68 resultados para PICU
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Consulting with users is considered best practice and is highly recommended in designing new trials. As part of our feasibility work, we undertook a consultation exercise with parents, ex-patients and young people prior to designing a trial of protocol-based ventilator weaning. Our aims were to (1) ascertain views on the relevance and importance of the trial; (2) determine the important parent/patient outcome measures; and (3) ascertain views on informed consent in a cluster randomized controlled trial. We conducted audio-recorded face-to-face, telephone and focus group interviews with parents and young people. Data were content analysed to generate information to address our specific consultation objectives. The setting was the north-western region of England. A total of 16 participants were interviewed: 2 parents of paediatric intensive care unit (PICU) survivors; 1 PICU survivor; and 13 young people from the former Medicines for Children Research Network. The trial objectives were deemed important and relevant, and participants considered the most important outcome measure to be the length of time on ventilation. Parents and young people did not consider written informed consent to be a necessary requirement in the context of this trial, rather awareness of unit participation in the trial was important with the opportunity of opting out of data collection. This consultation provided useful, pragmatic insights to inform trial design. We encountered significant challenges in recruiting parents and young people for this consultation exercise, and novel recruitment methods need to be considered for future work in this field. Patient and public involvement is essential to ensure that future trials answer parent-relevant questions and have meaningful outcome measures, as well as involving parents and young people in the general development of health care services.
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Introduction The critical challenge of determining the correct level and skill-mix of nursing staff required to deliver safe and effective healthcare has become an international concern. It is recommended that evidence-based staffing decisions are central to the development of future workforce plans. Workforce planning in mental health and learning disability nursing is largely under-researched with few tools available to aid the development of evidence-based staffing levels in these environments. Aim It was the aim of this study to explore the experience of staff using the Safer Nursing Care Tool (SNCT) and the Mental Health and Learning Disability Workload Tool (MHLDWT) in mental health and learning disability environments. Method Following a 4-week trial period of both tools a survey was distributed via Qualtrics on-line survey software to staff members who used the tools during this time. Results The results of the survey revealed that the tools were considered a useful resource to aid staffing decisions; however specific criticisms were highlighted regarding their suitability to psychiatric intensive care units (PICU) and learning disability wards. Discussion This study highlights that further development of workload measurement tools is required to support the implementation of effective workforce planning strategies within mental health and learning disability services. Implications for Practice With increasing fiscal pressures the need to provide cost-effective care is paramount within NHS services. Evidence-based workforce planning is therefore necessary to ensure that appropriate levels of staff are determined. This is of particular importance within mental health and learning disability services due to the reduction in the number of available beds and an increasing focus on purposeful admission and discharge.
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Rationnelle. La ventilation mécanique invasive (VI) s’accompagne lorsqu’elle se prolonge, d’une augmentation de la morbimortalité. Jusqu’à 64% des enfants hospitalisés aux soins intensifs sont ventilés et peu de données épidémiologiques existent afin d’estimer précocement la durée du support ventilatoire. Objectifs. Déterminer l’incidence et les facteurs de risque précoces de ventilation mécanique invasive prolongée aux soins intensifs pédiatriques. Méthode. Nous avons conduit une étude descriptive rétroélective sur un an. Tous les épisodes de VI aux soins intensifs du Centre hospitalier universitaire Sainte Justine de Montréal ont été inclus. Les facteurs de risque de VI prolongée (≥ 96 heures) ont été déterminés par régression logistique. Résultats. Parmi les 360 épisodes de VI, 36% ont duré ≥ 96 heures. Les facteurs de risques de ventilation prolongée en analyse multivariée sont : âge <12 mois, score de PRISM ≥ 15 à l’admission, pression moyenne dans les voies aériennes ≥13 cm H2O au jour 1 de ventilation, utilisation de la sédation intraveineuse continue au jour 1 de ventilation et ventilation non invasive avant intubation. Conclusion. La VI prolongée survient chez environ un tiers des patients ventilés. Les patients de moins de 12 mois semblent être plus à risque que les enfants plus âgés et devraient bénéficier de stratégies différentes pour diminuer leur durée de ventilation mécanique. La sévérité de la maladie, l’agressivité du support ventilatoire, l’utilisation d’une sédation continue au premier jour de ventilation sont également des facteurs à considérer dans les études visant à diminuer la durée de support ventilatoire.
