128 resultados para Genette
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Contient : 1 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le sire de Montmorency, grant maistre et mareschal de France... Escript à Bloys, le VIe jour de mars » ; 2 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le mareschal de Montmorancy,... Escript à Sainct Germain en Laye, ce XVIme jour d'octobre » ; 3 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Montmorency et Bayart,... Escript à Sainct Thierry, le XXVIme jour de septembre » ; 4 Lettre de « MARGUERITE [DE VALOIS, reine de Navarre]... au roy, mon souverain seigneur » ; 5 Lettre de « RENEE DE FRANCE,... duchesse DE FERRARE,... à monseigneur le roy... De Ferrare, le IXe jour de decembre » ; 6 Lettre de « MARGUERITE [D'AUTRICHE]... à mon cousin monseigneur de Montmorency, grant maistre de France... De Malines, le XVIIIme d'aoust, l'an [mil cinq cent] trente » ; 7 Lettre de « LEONOR [D'AUTRICHE]... royne [de France]... à mon cousin monseigneur le grand maistre... De La Renterie, le XXIIe de jung » ; 8 Lettre de « MARGUERITE [D'AUTRICHE]... à mon bon cousin monseigneur de Montmorency, grand maistre de France... De Malines, le VIIIme de jullet, l'an [M.D.]XXX » ; 9 Lettre de « MARGUERITE [DE VALOIS, reine de Navarre]... au roy » ; 10 Lettre de « LEONOR[D'AUTRICHE]... royne[de France]... à mon cousin monseigneur le grand maistre... De Boutraga, le XXIe de mars » ; 11 « Lettre... du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorancy,... Escript à Fontainebleau, ce XXVIII jour de juillet » ; 12 Lettre de « MARGUERITE [D'AUTRICHE]... à mon cousin le grant maistre de France... De Bruxelles, ce XIe d'octobre, anno [M.D.]XXIX » ; 13 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le mareschal de Montmorancy,... Escript à Paris, ce XXIIIIe jour de jullet » ; 14 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le sire de Montmorency, grant maistre de France... Escript à Coussy, ce IXe jour de juillet » ; 15 Lettre du « roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorancy,... Escript à Sainct Germain en Laye, ce XIIIIe jour de juing » ; 16 Lettre de « MARGUERITE [D'AUTRICHE]... à mon cousin le sire de Monmorency, grant maistre de France... De Malines, ce IXe de mars, anno [M.D.]XXIX » ; 17 Lettre du « roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorancy,... Escript à Sainct Germain en Laye, ce XVe jour de juing » ; 18 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorency,... Escript à Sainct Germain en Laye, le XXIe jour de juillet » ; 19 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le sire de La Rochepot, mareschal de France... Escript à Sainct Germain en Laye, le premier jour d'avril » ; 20 Lettre du « roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le sire de Montmorancy, grant maistre et mareschal de France... A Nogent, le XXIIIIe jour de decembre » ; 21 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Monbrun,... Escript à St Germain en Laye, le IXe jour de juing » ; 22 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... Escript à St Germain en Laye, le IXme jour de juing » ; 23 Lettre de « l'admiral PHILIPPE CHABOT, Sr DE BRYON,... à monseigneur... le grant maistre... A Dijon, le XXIXe de juing » ; 24 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Montmorancy,... Escript à Langres, le XXIXe jour de mars » ; 25 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Montmorency, Sr de La Rochepot,... Escript à Lyon, ce VIIIe jour d'avril » ; 26 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorancy ou au lieutenant de sa compagnie... Escript à Sainct Germain en Laye, le deuxiesme jour de juillet » ; 27 Lettre du « roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorency,... Escript à Bloys, le Vme jour de fevrier » ; 28 « Lettres du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le grant maistre... Escript à Vi sur Ayne, le VIe jour d'octobre » ; 29 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorency,... Escript à Paris, le derrenier jour de jung » ; 30 « Lettres du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorency,... Escript à Sainct Germain en Laye, le Xme jour de jung » ; 31 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le sire de Montmorancy, grant maistre de France... Escript à Poignac, le cinquiesme jour de juillet » ; 32 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le mareschal de Montmorency,... Escript à Sainct Germain en Laye, le XXVIIe jour de septembre » ; 33 « Lettres du roy... FRANÇOYS [Ier]... à mon cousin le grant maistre de France, gouverneur et mon lieutenant general en Languedoc... Escript à St Germain en Laye, le VIIme jour de mars » ; 34 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur