59 resultados para Autofiction
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Le corps et l'inconscient comme éléments de création dans le cinéma d'animation de Michèle Cournoyer
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Ce mémoire se penche sur l’évolution des stratégies d’autoreprésentation et d’autofictionnalisation dans cinq solos de Marie Brassard entre 2000 et 2011 – Jimmy, créature de rêve, La noirceur, Peepshow, L’invisible et Moi qui me parle à moi-même dans le futur. L’objectif de cette étude est d’analyser comment les masques vocaux contribuent au dévoilement de soi et produisent de ce fait un sentiment d’intimité malgré l’alternance des effets d’identification et de distanciation qu’ils suscitent. Le premier chapitre montre que, par l’ouverture du moi sur le monde au fil des créations, les protagonistes parviennent bientôt à dire « je » sans avoir la consistance d’un personnage, alors que le moi de l’archiénonciatrice se dilate grâce à la perméabilité et aux permutations continuelles des thèmes, des motifs et des personnages. Le second chapitre analyse le décloisonnement spatial qui affecte la scène et la salle comme la performeuse et ses collaborateurs dans l’établissement d’un véritable dialogisme. À partir de l’étude du corps en scène, le dernier chapitre examine les effets du décloisonnement textuel et spatial, et montre que la mise en évidence du triple rôle endossé par Brassard – auteure, actrice et agenceure scénique – oblige à reconsidérer la nature du corps qui s’offre au regard durant la représentation, en invitant le spectateur à s’investir dans le jeu scénique au-delà des évidences.
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Roman mémoriel, roman familial, roman d’apprentissage, autofiction… Voilà quelques concepts génériques qui m'ont guidé lors de l'élaboration de ce projet en recherche et création. Le point de départ a consisté en une quête identitaire, qui s’est résorbée en une recherche des origines, symbolisée par la figure de mon grand-père inconnu que j’ai tenté de démystifier. Car on m’a toujours dit qu’il avait écrit un roman, intitulé Orage sur mon corps, ce qui a provoqué chez moi diverses impressions et déformations imaginaires. Je croyais par exemple que mon grand-père, Émile, avait partagé les idées et l'état d'esprit qui circulaient durant les années 1940, alors que le Canada français connaissait une première vague de modernisation culturelle. Ces informations, malheureusement, ne se sont pas avérées tout à fait exactes. Et comme cette quête plus personnelle s'est achevée, non sans une certaine insatisfaction, mes recherches se sont poursuivies dans un essai portant essentiellement sur l'œuvre d'André Béland, auteur qui correspond, plus ou moins, à la figure mythique de mon grand-père. Cet essai ne vise pas à juger ni à réhabiliter l’auteur, mais simplement à jeter un peu de lumière sur son œuvre méconnue, parce que la « réappropriation identitaire se centre toujours aussi sur la transmission » (Régine Robin).
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S’inscrivant dans le retour des débats entourant l’autofiction, après les années folles que furent les décennies 1960-1970, ce mémoire s’avère une exploration des potentialités de ce « genre » au cinéma. L’auteur cherche, à travers une étude de cas spécifique consacrée à Robert Morin, à déterminer les possibilités et modalités d’actualisation de l’autofiction cinématographique. Pour ce faire, il présente les tenants et aboutissants de ce concept littéraire, pour par la suite l’aborder avec les outils théoriques du cinéma : la narratologie filmique et la conduite du récit, la subjectivité, la caméra intradiégétique et l’hybridité générique des œuvres. S’inspirant de différents travaux réalisés sur le cinéma narratif « classique », l’auteur s’affère à les complémenter afin de rendre compte des spécificités propres à la pratique autofictive.
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Feu est un recueil photo-textuel autofictionnel dans lequel j’ai revisité des souvenirs amoureux suite à un incendie qui a tout rasé. À travers de brefs épisodes, j’ai tâché de transmettre les différentes émotions éprouvées pendant le deuil et de mettre en avant mon obsession pour le feu et mon ancien compagnon. Le ressassement égocentrique de souvenirs amène à un profond mal-être, puis se résorbe un peu lorsque vient une ouverture aux autres, mais demeure inachevé. Les photographies servent à illustrer le texte, à donner une autre dimension à l’autobiographie. Elles participent aussi à l’exposition de la solitude. En plus de certains intertitres qui font un clin d’œil à l’œuvre de Sophie Calle, je me suis inspirée de certains de ses traits caractéristiques. Sophie Calle: Soi en négatif est un essai portant sur la performance de soi. Il y est question de pacte autobiographique, d’intertextualité, d’altérité, de deuil et d’absence. Je tente d’esquisser comment elle s’y prend pour s’exposer. Non seulement elle exploite les aspects négatifs de sa vie et de celle des autres, mais elle se révèle par des intermédiaires, que ce soit d’autres personnes ou des documents. Ses mots et ses photos développent en quelque sorte la vie contenue dans ses archives personnelles. Lorsqu’elle s’expose, l’art dépasse la littérature, le cinéma, l’entrevue et la photographie pour devenir une performance de soi, en négatif.
