces résultats apportent un regard nouveau sur l’inter influence entre l’identité des amis et le contexte social dans lequel les adolescents évoluent.
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation.
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Cette étude propose d’explorer, parmi un ensemble de variables propres à la vulnérabilité des personnes, celles qui expliquent le mieux les inquiétudes face à la victimisation criminelle chez les aînés. L’utilisation d’un instrument de mesure validé en français et adapté à une population âgée québécoise, le WAV (Worry About Victimization), nous aura permis d’étudier la peur du crime en précisant ses dimensions émotionnelles, cognitives et béhaviorale. L’échantillon est constitué de 387 répondants âgés entre 60 et 98 ans résidant dans les centres urbains de Montréal, Sherbrooke et Trois-Rivières. Les résultats suggèrent, qu’en somme, la préoccupation envers le crime en général, les préoccupations envers certains crimes plus spécifiquement définis, de même que les précautions prises contre le crime sont expliquées par des caractéristiques se rapportant à la vulnérabilité des personnes. Pour ces trois dimensions, le sexe représente le meilleur facteur explicatif. Les autres dimensions : perception générale du risque de victimisation, inquiétude diffuse face à l’éventualité d’être victime d’un crime, et recours à des mesures de protection s’expliquent à la fois par des caractéristiques de vulnérabilité et la recherche de protection. Il est à noter que pour ces autres dimensions, le sexe n’est pas au rang de facteurs explicatifs. Des analyses selon le sexe montrent par ailleurs que les inquiétudes des hommes sont moins fonction des caractéristiques de vulnérabilité que pour les femmes. À l’inverse, les expériences de victimisation criminelle de même que les caractéristiques définissant le réseau social, sa disponibilité, l’utilisation qui en est faite et la satisfaction qu’on en tire expliquent davantage l’inquiétude des hommes que celle des femmes. Cette étude conclut que la considération d’autres théories, en complémentarité avec celle de la vulnérabilité, pourrait être bénéfique selon la dimension des inquiétudes étudiée et le sexe des répondants. Cela dit, l’utilisation du WAV apparaît être le premier pas vers l’obtention de connaissances plus nuancées et ainsi plus cohérentes en regard des différentes dimensions de l’inquiétude liée à la victimisation exprimée notamment par les personnes âgées.
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L’objectif de la recherche est de comparer une traduction d’un questionnaire américain, le Juvenile Victimization Questionnaire (JVQ) avec un questionnaire de victimisation préexistant au Canada, l’Enquête Sociale Générale (ESG). À l’aide d’une base de données formée par le JVQ en 2009, une comparaison a été conduite entre les victimisations de 783 jeunes âgés entre 15 et 17 ans afin de les comparer avec les victimisations de 631 jeunes âgés entre 15 et 17 ans de la base de données de l’ESG de 2009. Sur la majorité des points de comparaison établis entre les deux questionnaires, il existe des différences significatives entre les résultats obtenus par le JVQ et l’ESG. Pour les comparaisons des taux de victimisation des 12 derniers mois, 3 des 8 taux de victimisation comparés étaient similaires. Pour les comparaisons des taux de victimisation à vie, les 7 taux comparés étaient significativement différents. Cependant, il existe des explications méthodologiques et échantillonnales afin de rendre compte de ces différences. Les résultats indiquent qu’avec les différences inhérentes aux deux questionnaires, les échantillons des 15 à 17 ans présentent des taux relativement différents. Il est possible de valider l’utilisation du JVQ sur la population afin de recueillir des informations fiables sur la victimisation. Toutefois, en comparant les différentes questions individuellement, il est possible d’apporter des améliorations aux deux questionnaires utilisés.
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation.