de Lymoges,... Escript à Paris, le XIIe jour de decembre » ; 35 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur de La Rochepot,... Escript à Lyon, le XXIIme jour de juillet » ; 36 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Yzarnay, mon varlet de chambre... Escript à Eunet, le VIIIe jour d'avril » ; 37 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le mareschal de Montmorancy,... Escript à Cisteron, ce VIIIe jour d'octobre » ; 38 Lettre « du roy... FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le grant maistre... Escript à Langenerye, le XXVe jour d'octobre » ; 39 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Montmorency,... Escript à Dijon, le premier jour d'avril » ; 40 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur de Montmorancy,... Escript à Amboyse, le XIXe jour de novembre » ; 41 « Lettres du roy... FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le mareschal de Montmorancy,... Escript à Gorges, le XIIe jour d'octobre » ; 42 « Lettres du roy... FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur le mareschal de Montmorancy,... Escript à Sainct Germain en Laye, le XIme jour de juing » ; 43 Lettre du roi « FRANÇOYS [Ier]... à Montmorency,... Escript à Sainct Germain, ce XIIIIe jour de juillet » ; 44 Relation des entrevues d'Éléonore, reine de France, avec le pape et l'Empereur, suivie de diverses nouvelles de la cour ; 45 Lettre d'«ANNE DE PISSELEU,... à monsyeur... le gran metre » ; 46 Lettre du Dauphin « FRANÇOYS,... à... monseigneur le conestable... A Magdon, ce XXIIIIe jour de mars 1550 » ; 47 Lettre du Dauphin « FRANÇOYS,... à monseigneur le grant maistre... A Suzannes, ce derrenier may » ; 48 « Coppie de la lettre escripte par le roy à madame la marquise de Genette » ; 49 Copie d'une lettre du roy HENRI II. « Escript à St Germain en Laye, le Xme jour de fevrier, l'an mil cinq cens quarante huict » ; 50 « Lettre du roy... FRANÇOYS [Ier]... au prevost Allabre,... Escript à Clery, le penultyme jour de fevrier »
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Dans ce mémoire, je compte étudier la lecture représentée dans l’œuvre de Michel Houellebecq. Mon travail sera divisé en deux parties. D’abord, je m’attacherai aux figures de lecteurs dans La possibilité d’une île et dans les autres romans de Houellebecq. Je verrai alors comment la lecture est incarnée dans les romans et quelles sont les fonctions des personnages-lecteurs. Par exemple, j’examinerai comment les personnages s’expriment sur la littérature dans La possibilité d’une île. Je compte pour ce faire utiliser les concepts de « liseur », de « lu » et de « lectant » proposés par Michel Picard dans La lecture comme jeu, mais dans le sens que leur donne Marcel Goulet dans ses travaux. La deuxième partie se centrera sur un « lecteur » particulièrement important : Houellebecq lui-même. Adoptant la définition de l’intertextualité donnée par Gérard Genette dans Palimpsestes, je me concentrerai uniquement sur les traces explicites d’autres textes dans La possibilité d’une île. Je me concentrerai d’abord sur les auteurs fréquemment cités, ceux dont Houellebecq se réclame ou dont il s’écarte. Je me questionnerai ensuite sur le rapport souvent négatif de Houellebecq avec la littérature du passé, pour essayer d’y voir une représentation de cette lecture critique à laquelle l’auteur tente de nous initier. Le travail sur l’intertextualité servira à identifier ce que Pierre Bayard nomme la « bibliothèque intérieure » de l’auteur et à questionner son rapport à celle-ci.
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Ayant recours aux théories de l’intertextualité et de la citation telles que développées par Genette, Compagnon et Morawski, ce mémoire met en relation deux corpus distincts mais complémentaires : les principaux essais d’Hubert Aquin, de Gaston Miron et des collaborateurs de la revue Parti pris sont analysés comme réécriture des textes (ou réélaboration des idées) d’Aimé Césaire, de Frantz Fanon et d’Albert Memmi, figures dominantes du discours de la décolonisation francophone. L’approche adoptée vise à mettre en lumière les bases sur lesquelles les intellectuels québécois tâchèrent de justifier leur réutilisation du discours de la décolonisation. Elle permet aussi d’observer dans quelle mesure ce discours orienta la réflexion entourant la redéfinition du nationalisme au Québec, en plus de faciliter sa diffusion. Articulé autour de trois grands axes – l’identité culturelle, les conflits linguistiques ainsi que le rôle de la littérature et de l’écrivain dans le combat pour l’émancipation nationale –, ce mémoire démontre que l'établissement d'un tel partenariat symbolique a été d'un grand apport quant à l'appartenance du Québec à la francophonie.
