976 resultados para Salla della Pace do Palazzo Pubblico de Siena
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A partire da un’analisi complessiva della struttura di Palazzo Italia Expo, è stata approfondita nel dettaglio la realizzazione del rivestimento. Sono emerse soluzioni costruttive fortemente innovative, dettate da necessità architettoniche ben precise: si è cercato di conciliare il concept della foresta urbana con le esigenze funzionali che il palazzo doveva soddisfare. Nella scelta del materiale da rivestimento si è optato per un “cemento biodinamico” brevettato per l’occasione da ItalCementi, e studiato anch’esso con obiettivi ben definiti: ricercare una brillantezza e purezza del colore durevole nel tempo, e avvicinarsi sempre più all’esigenza di sostenibilità ambientale delle strutture. Si è cercato di analizzare l'effettiva capacità di questo cemento di soddisfare i requisiti prefissati nel corso tempo, anche attraverso un'analisi comparativa con il cemento utilizzato nella chiesa Dives in Misericordia a Roma di Richard Meier.
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La tesi intende analizzare l’unitarietà della vicenda contrattuale dell’appalto pubblico nell’ottica del superamento della tradizionale visione dicotomica tra la fase della scelta del contraente e quella esecutiva. Sullo sfondo della funzionalizzazione del contratto alla realizzazione dell’interesse pubblico in concreto, oggi più che mai comprensivo dei fini ambientali, sociali e occupazionali, l’attenzione sarà posta in particolare sulla compresenza in entrambe le fasi di “momenti” (e quindi di regimi) pubblicistici e privatistici. A tal fine, l’attenzione sarà principalmente riservata, da un lato, all’estensione del regime delle trattative precontrattuali anche al momento che precede quello dell’aggiudicazione e, dall’altro lato, all’applicazione dello statuto pubblicistico all’esecuzione del contratto, specialmente in relazione all’esercizio del recesso, in ciò esprimendosi con maggior forza il senso dell’unitarietà fra le due fasi. Rilevata infine la frammentazione delle giurisdizioni, valorizzata l’esigenza di un giudice specializzato sulla materia e preso atto di alcune trasformazioni (potenziali e attuali) sul fronte più generale del riparto, si cercherà di fornire una lettura atta ad estendere, a Costituzione invariata, la giurisdizione esclusiva del giudice amministrativo su tutta l’unitaria vicenda contrattuale.
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Contient : 1 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à madame de Nemours,... A Moustiers, ce 24e d'aoust 1628 » ; 2 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame de Nemours » ; 3 Lettre de « V[ITTORE-] AMEDEO [DE SAVOIE], prince de Piemont... à monsieur le duc de Nemours » ; 4 Lettre de « C[HARLES-] EMANUEL », duc DE SAVOIE, au duc de Nemours. « De Turin, ce 24 novembre 1628 » ; 5 Lettre de « J[EAN-] FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve... Annessy, le XIX auvril 1629 » ; 6 Lettre de « C[HARLES-] EMANUEL », duc DE SAVOIE, à « monseigneur le duc de Nemours,... Aviliane, ce 29 avril 1629 » ; 7 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE,... à monsieur le duc de Nemours,... Turin, ce 3 may 1629 » ; 8 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au duc de Nemours. « De Thurin, ce 28 juillet 1629 » ; 9 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à monseigneur de Nemours » ; 10 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à monsieur de Nemours,... A Chambery, ce 3 de novembre 1629 » ; 11 Lettre de l'archiduchesse « ISABEL » CLAIRE-EUGENIE, gouvernante des Pays-Bas, à la duchesse de Nemours. « De Brusselas, a 28 de noviembre 1629 ». En espagnol ; 12 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Annessy, le 28 febvrier 1630 » ; 13 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [DE SAVOIE, prince de Piémont]... à la chambre des comptes de Savoye,... De Turin, ce 16e may 1630 ». Copie ; 14 « Responces aux calomnies advancées à S. A. Sme [de Savoie] contre Me Jean André Pavy d'Annessy ». 1630 ; 15 Lettre du Sr « CARRON, secretaire de l'ordre [de l'Annonciade]... à monseigneur le duc de Nemours,... De Savillan, ce 26 julliet 1630 » ; 16 Lettre de « HENRY DE SAVOYE [duc DE NEMOURS]... à monsieur de Mepieux,... De Paris, ce 20 aoust 1630 » ; 17 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOYE]... à madame de Nemours,... De la montagne de Thurin, ce 4e septembre 1630 » ; 18 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à monsieur le duc de Nemours,... A Sanfré, ce 28 de setembre 1630 » ; 19 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours,... A Sanfré, ce 28 de setembre 1630 » ; 20 Lettre du Sr « CARRON [secrétaire de l'ordre de l'Annonciade]... A Sanfré, le 29 de septembre 1630 » ; 21 Lettre du Sr « CARRON » au duc de Nemours. « A Sanfré, ce 29 setembre 1630 » ; 22 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, au duc de Nemours. « A Sanfré, ce 30 de settembre 1630 » ; 23 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à la duchesse de Nemours. « A Sanfré, ce 30 de setembre 1630 » ; 24 Lettre du comte de « VERUE » au duc de Nemours. « De Rive, ce 2me 8bre 1630 » ; 25 Lettre de la reine « MARIE [DE MEDICIS]... à