997 resultados para Masses d’eau
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As part of the EUCAARI Intensive Observing Period, a 4-week campaign to measure aerosol physical, chemical and optical properties, atmospheric structure, and cloud microphysics was conducted from mid-May to mid-June, 2008 at the Mace Head Atmospheric Research Station, located at the interface of Western Europe and the N. E. Atlantic and centered on the west Irish coastline. During the campaign, continental air masses comprising both young and aged continental plumes were encountered, along with polar, Arctic and tropical air masses. Polluted-continental aerosol concentrations were of the order of 3000 cm(-3), while background marine air aerosol concentrations were between 400-600 cm(-3). The highest marine air concentrations occurred in polar air masses in which a 15 nm nucleation mode, with concentration of 1100 cm(-3), was observed and attributed to open ocean particle formation. Continental air submicron chemical composition (excluding refractory sea salt) was dominated by organic matter, closely followed by sulphate mass. Although the concentrations and size distribution spectral shape were almost identical for the young and aged continental cases, hygroscopic growth factors (GF) and cloud condensation nuclei (CCN) to total condensation nuclei (CN) concentration ratios were significantly less in the younger pollution plume, indicating a more oxidized organic component to the aged continental plume. The difference in chemical composition and hygroscopic growth factor appear to result in a 40-50% impact on aerosol scattering coefficients and Aerosol Optical Depth, despite almost identical aerosol microphysical properties in both cases, with the higher values been recorded for the more aged case. For the CCN/CN ratio, the highest ratios were seen in the more age plume. In marine air, sulphate mass dominated the sub-micron component, followed by water soluble organic carbon, which, in turn, was dominated by methanesulphonic acid (MSA). Sulphate concentrations were highest in marine tropical air - even higher than in continental air. MSA was present at twice the concentrations of previously-reported concentrations at the same location and the same season. Both continental and marine air exhibited aerosol GFs significantly less than ammonium sulphate aerosol pointing to a significant organic contribution to all air mass aerosol properties.
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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.
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La végétation riveraine et littorale de l’est du Canada a été sévèrement altérée par la drave et plusieurs barrages lacustres subsistent, mais leurs effets et ceux de leur retrait sont peu documentés. Cette étude visait à: i) mesurer les changements de la structure et de la composition végétale des zones riveraines et littorales en fonction de l’élévation par rapport au plan d’eau, ii) évaluer le temps de retour de la végétation à son état de référence naturel suite au retrait de barrages et iii) déterminer les facteurs régissant les réponses de la végétation à ces variations de niveaux d’eau. La structure et la composition végétale suite à la restauration d’un barrage a été comparée sur deux lacs : un témoin et un comprenant quatre bassins présentant un gradient d’influence du barrage. Suite au retrait de barrage, la végétation a été examinée sur quatre lacs, dont un témoin. Les principaux facteurs qui influençaient la végétation riveraine et littorale en présence d’un barrage étaient l’élévation actuelle par rapport au lac et l’ampleur de l’influence du barrage. Suite à un démantèlement de barrage, les principaux facteurs d’influence étaient l’élévation par rapport au rivage et le nombre d’années depuis le retrait de barrage. En présence d’un barrage, la végétation riveraine était caractérisée par la transformation de hautes terres en forêt humide riveraine qui partageait des caractéristiques avec le témoin. À partir de 1 m d’élévation, la végétation était caractérisée par une forêt sèche. Dans les premières années suivant le retrait de barrage, la végétation littorale était composée d’herbiers submergés mixtes à faible densité avec une forte diversité spécifique près du rivage. La structure et la composition végétale étaient similaires au témoin après 16 ans. Il n’y avait pas d’évidence que les communautés végétales déviaient de leur trajectoire successionnelle naturelle sous l’influence des nouvelles conditions environnementales.
