832 resultados para Identity Theft
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L’avénement des réseaux sociaux, tel que Facebook, MySpace et LinkedIn, a fourni une plateforme permettant aux individus de rester facilement connectés avec leurs amis, leurs familles ou encore leurs collègues tout en les encourageant activement à partager leurs données personnelles à travers le réseau. Avec la richesse des activités disponibles sur un réseau social, la quantité et la variété des informations personnelles partagées sont considérables. De plus, de part leur nature numérique, ces informations peuvent être facilement copiées, modifiées ou divulguées sans le consentement explicite de leur propriétaire. Ainsi, l’information personnelle révélée par les réseaux sociaux peut affecter de manière concrète la vie de leurs utilisateurs avec des risques pour leur vie privée allant d’un simple embarras à la ruine complète de leur réputation, en passant par l’usurpation d’identité. Malheureusement, la plupart des utilisateurs ne sont pas conscients de ces risques et les outils mis en place par les réseaux sociaux actuels ne sont pas suffisants pour protéger efficacement la vie privée de leurs utilisateurs. En outre, même si un utilisateur peut contrôler l’accès à son propre profil, il ne peut pas contrôler ce que les autres révèlent à son sujet. En effet, les “amis” d’un utilisateur sur un réseau social peuvent parfois révéler plus d’information à son propos que celui-ci ne le souhaiterait. Le respect de la vie privée est un droit fondamental pour chaque individu. Nous pré- sentons dans cette thèse une approche qui vise à accroître la prise de conscience des utilisateurs des risques par rapport à leur vie privée et à maintenir la souveraineté sur leurs données lorsqu’ils utilisent un réseau social. La première contribution de cette thèse réside dans la classification des risques multiples ainsi que les atteintes à la vie privée des utilisateurs d’un réseau social. Nous introduisons ensuite un cadre formel pour le respect de la vie privée dans les réseaux sociaux ainsi que le concept de politique de vie privée (UPP). Celle-ci définie par l’utilisateur offre une manière simple et flexible de spécifier et communiquer leur attentes en terme de respect de la vie privée à d’autres utilisateurs, tiers parties ainsi qu’au fournisseur du réseau social. Par ailleurs, nous dé- finissons une taxonomie (possiblement non-exhaustive) des critères qu’un réseau social peut intégrer dans sa conception pour améliorer le respect de la vie privée. En introduisant le concept de réseau social respectueux de la vie privée (PSNS), nous proposons Privacy Watch, un réseau social respectueux de la vie privée qui combine les concepts de provenance et d’imputabilité afin d’aider les utilisateurs à maintenir la souveraineté sur leurs données personnelles. Finalement, nous décrivons et comparons les différentes propositions de réseaux sociaux respectueux de la vie privée qui ont émergé récemment. Nous classifions aussi ces différentes approches au regard des critères de respect de la vie privée introduits dans cette thèse.
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Dans l’espace réel, l’identité d’une personne est clairement circonscrite à l’état civil et pleinement protégée par le droit interne des pays. Alors que dans le cyberespace, les contours de la notion sont plutôt flous, voire incertains. Le développement du commerce électronique et la croissance des transactions en ligne ont donné naissance au « crime » de l’usurpation d’identité. Et si l’usurpation d’identité a pu émerger, c’est grâce à la spécificité du médium, qui s’est avéré un terrain fertile aux abus des usurpateurs d’identité. Ce présent article étudie et analyse la fraude, le vol et l’escroquerie en tant qu’infractions économiques commises dans le cyberespace par le biais du système informatique. Il constate la désuétude et l’inefficacité des infractions prévues dans le droit pénal canadien relativement à l’incrimination du crime de l’usurpation d’identité et propose une solution basée sur des approches réglementaires, législatives et techniques.