mon nepveu le duc de Nemours,... A Lyon, le IXe octobre 1630 » ; 26 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, au duc de Nemours. « De Villeneufve, ce 29 de novembre 1630 » ; 27 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à « madame de Nemours,... A Villeneufve d'Ast, ce pr Xbre 1630 » ; 28 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à « monseigneur le duc de Nemours,... A Querasque, ce 3 de decembre 1630 » ; 29 Lettre de « FRANCESCO D'ESTE,... duc de Modene... al Sr duca di Nemurs,... Di Reggio, li 10 gennaio 1631 ». En italien ; 30 Lettre d'ALBERT D'AQUAVIVA D'ARAGON, duc D'«ATRYE,... En Rome, ce 15 mars 1631 » ; 31 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO, duc DE SAVOYE,... à mon cousin le duc de Nemours,... A Querasque, ce IIIe d'avril 1631 » ; 32 « Articolo segreto della pace... tra il sigr duca di Savoya et il sigr duca di Mantova... In Cherasco, li 6 aprile 1631 ». En italien. Copie ; 33 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à madame ma cousine la duchesse de Nemours,... A Queras, ce 27 may 1631 » ; 34 Lettre du Sr « CARRON », secrétaire de l'ordre de l'Annonciade, au duc de Nemours. « A Turin, ce 14 d'octobre 1631 » ; 35 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à la duchesse de Nemours. « A Carignan, ce 25e de juin 1631 » ; 36 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « Mr le duc de Nemours,... A Moncalier, ce 29 de juin 1631 » ; 37 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame la duchesse de Nemours,... A Moncalier, ce 29 de juin 1631 » ; 38 Lettre d'ABEL DE « SERVIEN,... à monseigneur le duc de Nemours,... A Virieus, le 7 8bre 1631 » ; 39 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Carignan, ce 4e janvier 1632 » ; 40 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE,... à madame de Nemours,... De Turin, le 14 fevrier 1632 » ; 41 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO [duc DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours,... A Turin, ce 3 de mars 1632 » ; 42 Lettre de « M[AURICE], cardinal DE SAVOYE », au duc de Nemours. « Turin, le 13 may 1632 » ; 43 Lettre de « CHRESTIENNE [DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE]... à monsieur le duc de Nemours, mon cousin... De Turin, ce 2me de may 1632 » ; 44 « Ratiffication » par HENRI DE SAVOIE, duc DE NEMOURS, d'un don de trente mille livres tournois par lui fait à « François de Sainct Hubert, escuier, sieur de La Gastine », en reconnaissance du soin qu'il avait pris de ses affaires. « Faict et passé à Paris... l'an mil six cens trente deux, le vingt sixiesme jour de may » ; 45 Lettre du Sr DE « ST SIMON » au duc de Nemours. « A Pont Favergé, ce 13 juin 1632 » ; 46 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Annessy, le 28 juillet 1632 » ; 47 Lettre d'ARMAND-JEAN DU PLESSIS, « cardinal DE RICHELIEU,... à madame la duchesse de Nemours,... De Fontainebleau, ce 2e juing 1633 » ; 48 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « monsieur de Nemours,... De Mirefleurs, ce 22e juing 1633 » ; 49 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Mirefleurs, ce 22e juing 1633 » ; 50 Lettre de « J[EAN-]FRANÇOIS [DE SALES], e[vêque] de Geneve », à la duchesse de Nemours. « A Clairmont, le premier juillet 1633 » ; 51 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Turin, ce 2e 7bre 1633 » ; 52 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à madame de Nemours,... De Turin, ce 30e de septembre 1633 » ; 53 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à made la duchesse de Nemours,... De Chambery, ce 12e de novembre 1633 » ; 54 Lettre de « CATERINE D[E] S[AVOIE]... à madame de Nemours, ma cousine... A Turin, le 14me decembre 1633 » ; 55 Lettre de « MARIE D[E] S[AVOIE]... à madame de Nemours, ma cousine... A Turin, le 14me Xbre 1633 » ; 56 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... Turin, ce 15 Xbre 1633 » ; 57 Lettre du prince « THOMAS [-FRANÇOIS DE SAVOIE]... à made la duchesse de Nemours,... De Chambery, ce 24e de decembre 1633 » ; 58 Lettre de « CHRESTIENNE [DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE]... à madame la duchesse de Nemours, ma cousine... Turin, ce 4 febvrier 1634 » ; 59 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO », duc DE SAVOIE, à « madame de Nemours,... De Turin, ce 5e febvrier 1634 » ; 60 Lettre du prince « THOMAS » FRANÇOIS DE SAVOIE à la duchesse de Nemours. « De Chambery, ce 15 de fevrier 1634 » ; 61 Lettre de la princesse « MATILDE DE SAVOYE,... à madame la duchesse de Nemours,... De Turin, ce 22e juillet 1634 » ; 62 Lettre de « CHRESTIENNE » DE FRANCE, duchesse DE SAVOIE, à « m[adame] de Nemours,... Du Valentin, le 3 aoust 1637 » ; 63 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au duc « de Nemours » ; 64 Lettre de « V[ITTORE-]AMEDEO » DE SAVOIE, prince de Piémont, au « duc de Nemours ». 