986 resultados para Société en réseau


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Goldsmiths'-Kress no. 27874.

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Cette étude s’est déroulée dans le contexte de l’École en réseau au Québec. Une classe du primaire a utilisé un espace numérique collaboratif (Knowledge Forum) pour la réalisation d’activités d’éducation artistique, soit l’appréciation d’un corpus d’oeuvres et la création d’un objet d’art. La progression du discours écrit relativement à ces deux objets de partage a été étudiée. Nos résultats montrent que les élèves ont réussi à faire progresser leurs contributions sur les deux objets partagés. En interagissant entre eux, ils ont créé des artéfacts de connaissances partagées et développé un langage artistique propre. À la suite de nos constats, des implications pédagogiques ont été formulées pour d’encourager la participation des élèves lors d’activités d’éducation artistique au moyen d’outils numériques qui soutiennent la collaboration.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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A Cultura Digital é uma realidade do século XXI, onde as relações humanas são fortemente mediadas pelas tecnologias e pelo digital. O Digital tem mudado o comportamento das pessoas e influenciado o seu meio cultural. O conceito de Cultura digital inclui saber onde encontrar informação, ferramentas e sistemas, necessários para cumprir uma determinada tarefa de forma não só eficaz, mas também mais eficiente. As competências para explorar as tecnologias que o permitam, são cada vez mais exigidas na interação em sociedade. Tendo em consideração estudos existentes associados com as competências TIC, nomeadamente os propostos pela UNESCO e pelo Executivo Angolano no seu Plano Nacional de Desenvolvimento para 2013-2017, em que está enquadrada a iniciativa da Rede de Mediatecas de Angola, foi tomada a Cultural Digital e a sua promoção no ambito das Mediatecas. Numa primeira avaliação desde da abertura da Mediateca em Fevereiro de 2014, verificamos uma fraca adesão dos professores na utilização dos serviços da Mediateca do Huambo – Angola. Coloca-se neste contexto a questão do porquê que é que os professores não exploram as TIC para as atividades docentes ou da sua aprendizagem? Desta forma, é considerada a questão de investigação: Quais as estratégias a desenvolver para incrementar a exploração das TIC pelos professores e como a Mediateca do Huambo pode servir de espaço para a promoção da Cultura Digital. Foi realizado um estudo de caso, no contexto da Mediateca do Huambo, em que foi efetuada uma recolha de dados pela (a) aplicação de questionários aos professores do 1º e 2º Ciclo do Ensino Secundário do Município do Huambo para mapear as competências TIC dos professores segundo os padrões da UNESCO e o apuramento da formação e uso das TIC em contexto educativo, (b) pela aplicação de um conjunto de tarefas com o objetivo de verificar quais as competências digitais dos professores e por último (c), a implementação do projeto-piloto denominado “ Mediateca +Escola” com o objetivo de levar à Mediateca professores e alunos para desenvolver um projeto TIC onde os professores teriam uma oportunidade de demostrar as competências que afirmavam possuir. Como resultado final obtido neste estudo de caso podemos concluir que 71,27% indicanos que os professores têm a perceção que necessitam de mais formação e desenvolvimento de competências TIC, 27,50% confirma que os professores creem que têm confiança nas TIC. Em face das respostas com valores negativos que apontam para a necessidade de delinear estratégia para capacitar este grupo em competências TIC de forma a incluí-los na sociedade em rede providos de uma Cultura Digital foi proposto o modelo que permite validar os dados obtidos pelo questionário permitindo também delinear estratégias com vista à promoção da Cultura Digital.

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Thèse par articles. Articles (4) annexés à la thèse en fichiers complémentaires.

