375 resultados para Modernisme (Esthétique)
Resumo:
La philosophie de Gaston Bachelard se fonde sur une tension ontologique, qui comprend tant la Science que la poétique, et au cours de cette recherche, se développe par la compréhension de la possibilité d envisager une ontologie de la couleur, expression de Bachelard ci tée en «Le Droit de Rêver». Nous suivons, donc, face au dialogue ent re la science et la poésie tout en établissant des paramèt res afin d élucider, d un côté, la couleur conceptuelle de la science qui ne matise pas seulement les objets par le biais de l expérience chimico-physique, mais établit aussi dans la relat ion ent re l observateur et l objet une compréhension de l existence de la couleur invisible, celle qui habite l imagination créatrice et apparaît comme un type d ontologie de la couleur. Dans ce sens, la couleur est une image qui naît dans la conscience de l homme, comme un produit direct de l âme dans son actualité même. Ainsi, la couleur serait dans l imagination créative une image autogène desti tuée de substantialité
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Dans les premières décennies du XXème siècle, un groupe d intellectuels brésiliens a pris pour soi la mission de conduire la nation aux chemins du progrès, en réfléchissant sur les transformations des villes et, souvent, en proposant et en mettant en avant des actions et mesures qui dirigeraient la modernisation du pays. Dans ce contexte, la ville apparaissait comme un synonyme de progrès en opposition à la campagne, en donnant emphase à la construction du Brésil urbain. À Natal, celui-ci a été une période de sensible modification dans l espace urbain, en suivant les préceptes de l hygiénisme et de l esthétique racionaliste, qui ont orienté les réformes entreprises dans beaucoup de villes brésiliennes. Les élites politiques et socioéconomiques de la capitale du Rio Grande do Norte ont developpé le discours en faveur de la modernisation qui avait pour objectif de justifier les interventions dans la ville et l introduction de l infra-structure de services urbains, par exemple, les services d illumination et de transport, qui à partir de 1911, ont commencé à être stimulés par l électricité. Cette modernisation est matérialisée par de nouveaux équipements et services, par des espaces remodelés en accord avec la rationalité technique de l urbaniste, pour l utilisation de nouvelles sources d énergie (gaz, électricité), en plus de la croissance de la population résidente en ville. Cependant, nous ne pouvons pas oublier que la construction de la ville moderne est passée tant par des transformations physiques, matérielles, comme par l absorption de valeurs, symboles, gestes, vocabulaires, objets, adoptions de nouvelles normes de comportement et par la formation de nouvelles sensibilités sur l espace urbain et la vie en ville. De cette manière, les nouvelles normes technologiques, comme l électricité, ont rendu possible des transformations dans la structure matérielle de la ville et en vie urbaine dans ses plus divers aspects. Ce travail propose d analyser la relation entre énergie électrique et la vie urbaine à Natal entre 1911 et 1940, en prenant en compte, pour cela, les actions d intervention de l État sur l espace urbain et les perceptions d intellectuels face aux transformations urbaines dont ils étaient les témoins. À partir de cette analyse, nous cherchons à préciser les efforts gouvernementaux pour la manutention des services d électricité et conservation des équipements urbains; comprendre comment l utilisation d énergie électrique a aidé à produire de nouvelles situations quotidiennes et comment elle a été perçue, traduite en sentiments et perceptions fondées dans la cohabitation avec cette innovation technique. Les élites locales désiraient diffuser des habitudes considerées modernes, en construisant une identification avec la manière de vie urbaine, fortement inspirée dans la vie dans les villes Européennes et Américaines. L électricité a rendu possible des expériences et sensations qui allaient caractériser l habitant de la ville
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Ce travail de thèse ici proposé a comme but de recherche la production litéraire du poète brésilien Manoel Wenceslau Leite Barros, Manoel de Barros, (1916 Cuiabá-MT) en l articulant avec la reflexion sur le concept de politique de l écrite proposé par le philosophe algérien-français Jacques Rancière (1940 Algiers Algérie). L hypothèse qui se presente est celle sur l écrite poétique de Manoel de Barros dont les ―marques du sensible‖ dans les expériences démocratiques sont perceptibles. Sa production inclue ce que se peut denominer d une micrologie poétique, une reconfiguration du ―partager‖, dans le sense de l élaboration pratiques de l égalité, des pratiques de redistribution et de circulation des voix, instauratrices de la constitution esthétiques des communautés différenciées, considérées comme alternatives, face au modèle de système canonique de la litérature. Au moment que sa fonctionnent comme des formes de subvertions, elles produisent des espaces ou marge d émancipation de l être : lecteur et écrivain, en déclanchant des nouvelles perspectives éthiques et esthétiques. De cette manière, l objectif qui se dessine est ce qui comprend comment se configure la proposition d une politique de l écrite de Manoel de Barros et la façon qu elle se place par rapport à une politique des arts. Pour cela, nous utiliseront comme base la pensée de Jacques Rancière qui se fait remarquer, les dernières années, pour entreprendre une refléxion systématique et lucide par rapport aux relations éxistantes entre esthétique et politique dans la société présente, alié à ce que se défine comme des manières et des formes de penser élaborées par le texte poétique (lui même) de Manoel de Barros et de manière incontinué dans ses entretiens-critiques, plubliées dans des journaux et revues, présentées en vidéos, et nous n oublierons pas non plus des contributions théoriques et des refléxions parvenues de la pensée contemporaine
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Estudos Literários - FCLAR
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
Representação e crítica da decadência no mundo moderno: Dyonelio Machado e Paulo Menotti Del Picchia
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Estudos Literários - FCLAR
"Indigitado estrupício": arqueologia e significados acerca do muro do Forte do Presépio (Belém-Pará)
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Entre os anos de 1999 e 2002, o Forte do Presépio em Belém (PA), foi alvo de pesquisas multidisciplinares voltadas ao seu restauro e adequação com vias à sua musealização na conjuntura do Projeto Feliz Lusitânia. Uma das ciências que se dedicou a essa investigação foi a arqueologia, tendo tido uma atuação significativa na condução desse projeto. Durante esse processo, uma questão tomou dimensões exteriores à pesquisa arqueológica: a derrubada de um muro que se afigurava entre a rua e a fortificação. Neste contexto, o muro foi considerado uma "fantasmagoria" que impedia a antiga simbiose entre a fortaleza e a cidade. Contudo, a demolição da muralha foi uma decisão tomada à revelia da equipe de arqueologia, mas de acordo com os interesses estético-funcionais do plano museológico. Para justificar essa ação, uma série de atribuições de sentidos foi dada ao referido artefato ("indigitado estrupício”, “estrovenga", “aberração”). Isto posto, este trabalho pretende debater dois aspectos: (a) os significados dados ao muro, entendido como artefato capaz de suscitar ";;maneiras distintas de ver e agir no mundo"; e (b) o posicionamento efetivo da equipe de arqueologia diante da derrubada do muro.