1627 ; 65 Protestation de fidélité à la reine Marie de Médicis ; 66 État de payement de gens de guerre. Copie ; 67 Petit Mémoire adressé à M. « de Villeroy » pour le prier de rappeler au roi Louis XIII qu'il a promis de mettre l'abbaye de Saint-Évroul à la disposition du duc de Nemours ; 68 Mémoire pour un agent du roi Louis XIII auprès du duc de Savoie. Copie ; 69 Lettre de CHARLES DE BOURBON, « conte DE SOISSONS,... à monseigneur le duc de Nemours » ; 70 Minute d'une lettre de HENRI DE SAVOIE, duc DE NEMOURS, au duc de Savoie ; 71 « Instruction » donnée par le duc DE NEMOURS à « monsieur de Crocq, estant à Turin » près le duc de Savoie. Copie ; 72 « Coppie de lettre escritte par [HENRI DE LORRAINE, duc] DU MAINE, à monsgr d'Aumalle » ; 73 Lettre, avec chiffre et déchiffrement, relative au différend du duc de Nemours avec le duc de Savoie, adressée « à monsieur Bertelot, conseiller et secretaire ordinaire » du duc de Nemours ; 74 « Memoyres pour messeigneurs les ducs de Guize et de Montheleon », relatifs aux affaires de Savoie, à eux adressés par « HENRY DE SAVOYE [duc DE NEMOURS]... Ce 1 d'aoust » ; 75 Lettre adressée au « duc de Nemours », pour lui annoncer le rétablissement d'un de ses neveux
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La necessità di conservazione e recupero di murature, di qualsiasi interesse storico/architettonico, ha evidenziato la necessità di conoscere il più dettagliatamente possibile le caratteristiche strutturali delle opere interessate: un intervento risulterà tanto più efficace e adatto agli scopi prefissi quanto maggiore sarà la conoscenza dell’opera, della sua evoluzione, dei materiali utilizzati per la realizzazione, della tecnica costruttiva e della struttura portante. Spesso è necessario eseguire interventi di adeguamento sismico di comuni edifici su cui poter intervenire più o meno indiscriminatamente, mentre, per opere di interesse storico è necessario ridurre al minimo l’invasività degli interventi: in tutti e due i casi, una buona riuscita dell’intervento dipende dalla conoscenza dell’organismo strutturale sul quale si deve operare. Come spesso accade, anche per opere di recente costruzione, risulta difficile poter recuperare i dati progettuali (disegni e calcoli) e spesso le tecniche e le tipologie utilizzate per le costruzioni si differenziavano da zona a zona, così come diversi erano i materiali da costruzione; risulta quindi evidente che per progettare una serie di interventi di recupero è necessario poter ottenere il maggior numero di informazioni al riguardo. Diverse sono le esperienze maturate in questo campo in tutta Europa e queste hanno mostrato come non è sufficiente intervenire con tecniche innovative per adeguare agli standard attuali di sicurezza opere del passato: infatti, in molti casi, l’applicazione sbagliata di queste tecniche o gli interventi progettati in modo non adeguato non hanno svolto il loro compito e in alcuni casi hanno peggiorato la situazione esistente. Dalle esperienze maturate è stato possibile osservare che anche le migliore tecniche di recupero non possono risultare efficaci senza un’adeguata conoscenza dello stato di degrado degli edifici, del loro assetto strutturale e delle possibili carenze. La diagnostica strutturale si vuole inserire proprio in questo livello potendo fornire ad un progettista tutte le informazioni necessarie per effettuare al meglio ed in maniera efficace gli interventi di recupero e restauro necessari. Oltre questi aspetti, le analisi diagnostiche possono essere utilizzate anche per verificare l’efficacia degli interventi effettuati. Diversi sono gli aspetti che si possono analizzare in un’indagine di diagnostica ed in base alle esigenze e alle necessità del rilievo da effettuare sono varie le tecniche a disposizione, ognuna con le sue peculiarità e potenzialità. Nella realizzazione di questa tesi sono state affrontate diverse problematiche che hanno previsto sia l’analisi di situazioni reali in cantiere, sia lo studio in laboratorio. La prima parte del presente elaborato prevede lo studio delle attività svolte a Palazzo Malvezzi, attuale sede della Provincia di Bologna. L’edificio, di interesse storico, ha subito diverse trasformazioni durate la sua vita ed in alcuni casi, queste, eseguite con tecnologie e materiali inadatti, hanno provocato variazioni nell’assetto statico della struttura; inoltre, il palazzo, è soggetto a movimenti a livello di fondazione in quanto è presente una faglia di subsidenza che attraversa l’edificio. Tutte queste problematiche hanno creato movimenti differenziali alla struttura in elevazione che si sono evidenziati con crepe distribuite in tutto l’edificio. Il primo aspetto analizzato (capitoli 4 e 5) è lo studio della profondità delle fessure presenti nel solaio della sala Rossa, sede dei comunicati stampa e delle conferenze della Provincia. Senza dubbio antiestetiche, le crepe presenti in una struttura, se sottovalutate, possono compromettere notevolmente le funzioni statiche dell’elemento in cui si sviluppano: la funzione di protezione fornita dal solaio o da qualsiasi altro elemento strutturale alle armature in questo immerse, viene meno, offrendo vie preferenziali a possibili situazioni di degrado, specialmente se in condizioni ambientali aggressive. E' facile intuire, quindi, che un aspetto all’apparenza banale come quello delle fessure non può essere sottovalutato. L’analisi è stata condotta utilizzando prove soniche ed impact-echo, tecniche che sfruttano lo stresso principio, la propagazione delle onde elastiche nel mezzo, ma che si differenziano per procedure di prova e frequenze generate nel test. Nel primo caso, la presenza del martello strumentato