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Cette thèse porte sur l’appropriation de l’Internet et du multimédias dans la population universitaire d’Afrique francophone, en l’an 2001. Elle couvre six pays : le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Mali et le Togo. La recherche porte sur le recensement des centres de recherche démographique en Afrique francophone subsaharienne et sur une enquête auprès des universités de Yaoundé II et de Douala au Cameroun. La problématique de l’accès et de l’usage est centrale dans notre démarche. Elle est traduite dans la question de recherche suivante : « Dans un contexte dominé par les représentations des NTIC comme symboles de modernité et facteurs d’intégration à l’économie mondiale, quelles sont les modalités d’appropriation de ces technologies par les universitaires des institutions de l’enseignement et de la recherche en Afrique considérées dans cette étude ? » Pour aborder le matériel empirique, nous avons opté pour deux approches théoriques : les théories du développement en lien avec les (nouveaux) médias et la sociologie des innovations techniques. Enracinées dans la pensée des Lumières, complétée et affinée par les approches évolutionnistes inspirées de Spencer, le fonctionnalisme d’inspiration parsonienne et l’économie politique axée sur la pensée de W. W. Rostow, les théories du développement ont largement mis à contribution les théories de la communication pour atteindre leur objet. Alors que la crise de la modernité occidentale menace de délégitimer ces paradigmes, les technologies émergentes leur donnent une nouvelle naissance : dans la continuité de la pensée d’Auguste Comte, le développement est désormais penen termes d’intégration à un nouveau type de société, la société de l’information. Cette nouvelle promesse eschatologique et cette foi dans la technique comme facteur d’intégration à la société et à l’économie en réseau habitent tous les projets menés sur le continent, que ce soit le NEPAD, le Fond de solidarité numérique, le projet d’ordinateur à 100$ pour les enfants démunis ou le projet panafricain de desserte satellitaire, le RASCOM. Le deuxième volet de notre cadre de référence théorique est axé sur la sociologie des innovations techniques. Nous mobilisons la sociopolitique des usages de Vedel et Vitalis pour ramener la raison critique dans le débat sur le développement du continent africain, dans l’optique de montrer que la prérogative politique assumée par les États a encore sa place, si l’on veut que les ressources numériques servent à satisfaire les demandes sociales et non les seules demandes solvables essentiellement localisées dans les centres urbains. En refusant le déterminisme technique si courant dans la pensée sur le développement, nous voulons montrer que le devenir de la technique n’est pas inscrit dans son essence, comme une ombre portée, mais que l’action des humains, notamment l’action politique, peut infléchir la trajectoire des innovations techniques dans l’optique de servir les aspirations des citoyens. Sur le plan méthodologique, la démarche combine les méthodes quantitatives et les méthodes qualitatives. Les premières nous permettront de mesurer la présence d’Internet et du multimédia dans l’environnement des répondants. Les secondes nous aideront à saisir les représentations développées par les usagers au contact de ces outils. Dans la perspective socioconstructiviste, ces discours sont constitutifs des technologies, dans la mesure où ils sont autant de modalités d’appropriation, de construction sociale de l’usage. Ultimement, l’intégration du langage technique propre aux outils multimédias dans le langage quotidien des usagers traduit le dernier stade de cette appropriation. À travers cette recherche, il est apparu que les usagers sont peu nombreux à utiliser les technologies audiovisuelles dans le contexte professionnel. Quand à l’Internet et aux outils multimédias, leur présence et leurs usages restent limités, l’accès physique n’étant pas encore garanti à tous les répondants de l’étude. Internet suscite de grandes espérances, mais reste, là aussi, largement inaccessible en contexte professionnel, la majorité des usagers se rabattant sur les lieux publics comme les cybercafés pour pallier l’insuffisance des ressources au sein de leurs institutions d’appartenance. Quant aux représentations, elles restent encore largement tributaires des discours politiques et institutionnels dominants, selon lesquels l’avenir sera numérique ou ne sera pas. La thèse va cependant au-delà de ces données pour dessiner la carte numérique actuelle du continent, en intégrant dans la nouvelle donne technologique la montée fulgurante de la téléphonie cellulaire mobile. Il nous est apparu que l’Internet, dont la diffusion sur le continent a été plus que modeste, pourrait largement profiter de l’émergence sur le continent de la culture mobile, que favorise notamment la convergence entre les mini-portables et la téléphonie mobile.