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La biométrie, appliquée dans un contexte de traitement automatisé des données et de reconnaissance des identités, fait partie de ces technologies nouvelles dont la complexité d’utilisation fait émerger de nouveaux enjeux et où ses effets à long terme sont incalculables. L’envergure des risques suscite des questionnements dont il est essentiel de trouver les réponses. On justifie le recours à cette technologie dans le but d’apporter plus de sécurité, mais, vient-elle vraiment apporter plus de protection dans le contexte actuel? En outre, le régime législatif québécois est-il suffisant pour encadrer tous les risques qu’elle génère? Les technologies biométriques sont flexibles en ce sens qu’elles permettent de saisir une multitude de caractéristiques biométriques et offrent aux utilisateurs plusieurs modalités de fonctionnement. Par exemple, on peut l’utiliser pour l’identification tout comme pour l’authentification. Bien que la différence entre les deux concepts puisse être difficile à saisir, nous verrons qu’ils auront des répercussions différentes sur nos droits et ne comporteront pas les mêmes risques. Par ailleurs, le droit fondamental qui sera le plus touché par l’utilisation de la biométrie sera évidemment le droit à la vie privée. Encore non bien compris, le droit à la vie privée est complexe et son application est difficile dans le contexte des nouvelles technologies. La circulation des données biométriques, la surveillance accrue, le détournement d’usage et l’usurpation d’identité figurent au tableau des risques connus de la biométrie. De plus, nous verrons que son utilisation pourra avoir des conséquences sur d’autres droits fondamentaux, selon la manière dont le système est employé. Les tests de nécessité du projet et de proportionnalité de l’atteinte à nos droits seront les éléments clés pour évaluer la conformité d’un système biométrique. Ensuite, le succès de la technologie dépendra des mesures de sécurité mises en place pour assurer la protection des données biométriques, leur intégrité et leur accès, une fois la légitimité du système établie.
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An E-Learning Gateway for the latest news and information relating to Computer Crime for INFO2009
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Although social networking sites (SNSs) present a great deal of opportunities to support learning, the privacy risk is perceived by learners as a friction point that affects their full use for learning. Privacy risks in SNSs can be divided into risks that are posed by the SNS provider itself and risks that result from user’s social interactions. Using an online survey questionnaire, this study explored the students’ perception of the benefits in using social networking sites for learning purposes and their perceived privacy risks. A sample of 214 students from Uganda Christian University in Africa was studied. The results show that although 88 % of participants indicated the usefulness of SNSs for learning, they are also aware of the risks associated with these sites. Most of the participants are concerned with privacy risks such as identity theft, cyber bullying, and impersonation that might influence their online learning participation in SNSs.
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Wireless LANs are growing rapidly and security has always been a concern. We have implemented a hybrid system, which will not only detect active attacks like identity theft causing denial of service attacks, but will also detect the usage of access point discovery tools. The system responds in real time by sending out an alert to the network administrator.
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L’évolution continue des besoins d’apprentissage vers plus d’efficacité et plus de personnalisation a favorisé l’émergence de nouveaux outils et dimensions dont l’objectif est de rendre l’apprentissage accessible à tout le monde et adapté aux contextes technologiques et sociaux. Cette évolution a donné naissance à ce que l’on appelle l'apprentissage social en ligne mettant l'accent sur l’interaction entre les apprenants. La considération de l’interaction a apporté de nombreux avantages pour l’apprenant, à savoir établir des connexions, échanger des expériences personnelles et bénéficier d’une assistance lui permettant d’améliorer son apprentissage. Cependant, la quantité d'informations personnelles que les apprenants divulguent parfois lors de ces interactions, mène, à des conséquences souvent désastreuses en matière de vie privée comme la cyberintimidation, le vol d’identité, etc. Malgré les préoccupations soulevées, la vie privée en tant que droit individuel représente une situation idéale, difficilement reconnaissable dans le contexte social d’aujourd’hui. En effet, on est passé d'une conceptualisation de la vie privée comme étant un noyau des données sensibles à protéger des pénétrations extérieures à une nouvelle vision centrée sur la négociation de la divulgation de ces données. L’enjeu pour les environnements sociaux d’apprentissage consiste donc à garantir un niveau maximal d’interaction pour les apprenants tout en préservant leurs vies privées. Au meilleur de nos connaissances, la plupart des innovations dans ces environnements ont porté sur l'élaboration des techniques d’interaction, sans aucune considération pour la vie privée, un élément portant nécessaire afin de créer un environnement favorable à l’apprentissage. Dans ce travail, nous proposons un cadre de vie privée que nous avons appelé « gestionnaire de vie privée». Plus précisément, ce gestionnaire se charge de gérer la protection des données personnelles et de la vie privée de l’apprenant durant ses interactions avec ses co-apprenants. En s’appuyant sur l’idée que l’interaction permet d’accéder à l’aide en ligne, nous analysons l’interaction comme une activité cognitive impliquant des facteurs contextuels, d’autres apprenants, et des aspects socio-émotionnels. L'objectif principal de cette thèse est donc de revoir les processus d’entraide entre les apprenants en mettant en oeuvre des outils nécessaires pour trouver un compromis entre l’interaction et la protection de la vie privée. ii Ceci a été effectué selon trois niveaux : le premier étant de considérer des aspects contextuels et sociaux de l’interaction telle que la confiance entre les apprenants et les émotions qui ont initié le besoin d’interagir. Le deuxième niveau de protection consiste à estimer les risques de cette divulgation et faciliter la décision de protection de la vie privée. Le troisième niveau de protection consiste à détecter toute divulgation de données personnelles en utilisant des techniques d’apprentissage machine et d’analyse sémantique.