consente di valutare anche la velocità di propagazione delle onde elastiche, fenomeno utilizzato per ottenere indicazioni sulla compattezza del mezzo, mentre nel secondo non è possibile ricavare queste informazioni in quanto la tecnica si basa solamente sullo studio in frequenza del segnale. L’utilizzo dell’impact-echo è stato necessario in quanto la ristilatura effettuata sulle fessure scelte per l’analisi, non ha permesso di ottenere risultati utili tramite prove soniche ; infatti, le frequenze generate risultano troppo basse per poter apprezzare queste piccole discontinuità materiali. La fase di studio successiva ha previsto l’analisi della conformazione dei solai. Nel capitolo 6, tale studio, viene condotto sul solaio della sala Rossa con lo scopo di individuarne la conformazione e la presenza di eventuali elementi di rinforzo inseriti nelle ristrutturazioni avvenute nel corso della vita del palazzo: precedenti indagini eseguite con endoscopio, infatti, hanno mostrato una camera d’aria ed elementi metallici posizionati al di sotto della volta a padiglione costituente il solaio stesso. Le indagini svolte in questa tesi, hanno previsto l’utilizzo della strumentazione radar GPR: con questa tecnica, basata sulla propagazione delle onde elettromagnetiche all’interno di un mezzo, è possibile variare rapidamente la profondità d’ispezione ed il dettaglio ottenibile nelle analisi cambiando le antenne che trasmettono e ricevono il segnale, caratteristiche fondamentali in questo tipo di studio. I risultati ottenuti hanno confermato quanto emerso nelle precedenti indagini mostrando anche altri dettagli descritti nel capitolo. Altro solaio oggetto d’indagine è quello della sala dell’Ovale (capitoli 7 e 8): costruito per dividere l’antica sala da ballo in due volumi, tale elemento è provvisto al suo centro di un caratteristico foro ovale, da cui ne deriva il nome. La forma del solaio lascia supporre la presenza di una particolare struttura di sostegno che le precedenti analisi condotte tramite endoscopio, non sono riuscite a cogliere pienamente. Anche in questo caso le indagini sono state eseguite tramite tecnica radar GPR, ma a differenza dei dati raccolti nella sala Rossa, in questo caso è stato possibile creare un modello tridimensionale del mezzo investigato; inoltre, lo studio è stato ripetuto utilizzando un’antenna ad elevata risoluzione che ha consentito di individuare dettagli in precedenza non visibili. Un ulteriore studio condotto a palazzo Malvezzi riguarda l’analisi della risalita capillare all’interno degli elementi strutturali presenti nel piano interrato (capitolo 9): questo fenomeno, presente nella maggior parte delle opere civili, e causa di degrado delle stesse nelle zone colpite, viene indagato utilizzando il radar GPR. In questo caso, oltre che individuare i livelli di risalita osservabili nelle sezioni radar, viene eseguita anche un’analisi sulle velocità di propagazione del segnale e sulle caratteristiche dielettriche del mezzo, variabili in base al contenuto d’acqua. Lo scopo è quello di individuare i livelli massimi di risalita per poterli confrontare con successive analisi. Nella fase successiva di questo elaborato vengono presentate le analisi svolte in laboratorio. Nella prima parte, capitolo 10, viene ancora esaminato il fenomeno della risalita capillare: volendo studiare in dettaglio questo problema, sono stati realizzati dei muretti in laterizio (a 2 o 3 teste) e per ognuno di essi sono state simulate diverse condizioni di risalita capillare con varie tipologie di sale disciolto in acqua (cloruro di sodio e solfato di sodio). Lo scopo è di valutare i livelli di risalita osservabili per diverse tipologie di sale e per diverse concentrazioni dello stesso. Ancora una volta è stata utilizzata la tecnica radar GPR che permette non solo di valutare tali livelli, ma anche la distribuzione dell’umidità all’interno dei provini, riuscendo a distinguere tra zone completamente sature e zone parzialmente umide. Nello studio è stata valutata anche l’influenza delle concentrazioni saline sulla propagazione del segnale elettromagnetico. Un difetto delle tecniche di diagnostica è quello di essere strumenti qualitativi, ma non quantitativi: nel capitolo 11 viene affrontato questo problema cercando di valutare la precisione dei risultati ottenuti da indagini condotte con strumentazione radar GPR. Studiando gli stessi provini analizzati nel capitolo precedente, la tecnica radar è stata utilizzata per individuare e posizionare i difetti (muretti a 3 teste) e le pietre (muretti a 2 teste) inserite in questi elementi: i risultati ottenuti nella prova sono stati confrontati, infine, con la reale geometria. Nell’ultima parte (capitolo 12), viene esaminato il problema dell’individuazione dei vuoti all’interno di laterizi: per questo scopo sono state create artificialmente delle cavità di diversa forma e a diverse profondità all’interno di laterizi pieni che, dopo un trattamento in cella climatica per aumentarne la temperatura, sono stati sottoposti a riprese termografiche nella fase di raffreddamento. Lo scopo di queste prove è quello di valutare quale sia la massima differenza di temperatura superficiale causata dai diversi difetti e per quale intervallo di temperature questa si verifica.