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Contexte et objectifs. Ce mémoire propose un modèle conceptuel écologique afin de mieux comprendre la violence dans les écoles. Les objectifs de cette recherche sont de ; 1) estimer l’effet des facteurs individuels, contextuels et environnementaux sur le risque de victimisation, 2) vérifier la présence d’interactions entre les différents facteurs. Méthodologie. Les élèves de 16 écoles primaires de la grande région métropolitaine de Montréal ont pris part à un sondage auto-révélé en lien avec différentes dimensions liées à la victimisation en milieu scolaire. Des analyses descriptives ont été menées, dans un premier temps, pour dresser le portrait de la violence en milieu scolaire. Dans un second temps, l’emploi d’un modèle linéaire hiérarchique généralisé (MLHG) a permis d’estimer les effets de variables propres à l’individu, au contexte et à l’environnement sur le risque de victimisation. Résultats. Les résultats aux analyses multiniveaux montrent que des variables individuelles, contextuelles et environnementales influent sur la probabilité d’être victime de violence verbale, physique et dans les médias sociaux. Ainsi, les élèves les plus délinquants sont aussi ceux qui rapportent le plus d’antécédents de victimisation. Toutefois, ces résultats ne sont pas entièrement imputables aux caractéristiques des individus. Le risque de victimisation est atténué lorsque les « gardiens » interviennent pour mettre un terme au conflit et que les victimes se défendent. Enfin, le risque de victimisation est moins élevé dans les écoles où il y a un grand nombre d’élèves. Interprétation. Les résultats suggèrent que plusieurs facteurs qui ne sont pas liés aux victimes et aux délinquants permettent de mieux comprendre le processus de victimisation en milieu scolaire. Le rôle des gardiens de même que la taille des écoles sont des éléments centraux à la compréhension du passage à l’acte.
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L’objectif de cette étude est d’explorer l’effet modérateur du nombre d’amis et de leurs caractéristiques sur le lien prédictif entre la victimisation par les pairs et l’anxiété sociale. Plus spécifiquement, cette étude s’intéresse aux niveaux moyens de victimisation, de rejet et d’anxiété sociale des amis comme facteurs aggravants potentiels. Les données ont été recueillies à deux reprises auprès de 576 adolescents d’en moyenne 13,5 ans au début de leur secondaire deux et à la fin de leur secondaire trois. Les participants ont répondu à des questionnaires auto-rapportés pour les mesures de victimisation et d’anxiété sociale et ont participé à une procédure de nomination sociométrique pour la mesure de statut social et l’identification des amis. De manière concomitante, les résultats démontrent que la victimisation par les pairs et certaines caractéristiques des amis (niveaux d’anxiété et de rejet social) contribuent respectivement, de manière unique et indépendante, à rendre compte de l’anxiété sociale des participants. De manière longitudinale, la victimisation par les pairs permet de prédire le développement de l’anxiété sociale sur une période de 1,5 ans. Néanmoins, le nombre d’amis et leurs caractéristiques ne contribuent pas de manière additive au développement ultérieur de l’anxiété sociale. De plus, les caractéristiques des amis n’interagissent d’aucune façon avec la victimisation par les pairs pour rendre compte du développement ultérieur de l’anxiété sociale. Cependant, des analyses exploratoires ont permis de montrer que le niveau de victimisation des amis constitue un facteur aggravant pour les enfants rejetés socialement; le rejet par les pairs étant positivement associé au développement de l’anxiété sociale chez les élèves qui entretiennent des relations d’amitié avec des élèves qui rapportent être victimes de mauvais traitements.
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Sexual abuse leads to physical harm and devastating psychosocial consequences. It increases risk of HIV transmission and is associated with risky behaviour. Little is known about sexual abuse victimisation (SAV) and perpetration (SAP) among HIV-positive men who have sex with women (MSW). We investigated self-reported SAV and SAP among 242 Brazilian MSW selected at HIV care centres. Patients were questioned about sociodemographic data, mode of HIV acquisition, sexual practices, drug use and history of SAV or SAP. Prevalence of outcomes was estimated and risk factors for SAP investigated by logistic regression. Fifty-eight (24.1%) interviewees reported SAV. Of patients abused before 15 years of age, 64.3% reported events before the age of ten. Aggressors included relatives, friends and teachers. Among those victimised after 15 years old, 57.7% described events before 17 and 38.5% had acquainted aggressors. Fourteen (5.8%) interviewees reported SAP and most knew their victims. Sexual abuse perpetration was associated with lower schooling, marital status, illicit drug use and self-reported SAV. Sexual abuse was frequently reported by MSW from this cohort. Identifying predictors of violence and addressing SAV and SAP in comprehensive HIV care may help reduce violent behaviour, psychological distress and contribute to maximise benefits of preventive and care interventions.