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L’évolution continue des besoins d’apprentissage vers plus d’efficacité et plus de personnalisation a favorisé l’émergence de nouveaux outils et dimensions dont l’objectif est de rendre l’apprentissage accessible à tout le monde et adapté aux contextes technologiques et sociaux. Cette évolution a donné naissance à ce que l’on appelle l'apprentissage social en ligne mettant l'accent sur l’interaction entre les apprenants. La considération de l’interaction a apporté de nombreux avantages pour l’apprenant, à savoir établir des connexions, échanger des expériences personnelles et bénéficier d’une assistance lui permettant d’améliorer son apprentissage. Cependant, la quantité d'informations personnelles que les apprenants divulguent parfois lors de ces interactions, mène, à des conséquences souvent désastreuses en matière de vie privée comme la cyberintimidation, le vol d’identité, etc. Malgré les préoccupations soulevées, la vie privée en tant que droit individuel représente une situation idéale, difficilement reconnaissable dans le contexte social d’aujourd’hui. En effet, on est passé d'une conceptualisation de la vie privée comme étant un noyau des données sensibles à protéger des pénétrations extérieures à une nouvelle vision centrée sur la négociation de la divulgation de ces données. L’enjeu pour les environnements sociaux d’apprentissage consiste donc à garantir un niveau maximal d’interaction pour les apprenants tout en préservant leurs vies privées. Au meilleur de nos connaissances, la plupart des innovations dans ces environnements ont porté sur l'élaboration des techniques d’interaction, sans aucune considération pour la vie privée, un élément portant nécessaire afin de créer un environnement favorable à l’apprentissage. Dans ce travail, nous proposons un cadre de vie privée que nous avons appelé « gestionnaire de vie privée». Plus précisément, ce gestionnaire se charge de gérer la protection des données personnelles et de la vie privée de l’apprenant durant ses interactions avec ses co-apprenants. En s’appuyant sur l’idée que l’interaction permet d’accéder à l’aide en ligne, nous analysons l’interaction comme une activité cognitive impliquant des facteurs contextuels, d’autres apprenants, et des aspects socio-émotionnels. L'objectif principal de cette thèse est donc de revoir les processus d’entraide entre les apprenants en mettant en oeuvre des outils nécessaires pour trouver un compromis entre l’interaction et la protection de la vie privée. ii Ceci a été effectué selon trois niveaux : le premier étant de considérer des aspects contextuels et sociaux de l’interaction telle que la confiance entre les apprenants et les émotions qui ont initié le besoin d’interagir. Le deuxième niveau de protection consiste à estimer les risques de cette divulgation et faciliter la décision de protection de la vie privée. Le troisième niveau de protection consiste à détecter toute divulgation de données personnelles en utilisant des techniques d’apprentissage machine et d’analyse sémantique.
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"April 12, 2005."
