1000 resultados para Égalité des chances


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La Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO exerce une forte attraction à l’échelle internationale. Cette recherche aborde des démarches accomplies par l’État du Nicaragua en vue de l’inscription de la Cathédrale de León, et tente de déterminer le potentiel de réussite de cette candidature. En premier lieu, nous faisons une réflexion sur la Liste du patrimoine mondial, en regard de la Convention du patrimoine mondial et des États parties. En deuxième lieu, à partir de la décision du Comité concernant le projet du Nicaragua, nous mettons en lumière le manque de coordination entre les parties prenantes, soit entre les instances nationales, locales et diocésaines. Les données récoltées à León nous permettent d’observer que la coordination entre les parties prenantes est essentielle à la réalisation du projet d’inscription, tant pour la consolidation du dossier que pour la protection du bien. Nous soulevons ensuite les enjeux et les solutions envisageables. Afin de favoriser la participation de toutes les parties prenantes au projet, nous appliquons l’approche du « développement de consensus ». Les résultats de l’analyse révèlent néanmoins que la présence de conflits de valeurs empêche la création d’accords. Conséquemment, nous considérons que l’inscription de la Cathédrale de León est peu probable. Le processus d’inscription est une tâche ambitieuse, d’autant plus qu’il fait appel à la contribution d’une propriété privée sous l'égide d’une institution: l’Église Catholique. L’aboutissement du projet est confronté inévitablement à des enjeux de pouvoir, présents en toile de fond.

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Doctorat réalisé en cotutelle avec l’Université Paris I- Panthéon Sorbonne.

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Mode of access: Internet.

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Cet article a pour objectif de développer, à partir d’une base de données inédite portant sur les étudiants s’inscrivant pour la première fois en première année à l’université en Belgique francophone, une étude socio-graphique du profil de ces étudiants et de leurs choix d’études, en prenant en compte plusieurs variables sociologiques et académiques : le sexe, le niveau de diplôme des parents, le statut de boursier et diverses variables décrivant le parcours scolaire antérieur. Il s’agit notamment de mesurer l’écart qui nous sépare d’une situation parfaite d’« égalité des chances » d’accès aux études universitaires, où la répartition des étudiants selon le domaine ou le secteur d’études serait indépendante des « variables héritées » liées au sexe ou aux origines sociales.

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Cet article a pour objectif de développer, à partir d’une base de données inédite portant sur les étudiants s’inscrivant pour la première fois en première année à l’université en Belgique francophone, une étude socio-graphique du profil de ces étudiants et de leurs choix d’études, en prenant en compte plusieurs variables sociologiques et académiques : le sexe, le niveau de diplôme des parents, le statut de boursier et diverses variables décrivant le parcours scolaire antérieur. Il s’agit notamment de mesurer l’écart qui nous sépare d’une situation parfaite d’« égalité des chances » d’accès aux études universitaires, où la répartition des étudiants selon le domaine ou le secteur d’études serait indépendante des « variables héritées » liées au sexe ou aux origines sociales.

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Dans un contexte d'égalité des chances en éducation pour tous les enfants, il s'avère important d'adapter l'école aux besoins éducatifs de sa clientèle. Dans cette optique, des relations respectueuses avec les parents sont essentielles. Ces rapports sont encore plus importants pour les élèves de minorités ethniques qui représentent une nouvelle clientèle avec des besoins diversifiés auxquels l'école doit s'ajuster rapidement. Or, selon plusieurs enquêtes menées à Montréal, les parents d'élèves de minorités ethniques participent moins que les parents québécois de vieille souche. Il est important d'en savoir plus sur les raisons de cette faible participation et sur la situation de leur participation en général. Quelle est donc la situation de la participation des parents de minorités ethniques? Comment perçoivent-ils la participation à la vie de l'école? Comment l'école réagit-elle devant la diversité culturelle de sa clientèle? Comment se présente cette situation dans les écoles de Sherbrooke? À cause de l'existence des élèves de minorités ethniques, l'école à Sherbrooke n'échappe pas à ce problème. Même si leur nombre est restreint, ils ont toutefois des besoins spéciaux qui correspondent à leur culture respective. Et si l'on se fie à la croissance des élèves de minorités ethniques à l'école française, leur nombre croîtra également à Sherbrooke. Cela sera d'autant plus intéressant qu'un sondage récent a été réalisé par la Commission Scolaire Catholique de Sherbrooke sur les perceptions et les attentes des parents face aux écoles qu'elle dessert. On a besoin de cerner également le point de vue des parents de minorités ethniques concernant plusieurs aspects touchés par ce sondage ayant un lien avec la participation des parents. C'est dans le cadre de cette problématique que s'inscrit cette étude qui a pour but principal de recueillir la perception des parents de minorités ethniques au sujet de leur participation à la vie de l'école. Notre recherche est à notre connaissance la première visant un tel but. Ce mémoire comporte trois parties. La première expose l'énoncé de la problématique qui consiste à décrire, à partir d'un inventaire des écrits, la situation de la participation des parents en général et en particulier celle des parents de minorités ethniques au sujet de leur conception de l'éducation, des modes de participation à la vie de l'école, et de l'encadrement de leurs enfants. La deuxième partie présente la méthode de recherche qui a permis la réalisation de cette étude auprès des parents de minorités ethniques à Sherbrooke. La troisième partie porte sur l'analyse et l’interprétation des résultats obtenus lors de la collecte des données.

