999 resultados para Enseignants de français langue seconde
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Dissertação apresentada para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Mestre em Terminologia
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Université De Bretagne Occidentale
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Ce mémoire est l’occasion de partager le résultat de la mise en place de ce dispositif de formation à distance que nous avons mené dans l’université du Cap-Vert. Dans la première partie, nous décrirons la nature de la politique éducative au Cap-Vert. Nous contextualiserons les principes de l’installation de l’université publique dans ce pays, ainsi que les intentions d’innovation pédagogique de cette université. La deuxième partie portera un regard complémentaire sur l’utilisation des TIC et de l’internet dans l’enseignement/apprentissage d’une langue, cas du français langue étrangère, et nous nous inspirerons des théories constructiviste et socio-constructiviste. Finalement, la troisième partie détaillera toutes les étapes de la conception et de la mise en place du dispositif de formation à distance. Dans cette troisième partie, nous aborderons dans un premier temps la question des enjeux et des risques du e-Learning et nous présenterons notre mission dans le projet « e-Learning.cv » mené par l’université. Puis, dans un deuxième temps nous analyserons quelques cours que nous avons mis en ligne, en sachant qu’un cours en ligne n’est pas la simple reproduction d’un support pédagogique imprimé mais il offre à l’apprenant un environnement multimédia et interactif. Finalement dans un troisième temps nous essayerons de prendre un peu de recul pour faire une analyse critique de ce que nous avons réalisé et essayer par là même de dégager les perspectives pour améliorer le travail effectué.
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Depuis les années 1990, les formations à visée professionnelle, comme l’enseignement, adoptent le paradigme du praticien réflexif. Au Québec, le référentiel de compétences proposé par le ministère de l’Éducation introduit l’idée que tout futur enseignant doit apprendre à « réfléchir sur sa pratique » (MEQ, 2001). Malgré de nombreuses études sur la réflexion, le concept reste flou et polysémique. Comment, dans ces conditions, « faire réfléchir » ? Des chercheurs contemporains, dans la mouvance éducative, humaniste et pragmatique de Dewey (1933), aboutissent à des conceptions convergentes de l’apprentissage par réflexion sur l’expérience (Osterman et Kottkamp, 2004; Brouwer et Korthagen, 2005; Loughran, 2006; Brockbank et McGill, 2007; Donnay et Charlier, 2008, entre autres). De leurs points communs est synthétisée une définition de la réflexion qui peut aider à clarifier son rôle en formation. La recherche se donne comme objectif de « saisir » des événements réflexifs pour élucider comment des formations universitaires contribuent à développer des mécanismes de réflexion favorables à un autorenouvellement professionnel à long terme. La démarche est qualitative, l’approche interprétative-compréhensive. Des entrevues semi-structurées ont permis de recueillir des données auprès de finissants en enseignement du français langue seconde (FLS), en coopération internationale, à l’Université de Montréal, ainsi que d’enseignants de FLS expérimentés d’une université québécoise. Du corpus d’« occurrences de réflexion » ont émergé les significations que les acteurs donnaient à leur expérience d’apprentissage ou de travail. Les résultats sont présentés en trois articles. Le premier décrit la méthodologie construite pour repérer des occurrences de réflexion. Le second révèle deux grandes caractéristiques de dispositifs qui la stimulent particulièrement: 1) l’agir en situation de travail authentique ou vraisemblable; 2) la confrontation interactive à l’altérité (pairs, clientèle). Le troisième article aborde les représentations plus riches, nuancées et critiques de la profession, l’Autre et soi-même sur lesquelles débouche la réflexion. L’étude documente aussi les effets de ces reconceptualisations sur l’acteur et l’action, et produit des typologies des préoccupations des (futurs) professionnels et des objets réfléchis Des pistes de recherche et d’application sont dégagées pour les formations professionnalisantes et le développement professionnel en milieu de travail.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Depuis quelques années, plusieurs didacticiens du français se penchent sur l’enseignement et l’évaluation de l’oral, mais peu d’informations sont encore disponibles concernant les pratiques effectives des enseignants à cet égard. Notre recherche vise à décrire les croyances de deux enseignants de français au secondaire et leurs pratiques au sujet de l’évaluation de l’oral, plus particulièrement de l’oral dans une situation d’interaction entre pairs. Une entrevue dirigée a permis d’avoir accès à leurs croyances et à leurs pratiques déclarées, alors que le think-aloud a été employé pour observer leur pratique d’évaluation, à l’étape du jugement, d’une situation d’interaction entre pairs. Nos résultats montrent que, du point de vue de leurs croyances, les enseignants ont tous deux des préoccupations concernant les tâches et les instruments d’évaluation, et que leurs pratiques d’évaluation déclarées sont assez semblables en ce qui a trait aux tâches retenues, à leur fréquence et à l’intention poursuivie. Du côté de leurs pratiques d’évaluation observées à l’étape du jugement, nous exposons de façon détaillée les gestes d’enseignants en situation authentique, en identifiant les principaux processus cognitifs et métacognitifs impliqués dans cette tâche complexe. Des divergences entre les deux enseignants ont été observées relativement à leurs croyances, pratiques déclarées et pratiques observées durant le jugement. Tout d’abord, les critères retenus pour l’évaluation (pratique déclarée) ne tiennent pas toujours compte de ce qu’ils croient important d’enseigner en classe (croyance). De plus, malgré une pratique déclarée positive concernant l’autoévaluation, ces enseignants n’y ont peu ou pas eu recours durant leur jugement. Enfin, les gestes de l’un, durant le jugement, tendaient vers la posture d’instructeur-contrôleur, alors que ceux de l’autre s’inscrivaient davantage dans la posture de conseiller-didacticien. De façon générale, nous constatons que les pratiques de ces enseignants sont plus influencées par les situations rencontrées en tant qu’élèves et les traditions d’enseignement de la discipline que par le programme en vigueur.