979 resultados para Albert Camus
Resumo:
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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This article focuses on the theme of illness in Albert Camus. Special emphasis is placed on his last published novel, La Chute. The issue of disease is usually focused in relation to death and finitude both in literature and philosophy. This article focuses on the relation between the existential experience of illness and the decay of the plenitude of life. The case of Albert Camus is especially significant for his chronical illness and because disease has a prominent place in his literary works. Here La Chute is chosen because it offers a great richness of interpretative levels unparalleled in other camusian works. Two different reading levels are proposed. The distinction and the analysis of these two levels will allow for more nuanced view of the relationship of the author to his work and of the controversy about the social role of the intellectual. The conclusion of this article differs both from the critics who only consider the novel in relation to the polemic with Jean-Paul Sartre, and those who interpret it as a disguised confession.
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[es] Se establece aquí una relación entre dos obras narrativas publicadas durante los años posteriores a la Segunda Guerra Mundial: El hombre perdido (1947), de Ramón Gómez de la Serna, y La chute (1956), de Albert Camus. Se establece la relación en el plano del pensamiento filosófico y político y se señalan las coincidencias entre las obras. La ciudad, el paseante solitario, el distanciamiento del «gregarismo» y la defensa del individuo coinciden con un leitmotiv, el suicidio, que se da insistentemente en los años cuarenta como consecuencia del desasosiego contemporáneo, la guerra, el nazismo y el totalitarismo socialista impuesto en la URSS, defendido en numerosos núcleos de intelectuales europeos y americanos. [en] This article deals with the connection between two prose works published during the years after World War ii: El hombre perdido (1947) by Ramón Gómez de la Serna and La chute (1956) by Albert Camus. The article examines the relationship from a philosophical and political perspective and establishes the coincidences in both writers’ works. The city, the solitary stroller, the distance from «gregariousness» and the defense of the individual coincide with a leitmotiv, suicide, which has been insistently present during the 1940s as a consequence of contemporary unease, war, Nazism and the socialist totalitarianism imposed on the USSR and supported by many European and American intellectual groups.
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Cette communication propose une approche du thème de l'engagement chez Camus à partir de la correspondance que l'écrivain a échangée avec le dramaturge Michel Vinaver dans les années de l'après-guerre. Ces lettres révèlent une relation à la fois amicale et ouverte, entre un écrivain déjà célèbre et un jeune homme qui sait seulement qu'il veut, lui aussi, devenir écrivain. Elles montrent aussi les divergences entre les deux écrivains sur le thème de l'engagement qui, à la fois littéraires et politiques, se situent notamment sur le territoire de l'écriture théâtrale face à la fonction politique et sociale de cet art.
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Esta monograf?a es un an?lisis literario de la novela autobiogr?fica de Albert Camus, El Primer Hombre. Los aspectos analizados tienen como finalidad ilustrar el mundo familiar y el mundo del Liceo, opuestos pero a la vez complementarios, que marcaron y le dieron un sentido especial a la vida del protagonista, Jacques Cormery. Para realizar dicho an?lisis se usaron las teor?as de Lejeune, Dilthey, Gusdorf, Paul de Man y Bajt?n.
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The aim of this text is to consider the notions of life and art, revealed in Camus’s texts, mainly The Myth of Sisyphus (published in French in 1942) and The Rebel (1951), and extrapolate them to the present state of contemporary art by analysing a few artworks by Damien Hirst, the richest living artist, a modern Sisyphus in the self-awareness he manifests towards the incongruity of his work. Always looking on the absurd side of life dwells on the inevitability of life and art, accepting the fact, according to Camus’s words, that: the impossible remains impossible. Instead of denying the meaningless and finding some form of redemption, both French writer and British artist have embraced this potential and have used the absurd as a form of conveying meaning to their art. Hirst’s artworks that will be referred in this text include the series: The Physical Impossibility of Death in the Mind of Someone Living (1991); Mother and Child Divided (1993); For the Love of God (2007) and For Heaven’s Sake (2008).