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Il progetto di tesi dottorale qui presentato intende proporsi come il proseguimento e l’approfondimento del progetto di ricerca - svoltosi tra il e il 2006 e il 2008 grazie alla collaborazione tra l’Università di Bologna, la Cineteca del Comune e dalla Fondazione Istituto Gramsci Emilia-Romagna - dal titolo Analisi e catalogazione dell’Archivio audiovisivo del PCI dell’Emilia-Romagna di proprietà dell’Istituto Gramsci. La ricerca ha indagato la menzionata collezione che costituiva, in un arco temporale che va dagli anni Cinquanta agli anni Ottanta, una sorta di cineteca interna alla Federazione del Partito Comunista Italiano di Bologna, gestita da un gruppo di volontari denominato “Gruppo Audiovisivi della Federazione del PCI”. Il fondo, entrato in possesso dell’Istituto Gramsci nel 1993, è composto, oltre che da documenti cartacei, anche e sopratutto da un nutrito numero di film e documentari in grado di raccontare sia la storia dell’associazione (in particolare, delle sue relazioni con le sezioni e i circoli della regione) sia, in una prospettiva più ampia, di ricostruire il particolare rapporto che la sede centrale del partito intratteneva con una delle sue cellule regionali più importanti e rappresentative. Il lavoro svolto sul fondo Gramsci ha suscitato una serie di riflessioni che hanno costituito la base per il progetto della ricerca presentata in queste pagine: prima fra tutte, l’idea di realizzare un censimento, da effettuarsi su base regionale, per verificare quali e quanti audiovisivi di propaganda comunista fossero ancora conservati sul territorio. La ricerca, i cui esiti sono consultabili nell’appendice di questo scritto, si è concentrata prevalentemente sugli archivi e sui principali istituti di ricerca dell’Emilia-Romagna: sono questi i luoghi in cui, di fatto, le federazioni e le sezioni del PCI depositarono (o alle quali donarono) le proprie realizzazioni o le proprie collezioni audiovisive al momento della loro chiusura. Il risultato dell’indagine è un nutrito gruppo di film e documentari, registrati sui supporti più diversi e dalle provenienze più disparate: produzioni locali, regionali, nazionali (inviati dalla sede centrale del partito e dalle istituzioni addette alla propaganda), si mescolano a pellicole provenienti dall’estero - testimoni della rete di contatti, in particolare con i paesi comunisti, che il PCI aveva intessuto nel tempo - e a documenti realizzati all’interno dell’articolato contesto associazionistico italiano, composto sia da organizzazioni nazionali ben strutturate sul territorio 8 sia da entità più sporadiche, nate sull’onda di particolari avvenimenti di natura politica e sociale (per esempio i movimenti giovanili e studenteschi sorti durante il ’68). L’incontro con questa tipologia di documenti - così ricchi di informazioni differenti e capaci, per loro stessa natura, di offrire stimoli e spunti di ricerca assolutamente variegati - ha fatto sorgere una serie di domande di diversa natura, che fanno riferimento non solo all’audiovisivo in quanto tale (inteso in termini di contenuti, modalità espressive e narrative, contesto di produzione) ma anche e soprattutto alla natura e alle potenzialità dell’oggetto indagato, concepito in questo caso come una fonte. In altri termini, la raccolta e la catalogazione del materiale, insieme alle ricerche volte a ricostruirne le modalità produttive, gli argomenti, i tratti ricorrenti nell’ambito della comunicazione propagandistica, ha dato adito a una riflessione di carattere più generale, che guarda al rapporto tra mezzo cinematografico e storiografia e, più in dettaglio, all’utilizzo dell’immagine filmica come fonte per la ricerca. Il tutto inserito nel contesto della nostra epoca e, più in particolare, delle possibilità offerte dai mezzi di comunicazione contemporanei. Di fatti, il percorso di riflessione compiuto in queste pagine intende concludersi con una disamina del rapporto tra cinema e storia alla luce delle novità introdotte dalla tecnologia moderna, basata sui concetti chiave di riuso e di intermedialità. Processi di integrazione e rielaborazione mediale capaci di fornire nuove potenzialità anche ai documenti audiovisivi oggetto dei questa analisi: sia per ciò che riguarda il loro utilizzo come fonte storica, sia per quanto concerne un loro impiego nella didattica e nell’insegnamento - nel rispetto della necessaria interdisciplinarietà richiesta nell’utilizzo di questi documenti - all’interno di una più generale rivoluzione mediale che mette in discussione anche il classico concetto di “archivio”, di “fonte” e di “documento”. Nel tentativo di bilanciare i differenti aspetti che questa ricerca intende prendere in esame, la struttura del volume è stata pensata, in termini generali, come ad un percorso suddiviso in tre tappe: la prima, che guarda al passato, quando gli audiovisivi oggetto della ricerca vennero prodotti e distribuiti; una seconda sezione, che fa riferimento all’oggi, momento della riflessione e dell’analisi; per concludere in una terza area, dedicata alla disamina delle potenzialità di questi documenti alla luce delle nuove tecnologie multimediali. Un viaggio che è anche il percorso “ideale” condotto dal ricercatore: dalla scoperta all’analisi, fino alla rimessa in circolo (anche sotto un’altra forma) degli oggetti indagati, all’interno di un altrettanto ideale universo culturale capace di valorizzare qualsiasi tipo di fonte e documento. All’interno di questa struttura generale, la ricerca è stata compiuta cercando di conciliare diversi piani d’analisi, necessari per un adeguato studio dei documenti rintracciati i quali, come si è detto, si presentano estremamente articolati e sfaccettati. 