1000 resultados para Grec (Langue)


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Tese apresentada para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Doutor em Linguística – Lexicologia/Lexicografia/Terminologia

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In, Révue Française de Droit Constitutionnel, nº 73, Janvier 2008

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Ce travail traite de la catégorie du « héros » et s'articule autour d'une comparaison entre les récits de la Grèce antique, principalement la poésie épique, et le Proche-Orient ancien, essentiellement les textes vétérotestamentaires - une étude dont l'objet est dès lors principalement textuel. Partant du constat, si simple mais lourd de conséquence, que le mot français « héros » vient du substantif grec rjpcoç, le texte débute par un travail de décentrement face aux référents contemporains liés à l'emploi du terme dans nos langues modernes : le « héros » n'est pas forcément le rjpcoç. Riche de cette analyse, la deuxième partie du travail se tourne vers l'Antiquité grecque, et plus précisément vers les poésies homérique et hésiodique. L'analyse de l'emploi du vocabulaire héroïque au sein de ces récits permet de cerner plus précisément les diverses figures appelées rjpcoç - figures qui semblent si différentes les unes des autres alors qu'elles partagent un qualificatif commun. Fort de cet apport quant à la compréhension du rjpcoç épique grec, une troisième partie questionne la présence de la catégorie du « héros » dans la Bible hébraïque mais aussi dans ses traductions en langues modernes. Constatant que le mot « héros » n 'apparaît jamais dans les langues anciennes que sont le grec de la LXX ou le latin de la Vulgate, les figures vétérotestamentaires sont repensées dans leur contexte proche- oriental, les voyant sous la lumière du Levant - lumière qui est la leur - et ce grâce au vocabulaire somme toute fort précis de la langue hébraïque. Finalement, une partie conclusive tente de mettre en exergue ce que la comparaison des récits grecs épiques et vétérotestamentaires a permis de soulever quant à leurs catégories « héroïques » respectives. L'enjeu est également de penser de manière critique ce que les cultures occidentales contemporaines nomment « héros », s'appuyant si souvent sur un « double héritage » gréco-romain et judéo-chrétien.

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Un dels objectius del repositori institucional de la Universitat de Barcelona, el Dipòsit Digital (DD), és difondre en obert els resultats de la recerca dels investigadors de la universitat, principalment els publicats en revistes científiques. Per fer-ho possible es necessari treballar conjuntament amb les aplicacions ja existents a la UB i especialment amb el gestor de la recerca, GREC. &br& &br& En aquesta comunicació es presenta el projecte d'interconnexió entre el DD i el GREC. La finalitat és que qualsevol investigador de la UB introdueixi, una única vegada, les dades referents a qualsevol publicació resultant de la seva recerca, incloent-hi el document corresponent, i que aquesta informació i aquest material estigui a l'abast de tothom des del repositori.

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(Résumé de l'ouvrage) Cette nouvelle traduction de la Bible est la première traduction française de la Bible réalisée en commun par des spécialistes des langues et des textes bibliques et des écrivains. Entièrement originale, elle a été élaborée d'après les langues sources de la Bible (Hébreu, Araméen, Grec), et selon les dernières éditions critiques. Chaque livre biblique a été confié à un tandem composé d'un bibliste et d'un écrivain, qui ont travaillé au coude à coude pendant 6 ans. Une idée forte a prévalu : jouer sur la pluralité des genres, des écritures, des interprétations, aboutissant à une Bible à plusieurs voix, qui transmet dans la langue et les littératures françaises contemporaines la diversité des genres littéraires, des styles, des formes, des auteurs, des inspirations, des traditions... Cette nouvelle traduction est le fruit d'une collaboration internationale exceptionnelle entre 20 écrivains et poètes contemporains francophones (parmi lesquels François Bon, Emmanuel Carrère, Florence Delay, Jean Echenoz, Jacques Roubaud...) et 27 spécialistes de la Bible et des langues anciennes. « Bible d'une nouvelle génération », cette Bible renoue avec l'histoire de notre culture. Elle affirme que cette histoire n'est pas close, que la Bible garde l'étonnante capacité de solliciter et de provoquer.

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(Résumé de l'ouvrage) Cette nouvelle traduction de la Bible est la première traduction française de la Bible réalisée en commun par des spécialistes des langues et des textes bibliques et des écrivains. Entièrement originale, elle a été élaborée d'après les langues sources de la Bible (Hébreu, Araméen, Grec), et selon les dernières éditions critiques. Chaque livre biblique a été confié à un tandem composé d'un bibliste et d'un écrivain, qui ont travaillé au coude à coude pendant 6 ans. Une idée forte a prévalu : jouer sur la pluralité des genres, des écritures, des interprétations, aboutissant à une Bible à plusieurs voix, qui transmet dans la langue et les littératures françaises contemporaines la diversité des genres littéraires, des styles, des formes, des auteurs, des inspirations, des traditions... Cette nouvelle traduction est le fruit d'une collaboration internationale exceptionnelle entre 20 écrivains et poètes contemporains francophones (parmi lesquels François Bon, Emmanuel Carrère, Florence Delay, Jean Echenoz, Jacques Roubaud...) et 27 spécialistes de la Bible et des langues anciennes. « Bible d'une nouvelle génération », cette Bible renoue avec l'histoire de notre culture. Elle affirme que cette histoire n'est pas close, que la Bible garde l'étonnante capacité de solliciter et de provoquer.