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De La Mort heureuse à Le Premier homme, Camus est l’homme de lettres français dont l’œuvre n’a cessé, d’un siècle à l’autre, d’interpeller et de séduire ses lecteurs dans le monde entier. Cette universalité est due, n’en doutons pas, à une perception acérée de la condition humaine née de l’expérience de la vie, tant de ses joies que de ses misères ; expérience qui se reflète dans un art qui, s’adressant à notre conscience individuelle et collective, nous invite à réfléchir au simple fait d’exister et à nous interroger sur notre place dans l’univers. Aujourd’hui, cent ans après sa naissance, quelle place occupe l’œuvre littéraire de Camus dans la littérature d’expression française et étrangère ? Quel est le bilan littéraire de l’œuvre de Camus ? Quelle est la pertinence et l’actualité de sa pensée en ce début de XXIe siècle ? Simples questions autour desquelles se sont réunis, en novembre 2013, à l’Université d’Évora (Portugal), des chercheurs intéressés par les études camusiennes, lors du Congrès International – Centenaire Albert Camus – Lectures interdisciplinaires ; congrès qui est à l’origine de ce volume. Le centenaire de la naissance d’Albert Camus a donné lieu à de nombreuses manifestations – expositions, débats, colloques, publications – qui toutes témoignent de l’actualité de l’œuvre et de la pensée d’un écrivain, philosophe, homme de théâtre et journaliste qui ont indéniablement marqué le paysage intellectuel mondial de l’après-guerre. Admiré par les uns, critiqué voire même répudié par d’autres – tant de son vivant qu’après sa mort – de par ses idées politiques et ses manifestations de solidarité envers les Français d’Algérie, et plus timidement, envers la population autochtone – Albert Camus est, de fait, l’homme politique que l’on réfère naturellement lorsqu’on aborde la situation politique actuelle en Algérie, mais aussi mondiale, notamment quand il s’agit de radicalismes politico-religieux, sources d’attentats et de nombreuses victimes civiles.
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Estuda-se o pensamento político de Albert Camus a partir do seu ensaísmo e dalgumas referências à sua novelística.
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Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’oeuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de friction découverts permet d’apporter des éclaircissements sur un des points les plus obscurs des essais de Camus : l’éthique du créateur placé dans une situation où il doit choisir entre tuer et mourir.
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"Radiodiskurssin kontekstualisointi prosodisin keinoin. Esimerkkinä viisi suurta ranskalaista 1900-luvun filosofia" Väitöskirja käsittelee puheen kontekstualisointia prosodisin keinoin. Toisin sanottuna työssä käsitellään sitä, miten puheen prosodiset piirteet (kuten sävelkulku, intensiteetti, tauot, kesto ja rytmi) ohjaavat puheen tulkintaa vanhastaan enemmän tutkittujen sana- ja lausemerkitysten ohella. Työssä keskitytään seitsemään prosodisesti merkittyyn kuvioon, jotka koostuvat yhden tai usean parametrin silmiinpistävistä muutoksista. Ilmiöitä käsitellään sekä niiden akustisten muotojen että tyypillisten esiintymisyhteyksien ja diskursiivisten tehtävien näkökulmasta. Aineisto koostuu radio-ohjelmista, joissa puhuu viisi suurta ranskalaista 1900-luvun filosofia: Gaston Bachelard, Albert Camus, Michel Foucault, Maurice Merleau-Ponty ja Jean-Paul Sartre. Ohjelmat on lähetetty eri radiokanavilla Ranskassa vuosina 1948–1973. Väitöskirjan tulokset osoittavat, että prosodisesti merkityt kuviot ovat moniulotteisia puheen ilmiöitä, joilla on keskeinen rooli sanotun kontekstualisoinnissa: ne voivat esimerkiksi nostaa tai laskea sanotun informaatioarvoa, ilmaista