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Les transfusions de culots érythrocytaires (CE) sont un traitement fréquent en soins intensifs pédiatriques. Des études chez l’adulte suggèrent qu’une durée prolongée d’entreposage des CE est associée à une mauvaise évolution clinique. Aucune étude prospective n’a été conduite en pédiatrie. Notre objectif était d’évaluer l’effet clinique de la durée d’entreposage des CE chez des patients de soins intensifs pédiatriques. Nous avons donc conduit une étude observationnelle prospective dans 30 centres de soins intensifs pédiatriques en Amérique du Nord, chez tous les patients consécutifs de moins de 18 ans, séjournant aux soins intensifs pendant plus de 48 heures. Le critère de jugement primaire était l’incidence de cas de syndrome de défaillance multiviscérale après transfusion. Les critères de jugement secondaire étaient la mortalité à 28 jours et la durée d’hospitalisation aux soins intensifs. En utilisant un modèle de régression logistique, les risques relatifs furent ajustés pour le sexe, l’âge, la sévérité de la maladie à l’admission, le nombre total de transfusions et la dose totale de transfusion. L’étude a montré que les patients recevant des CE entreposés pendant 14 jours ou plus avaient un risque relatif ajusté de 1.87 (IC 95% 1.04 :3.27, p=0.03) de contracter ou de détériorer un syndrome de défaillance multiviscérale après transfusion. Ces mêmes patients avaient une durée d’hospitalisation aux soins intensifs prolongée (+3.7 jours, p<0.001), mais pas de risque augmenté de mortalité. En conclusion, chez les patients de soins intensifs pédiatriques, la transfusion de CE entreposés 14 jours ou plus est associée avec une augmentation de l’incidence de syndrome de défaillance multiviscérale et une durée d’hospitalisation prolongée aux soins intensifs.
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Rationnel : La pandémie de grippe A(H1N1)pdm09 a induit un grand nombre d’hospitalisation d’enfants en soins intensifs pédiatriques (SIP). L’objectif de cette étude a été de comparer l’incidence et la mortalité des enfants admis en SIP durant l’automne 2009 entre le Canada et la France, deux pays qui diffèrent essentiellement par l’immunisation de la population contre ce virus (première vague en été et taux de couverture vaccinale supérieur à 50% au Canada ; pas de vague estivale et couverture vaccinale de 18% en France). Méthodes : Nous avons comparé deux cohortes nationales qui ont inclue tous les patients avec une infection A(H1N1)pdm09 documentée, admis en SIP au Canada et en France entre le 1er Octobre 2009 et le 31 janvier 2010. Résultats : Au Canada, 160 enfants (incidence=2,63/100000 enfants) en 6 semaines ont été hospitalisés en SIP comparé aux 125 enfants (incidence=1,15/100000 enfants) en 11 semaines en France (p<0,001). Le taux de vaccination avant l’admission était inférieur à 25% parmi les enfants en situation critique dans les deux pays. La gravité à l’admission en SIP et le taux de mortalité ont été similaires au Canada et en France (4,4% en France vs 6,5% au Canada, p=0,45, respectivement). Au Canada, la vaccination contre le virus H1N1pdm09 a été associée avec une diminution du recours à la ventilation invasive (Odd Ratio 0.30, intervalle de confiance à 95% [0,11-0,83], p=0,02). Au Canada comparé à la France, les durées médianes de séjour en SIP et de ventilation invasive ont été plus courtes (2,9 vs 3 jours, p=0,03 et 4 vs 6 jours, p=0,02, respectivement). Conclusion : Les enfants canadiens et français critiquement malades ont été beaucoup moins nombreux à recevoir le vaccin contre le virus influenza A (H1N1)pdm09 en comparaison avec l’ensemble des enfants dans ces deux populations. Au Canada, où la couverture vaccinale a été élevée, le risque d’avoir une détresse respiratoire sévère était moins important parmi les enfants en situation critique ayant été vaccinés avant l’admission.