9 Dal punto di vista dei contenuti, infatti, il corpus documentale presenta praticamente tutta la storia italiana del tentennio considerato: non solo storia del Partito Comunista e delle sue campagne di propaganda, ma anche storia sociale, culturale ed economica, in un percorso di crescita e di evoluzione che, dagli anni Cinquanta, portò la nazione ad assumere lo status di paese moderno. In secondo luogo, questi documenti audiovisivi sono prodotti di propaganda realizzati da un partito politico con il preciso scopo di convincere e coinvolgere le masse (degli iscritti e non). Osservarne le modalità produttive, il contesto di realizzazione e le dinamiche culturali interne alla compagine oggetto della ricerca assume un valore centrale per comprendere al meglio la natura dei documenti stessi. I quali, in ultima istanza, sono anche e soprattutto dei film, realizzati in un preciso contesto storico, che è anche storia della settima arte: più in particolare, di quella cinematografia che si propone come “alternativa” al circuito commerciale, strettamente collegata a quella “cultura di sinistra” sulla quale il PCI (almeno fino alla fine degli anni Sessanta) poté godere di un dominio incontrastato. Nel tentativo di condurre una ricerca che tenesse conto di questi differenti aspetti, il lavoro è stato suddiviso in tre sezioni distinte. La prima (che comprende i capitoli 1 e 2) sarà interamente dedicata alla ricostruzione del panorama storico all’interno del quale questi audiovisivi nacquero e vennero distribuiti. Una ricostruzione che intende osservare, in parallelo, i principali eventi della storia nazionale (siano essi di natura politica, sociale ed economica), la storia interna del Partito Comunista e, non da ultimo, la storia della cinematografia nazionale (interna ed esterna al partito). Questo non solo per fornire il contesto adeguato all’interno del quale inserire i documenti osservati, ma anche per spiegarne i contenuti: questi audiovisivi, infatti, non solo sono testimoni degli eventi salienti della storia politica nazionale, ma raccontano anche delle crisi e dei “boom” economici; della vita quotidiana della popolazione e dei suoi problemi, dell’emigrazione, della sanità e della speculazione edilizia; delle rivendicazioni sociali, del movimento delle donne, delle lotte dei giovani sessantottini. C’è, all’interno di questi materiali, tutta la storia del paese, che è contesto di produzione ma anche soggetto del racconto. Un racconto che, una volta spiegato nei contenuti, va indagato nella forma. In questo senso, il terzo capitolo di questo scritto si concentrerà sul concetto di “propaganda” e nella sua verifica pratica attraverso l’analisi dei documenti reperiti. Si cercherà quindi di realizzare una mappatura dei temi portanti della comunicazione politica comunista osservata nel suo evolversi e, in secondo luogo, di analizzare come questi stessi temi-chiave vengano di volta in volta declinati e 10 rappresentati tramite le immagini in movimento. L’alterità positiva del partito - concetto cardine che rappresenta il nucleo ideologico fondante la struttura stessa del Partito Comunista Italiano - verrà quindi osservato nelle sue variegate forme di rappresentazione, nel suo incarnare, di volta in volta, a seconda dei temi e degli argomenti rilevanti, la possibilità della pace; il buongoverno; la verità (contro la menzogna democristiana); la libertà (contro il bigottismo cattolico); la possibilità di un generale cambiamento. La realizzazione di alcuni percorsi d’analisi tra le pellicole reperite presso gli archivi della regione viene proposto, in questa sede, come l’ideale conclusione di un excursus storico che, all’interno dei capitoli precedenti, ha preso in considerazione la storia della cinematografia nazionale (in particolare del contesto produttivo alternativo a quello commerciale) e, in parallelo, l’analisi della produzione audiovisiva interna al PCI, dove si sono voluti osservare non solo gli enti e le istituzioni che internamente al partito si occupavano della cultura e della propaganda - in una distinzione terminologica non solo formale - ma anche le reti di relazioni e i contatti con il contesto cinematografico di cui si è detto. L’intenzione è duplice: da un lato, per inserire la storia del PCI e dei suoi prodotti di propaganda in un contesto socio-culturale reale, senza considerare queste produzioni - così come la vita stessa del partito - come avulsa da una realtà con la quale necessariamente entrava in contatto; in secondo luogo, per portare avanti un altro tipo di discorso, di carattere più speculativo, esplicitato all’interno del quarto capitolo. Ciò che si è voluto indagare, di fatto, non è solo la natura e i contenti di questi documenti audiovisivi, ma anche il loro ruolo nel sistema di comunicazione e di propaganda di partito, dove quest’ultima è identificata come il