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L’eau est un enjeu majeur en environnement autant d’un point de vue de sa qualité que de sa quantité. Cependant, des pénuries d’eau douce se font de plus en plus sentir à travers le monde. Par ailleurs, les États-Unis n’en sont pas exemptés. En effet, l’ouest du pays constate que les réserves diminuent constamment. Dans le passé, une compagnie californienne s’était déjà tournée vers le Canada afin d’en acheter une certaine quantité en vrac dans le dessein d’en assurer son approvisionnement. Le Québec, étant un voisin des Américains, ne peut se permettre d’écarter la question de l’exportation d’eau en vrac, d’autant plus qu’il est évident qu’une activité de cette envergure crée des impacts sur l’environnement et la société. C’est pourquoi cet essai a pour objectif d’identifier si la vente de l’eau douce en vrac du Québec vers les États-Unis implique des conséquences pour les citoyens québécois. Une analyse multicritère a été réalisée afin d’atteindre l’objectif principal de cet l’essai. Cette dernière consiste en l’évaluation des différents aspects de l’exportation d’eau douce selon une optique sociale. Ainsi, neuf critères ont été créés. Ils sont répartis en quatre catégories, soit sociale, économique, législative et les relations internationales. Suite aux résultats obtenus lors de l’évaluation des critères, il est possible d’affirmer que la vente de l’eau québécoise aurait des incidences sur la population. Cette analyse nous permet de conclure que, d’un côté, les citoyens accordent une grande valeur à la ressource et qu’ils seraient plutôt d’accord à exporter l’eau. Néanmoins, d’un autre côté, les critères concernant la relation de pouvoir entre le pays amont et celui aval ainsi que les conséquences qu’implique l’Accord de libre-échange nord-américain viennent causer des répercussions négatives pour les citoyens. Les principales conséquences négatives concernent davantage le milieu international. Par contre, le Québec a peu ou pas d’influence à ce niveau, c’est pourquoi l’ensemble des recommandations effectuées porte sur des dispositions que la province pourrait envisager à l’interne afin de limiter les incidences sur sa population et son environnement. L’accent est donc mis sur des mesures permettant de mieux gérer la ressource et de la consommer de manière responsable. Ainsi, il est recommandé de mettre en place une gestion intégrée de l’eau par bassin versant, de fixer une quantité maximale pour l’exportation, d’installer des compteurs d’eau, de revoir la facturation de l’eau et, finalement, communiquer l’information aux citoyens dans l’optique de les renseigner, mais aussi de les impliquer dans la protection de l’eau au Québec.
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Richard Aldington’s city poems in the latter part of his 1915 collection Images are concerned with the masses who inhabit the modern city. Aldington is at pains to stress his distinction from those he perceives as an increasingly homogenized crowd. This paper examines the literary, linguistic and rhetorical strategies by which Aldington ‘others’ the masses, and sets them in the context of contemporary studies of the crowd, focusing on the work of Gustave Le Bon and C. F. G. Masterman. Aldington’s poetry is a product of the environment he sees as unsatisfactory, but he searches for solutions in a range of literary traditions which write the city.
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We discuss the distributions and transports of the main water masses in the North Atlantic Subpolar Gyre (NASPG) for the mean of the period 2002–2010 (OVIDE sections 2002–2010 every other year), as well as the inter-annual variability of the water mass structure from 1997 (4x and METEOR sections) to 2010. The water mass structure of the NASPG, quantitatively assessed by means of an Optimum MultiParameter analysis (with 14 water masses), was combined with the velocity fields resulting from previous studies using inverse models to obtain the water mass volume transports. We also evaluate the relative contribution to the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC) of the main water masses characterizing the NASPG, identifying the water masses that contribute to the AMOC variability. The reduction of the magnitude of the upper limb of the AMOC between 1997 and the 2000s is associated with the reduction in the northward transport of the Central Waters. This reduction of the northward flow of the AMOC is partially compensated by the reduction of the southward flow of the lower limb of the AMOC, associated with the decrease in the transports of Polar Intermediate Water and Subpolar Mode Water (SPMW) in the Irminger Basin. We also decompose the flow over the Reykjanes Ridge from the East North Atlantic Basin to the Irminger Basin (9.4 ± 4.7 Sv) into the contributions of the Central Waters (2.1 ± 1.8 Sv), Labrador Sea Water (LSW, 2.4 ± 2.0 Sv), Subarctic Intermediate Water (SAIW, 4.0 ± 0.5 Sv) and Iceland–Scotland Overflow Water (ISOW, 0.9 ± 0.9 Sv). Once LSW and ISOW cross over the Reykjanes Ridge, favoured by the strong mixing around it, they leave the Irminger Basin through the deep-to-bottom levels. The results also give insights into the water mass transformations within the NASPG, such as the contribution of the Central Waters and SAIW to the formation of the different varieties of SPMW due to air–sea interaction.
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The new protocol established by Auby et al. (2012) was applied in 2014 to the seagrass monitoring in the Water body FRFT8 – Bidassoa - Type T03. Based on 3 metrics ("taxonomy", "extension" and "abundance"), the quality index of this water body for the angiosperm indicator, was "good". The displacement of the seagrass bed led us to adapt the sampling grid in 2014
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We propose a scheme in which the masses of the heavier leptons obey seesaw type relations. The light lepton masses, except the electron and the electron neutrino ones, are generated by one loop level radiative corrections. We work in a version of the 3-3-1 electroweak model that predicts singlets (charged and neutral) of heavy leptons beyond the known ones. An extra U(1)(Omega) symmetry is introduced in order to avoid the light leptons getting masses at the tree level. The electron mass induces an explicit symmetry breaking at U(1)(Omega). We discuss also the mixing matrix among four neutrinos. The new energy scale required is not higher than a few TeV.
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Based on 3 metrics ("taxonomy", "extension" and "abundance"), the quality index of the water body FRFT8 – Bidassoa - Type T03 for the angiosperm indicator, was "good", the same as 2014. As last year, the seagrass bed moved and the grid will probably be displaced in 2016.
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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.
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Els impactes ambientals del turisme: tipus d'impactes i les implicacions territorials