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Les transfusions de globules rouges (GR) sont fréquentes aux soins intensifs pédiatriques (SIP). Cependant, il n’y a pas de donnée récente sur les pratiques transfusionnelles aux SIP. Les objectifs de notre étude étaient 1) de décrire les pratiques transfusionnelles aux SIP du CHU Sainte-Justine en y déterminant la fréquence des transfusions de GR et en caractérisant les déterminants de ces transfusions, 2) de comparer ces pratiques avec celles observées il y a dix ans, et 3) d’évaluer le degré d’adhérence à la recommandation principale d’une large étude randomisée contrôlée, l’étude TRIPICU, laquelle proposait une pratique précise chez les patients stabilisés. Nous avons réalisé une étude monocentrique prospective observationnelle d’une durée d’un an. L’information requise a été extraite des dossiers médicaux. Les déterminants des transfusions ont été recherchés quotidiennement jusqu’à la première transfusion pour les cas transfusés, ou jusqu’à la sortie des SIP pour les cas non transfusés. Les justifications des transfusions déclarées par les médecins traitants ont été compilées à l’aide d’un questionnaire. Il y a eu 913 admissions consécutives durant la période d’étude, dont 842 ont été retenues. Au moins une transfusion a été donnée à 144 patients (17.1%). Le taux moyen d’hémoglobine avant la première transfusion était de 77.3±27.2 g/L. Les déterminants d’un premier événement transfusionnel à l’analyse multivariée étaient le jeune âge (< 12 mois), la présence d’une cardiopathie congénitale, un nadir d’hémoglobine ≤ 70 g/L, la gravité de la maladie, et certaines dysfonctions d’organe. Les trois justifications de transfusions les plus fréquemment évoquées par les médecins étaient une hémoglobine basse, un transport en oxygène insuffisant et une instabilité hémodynamique. La recommandation principale de l’étude TRIPICU a été appliquée dans 96.4% des premiers événements transfusionnels. En conclusion, les transfusions de GR sont fréquentes aux SIP. Jeune âge, cardiopathie congénitale, hémoglobine basse, gravité de la maladie et certaines dysfonctions d’organes sont des déterminants significatifs de transfusions de GR aux SIP. La plupart des premiers événements transfusionnels furent prescrits en accord avec les récentes recommandations.
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Travail dirigé présenté à la Faculté des études supérieures et postdoctorales en vue de l’obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en sciences infirmières, option expertise-conseil
Suplementación de hormona tiroidea en pacientes pediátricos críticos con síndrome eutiroideo enfermo
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Introducción : el síndrome del eutiriodeo enfermo en enfermedades graves es factor de pobre pronóstico. La suplementación con hormona tiroidea mejora la contractibilidad miocardica y estimula la producción de surfactante pulmonar; sin embargo existe controversia debido a las complicaciones secundarias, ausencia de efectos a nivel hemodinámico y de estancia hospitalaria. Objetivo : determinar el efecto de la suplementación oral de hormonas tiroideas en pacientes con choque refractario y necesidad de más de dos inotrópicos con respecto a estabilidad hemodinámica, arritmias, requerimientos de inotrópicos y mortalidad asociada al tratamiento. Metodología : estudio longitudinal observacional de variables repetidas con análisis previo y posterior a la intervención. Realizado en pacientes con choque refractario de la unidad de cuidado intensivo pediátrico del Hospital Simón Bolívar, desde el 1 de enero del 2007 hasta 1 enero del 2009. Resultados: la suplementación tiroidea mostró una disminución significativa en el requerimiento de los inotrópicos adrenérgicos: dopamina, adrenalina y noradrenalina con rangos de [4,78-2.4], [3.92 - 2.98] y [3.58- 2.24] (p <0.001) respectivamente, sin haber diferencia en los vasodilatadores, inodilatadores y diuréticos. No se encontró asociación entre su uso y la presencia de arritmias. Discusión y conclusiones: La hormona tiroidea mostró efecto benéfico en términos de disminución de soporte inotrópico. resultado en concordancia con la literatura y relacionado con la función moduladora de la hormona tiroidea favoreciendo la inotropía miocardica y los índices de contractilidad ventricular izquierda.