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Mémoire de recherche et création, incluant une partie essai et un texte de création.
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Dany Laferrière, récemment admis à la prestigieuse Académie française, a produit une œuvre considérable au cours des trente dernières années. Deux de ces premiers romans, Comment faire l’amour avec un Nègre sans se fatiguer et Cette grenade dans la main du jeune Nègre est-elle une arme ou un fruit?, sont caractérisés par une intertextualité riche et variée. La trame narrative de ces deux romans est construite par fragments. Dans le premier texte, on retrouve un écrivain fictif qui procède à l’écriture d’un roman qu’il nomme Paradis du dragueur nègre. Dans le deuxième roman, nous retrouvons le même écrivain, mais ce dernier est plutôt employé par un magazine de la côte est afin de rédiger un reportage sur l’Amérique. Dans les deux cas, il y a une mise en scène de l’écriture par un écrivain fictif qui présente beaucoup de ressemblances avec Laferrière lui-même. Le lecteur assiste à la construction du récit qu’il est en train de lire à travers une autofiction originale. Il y a donc une multitude de ressemblances, et mêmes correspondances, entre les deux récits. Les deux romans de Laferrière s’inscrivent par leur thème, leur style et leur genre dans une « généalogie » de textes qui peuvent être regroupés en « familles » littéraires. Nous tenterons, dans le mémoire qui suit, de définir et de comprendre le rôle de ces « familles » et d’illustrer comment l’appropriation de ces textes permet à l’auteur à la fois de s’en inspirer et de s’en distancer. Il s’agira donc, dans les deux premiers chapitres, d’étudier les références intertextuelles appartenant à ces deux « familles » d’écrivains pour ensuite étudier plus particulièrement la construction de la figure de l’écrivain et de son espace littéraire à travers ces deux œuvres. MOT-CLÉS : Dany Laferrière ; intertextualité ; autofiction ; roman contemporain ; littérature québécoise.
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This study has the purpose of investigating the term reader-creator , on the textual aspects of the dramatical works A Morte nos Olhos , A Memória Ferida and Na Outra Margem (2010) by Antonia Pereira Bezerra. In this sense, we propose an analysis of these works based on author‟s life experience as creative matter for a autofictional narrative, highlighting the relations between the autobiographical elements (LEJEUNE, 2008; DOSSE, 2009) and fictional elements in the construction of dramatic narratives. The theoretical analysis pervades the studies fields of Reception Aesthetics (ISER, 1996), memory (RICOUER, 2007) and narrative (RICOEUR, 2010), evidencing the relation between the author and the pursuit of her memories and life experiences, the matter to elaboration of writing. Then we intend thinking a reader-creator of herself, that at the same time she seeks in her memories the biographic aspects to her narrative, she converts this reality with the insertion of fictional elements from the imagination (SARTRE, 2008)
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Viaje olvidado, primer libro de cuentos de Silvina Ocampo, se caracteriza por un marcado predominio de lo lírico sobre lo estrictamente anecdótico o argumental. Más que de cuentos, cabe hablar de una serie de cuadros o acuarelas en los que la historia es una mera excusa para el discurrir de lo poético. Esto implica un uso del lenguaje particular, cuyos rasgos fundamentales son la coloquialidad y el carácter pictórico de la prosa. Del singular lenguaje empleado y de la presencia de ciertos núcleos temáticos repetidos con persistencia en los relatos, surgen configuraciones textuales que pueden encuadrarse en el terreno de lo autobiográfico y autoficcional. Aunque no hay en Viaje olvidado una voluntad autobiográfica expresa, proponemos que el marcado lirismo de los cuentos es una puerta de acceso a la difusa biografía de la autora.
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El propósito del artículo es ilustrar la aplicabilidad de la noción de autofiction como instrumento de análisis crítico del texto literario desde una perspectiva eminentemente psicoanalítica. Para ello se ha de estudiar la categoría de autofiction (acuñada por el escritor y crítico francés Serge Doubrovsky y continuada por textos de Philippe Gasparini y Jean-Luc Pagès, entre otros) para luego aplicarla como instrumento crítico al análisis de Los deseos oscuros y los otros. Diarios de New York (l978-l982) de Luisa Valenzuela