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Cyberstalking has recently emerged as a new and growing problem and is an area that will probably receive a higher profile within criminal law as more cases reach court (see Griffiths, 1999; Griffiths, Rogers and Sparrow, 1998; Bojic and McFarlane, 2002a; 2002b). For the purposes of this article we define cyberstalking as the use of information and communications technology (in particular the Internet) in order to harass individuals. Such harassment may include actions such as the transmission of offensive e-mail messages, identity theft and damage to data or equipment. Whilst a more comprehensive definition has been presented elsewhere (Bocij and McFarlane, 2002), it is hoped that the definition here is sufficient for those unfamiliar with this field. The stereotypical stalker conjures up images of someone harassing a victim who is the object of their affection. However, not all stalking incidents are motivated by unrequited love. Stalking can also be motivated by hate, a need for revenge, a need for power and/or racism. Similarly, cyberstalking can involve acts that begin with the issuing of threats and end in physical assault. We also make distinctions between conventional stalking and cyberstalking. Whilst some may view cyberstalking as an extension of conventional stalking, we believe cyberstalking should be regarded as an entirely new form of deviant behaviour. It is not surprising that cyberstalking is sometimes thought of as a trivial problem. A number of writers and researchers have suggested that cyberstalking and associated activities are of little genuine concern. Koch (2000), for example, goes as far as accusing those interested in cyberstalking as promoting hysteria over a problem that may be minuscule or even imaginary. The impression gained is that cyberstalking represents a relatively small problem where victims seldom suffer any real harm. Whilst there are no genuinely reliable statistics that can be used to determine how common cyberstalking incidents are, a great deal of evidence is available to show that cyberstalking is a significant and growing problem (Griffiths et al, 1998). For instance, CyberAngels (a well-known Internet safety organization) receives some 500 complaints of cyberstalking each day, of which up to 100 represent legitimate cases (Dean, 2000). Another Internet safety organization (Working to Halt Online Abuse) reports receiving an average of 100 cases per week (WHOA, 2001). To highlight the types of cyberstalking behaviours that take place and some of the major issues facing criminal law, we briefly examine four high profile cases of cyberstalking (adapted from Bocij and MacFarlane, 2002b).
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In broad terms — including a thief's use of existing credit card, bank, or other accounts — the number of identity fraud victims in the United States ranges 9-10 million per year, or roughly 4% of the US adult population. The average annual theft per stolen identity was estimated at $6,383 in 2006, up approximately 22% from $5,248 in 2003; an increase in estimated total theft from $53.2 billion in 2003 to $56.6 billion in 2006. About three million Americans each year fall victim to the worst kind of identity fraud: new account fraud. Names, Social Security numbers, dates of birth, and other data are acquired fraudulently from the issuing organization, or from the victim then these data are used to create fraudulent identity documents. In turn, these are presented to other organizations as evidence of identity, used to open new lines of credit, secure loans, “flip” property, or otherwise turn a profit in a victim's name. This is much more time consuming — and typically more costly — to repair than fraudulent use of existing accounts. ^ This research borrows from well-established theoretical backgrounds, in an effort to answer the question – what is it that makes identity documents credible? Most importantly, identification of the components of credibility draws upon personal construct psychology, the underpinning for the repertory grid technique, a form of structured interviewing that arrives at a description of the interviewee’s constructs on a given topic, such as credibility of identity documents. This represents substantial contribution to theory, being the first research to use the repertory grid technique to elicit from experts, their mental constructs used to evaluate credibility of different types of identity documents reviewed in the course of opening new accounts. The research identified twenty-one characteristics, different ones of which are present on different types of identity documents. Expert evaluations of these documents in different scenarios suggest that visual characteristics are most important for a physical document, while authenticated personal data are most important for a digital document. ^
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In broad terms — including a thief's use of existing credit card, bank, or other accounts — the number of identity fraud victims in the United States ranges 9-10 million per year, or roughly 4% of the US adult population. The average annual theft per stolen identity was estimated at $6,383 in 2006, up approximately 22% from $5,248 in 2003; an increase in estimated total theft from $53.2 billion in 2003 to $56.6 billion in 2006. About three million Americans each year fall victim to the worst kind of identity fraud: new account fraud. Names, Social Security numbers, dates of birth, and other data are acquired fraudulently from the issuing organization, or from the victim then these data are used to create fraudulent identity documents. In turn, these are presented to other organizations as evidence of identity, used to open new lines of credit, secure loans, “flip” property, or otherwise turn a profit in a victim's name. This is much more time consuming — and typically more costly — to repair than fraudulent use of existing accounts. This research borrows from well-established theoretical backgrounds, in an effort to answer the question – what is it that makes identity documents credible? Most importantly, identification of the components of credibility draws upon personal construct psychology, the underpinning for the repertory grid technique, a form of structured interviewing that arrives at a description of the interviewee’s constructs on a given topic, such as credibility of identity documents. This represents substantial contribution to theory, being the first research to use the repertory grid technique to elicit from experts, their mental constructs used to evaluate credibility of different types of identity documents reviewed in the course of opening new accounts. The research identified twenty-one characteristics, different ones of which are present on different types of identity documents. Expert evaluations of these documents in different scenarios suggest that visual characteristics are most important for a physical document, while authenticated personal data are most important for a digital document.