Tournée de Guillaume II - 15 jours en Turquie, Palestine, Jérusalem et les lieux saints : [estampe] / Les Veber's

Collection : Le Rire ; 212

Du Commerce établi entre l'âme et le corps, ou Traité de la liaison qui subsiste entre le spirituel et le matériel, fidèlement rendu du latin d'Emanuel de Swedenborg, par le traducteur de la Nouvelle Jérusalem et de sa céleste doctrine. Édition augmentée du discours préliminaire de Th. Hartley,...

Comprend : Discours préliminaire

Reinald Porchet, Pirrus, Garsion et sa fille: autour de quelques particularités d'adaptation dans "Le Siège d'Antioche avec la conquête de Jérusalem" (inédit) tiré de Baudri de Bourgueil

Considérations autour de la chanson de geste "Le Siège d'Antioche avec la conquête de Jérusalem", qui se dit tirée de la chronique de Baudri de Bourgueil. Mise au point sur la tradition manuscrite du texte et étude plus détaillée de passages illustrant comment le récit diffère de sa (ou plutôt, ses) source(s) latine(s) et de "La Chanson d'Antioche" du cycle de la Première Croisade.

Statuts de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, arrêtés sous le grand maître Pierre d'Aubusson. (Fol. 21-106).

Contient : Forme abrégée desdits statuts, précédée (fol. 107 v°) de « la declaracion des rubriques et chapitres des establissemens qui s'ensuivent », et (fol. 108 r°) d'une ordonnance de PIERRE D'AUBUSSON, relative à cette forme de statuts, datée de Rhodes, le 5 août 1493 ; Résumé pour les prieurs et châtelain d'Emposte desdits statuts

Établissements de l'ordre de St Jean de Jérusalem.

En tête, la lettre de Pierre d'Aubusson, datée du 10 octobre 1489 ; divisé en deux livres.

Catalogue et armoiries des grands maîtres de l'ordre de S. Jean de Jérusalem. Avec une continuation jusqu'en 1722.

Fonds non déterminé.

Arrêt du grand conseil qui fait défenses à tous ceux qui se prétendent créanciers tant des ordres royaux, militaires et hospitaliers de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, que de l'hopital de Saint-Jacques uni auxdits ordres, de faire des saisies et arrêts en d'autres mains qu'en celles du receveur particulier desdits ordres

[Acte. 1724-09-26. Paris]