punto di contatto tra l’intellighenzia comunista (la cultura alta, legittima) e la cultura popolare (in termini gramsciani, subalterna). Il PCI, in questi termini, viene osservato come un microcosmo in grado di ripropone su scala ridotta le dinamiche e le problematiche tipiche della società moderna. L’analisi della storia della sua relazione con la società (cfr. capitolo 2) viene qui letta alla luce di alcune delle principali teorie della storia del consumi e delle interpretazioni circa l’avvento della società di massa. Lo scopo ultimo è quello di verificare se, con l’affermazione dell’industria culturale moderna si sia effettivamente verificata la rottura delle tradizionali divisioni di classe, della classica distinzione tra cultura alta e bassa, se esiste realmente una zona intermedia - nel caso del partito, identificata nella propaganda - in cui si attui concretamente questo rimescolamento, in cui si realizzi realmente la nascita di una “terza cultura” effettivamente nuova e dal carattere comunitario. Il quinto e ultimo capitolo di questo scritto fa invece riferimento a un altro ordine di problemi e argomenti, di cui in parte si è già detto. La ricerca, in questo caso, si è indirizzata verso una 11 riflessione circa l’oggetto stesso dello studio: l’audiovisivo come fonte. La rassegna delle diverse problematiche scaturite dal rapporto tra cinema e storia è corredata dall’analisi delle principali teorie che hanno permesso l’evoluzione di questa relazione, evidenziando di volta in volta le diverse potenzialità che essa può esprimere le sue possibilità d’impiego all’interno di ambiti di ricerca differenti. Il capitolo si completa con una panoramica circa le attuali possibilità di impiego e di riuso di queste fonti: la rassegna e l’analisi dei portali on-line aperti dai principali archivi storici nazionali (e la relativa messa a disposizione dei documenti); il progetto per la creazione di un “museo multimediale del lavoro” e, a seguire, il progetto didattico dei Learning Objects intendono fornire degli spunti per un futuro, possibile utilizzo di questi documenti audiovisivi, di cui questo scritto ha voluto porre in rilievo il valore e le numerose potenzialità.
Il pensiero politico internazionale di Montesquieu: tra la geopolitica e le relazioni internazionali
Resumo:
La tesi ha mostrato come il pensiero politico di Montesquieu possa costituire un utile riferimento teorico per affrontare il problema della ricontestualizzazione dello studio delle relazioni internazionali. La prima parte del lavoro evidenzia alcuni aspetti del metodo di ricerca e del pensiero politico di Montesquieu. Nel primo capitolo, è stato identificato un metodo di ricerca ed un approccio sociologico nello studio della politica, che rappresenta un precedente rispetto alla fondazione di una scienza politica che si propone di identificare nessi causali tra i fenomeni politici. In particolare, si deve riconoscere a Montesquieu il merito di aver introdotto un tipo di analisi della politica che consideri l’interazione di più fattori tra loro. La complessità del reale può essere spiegata soltanto identificando i rapporti che si formano tra gli elementi della realtà. Quindi è possibile porre dei principi in grado di produrre un ordine conoscibile ed interpretabile di tutti questi elementi. Nel secondo capitolo è stata presentata un’analisi delle tipologie delle forme di governo e del concetto di libertà politica. Questo capitolo ha evidenziato solo alcuni aspetti del pensiero politico di Montesquieu utili alla comprensione del pensiero politico internazionale. In particolare, è stata analizzata la struttura e il ressort di ogni forma di governo sottolineando gli aspetti di corruzione e i relativi processi di mutamento. La seconda parte del lavoro ha affrontato l’analisi di un pensiero politico internazionale ed ha evidenziato la rilevanza di una riflessione geopolitica. Nel terzo capitolo abbiamo mostrato l’emersione di una riflessione su alcuni argomenti di relazioni internazionali, quali il problema della guerra e della pace, il diritto internazionale e l’interdipendenza economica, legandoli alle forme di governo. Quindi sono stati identificati ed analizzati tre modelli di sistema internazionale sottolineando in particolare il nesso con il concetto di società internazionale. Tra questi modelli di sistema internazionale, quello che presenta le caratteristiche più singolari, è certamente il sistema della federazione di repubbliche. Infine, nell’ultimo capitolo, abbiamo evidenziato l’importanza della rappresentazione spaziale del mondo di Montesquieu e l’uso di categorie concettuali e metodi di analisi della geopolitica. In particolare, è stata rilevata l’importanza dell’aspetto dimensionale per la comprensione delle dinamiche di ascesa e declino delle forme di Stato e delle forme di governo. Si è mostrato come non sia possibile ascrivere il pensiero di Montesquieu nella categoria del determinismo geografico o climatico. Al contrario, abbiamo evidenziato come tale pensiero possa essere considerato un precedente di una corrente di pensiero della geopolitica francese definita “possibilismo”. Secondo questa teoria i fattori ambientali, più che esercitare un’azione diretta sul comportamento dell’uomo, agiscono selezionando il campo delle scelte possibili.