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This longitudinal study investigated whether cybervictimisation is an additional risk factor for depressive symptoms over and beyond traditional victimisation in adolescents. Furthermore, it explored whether certain coping strategies moderate the impact of cybervictimisation on depressive symptoms. A total of 765 Swiss seventh graders (mean age at time-point 1 (t1) = 13.18 years) reported on the frequency of traditional and cybervictimisation, and of depressive symptoms twice in six months. At time-point 2 (t2) students also completed a questionnaire on coping strategies in response to a hypothetical cyberbullying scenario. Analyses showed that both traditional and cybervictimisation were associated with higher levels of depressive symptoms. Cybervictimisation also predicted increases in depressive symptoms over time. Regarding coping strategies, it was found that helpless reactions were positively associated with depressive symptoms. Moreover, support seeking from peers and family showed a significant buffering effect: cybervictims who recommended seeking close support showed lower levels of depressive symptoms at t2. In contrast, cybervictims recommending assertive coping strategies showed higher levels of depressive symptoms at t2.
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Background While much attention has been given to the prediction of violent offending behaviour amongst people with psychotic disorders, less attention has been given to the fact that these same individuals are often the victims of violence. In this paper, we examine victimisation amongst participants in a prevalence study of psychosis, and describe demographic and clinical correlates of victimisation. Method The study was based on the Australian National Survey of Mental Health and Wellbeing - Low Prevalence (Psychotic) Disorders. The participants were asked if they had been a victim of violence in the previous year. The association between selected demographic and clinical variables and being a victim of violence was examined using logistic regression. Results Of the 962 individuals with psychosis, 172 reported being a victim of violence in the past 12 months (17.9 %). The odds of being a victim were increased in those who: (a) were female, (b) were homeless, (c) had a lifetime history of substance abuse, (d) had been arrested in the previous 12 months, (e) had poorer social and occupational function, and (f) had higher scores on the disorganisation summary score. Conclusions Clinicians should remain mindful that one out of every six individuals with a psychotic disorder reports being a victim of violence in the previous year. Models of care that address issues related to symptom relief, accommodation, and exposure to high-crime areas may reduce the rates of victimisation amongst those with psychotic disorders.
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This thesis is organised into four parts. In Part 1 relevant literature is reviewed and presented in three chapters. Chapter 1 examines legal and cultural factors in identifying the. boundaries of rape. Chapter 2 discusses idiographic features· and causal characteristics of rape suspects and victims. Chapter 3 reviews the evidence relating to attitudes toward rape,. attribution of responsibility to victims and the routine management of rape cases by the police. Part II comprises an experimental investigation of observer perception of the victims of violent crime. The experiment, examined the processes by which impressions were attributed to victims of personal crime. The results suggested that discrepancies from observers' stereotypes were an important factor in their polarisation of victim ratings. The relevance of. examining . both the structure and process of' impression, formation was highlighted. Part III describes an extensive field study in which the West. Midlands police files on rape for an eight year period (1071-1978) were analysed. The study revealed a large number of interesting findings related to a wide range of relevant features of the crime. Further, the impact .of common misconceptions and "myths" of rape were investigated across the legal and judicial processing of rape cases. The evidence suggests that these "myths" lead·to differential biasing effects at different stages in the process. In the final part of this thesis,. salient issues raised by the experiment and field study .are discussed·within the framework outlined in Part 1. Potential implications for future developments and research: are presented.