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Depuis quelque temps, de plus en plus de spécialistes de la politique sociale préconisent une stratégie d'investissement social dans laquelle les crèches joueraient un rôle majeur. Cette stratégie vise à prévenir les exclusions sociales par la promotion de l'égalité des chances et de l'accès à l'emploi en vue d'un allègement des dépenses de protection sociale passive. Outre qu'elles permettent aux familles d'avoir deux revenus, les crèches ont en effet l'avantage de réduire les écarts au niveau des compétences cognitives et linguistiques entre les enfants venant de différents milieux sociaux. Mais le succès d'une telle stratégie présuppose que certains publics cibles recourent effectivement aux crèches, à savoir les ménages disposant d'un faible revenu ou/et de niveau de formation, ainsi que les familles issues de l'immigration. Or, des analyses statistiques sur la base de l'Enquête suisse sur la population active (ESPA) de 2008 montrent que, pour les familles en Suisse, les chances d'utiliser une crèche augmentent avec le niveau de formation des parents. Concernant plus particulièrement le niveau de formation des mères, ce phénomène n'est d'ailleurs que partiellement conditionné par le taux d'activité supérieur de celles ayant accompli une formation de degré tertiaire. En outre, certaines populations d'immigrés dont l'intégration dans la société suisse est réputée difficile sont peu disposées à recourir aux crèches. Les immigrés de première génération de quasiment toutes les origines fortement représentées en Suisse ont en revanche plus de chances que les parents d'origine suisse de faire appel au service d'une crèche à raison d'au moins 4 jours/semaine, ce qui peut influer négativement sur le comportement de l'enfant. Ce dernier résultat semble paradoxal mais montre qu'une migration rend plus difficile l'organisation d'une garde informelle comme solution complémentaire à la crèche. En synthèse, la présente étude attire l'attention sur le fait que les atouts pédagogiques et socialisants des crèches reviennent avant tout aux enfants de parents d'origine suisse ou venant de pays culturellement proches et ayant un niveau de formation supérieur. Telle que conçue actuellement, l'offre de crèches en Suisse ne semble guère opérer comme un instrument efficace de l'investissement social. Immer mehr Experten der Sozialpolitik empfehlen eine ,,Strategie der sozialen Investitionen", die den Kindertagesstätten (bzw. Kinderkrippen) eine wichtige Rolle zuschreibt. Ziel dieser Strategie ist es, durch Förderung von Chancengleichheit und Arbeitsmarktpartizipation sozialen Ausgrenzungen vorzubeugen, um Einsparungen im Bereich der passiven Sozialleistungen zu ermöglichen. Krippen haben einerseits den Vorteil, dass sie es den Familien ermöglichen, zwei Einkommen zu erzielen. Andererseits tragen sie zur Minderung von kognitiven und sprachlichen Fähigkeitsunterschieden zwischen Vorschulkindern aus verschiedenen sozialen Milieus bei. Der Erfolg dieser Strategie setzt jedoch voraus, dass gewisse Zielgruppen tatsächlich Krippen nutzen, nämlich bezüglich Einkommen und/oder Bildung benachteiligte Haushalte sowie Familien mit Migrationshintergrund. Die vorliegenden statistischen Analysen aufgrund der SAKE-Daten von 2008 (Schweizerische Arbeitskräfteerhebung) ergeben jedoch für die Schweiz, dass die Wahrscheinlichkeit, eine Krippe zu nutzen, mit dem Bildungsniveau der Eltern steigt. Was das Bildungsniveau der Mütter im Besonderen anbelangt, ist dieses Phänomen nur teilweise bedingt durch den tendenziell höheren Beschäftigungsgrad der besser Ausgebildeten. Zudem haben einige Migrantengruppen, deren Integration in die Schweizer Gesellschaft als besonders schwierig betrachtet wird, eine bedeutend tiefere Benützungswahrscheinlichkeit als Eltern Schweizer Herkunft. Für fast alle in der Schweiz stark vertretenen Migranten erster Generation ist dennoch das statistische Risiko grösser, die Krippe während mindestens 4 Tagen/Woche zu nutzen, was einen negativen Einfluss auf das Verhalten des Kindes haben kann. Dieses scheinbar paradoxe Ergebnis ist darauf zurückzuführen, dass ein Migrationshintergrund das Organisieren von krippenergänzenden Betreuungslösungen informeller Art meist erschwert. Gesamthaft zeigt die vorliegende Studie auf, dass die positiven pädagogischen und sozialisierenden Effekte der Krippen in erster Linie Kindern zugutekommen, deren Eltern eine höhere Ausbildung haben, Schweizer Herkunft sind oder aus einem kulturell nahestehenden Land kommen. So wie es gegenwärtig eingerichtet ist, scheint das Krippenangebot in der Schweiz kaum als effizientes Instrument sozialer Investitionen zu wirken.

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Inclut la bibliographie