33 resultados para Dévotion
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"Pratiques et prieres pour honorer particulierment la sainte virge marie", 36 p.
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L'intention de l'A. est d'analyser la répétition du Nom de Rāma chez Kabīr. Cette technique prend un sens particulier chez ce poète, étroitement lié au souvenir constant de Dieu, à une vision imprégnée à la fois de spéculations métaphysiques et d'une profonde dévotion amoureuse. L'A. tente d'évaluer l'impact des différents courants qui ont forgé la pensée de Kabir et de démontrer leur importance dans l'oeuvre du poète. Par cet effort, il espère contribuer à éclairer l'atmosphère religieuse de l'époque et de situer une des pratiques très importantes de mantra dans le contexte de la bhakti médiévale
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Contrairement aux idées reçues, l'esthétique assume bien une fonction dans les formes rituelles adoptées par les Eglises issues de la Réforme calviniste. Mais il revient moins à l'image, considérée avant tout comme une source de distraction, qu'à la musique de porter cette dimension dans la piété réformée. Retraçant la formation de la pensée calvinienne sur la question des rapports entre culte et musique entre 1536 et 1543, cette étude montre comment le théologien en vient durant ces années à considérer que le chant des psaumes permet de concilier dans la dévotion, un processus cognitif, guidé par le sens des paroles, et un mouvement affectif, suscité par la mélodie. C'est, aux yeux de Calvin, de la jonction de ces deux dynamiques que naît l'élévation spirituelle à laquelle le culte doit conduire. Notwithstanding common belief, aesthetics had an important function in ritual forms implemented by Reformed Calvinist Churches. The impact of aesthetics on reformed piety rested less on images, considered to be a source of distraction, than on music. By reconsidering the evolution of Calvin's thoughts on the relationship between music and religious services between 1536 and 1543, this study reveals how Calvin came to consider that by singing the psalms, Christians could conciliate in prayer a cognitive process which was to be guided by both the meaning of the words and the emotions triggered by the tune. For Calvin, the spiritual elevation to which religious services should lead was to emerge from the conjunction of these two impetuses.
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L'Observance est le premier mouvement de réforme avant la Contre-réforme promu par l'Eglise elle-même, dès la fin du XlVème siècle. Visant à restaurer une plus grande observance de la Règle au sein des Ordres religieux, par l'importance accordée à la vie commune, à la formation intellectuelle de ses membres et à l'oraison mentale, elle joue un rôle de premier plan dans la vie des cités au XVème siècle. Tantôt instrument du pouvoir civil tantôt de la papauté, elle est un acteur fondamental dans le panorama urbain, aspirant à contrôler la vie religieuse des laïcs, grâce à ses prédicateurs et son intense activité pastorale, fondée sur l'édition de traités dévotionnels et de manuels pour la prière. L'objet de cette thèse est l'étude des relations entre ce mouvement de réforme religieuse et la production artistique, afin de comprendre la contribution de l'Observance aux transformations importantes que l'image de culte tant publique que privée connaît entre le XVème et le XVIème siècle. Elle montre que l'Observance et les formes de dévotion qu'elle promeut participent non seulement des choix iconographiques mais également formels, et pose la question de l'existence et de la définition d'une esthétique observante. L'analyse se concentre sur la ville de Venise et les Dominicains à partir de 1391, date de l'introduction de l'Observance dans la cité, jusqu'en 1545, qui marque le début du Concile de Trente. La perspective diachronique adoptée a permis de révéler une véritable politique artistique de l'Observance dominicaine, qui fait un usage réfléchi et conscient des images. Celles-ci permettent, d'une part de décliner l'identité de l'Ordre de diverses manières en fonction de la situation religieuse et historique et des destinataires, d'autre part de contrôler et informer la dévotion du fidèle. La perspective diachronique éclaire également comment l'Observance dominicaine a fait face à des mouvements religieux importants, qui promeuvent des pratiques dévotionnelles christocentriques, fondées sur un rapport direct et individuel avec le divin. Il s'agit au XVème siècle de la Devotio moderna, puis au XVIème siècle de la Réforme protestante, mais aussi des divers mouvements de spiritualité évangélique dont Venise est un centre de diffusion. Pour un Ordre voué à la défense de la papauté et de l'Eglise, ces formes de dévotion individuelles constituaient des menaces auxquelles il fallait opposer des formes de dévotion individuelles contrôlées. A cette fin, l'utilisation des images s'est révélée un instrument puissant. Après une première partie historique qui offre une reconstruction de certaines églises dominicaines détruites et établit un corpus d'oeuvres, les rapports de l'Observance et des oeuvres d'art sont analysés selon trois angles d'approche. Le premier se concentre sur la question des femmes, et aborde le problème de l'utilisation des images dans la direction spirituelle des nonnes ainsi que dans la construction d'une identité féminine dominicaine. Le deuxième prend en considération l'utilisation des images dans la dévotion privée des frères eux-mêmes. Le troisième et dernier angle d'approche concerne l'utilisation des images pour définir l'identité de l'Ordre face aux représentants des autorités politiques et religieuses, mais aussi des fidèles.
