1000 resultados para Livrée royale (Actes royaux)
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[Acte royal. 1642-1827]
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[Acte royal. 1642-1827]
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[Acte. 1701-08-18]
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Contient : Comptes faits pour le paiement des gages ; Renseignements sur le calendrier et spécialement la date de Pâques ; Évaluation du marc d'argent, et renseignements sur la fabrication et les essais des gros testons et autres pièces ; « Ensuyvent les noms des monnoyes [ateliers monétaires] de ce royaulme, pays et seigneuries du roy de France » ; Renseignements sur l'organisation et le personnel des monnaies ; « Lettres de maistre de monnoye », acte de François premier, concernant la monnaie de La Rochelle, 1528 ; « Serment des maistres des monnoyes » ; Déclaration des généraux maîtres des monnaies sur le fait et gouvernement des monnaies, maîtres particuliers, gardes, essayeurs et autres officiers des monnaies, sur les changeurs, affineurs et orfèvres du royaume, vers 1423 [cf. ms. franç. 18500, f. 18] ; « Gros testons. Ce qui a esté de nouvel advisé en la Chambre des Monnoyes pour le bien et (de) la continuation de l'ouvraige de gros testons », décembre 1521 (f. 57) ; « C'est le pris que l'en a donné en or et en argent au marc et à la value des monnoyes du royaume de France, depuis l'an M IIIe et VI » jusqu'au 21 juillet 1519 [cf. ms. français 18500, f. 4] ; « Cy s'ensuivent les pris que l'on a donné au marc d'argent de Paris et les monnoyes blanches et noires faictes au royaulme de France, depuis... mil IIe IIIIxx XIII » jusqu'en 1418/9 ; « S'ensuit le pris que a valu le marc d'argent, selon la Chambre des Monnoyes estant à Bourges, depuis le vingt-septiesme jour d'avril, l'an mil quatre cens et dix-huit » jusqu'en 1436 ; Valeur de la « forte monnoye », et analyse de pièces concernant le cours et la fabrication des monnaies, 1422-1521 ; « Lettres d'atache des généraulx des monnoyes pour ung office de changeur donné par le Roy », 21 mai 1529 ; Tableaux des valeurs des divisions du marc d'or fin, règles pour savoir le poids et le titre du marc d'or, etc ; Addition de la même main que ce qui précède : « Lettres d'office d'essayeur », acte de François premier, 25 septembre 1529 ; Addition d'une autre main : Lettre de Charles VI, sur les ouvrages des orfèvres de Paris, et règlement sur le métier d'orfèvrerie, 11 juillet 1379 ; Additions d'une autre main : Recueil d'actes royaux, baux, ordonnances, etc., concernant les finances. Actes de Charles VII dauphin, 1419 (f. 138 v), — et de Charles VI, 1420-1421 (f. 145 et suiv.), — et analyses d'actes de Louis XII, 1513 (f. 176), — François premier, 1532-1540 (f. 168), et 1519-1543 (f. 176), — Henri II, 1549/1550 (f. 169 v et 178 v), — Charles IX, 1561-1573 (f. 170 et 179 v), — et Henri III, 1574-1577 (f. 174 et 182)
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Jésus de Nazareth accordait beaucoup d’importance à la commensalité, au point de faire du repas en commun le contexte particulier du double geste sur le pain et le vin accompli à la dernière Cène. Après avoir été réitéré dans son contexte d’origine par plusieurs générations de chrétiens, le rappel de la Cène s’est ensuite complètement dissocié du contexte d’un repas. Le terme koinwnia utilisé au verset 2,42 du livre des Actes des apôtres désigne-t-il ce repas communautaire autour duquel se déroulaient les rassemblements chrétiens? Grâce à une analyse structurelle réalisée en entonnoir sur les chapitres 2 à 5 du livre des Actes, le présent mémoire met en relief l’importance des repas communautaires dans la vie de la communauté primitive, tout en montrant que le terme koinwnia a un sens plus étendu que le seul repas en commun, mais tout aussi concret et actif que les trois autres éléments énumérés au verset 2,42.