puhujan voimakasta tai heikkoa sitoutumista sanomaansa, ilmaista rakenteellisen kokonaisuuden jatkumista tai päättymistä, jne. Väitöskirja sisältää myös kontrastiivisia osia, joissa ilmiöitä verrataan erääseen klassisessa pianomusiikissa esiintyvään melodiseen kuvioon sekä erääseen suomen kielen prosodiseen ilmiöön. Tulokset viittaavat siihen, että tietynlaista melodista kuviota käytetään samankaltaisena jäsentämiskeinona sekä puheessa että klassisessa musiikissa. Lisäksi tulokset antavat viitteitä siitä, että tiettyjä melodisia muotoja käytetään samankaltaisten implikaatioiden luomiseen kahdessa niinkin erilaisessa kielessä kuin suomessa ja ranskassa. Yksi väitöskirjan osa käsittelee pisteen ja pilkun prosodista merkitsemistä puheessa. Tulosten mukaan pisteellä ja pilkulla on kummallakin oma suullinen prototyyppinsä: piste merkitään tyypillisesti sävelkulun laskulla ja tauolla, ja pilkku puolestaan sävelkulun nousulla ja tauolla. Merkittävimmät tulokset koskevat kuitenkin tapauksia, joissa välimerkki tulkitaan prosodisesti epätyypillisellä tavalla: sekä pisteellä että pilkulla vaikuttaisi olevan useita eri suullisia vastaavuuksia, ja välimerkkien tehtävät voivat muotoutua hyvin erilaisiksi niiden prosodisesta tulkinnasta riippuen.
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Contenido: Josef Pieper en el centenario de su nacimiento / Héctor J. Delbosco – Misterio filosófico y misterio teológico en Josef Pieper y en Santo Tomás de Aquino / Ignacio Andereggen – El status de la filosofía en la posciencia. Respuestas desde Josef Pieper / Miriam Dolly Arancibía de Calmels – “Miseria y esplendor de la interpretación”. En torno a los límites de la hermenéutica en Pieper y en Ortega / Roberto E. Aras – Si sí : la condicionalidad metafísica de una afirmación absoluta / Santiago Argüello – Una perspectiva del saber y de la fortaleza en el héroe unamuniano a la luz de Josef Pieper / Angélica S. Arza de Bousquet – Manía, mito y conmoción erótica / Luis Baliña ; Juan Torbidoni – Juventud, fiesta y esperanza en la obra de Josef Pieper : una respuesta a la cultura posmoderna / Santiago Bellomo – Pieper y Guardini en Rothenfels : un encuentro fecundo / Alberto Berro – La afirmación real del amor / María José Binetti – Josef Pieper al encuentro de Platón : una relectura de las relaciones entre mito y filosofía / Claudio Calabrese – Orientación y pautas de discernimiento en el ámbito poético-literario : la doctrina de la contemplación terrena enunciada por Josef Pieper e ilustrada en Albert Camus / Inés de Cassagne – La imposibilidad de una filosofía no cristiana según Josef Pieper / Agustín Ignacio Echavarría – Ética y psicoterapia según Josef Pieper / Martín Echavarría – Enseñanzas de un gran maestro : la corruptibilidad de la palabra / María del Carmen Fernández – La inspiración platónica de la filosofía de Josef Pieper / Juan Francisco Franck – Método y lenguaje en el pensamiento de Josef Pieper / Jean Lauand – Josef Pieper y Peter Wust / Juan Andrés Levermann – Aprobación creadora : un aspecto de la dimensión social del bien de la persona / Marisa Mosto – Josef Pieper y la reflexión sobre el mito y la cultura / Héctor Jorge Padrón – Josef Pieper y el tomismo medieval : la controversia sobre la creación / François-Xavier Putallaz – Algunas consideraciones sobre J. Pieper y el tema del mal en la problemática filosófica contemporánea / Juan Pablo Roldán – Josef Pieper y la acedia : la causa afectiva de ciertas deformaciones intelectuales / El hombre de ocio : parásito o transformador del mundo / Bernard N. Schumacher – La templanza en Josef Pieper y Santo Tomás / Zelmira Seligmann – El ideal del trabajo en Josef Pieper / Ludovico Antonio Videla – Valor para la realidad – Valor para la persona : reafirmación cristiana como crítica de la cultura en la obra temprana de Josef Pieper / Berthold Wald – Notas y comentarios -- Bibliografía