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En la unidad de cuidado intensivo pediátrico (UCIP) es esencial garantizar una adecuada sedación y analgesia del paciente en ventilación mecánica para mejorar su adaptación, disminuyendo el estrés y ansiedad de la situación crítica. Una estrategia utilizada es la combinación de midazolam más fentanyl, sin embargo no se encuentra en la literatura estudios sobre la repercusión de la forma de preparación sobre los grados de sedación, objetivo principal de este estudio. Materiales y métodos: Se realizó un estudio analítico retrospectivo para evaluar las diferencias sobre la escala Comfort de sedación con dos medicamentos: fentanyl y midazolam diluidos en solución salina y sin diluir. Se revisaron 1321 historias clínicas desde enero del 2005 a junio del 2010; 70 cumplieron con los criterios de inclusión y se agruparon en 2 cohorte. La cohorte No 1 fueron los pacientes que recibieron medicamentos puros y la cohorte 2 aquellos que los recibieron diluidos en solución salina. Se hizo un análisis estadístico mediante chi cuadrado y regresión logística. Resultados: Se encontró una diferencia estadísticamente significativa a favor de medicamentos sin diluir en términos de grado de sedación óptima (p< 0.01). No hubo diferencias al evaluar tiempo de estancia en UCIP (p=0.67), duración de ventilación mecánica (p=0.15), número de medicamentos coadyuvantes utilizados (p=0.1) ni de la frecuencia de presentación del síndrome de abstinencia (p=0.77). Conclusión: Se encontró una diferencia en el número de pacientes que alcanzaron el puntaje óptimo en la escala Comfort utilizando la estrategia de sedación con medicamentos preparados sin diluir.
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Cambios en la PaO2 se correlacionan de manera positiva con cambios en la SO2 permitiendo determinar la severidad de la hipoxemia. La búsqueda de un predictor que de forma no invasiva detecte pacientes con mayor compromiso pulmonar ha ganando auge; estableciendo los grados de hipoxemia moderada o severa como criterios para LPA y SDRA, a partir de los valores de PaO2/FiO2 y su correlación con la SO2/FiO2. No se conocen los valores de SO2/FiO2 que a más de 2500msnm permitan identificar la severidad de la hipoxemia en pediatría. Metodología: estudio de correlación y predicción en pacientes de un mes a 18 años de edad admitidos a UCIP, con soporte ventilatorio mecánico y análisis de gases arteriales seriados en dos Hospitales de referencia. Análisis de relación lineal y determinación de la correlación SOFiO2 y PaFiO2 a partir de 430 mediciones. Resultados: el estudio mostro una media para PaO2/FiO2 de 192,12 (DS+75,62) y para SO2/FiO2 de 208,61 (DS+62,79). La correlación SO2/FiO2 y Pa/FiO2 fue positiva y moderada-alta (r= 0,702;p<0.01). A partir de la regresión lineal entre las variables se obtuvo la ecuación de determinación PaO2/FiO2 = (0.92xSO2/FIO2) - 12, con sensibilidad y especificidad de 76% para detectar hipoxemia severa (SO2/FiO2<231), y sensibilidad de 74% y especificidad de 71% para hipoxemia moderada (SO2/FiO2<340). Discusión: los hallazgos obtenidos son muy útiles desde el punto de vista clínico para detectar rápidamente pacientes con hipoxemia moderada y severa, con riesgo potencial de deterioro, cuando no se dispone de línea arterial ó gases arteriales.