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RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne.
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Souvent laissée pour contre par les théoriciens, longtemps associée à la littérature populaire, la littérature fantastique a su depuis se tailler une place parmi les grands genres de la littérature. Depuis le milieu du XXe siècle, les chercheurs et le public découvrent ou redécouvrent un genre qui a toujours fait parti du paysage littéraire. Une œuvre majeure contribuera à la redécouverte scientifique du genre : Écrite en 1970 l’œuvre de Tzvetan Todorov Introduction à la littérature fantastique donne tant au néophyte qu’au chercheur un ouvrage qui trouve encore des échos aujourd’hui. Sa définition du fantastique, son approche du rôle du narrateur et du lecteur sont une référence, un point de départ et surtout un incontournable pour ceux et celles qui désirent comprendre et apprendre le fantastique. Dans ce mémoire, nous nous concentrerons particulièrement sur le rôle et la problématique du narrateur dans l’œuvre de deux représentants majeurs de la littérature fantastique de langue allemande du début du XXe siècle : Leo Perutz (1882-1957) et Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). Le narrateur semble jouer un rôle prédominant dans la littérature fantastique. En effet, par son discours souvent présenté au « je », il semble créer une dynamique très particulière : il manipule son propre discours, il agit sur le lecteur en étant narrateur et personnage dans le récit, il crée une tension entre les différentes couches narratives par son état instable. Bref, il semble contribuer à l’apparition du fantastique dans le texte et également provoquer une certaine hésitation chez le lecteur. Le texte joue également un rôle : Leo Perutz produit un modèle de texte qui semble marquer aussi son collègue Alexander Lernet-Holenia. La structure presque mathématique des textes de Perutz rappelle que le fantastique peut jouer même à l’intérieur de paramètres rigides avec l’ordre et le chaos, les frontières entre le réel et le rêve. Nous étudierons des œuvres de Leo Perutz et d’Alexander Lernet-Holenia qui ont été publiées entre 1915 et 1937. Les théories qui serviront à appuyer mon travail sont tirées entre autre des études de Tzvetan Todorov et Uwe Durst sur la littérature fantastique et de Gérard Genette sur le narrateur.
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Le Popol Vuh, récit historique du peuple maya quiché, a été traduit des dizaines de fois. Jusqu’au milieu du 20e siècle, bon nombre de ces traductions se fondaient sur la version réalisée en 1861 par Brasseur de Bourbourg, un missionnaire français. Pour souligner le travail du traducteur, nous avons étudié sa traduction non pas d’un point de vue comparatif des deux textes, mais du point de vue du paratexte, c’est-à-dire ce qui entoure le texte (page de titre, préface, notes, illustrations, etc.). Pour ce faire, nous avons dressé le cadre théorique du paratexte à l’appui des écrits de Genette et de Lane, puis nous l’avons appliqué à celui de la traduction du Popol Vuh de Brasseur de Bourbourg. D’une taille colossale, ce paratexte nous renseigne sur ce qui a motivé le travail du traducteur et sur ce qu’il a fait. L’étude de son avant-propos nous indique clairement que son but est de faire connaître la culture des Amériques sous un jour nouveau, et le Popol Vuh est pour lui l’exemple parfait d’une richesse littéraire, historique et culturelle jusque-là largement ignorée. Cette partie du paratexte de Brasseur de Bourbourg nous prépare à la lecture, alors que les nombreuses notes de bas de page nous guident pendant celle-ci. Force est toutefois d’admettre que le paratexte de cet ouvrage est si imposant qu’il porte ombrage à la traduction. Bref, l’étude du paratexte nous amène à aborder la traduction de Brasseur de Bourbourg d’un oeil critique, en fonction de ce que nous dit le paratexte. La lecture du paratexte et la connaissance de ses tenants et aboutissants devraient donc faire d’un simple lecteur un véritable lecteur averti, qu’il s’agisse d’une traduction ou de tout autre texte.
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Thèse effectuée en cotutelle avec l'École des hautes études en sciences sociales, Paris. Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).