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Leitura da narrativa O estrangeiro, de Albert Camus, e da narrativa fílmica O homem que não estava lá, dos irmãos Ethan Coen e Joel Coen, com vistas a propor uma reflexão literária sobre o desconcerto do sujeito num mundo de solidão, indiferença e nonsense existencial. Oriundas do esmaecimento de qualquer sentimento diante da inexorabilidade da consciência da finitude, pelo comparatismo e com apoio no conceito de intertextualidade, são passadas em revista as trajetórias contingentes de Ed Crane − protagonista da obra cinematográfica − e Meursault, personagem central do romance camusiano. Luz e sombra potencializam a aterradora atmosfera de absurdo na qual se desequilibra Ed Crane, em sua existência obscura, em contraponto com a claridade reinante no percurso de Meursault. Ambos os personagens são condenados pela sociedade, de maneira insólita e definitiva, por intermédio de textos que denunciam, outrossim, a engrenagem trágica do sistema judiciário, permitindo-nos conectar os citados personagens, Plume Um certo Plume, de Henri Michaux e Joseph K. angústia errante engendrada por Franz Kafka em O processo
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En se penchant sur L’homme révolté d’Albert Camus, ce mémoire entend évaluer la pertinence de la révolte camusienne à l’aube du troisième millénaire. Du constat de l’absurde quant à la condition existentielle de l’homme, Camus a esquissé une révolte affranchie de toute idéologie en démontant, entre autres, les mécanismes propres à la philosophie de l’histoire et au nihilisme. À partir de la critique des pensées hégélienne, nietzschéenne et marxienne, il a tenté de définir les caractéristiques inhérentes à la révolte. Rédigé au milieu du XXe siècle, L’homme révolté est marqué par les séquelles d’une histoire chaotique déjà plus que cinquantenaire. Pour autant, son propos semble être encore d’actualité. Avec la complicité de philosophes contemporains tels que Cornélius Castoriadis, Pierre Rosanvallon et Bernard Stiegler, c’est autant la pertinence de la révolte camusienne qui est ici considérée qu’une corrélation entre cette révolte et la dignité humaine. L’homme révolté a-t-il encore sa place en ce début du troisième millénaire et dans l’affirmative : quelle est cette place?
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La notion de l'absurde a pris dans la pensée et le langage courant un très grand nombre de significations, parfois très éloignées les unes par rapport aux autres. Il est arrivé à au moins deux reprises que le terme « absurde » soit entendu dans le sens d'un courant : dans la philosophie absurde théorisée par Albert Camus en 1942, et dans le Théâtre de l'absurde (Beckett, Ionesco, etc.), qui lui a connu son apogée dans les années cinquante. Ces deux mouvements pourraient être envisagés comme l'expression d'un seul et même courant, l'absurde, qui prend ses racines dans une Europe ébranlée par les horreurs de la guerre et l'affaissement de la religion chrétienne. Pour les contemporains, l'hostilité et le désordre de l'univers, de même que la solitude irrémédiable de l'individu apparaissent comme des vérités à la fois douloureuses et difficile à ignorer. Roman Polanski (1933-), cinéaste à la fois prolifique et éclectique, ouvre à l'absurde de nouveaux horizons, ceux du septième art. L'analyse de son oeuvre (et des éléments autobiographiques qui la sous-tendent parfois) met à jour d'indéniables parentés avec les figures-clés de l'absurde que sont Camus, Kafka, Nietzsche et les dramaturges européens de l'après-guerre. Ces parentés se repèrent tout autant dans les thématiques récurrentes de ses films que dans leurs obsessions formelles.