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GREC CLÀSSIC. Curs d’autoaprenentatge introductori. Dos anys. El curs consta de tretze lliçons i d’una gramàtica estructurada en quatre blocs: 1. Alfabet i diacrítics, fenòmens fonètics. 2. Morfologia nominal. 3. Morfologia verbal. 4. Infinitius i participis. Sintaxi de les oracions. L’estructura de les lliçons, excepte la primera que inclou l’alfabet, combina qüestions de morfologia nominal i verbal o de morfologia i sintaxi, tal com acostumen a fer els mètodes d’aprenentatge de les llengües modernes. Cada lliçó formula els seus objectius específics, desenvolupa la seva part de continguts i conclou amb uns exercicis pràctics d’autocorrecció. La Gramàtica, per la seva banda, està organitzada com un manual elemental de llengua grega on la persona que segueixi el curs pot ampliar la seva formació i consultar els dubtes. Parts complementàries: presentació on es formulen els objectius, la metodologia i les instruccions concretes per a seguir el curs; terminologia on s’ordenen alfabèticament els conceptes gramaticals emprats en el curs; avaluació final per tal que, més enllà dels exercicis de cada lliçó, hom pugui comprovar si ha assolit els coneixements previstos o si, en cas de no arribar-hi, ha de reforçar algunes lliçons o parts de les mateixes abans de tornar a fer l’avaluació; lèxic, ordenat alfabèticament per tal que hom pugui conèixer el significat dels mots emprats en el curs sense necessitat de consultar un diccionari. A la part d’avaluació hi ha també una enquesta per tal que les persones que segueixin el curs en facin una valoració i ens permetin corregir els seus dèficits o mancances. El projecte 2007MQD00178 ha continuat ampliant els dossiers electrònics, els exercicis autoavaluatius del seu web www.ub.edu/filologiagrega/electra i ha dedicat una part important de la seva tasca a elaborar els continguts i els programes de les assignatures dels dos primers cursos del nou grau de Filologia Clàssica.

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Le but principal de ce travail est de comparer les idées sur la langue et sur la linguistique a l'intérieur de deux processus de « construction de monde », à savoir le réagencement de l'Europe après la Première guerre mondiale et la création du monde nouveau voulu par l'Union soviétique. La comparaison est rendue pertinente par le fait que ces deux « constructions de monde » eurent lieu dans des atmosphères idéologiques opposées, puisque la Première guerre mondiale et la révolution bolchevique s'opposent radicalement en représentant, respectivement, le triomphe des nations et celui de l'internationalisme de classe. La comparaison se fera aussi à l'intérieur de l'Union soviétique, puisque l'internationalisme des années 1920 laissera la place dans les années 1930 et jusqu'à la mort de Staline en 1953 à un nationalisme soviétique représenté par la métaphore de la « citadelle assiégée ». L'hypothèse du travail est la suivante : la façon d'utiliser les faits de langue et la linguistique, et la façon de considérer l'objet-langue dans un processus de construction étatique dépendent de l'atmosphère idéologique à l'intérieur de laquelle cette utilisation a lieu. Dans la première partie, nous analysons les idées de trois linguistes professionnels (Antoine Meillet, Aleksandar Belic et Jordan Ivanov) relatives au réagencement de l'Europe après la guerre. De l'analyse de ces trois corpus de textes ressortira une espèce de contradiction, puisque ces linguistes qui, au début du XXème siècle, entendaient user de la science linguistique pour asseoir sur des bases solides la nouvelle Europe, le firent avec une « conscience linguistique » d'inspiration romantique, tout droit sortie du XIXeme siècle. La nécessité de proposer pour l'Europe une solution pratique et durable a très certainement amené ces linguistes à privilégier, peut-être inconsciemment, des théories linguistiques certes dépassées, mais qui avaient l'avantage de considérer les langues comme des objets discontinus et homogènes. Dans notre deuxième partie consacrée à l'Union soviétique, nous analysons des textes (d'auteurs parfois méconnus) traitant de ce que nous avons appelé la « révolution en langue » : partant du principe que le monde nouveau de la dictature du prolétariat allait être totalement différent du monde que l'on avait connu précédemment, certains auteurs des années 1920 furent convaincus que ce monde nouveau allait avoir besoin d'une langue nouvelle. Mais au lieu d'attendre que cette langue nouvelle apparaisse spontanément, par évolution, certains proposèrent d'introduire consciemment dans la langue, par révolution, les changements selon eux nécessaires pour que la langue corresponde aux nouveaux besoins. Dans ce contexte, l'objet-langue est considéré comme un simple outil de communication qu'il est possible de modifier à sa guise, et la linguistique comme une discipline technique. Cette idée de changer la langue disparaîtra de l'URSS des années 1930, avec le passage vers le nationalisme soviétique. A la place, on préférera rappeler que les langues ne peuvent évoluer que par évolution, que l'on ne peut pas changer la langue, que l'on ne peut pas créer une langue selon notre volonté. Dans le contexte de la « citadelle assiégée », la langue russe deviendra le signe distinctif de l'Union soviétique qu'il sera impossible de toucher et de modifier. La langue n'est plus un outil, elle est désormais un symbole. Avec la comparaison de ces deux situations particulières (trois si l'on distingue les deux atmosphères de l'URSS), nous pensons avoir montré que l'apparition de certaines idées sur la langue et sur la linguistique est liée au contexte et aux besoins.