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Si la théologie lucanienne de la résurrection a largement été étudiée dans le livre des Actes des Apôtres, Jésus n’a jamais été considéré comme personnage principal, à l’inverse des apôtres, de l’Esprit saint ou même de Dieu. Pourtant, le premier verset des Actes laisse entendre que Jésus va continuer de faire et d’enseigner ce qu’il avait commencé dans l’évangile, même si, peu de temps après l’ouverture du récit, il quitte la scène. Pour chercher à comprendre ce paradoxe, une analyse approfondie de la mise en récit du personnage Jésus dans les Actes était nécessaire. Le premier chapitre de cette thèse introduit le sujet, l’état de la question et deux approches méthodologiques empruntées aux experts de la caractérisation narrative. Au chapitre deux, après avoir introduit la difficulté d’identification du personnage qui se trouve derrière le titre Seigneur des Actes, le cadre épistémologique d’Elizabeth Struthers Malbon permet d’observer le comment en classant toutes les péricopes qui participent à la rhétorique de la caractérisation christologique en cinq catégories : (1) la christologie représentée qui montre ce que Jésus fait, (2) la christologie détournée qui permet d’entendre ce que Jésus dit en réponse aux autres personnages, (3) la christologie projetée qui laisse entendre ce que les autres personnages ou le narrateur disent à Jésus et à son sujet, (4) la christologie réfléchie qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a dit et (5) la christologie reflétée qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a fait. Ensuite, avec le chapitre trois, l’approche de John Darr donne à comprendre le pourquoi de la caractérisation par l’observation de quatre activités cognitives du lecteur : (1) l’anticipation et la rétrospection, (2) la recherche de cohérence, (3) l’identification et/ou l’implication et (4) la défamiliarisation. Enfin, au chapitre quatre, les résultats des deux méthodes sont comparés pour proposer une solution au cas de l’ouverture paradoxale des Actes. D’abord les différentes observations de la thèse montrent que le personnage Jésus n’est pas si absent du récit; puis la rhétorique narrative de la caractérisation conduit le lecteur à comprendre que c’est essentiellement au travers des personnages du récit que Jésus est présent en actes et en paroles.
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Si la théologie lucanienne de la résurrection a largement été étudiée dans le livre des Actes des Apôtres, Jésus n’a jamais été considéré comme personnage principal, à l’inverse des apôtres, de l’Esprit saint ou même de Dieu. Pourtant, le premier verset des Actes laisse entendre que Jésus va continuer de faire et d’enseigner ce qu’il avait commencé dans l’évangile, même si, peu de temps après l’ouverture du récit, il quitte la scène. Pour chercher à comprendre ce paradoxe, une analyse approfondie de la mise en récit du personnage Jésus dans les Actes était nécessaire. Le premier chapitre de cette thèse introduit le sujet, l’état de la question et deux approches méthodologiques empruntées aux experts de la caractérisation narrative. Au chapitre deux, après avoir introduit la difficulté d’identification du personnage qui se trouve derrière le titre Seigneur des Actes, le cadre épistémologique d’Elizabeth Struthers Malbon permet d’observer le comment en classant toutes les péricopes qui participent à la rhétorique de la caractérisation christologique en cinq catégories : (1) la christologie représentée qui montre ce que Jésus fait, (2) la christologie détournée qui permet d’entendre ce que Jésus dit en réponse aux autres personnages, (3) la christologie projetée qui laisse entendre ce que les autres personnages ou le narrateur disent à Jésus et à son sujet, (4) la christologie réfléchie qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a dit et (5) la christologie reflétée qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a fait. Ensuite, avec le chapitre trois, l’approche de John Darr donne à comprendre le pourquoi de la caractérisation par l’observation de quatre activités cognitives du lecteur : (1) l’anticipation et la rétrospection, (2) la recherche de cohérence, (3) l’identification et/ou l’implication et (4) la défamiliarisation. Enfin, au chapitre quatre, les résultats des deux méthodes sont comparés pour proposer une solution au cas de l’ouverture paradoxale des Actes. D’abord les différentes observations de la thèse montrent que le personnage Jésus n’est pas si absent du récit; puis la rhétorique narrative de la caractérisation conduit le lecteur à comprendre que c’est essentiellement au travers des personnages du récit que Jésus est présent en actes et en paroles.
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L'histoire du jugement de Dieu sur Ananias et Saphira (Ac 5.1-11) compte parmi les épisodes les plus pathétiques du livre des Actes. L'art lucanien de la dramatisation atteint ici un sommet. La fin tragique d'Ananias foudroyé par la parole dénonciatrice de Pierre, son enterrement hâtif, puis la venue de Saphira ignorante du drame, son mensonge public suivi de sa mort annoncée sur un ton d'humour noir (5.9b): l'effet pragmatique cherché par le narrateur est programmé par le scénario; il s'inscrit aussi dans le texte lui-même: 'un grand effroi saisit ceux qui l'entendaient' (5.5, 11). L'histoire est destinée à provoquer la crainte.