Resumo:
Per la tradizione amministrativa la concessione è lo strumento che consente ai singoli di utilizzare un bene pubblico a titolo particolare. Proprio l’endiadi espressa dai due aggettivi della definizione tradizionale, pubblico e particolare, nasconde la ragione della fortuna dello strumento concessorio, capace di soddisfare, allo stesso tempo, un’esigenza di carattere pubblico ed un bisogno eminentemente privato, sopravvivendo ai più differenti periodi storici ed all’affermarsi delle più radicali correnti di pensiero. A fare da sfondo a questa insanabile tensione, in perenne oscillazione tra i due poli estremi della definizione, la nozione, a sua volta relativa, discussa e costantemente rivisitata, di bene pubblico. Per questa ragione il titolo del lavoro che si presenta è articolato in tre segmenti, che fanno riferimento allo strumento, soltanto formalmente unitario, della concessione negli ambiti del demanio marittimo, del demanio costiero e del demanio portuale. Nel primo capitolo si esamina la disciplina normativa applicabile alle varie tipologie di concessione ipotizzabili sul demanio marittimo, cercando di cogliere, in una prospettiva di analisi diacronica, le linee di evoluzione dell’uso particolare dei beni variamente connessi alle esigenze della navigazione. Il secondo capitolo è, invece, dedicato all’esame dell’elaborazione giurisprudenziale relativa alle vicende del demanio marittimo. Mentre nel terzo capitolo, infine, si è tentato di ricercare e di rappresentare una teoria unitaria della concessione dovuta, in gran parte, all’incedere, apparentemente irresistibile, di un vocabolario comune dei contratti pubblici di matrice comunitaria. In questo contesto appare evidente la crisi, probabilmente irreversibile, della concezione di bene pubblico e quindi di concessione.
Resumo:
Nel 1932 Ernst Robert Curtius pubblica il pamphlet politico culturale Deutscher Geist in Gefahr nel quale chiarisce il suo pensiero di fronte alla grave crisi in cui versa la Germania. Egli si schiera contro le posizioni di destra del suo tempo, delle quali critica apertamente la boria nazionalista, il rozzo antisemitismo e la creazione di un mito nazionale elaborato come strumento di manipolazione dell’opinione pubblica. Ritiene inoltre inaccettabili le posizioni rivoluzionarie, tanto di destra quanto di sinistra, che vogliono liberarsi della tradizione umanistica europea e disprezzano la Zivilisation francese; allo stesso modo rifiuta l’ideale di un germanesimo eroico avulso dalla storia europea e respinge infine tutte le forme di nichilismo che si risolvono in un atteggiamento di indifferenza nei confronti della realtà, dei valori e della storia. Curtius accetta il sistema democratico come unica soluzione e ritiene che le decisioni politiche debbano mirare al bene di tutti i ceti sociali indipendentemente dagli interessi di partiti e di singoli gruppi. Rifiuta qualunque forma, anche culturale, di supremazia della Germania, aspira a un’Europa cosmopolita, le cui nazioni siano valorizzate nelle loro caratteristiche specifiche, ed è convinto che per la costruzione della pace gli europei debbano vivere, studiare e lavorare insieme imparando gli uni le lingue degli altri. Per Curtius l’Umanesimo della tradizione classica e la letteratura del Medioevo sono parte integrante della vita di ogni europeo e fonte di energie spirituali per affrontare in modo creativo il presente e il futuro.
Resumo:
Obiettivo del lavoro è quello di legare tra di loro due aspetti che storicamente sono sempre stati scollegati. Il primo è il lungo dibattito sul tema “oltre il PIL”, che prosegue ininterrottamente da circa mezzo secolo. Il secondo riguarda l’utilizzo dei sistemi di misurazione e valutazione della performance nel settore pubblico italiano. Si illustra l’evoluzione del dibattito sul PIL facendo un excursus storico del pensiero critico che si è sviluppato nel corso di circa cinquanta anni analizzando le ragioni assunte dagli studiosi per confutare l’utilizzo del PIL quale misura universale del benessere. Cogliendo questa suggestione l’Istat, in collaborazione con il CNEL, ha avviato un progetto per individuare nuovi indicatori da affiancare al PIL, in grado di misurare il livello non solo della crescita economica, ma anche del benessere sociale e sostenibile, con l’analisi degli indicatori riferiti a 12 domini di benessere individuati. Al progetto Istat-CNEL si è affiancato il progetto UrBES, promosso dall’Istat e dal Coordinamento dei sindaci metropolitani dell’ANCI, che hanno costituito una rete di città metropolitane per sperimentare la misurazione e il confronto sulla base di indicatori di benessere urbano equo e sostenibile, facendo proprio un progetto del Comune di Bologna e di Laboratorio Urbano (Centro di documentazione, ricerca e proposta sulle città), che ha sottoposto a differenti target un questionario on line, i cui risultati, con riferimento alle risposte fornite alle domande aperte, sono stati elaborati attraverso l’utilizzo di Taltac, un software per l’analisi dei testi, al fine di individuare i “profili” dei rispondenti, associando i risultati dell’elaborazione alle variabili strutturali del questionario. Nell’ultima parte i servizi e progetti erogati dal comune di Bologna sono stati associati alle dimensioni UrBES, per valutare l’impatto delle politiche pubbliche sulla qualità della vita e sul benessere dei cittadini, indicando le criticità legate alla mancanza di dati adeguati.
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Questa tesi è costituita dalla traduzione di alcuni estratti del romanzo "Chengwei Heping Fandian", dell'autrice cinese Chen Danyan, corredata da un commento traduttivo incentrato soprattutto sulla traduzione dei realia e dei chengyu dal cinese all'italiano. Il commento prende inoltre in considerazione le ambientazioni e gli aspetti storico-culturali che fanno da sfondo alle vicende del romanzo, in particolare l'Hotel della Pace di Shanghai e la Campagna dei "Cinque anti" portata avanti dal regime maoista.
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Title-pages differ slightly.
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