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Introducción: El suicidio es un problema de salud pública mundial. En Colombia los jóvenes son la población más vulnerable. Son evidentes las importantes pérdidas desde el punto de vista moral, pero también son considerables los gastos de dinero que éste genera. No hay evidencia disponible del costo de la atención, ni de la prevención del intento de suicidio en el país. Es pertinente hacer cuantificaciones del costo de la atención y prevención del intento de suicidio, para lograr una mejor administración de recursos. El objetivo de este estudio es cuantificar los costos directos promedio derivados de la atención médica del intento de suicidio en una clínica infantil y compararlos con los costos de una estrategia de prevención primaria (programa TeenScreen) implementada en un colegio durante el 2010 en Bogotá, en menores de 18 años. Métodos: Estudio descriptivo, transversal, que cuantifica y promedia costos médicos directos de la atención y del programa de prevención; con base en costos tarifarios. Resultados: El costo promedio para la atención de pacientes con diagnóstico de intento de suicidio y para el programa de prevención fue de $1,745,612 pesos Colombianos (n=41) y de $68,536 (n= 171) respectivamente. Casi la mitad del costo para internación fue invertido en pacientes que requirieron hospitalización en Unidad de Cuidado Intensivo Pediátrico (UCIP) el costo promedio para atención de estos pacientes fue de $12,518,888. Discusión: La prevención del intento de suicidio resulta menos costosa que su atención hospitalaria, especialmente si se requiere UCIP.
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La apnea del prematuro es una patología frecuente que se presenta en el 85% de los recién nacidos menores de 34 semanas de edad gestacional y en el 95-100% de los menores de 28 semanas. Con respecto al peso al nacer, se manifiesta en el 92% de los de peso menor a 1250 gramos y en el 50% de los de peso menor a 1500 gramos. Desde 2003, se aprobó en Colombia el uso de citrato de cafeína para la prevención y el tratamiento de la apnea del prematuro, basados en la evidencia. Metodología: Se realizó un estudio de interención simple comparando el citrato de cafeína con la aminofilina para la prevención y manejo de la apnea en pretérminos menores de 35 semanas de edad. Resultados: Se incluyeron 118 recién nacidos pretérminos de los cuales 18,6% fueron menores de 28 semanas, 79,7% de 34 semanas y dos 1,7% mayores o iguales a 34,1 semanas. 56 neonatos recibieron citrato de cafeína. De éstos, 33,9% de forma profiláctica y 66,1%, terapéutica; 28 (23,7%) recibieron aminofilina y 34 (28,8%) no recibieron ninguno de los dos medicamentos. El citrato de cafeína mostró menos efectos secundarios comparado con aminofilina (p <0,01). Discusión: El citrato de cafeína, administrado en forma profiláctica o terapéutica, mostró resultados superiores, estadísticamente significativos, en comparación con aminofilina y con los controles sin tratamiento, para la prevención y el tratamiento de la apnea del prematuro, presentando, además, menores efectos secundarios.
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El dolor es un problema importante para los pacientes hospitalizados en las UCI porque genera malestar y distrés. Además, la investigación ha demostrado que en algunos pacientes críticos el dolor agudo puede persistir después de alta y convertirse en crónico. La gestión eficaz del dolor en pacientes críticos requiere un enfoque interdisciplinario, que incorpore la visión y trabajo de expertos que representan una amplia variedad de especialidades clínicas. Así, la utilización de la intervención psicológica en el tratamiento del dolor es una parte integral de un enfoque global. Basado en una revisión de la evidencia científica, se identifican y señalan: (1) los tipos de dolor más comunes; (2) las características del dolor; (3) las patologías más frecuentes asociadas con la presencia de dolor; (4) los procedimientos que generan dolor en la UCI; (5) los métodos de evaluación del dolor; (6) la intervención del mismo y; (7) la contribución del psicólogo en la evaluación y manejo del dolor con el paciente, los familiares y los profesionales de la salud. La revisión realizada indica que los procesos psicológicos influyen tanto en la experiencia del dolor como en los resultados del tratamiento, por lo tanto la integración de los principios psicológicos en el tratamiento del dolor parecen tener potencial mejora de los resultados beneficiando la salud del paciente.