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Le but de cet article est de montrer à l'aide d'un exemple concret comment les catégories « biographie » et « hagiographie » posent problème dans la discipline d'histoire comparée des religions. Il ne s'agit pas de traiter de la biographie ou de l'hagiographie en tant que genres littéraires, mais bien de voir comment se différencient, dans plusieurs types de récits sur la vie et l'oeuvre, les éléments hagiographiques et les éléments biographiques. Pour ce faire, je me concentrerai sur un personnage : la poétesse mystique Mīrābāī, qui a vécu au XVIe siècle de notre ère en Inde du Nord. Ce cas me paraît être intéressant puisque nous n'avons aucun matériel qui permette de rendre des conclusions définitives sur la vie de ce personnage qu'on postule comme historique. Mīrābāī n'a pas laissé de journal intime, de chroniques, ni d'autobiographie. Elle était une femme dévouée au dieu Krishna, une poétesse visant à vivre pleinement sa relation à une entité supra- humaine postulée culturellement, le dieu masculin, Krishna. Ce type de dévotion amoureuse, impliquant une relation d'amour total et d'abandon pour une divinité de prédilection, est appelé bhakti.
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Contient : « Systhème de M. N[icole] touchant la grâce universelle » ; « Premier escrit contre M.... Si la dispute contre la grâce universelle n'est qu'une dispute de nom » ; « Discours sur les passions de l'amour ; on l'attribue à M. PASCAL » ; « Lettre de Mr DE SAINCT-EVREMONT à Madame.... sur la dévotion feinte » ; « Introduction à la chaire, ou méthode très facile pour apprendre à bien prescher »
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Contient : « Histoire secrette de Théodore Agrippa d'Aubigné dédiée à ses enfants » ; « Lettre de M. l'abbé*** sur le livre de Dom Martianay » (nov. 1697) ; « Lettre de M. le président de Maisons » (25 juin 1710), au sujet du cardinal de Bouillon ; « Lettre circulaire écrite par M. le cardinal de Bouillon à Mrs les chanoines capitulaires de Strasbourg » (29 nov. 1701) ; « Observations sur le modèle du retable du grand autel de l'église de Paris, en 1700 » ; « Extrait des registres du Conseil d'estat (1706), » pour la réforme des Augustins déchaussés ; « Lettre de Mme la duchesse de Nemours à M. le marquis de Torcy au sujet du gouverneur de Neufchâtel... » (5 janv. 1700) ; « Lettre écrite au pape par M. l'evesque de Frejus [L. d'Aquin] contre M. l'abbé d'Aquin, son neveu, en septembre 1697 » ; « Requeste des religionnaires réfugiez au Roy » (août 1697) ; « Note sur la lettre circulaire des Jésuites écrite sous le nom du R. P. de La Chaise aux évêques de France, le 12 sept. 1702 » ; « Lettre du R. P. Me F. Jerome Bapt. de Lanuza, provincial d'Aragon, de l'ordre des FF. Prescheurs, écrite au roy d'Espagne Philippes II, au sujet des griefs et des vexations que nous font les Pères de la Compagnie » (22 août 1597) ; « Lettre en forme de dissertation au protecteur de la dévotion accommodante de soeur Béatrix » ; Notice sur les différentes « Lettres du sceau » ; « Testament de Nicolas Flamel » ; Épitaphes de Jacques II, roi d'Angleterre ; Lettres et pièces diverses relatives au cardinal de Bouillon et à différentes affaires ecclésiastiques
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Dès les débuts du christianisme, l’Église s’est servie de l’art. Au Moyen âge, en particulier, la décoration des cathédrales (sculptures, fresques vitraux) avait une valeur esthétique, mais plus encore, une valeur didactique. Moyens matériels pour faire la catéchèse, voire évangéliser, les crèches du Musée de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal s’inscrivent dans cette perspective. Tenant compte de cette mission d’évangélisation qui incombe à l’Église et de l’importance que prend de plus en plus le visuel dans la culture et la société actuelles, nous voulons partir de l’exposition des crèches de Noël à l’Oratoire Saint-Joseph, de l’année 2009, pour découvrir en quoi elle pourrait contribuer à l’évangélisation et à la croissance du christianisme et des chrétiens. En effet, les crèches de Noël sont essentiellement œuvre de foi, – non pas