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The paratext framework is now used in a variety of fields to assess, measure, analyze, and comprehend the elements that provide thresholds, allowing scholars to better understand digital objects. Researchers from many disciplines revisit paratextual theories in order to grasp what surrounds text in the digital age. Examining Paratextual Theory and its Applications in Digital Culture suggests a theoretical and practical tool for building bridges between disciplines interested in conducting joint research and exploration of digital culture. Helping scholars from different fields find an interdisciplinary framework and common language to study digital objects, this book serves as a useful reference for academics, librarians, professionals, researchers, and students, offering a collaborative outlook and perspective.
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The paratext framework is now used in a variety of fields to assess, measure, analyze, and comprehend the elements that provide thresholds, allowing scholars to better understand digital objects. Researchers from many disciplines revisit paratextual theories in order to grasp what surrounds text in the digital age. Examining Paratextual Theory and its Applications in Digital Culture suggests a theoretical and practical tool for building bridges between disciplines interested in conducting joint research and exploration of digital culture. Helping scholars from different fields find an interdisciplinary framework and common language to study digital objects, this book serves as a useful reference for academics, librarians, professionals, researchers, and students, offering a collaborative outlook and perspective.
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This chapter presents a dual perspective on the paratextual apparatus of a work of electronic literature, The Unknown: The Original Great American Hypertext Novel by William Gillespie, Scott Rettberg, Dirk Stratton, and Frank Marquardt. Approaches from literature studies and information science are combined to offer qualitative content analyses and close readings of the table of contents, titular apparatus, comments hidden in the source code, and other paratextual elements, in relation to the narrative. Findings indicate that the work's paratextual content presents inconsistencies and contradictions, both in terms of the use of the paratextual structure and of the information conveyed. The paratextual elements are analyzed through the lens of Gérard Genette's theory, as outlined in Paratexts: Thresholds of Interpretation, in order to gauge their role and efficiency as identifiers, organizational components, and information providers, as well as their literary effect. The value of the theory as an interdisciplinary tool is also discussed.
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Hors champ (Offscreen) is a collection of short stories and poems that offers rewrites of striking works of contemporary Quebec literature from 1960 to the present. In this collection, the literary legacy is problematized by the bursting of the source of hypotexts. Thus, the rewriting is done by recovering certain formal characteristics of source texts, while putting forward new thematic content. The texts relate to many affiliations, offering not a static and overwhelming posterity, but rather an active heritage, fragmented and drawing from several sources — as Quebec literary heritage does. The stories in the collection do not clearly announce their hypotext but rather begin with an epigraph, as a way to play with the readers’ expectations. The architecture of the collection does not respect the chronological order of hypotexts, and short stories from the same source are not grouped together. Aquin demeure (Aquin remains) compares two contemporary Quebec novels : Ça va aller by Catherine Mavrikakis and Pourquoi Bologne, by Alain Farah. Starting from the observation that the figure of Hubert Aquin exerts a spectral presence on Quebec literature and has bequeathed a problematic and paradoxical legacy to posterity, the project aims to see what readings of this aquinien heritage the works of Mavrikakis and Farah offer. The analysis of Ça va aller begins with a comparative study of the two authorial figures whom are being presented : Hubert Aquin and Robert Laflamme, an avatar of Réjean Ducharme. The study seeks to show how Aquin’s literary legacy is unattainable for the narrator while the analysis of Pourquoi Bologne focuses on the rewrite of Prochain épisode. With Genette’s notions of intertextuality and hypertextuality, the study attempts to determine whether it is possible to consider Pourquoi Bologne a text in the second degree.
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La existencia de personas que no escriben es infinitamente superior a la de lectores. Propuesta didáctica para trabajar la competencia lectora a través del estímulo y afianzamiento de la competencia escrita pues se considera que quien escribe siempre lee. Se plantea que una manera de desarrollar la producción y comprensión textuales del alumnado consiste en escribir siguiendo pautas de imitación y de transformación de textos, lo que Genette llama 'literatura en segundo grado'.
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Se pretende contribuir a incentivar la producción escrita en la escuela. Para ello, se elabora un breve marco teórico centrado en el concepto de intertextualidad (desde el punto de vista de Gerard Genette) y en el de obra abierta (Umberto Eco), y se presentan varias propuestas prácticas que pueden adaptarse a distintos grupos.
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Resumen basado en el del autor