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Determinar si las transfusiones de glóbulos rojos en niños en cuidados intensivos se asocian a aumento de la morbimortalidad. Materiales y Métodos: Estudio observacional analítico de cohorte. Se incluyeron niños con anemia de 1 mes a 18 años de edad en un periodo de 10 meses. Resultados: 134 niños con anemia fueron incluidos. En el 51.5% la anemia se desarrolló posterior a su ingreso. De éstos, 66 niños recibieron una transfusión de glóbulos rojos y la mediana de hemoglobina pretransfusión fue de 7.5 g/dl. El 6% de los pacientes transfundidos presentó una Reacción adversa. Entre el grupo de pacientes expuesto a transfusión y los no expuestos existió diferencia significativa en la hemoglobina de ingreso, cantidad de sangre extraída y edad en el análisis bivariado. Los pacientes transfundidos tuvieron mayor mortalidad (15.2% vs. 2.9%, p =0.013). El desarrollo de falla multiorgánica también fue más frecuente en el grupo transfundido (62.1% vs. 16.2%, p < 0.001). La mediana de los días de estancia en la UCI y el tiempo de ventilación mecánica fue mayor en los niños transfundidos que en los no transfundidos, 8 vs. 4 días p< 0.001, y 6 vs. 3 días p<0.001 respectivamente. Un análisis multivariado mostró asociación de transfusión de glóbulos rojos con mortalidad y falla multiorgánica. Conclusión: Las transfusiones de glóbulos rojos se asocian con un aumento en la Mortalidad y en el desarrollo de falla multiorgánica. La estancia en la UCI y el tiempo de ventilación mecánica fue mayor en los niños transfundidos.
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Objetivos: Determinar si las transfusiones de glóbulos rojos en niños en cuidados intensivos se asocian a aumento de la morbimortalidad. Materiales y Métodos: Estudio observacional analítico de cohorte. Se incluyeron niños con anemia de 1 mes a 18 años de edad en un periodo de 13 meses. Resultados: 156 niños con anemia fueron incluidos. En el 51.5% la anemia se desarrolló posterior a su ingreso. De éstos, 77 niños recibieron una transfusión de glóbulos rojos y la mediana de hemoglobina pretransfusión fue de 7.5 g/dl. El 6.5% de los pacientes transfundidos presentó una Reacción adversa. Entre el grupo de pacientes expuesto a transfusión y los no expuestos existió diferencia significativa en la hemoglobina de ingreso, cantidad de sangre extraída y edad en el análisis bivariado. Los pacientes transfundidos tuvieron mayor mortalidad (12.9% vs. 2.5%, p =0.014). El desarrollo de falla multiorgánica también fue más frecuente en el grupo transfundido (57.1% vs. 13.9%, p < 0.001). La mediana de los días de estancia en la UCI y el tiempo de ventilación mecánica fue mayor en los niños transfundidos que en los no transfundidos, 8 vs. 4 días p< 0.001, y 6 vs. 3 días p<0.001 respectivamente. Un análisis multivariado mostró asociación de transfusión de glóbulos rojos con mortalidad y falla multiorgánica. Conclusión: Las transfusiones de glóbulos rojos se asocian con un aumento en la Mortalidad y en el desarrollo de falla multiorgánica. La estancia en la UCI y el tiempo de ventilación mecánica fue mayor en los niños transfundidos.