liée à la foi de l’auteur mais plutôt à l’effet que cette oeuvre peut avoir sur celui qui la regarde, – dont la dévotion à la sainte Famille. Ce moyen d’évangélisation dans ce monde en mutation où l’art visuel s’est avéré d’une extrême importance convient bien au contexte de la déchristianisation et peut offrir une complémentarité aux méthodes traditionnelles d’évangélisation basées surtout sur le discours. Ils sont complémentaires, dans le sens où il ne s’agit pas de « cheminer à travers villes et villages, prêchant et annonçant la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu » (Lc 8,1) aux personnes qui n’ont pas encore entendu parler du Christ, mais d’éveiller la curiosité chez les visiteurs non-chrétiens (Evangelii Nuntiandi 53), de stimuler l’intérêt à l’égard de la religion chez les non-pratiquants (EN 56) et, de soutenir et approfondir la foi des fidèles. Mots-clés : Christianisme – Église – transmission – évangélisation – éducation de la foi – musée – crèches – Oratoire Saint-Joseph.
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Dans Certainement Pas, je m’intéresserai à la problématique du jeu littéraire dans son rapport à la contrainte. Comment Chloé Delaume réussit-elle dans un premier temps à s’approprier un certain nombre de discours culturels et de formes a priori extralittéraires pour ensuite les transformer? Dans un second temps, comment s’y prend-elle pour « phagocyter » dans son écriture une pléthore de références littéraires? Conséquemment, quelle conception de la littérature livre-t-elle? Veut-elle, par l’aspect ludique de son roman, rendre un hommage filial aux auteurs d’hier et ainsi adopter une position empreinte de dévotion? Essaye-t-elle, au contraire, de « déchiqueter-dégurgiter » ces textes paternels et agir en iconoclaste? En procédant de cette façon, détruit-elle ou non le mythe de l’originalité en littérature? Finalement, comment s’effectue la réception de son texte ? Jouer le je est un projet d’écriture prolongeant les réflexions sur la place du jeu et de la contrainte dans la littérature. Prenant la forme d’une pièce de théâtre, il cherche à travailler la problématique de l’automatisme langagier actuel et devient une tentative de destruction de celui-ci. Ce texte met en scène deux personnages. La protagoniste principale, une jeune femme de vingt-cinq ans nommée Plume Liddell, étudiante en immunologie souffrant de dyslexie linguistique, participera à six séances de psychothérapie au cours desquelles elle parlera d’elle-même. L’autre personnage: la psychologue, restera muette ou presque tout au long des séances.
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« Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal ».
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Dans la Recherche du temps perdu, toute relation filiale est une relation où le fils fait inévitablement souffrir sa mère en commettant, selon Proust, une forme de parricide. La lecture des œuvres pré-Recherche de l’auteur, telles la nouvelle « La confession d’une jeune fille » et l’article « Sentiments filiaux d’un parricide » permettent de comprendre cette relation ambigüe, au cœur de laquelle se trouve l’amour incommensurable que ressent le fils pour le parent, un amour si intense qu’il en est étouffant. Dans ces conditions, le parent en vient à symboliser aux yeux de l’enfant la Loi contre laquelle il doit se rebeller à coup de gestes de cruauté. Le fils, s’il est de ceux qui peuvent soutenir la vue de leurs crimes, entre alors dans un cercle vicieux : par sa cruauté, il tue – symboliquement ou réellement – le parent aimé et il en jouit. Suite à ce sadisme, il ressent une insupportable culpabilité qui le mène à une dévotion masochiste encore plus grande pour son parent. Or, par le personnage du narrateur de la Recherche du temps perdu, Proust démontre que la seule manière de se libérer de cette douloureuse culpabilité, c’est l’Art. Le crime ultime qu’est la création excuse les actes de cruauté antérieurs et les justifie même. C’est la seule manière de transformer la souffrance vécue (issue entre autres de la culpabilité d’avoir pris plaisir à faire souffrir un parent aimé) en idées universelles, en œuvre d’art.
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Deux mouvements théologiques et culturels actuellement en croissance rapide suscitent un intérêt mondial, Ibandla lamaNazaretha et les Rastafari. Fondé par le Zulu prédicateur Isaiah Shembe pendant les années 1910, Ibandla lamaNazaretha prend son origine d’une église hiérarchique célébrant dans des temples extérieurs dans la province de KwaZulu-Natal et inclut maintenant un certain nombre de factions regroupées autour de la péninsule de l’Afrique du Sud. Le groupe des Rastafari, quant à lui, né en Jamaïque, a commencé comme une idéologie à plusieurs têtes qui a fleuri dans des zones éparses de l’île des Caraïbes. Il découle des interprétations d’une prophétie généralement attribuée à Marcus Garvey, concernant un roi devant être couronné en Afrique (circa 1920), et qui fut appliquée aux années 1930, avec le couronnement de Ras Tafari Makonnen comme Haile Selassie I, 225e empereur d’Éthiopie. Les adhérents et sympathisants de ces deux mouvements se comptent en dizaines de millions et ils exercent plusieurs types d’influences, tant aux niveaux politique, théologique, social que culturel, en particulier en Afrique et dans les Caraïbes aujourd’hui. Cette thèse soutient que les deux, Ibandla lamaNazaretha et les Rastafari, perpétuent un amalgame entre le « Naziréat » de l’Ancien Testament (Nombres 6:1-8) et le « Nazaréen » de l’évangile de Matthieu (2:23), à travers la dévotion à un seigneur contemporain: Haile Selassie I dans le cas du mouvement Rastafari et Isaiah Shembe dans le cas du mouvement Ibandla lamaNazaretha. Dans ce cadre théologique, à la fois les Rastafari et Ibandla lamaNazaretha ont réanimé les anciens rites de purification judaïques du naziréat jusque-là disparus, et les ont également adaptés, dans le contexte du messianisme, aux préoccupations postcoloniales de l’autochtonie. Grâce à la persistance de l’autochtonie, l’influence des idéaux indiens de résistance non-violente, et l’appropriation des différents thèmes bibliques, les deux mouvements africains noirs ont habilité avec succès leurs membres « dépossédés ». Ils l’ont fait par la création de communautés liminales, alors que des modes de vie agraires et auto-suffisants s’épanouissent en dehors des auspices d’une élite dominante : une herméneutique du nazaritisme unifie les diverses racines hybrides africaines, judaïques, chrétiennes, indiennes, et européennes.
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Cette thèse est une étude ethnographique sur un temple populaire, connue comme As Covinhas, situé dans Rodolfo Fernandes, une municipalité de Rio Grande do Norte. L'objectif de cette étude est d'analyser la formation et la dynamique de l'espace des rapports sociaux et symboliques que les établir et les promouvoir comme référence religieuse de la région où il se trouve. Dans cette intention, est exploré trois dimensions: de les pratiques, quand c‟est activités permit rituellement la (re)produisant de les significations que mis la dévotion aux Meninas das Covinhas em marche ; de les conflits, que suggérant la qualité polyphonique du sanctuaire, quand les différentes sujects impliquées dans ce lieu mettre em relation les sens et les intérêts qui recueillent souvent ; et les changements, qui aboutissent à des degrés divers des perceptions, des disposions et des opérations des sujects qui vivant le sanctuaire dans la pratique, afin de le maintenir dans le processus constant de l'invention
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El hombre de existencia real Juan Francisco Cubillos sembró un itinerario de hechos delictivos en Mendoza y sur de San Juan. Fuerzas policiales lo mataron en Los Paramillos de Uspallata, cuando contaba sólo 27 años. Inmediatamente el recuerdo popular de sus hazañas exaltó su figura con devoción religiosa. Con el tiempo se fue acrecentando su fama hasta adquirir la dimensión de leyenda o, tal vez, de mito con repercusiones que bien pudieran incidir en la identidad cultural de Mendoza. El teatro local reflejó las posibilidades estéticas del personaje en varias oportunidades, marcando un ciclo tardío de la gauchesca de sorprendente éxito tanto en lo autoral y espectacular como en la recepción.