273 resultados para patrimoine
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No presente relatório, apresento um trabalho que foca parte dos elementos representativos do património popular, oral, poético e cultura do concelho de Vidigueira, composto por uma abordagem que respeita o trabalho dos seus poetas populares e por um processo que se prende com a tradução destas poesias populares na sua passagem da língua portuguesa para a língua francesa. É através destas formas poéticas, décimas e quadras, que cinco poetas e uma poetisa, todos eles autóctones e residentes neste concelho, retratam as suas matrizes sócio-culturais, espaciais e intelectuais. Quanto à tradução dos poemas, este processo aspira à transmissão da carga cultural contida nestas formas de poesia popular, a cidadãos francófonos. Para além da utilização de algumas ferramentas de tradução, aqui, e em simultâneo, são também aplicadas as técnicas de tradução apreendidas durante o percurso académico. ABSTRACT; ln this report, I present a work that focuses a part of the representative elements of the popular, oral and poetic heritage as well as the culture of Vidigueira council, based on a study containing the work of its popular poets and the process of dealing with the translation of these popular poems from Portuguese to French. It's through these poetic forms, tenth and quatrains, that five poets and a poetess, all of them native and residents in this council, portray their intellectual, spatial, and sociocultural frameworks. Regarding the translation of the poems, the process aims at the transmission of the cultural environment included in these forms of popular poetry, to francophone citizens. Besides the using of some translation tools, here, and simultaneously, are also used the techniques of translation learnt during my academic studies. Résumé; Dans ce rapport, je présent un travai! concentré dans une partie des éléments représentatifs du patrimoine populaire, oral, poétique et culturel de la municipalité de Vidigueira, composé par une approche concemant le travai!de ses poetes populaires et aussi un processus dont l'objectif est de traduire ces poésies populaires du Portugais vers le Français. C'est à travers ces formes poétiques, dizains et quatrains, que cinq poetes et une poétesse, autochtones et résidents dans cette municipalité, présentent leurs matrices socioculturelles, spatiales et intellectuelles. En ce qui concerne la traduction des poemes, ce processus vise la transmission de la charge culturelle contenue dans ces formes de poésie populaire, aux citoyens francophones. Au même temps que j'en utilise quelques outils de traduction, j'en applique aussi les techniques de traduction apprises pendant le parcours académique.
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Depuis longtemps, deux thèmes reviennent avec insistance dans mes réflexions et doivent sans doute prendre racine dans la plus lointaine curiosité infantile: “comment naît-on à la vie psychique, d’où viennent les processus créateurs”. Il s’agit pour l’une et l’autre question d’aller fouiller dans les histoires, la mienne, celle de mes patients, celle aussi du patrimoine pour tenter d’affronter l’énigme des origines à jamais insaisissable. Je pense à certaines situations cliniques d’analyse avec des patients considérés comme états limites qui présentent parfois de grands bouleversements économiques, source d’ébranlement identitaire. Ils sont alors au plus près de ces questions existentielles et ils les traversent avec effroi sur le divan, en ma présence. Ces questions nous mènent avec difficultés au plus authentique de l’être et à la création dans une atmosphère de violence et de destruction. Je retrouve ces thèmes dans mes lectures, derrière le divan et je tente d’y percevoir les forces vives et impitoyables aux origines de la vie psychique et jusque dans l’économie des processus créateurs. Elles sont de nature autoconservatrice et pulsionnelle d’une violence excessive destructrice et constructrice. C’est ainsi que j’entends, je regarde, je sens se déployer sur différentes scènes du livre ou de la clinique, les accents incisifs de la cruauté qui suivent un mouvement de la confusion identitaire jusqu’aux variations chatoyantes de la bisexualité. Il y a dans cette trajectoire qui mène le sujet à l’altérité, tout le jeu des échanges et des lieux de passage, l’enjeu des espaces intimes et privés ou communs et partagés; il y a aussi des histoires de frontières et d’inquiétante étrangeté. Un fil rouge n’a cessé de relier ces espaces hétérogènes; il leur permet de coexister et de se mélanger pour que les processus de transmission s’y développent; c’est le champ du transitionnel (D. Winnicott). Cet espace est intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur, entre le familier et l’étranger, le Soi et l’autre, le présent et l’absent, le “déjà mort” et “le pas encore né”, l’entre-deux paradoxal soit ni l’un ni l’autre et les deux à la fois. C’est dans l’alchimie de cet espace incertain aux frontières poreuses, à l’intérieur du sujet, de la famille, sur une aire de jeu et au fil des pages, qu’opère la magie des processus identificatoires, de la construction de l’être tout au long de sa vie.
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Esta dissertação pretende contribuir para um melhor conhecimento da complexidade das redes de transferência de conhecimentos e técnicas, no domínio da engenharia civil e mais concretamente através dos caminhos-de-ferro, nos séculos XIX e XX. Em Portugal, os caminhos-de-ferro estiveram no cerne de um vasto debate, sobretudo político, concomitante com uma instabilidade crescente no cenário político e uma fase de fragilidade económica. É neste contexto que a Linha do Sul e Sueste vai ser construída (seguida pela sua extensão até Vila Real de Santo António e pela construção do ramal de Portimão, que chegará a Lagos). Este empreendimento é uma clara ilustração da realidade portuguesa de então, no que concerne ao desenvolvimento desta rede de transportes, que nos permite, igualmente, conhecer e compreender quem interveio no processo de construção da linha (os engenheiros, as empresas, entre outros aspectos) e assim determinar quais as influências e transferências técnicas que tiveram lugar; RESUMEE: Cette mémoire attire à la contribution pour une meilleure connaissance de la complexité des réseaux de transfert de techniques et connaissances qui ont eu lieu dans le domaine de l’ingénierie civile, surtout dans les chemins de fer, au XIXème et XXème siècles. Au Portugal, les chemins de fer sont été le cerne d’un très vaste débat, coïncidant avec une croissante instabilité dans le scenario politique et aussi une phase économique fragile. C’est dans ce contexte que la Ligne du Sud et Sud-est va être bâti (suivi par l’extension jusqu’à Vila Real de Santo António et la construction de l’embranchement ferroviaire Portimão). Cette entreprise c’est une illustration claire de la réalité portugaise, en concernant l’implémentation de cette réseau de transport, que nous permettre de comprendre et également bien connaitre qui a intervenu dans le processus de construction de la ligne (les ingénieurs, entreprises, etcetera), ainsi que déterminer les influences et les transferts techniques qui ont eu lieu; ABSTRACT: With this master’s thesis, the aim is to be able to contribute to a better understanding of the complex network of technique’s and knowledge transfers, that took place within the field of civil engineering, in the 19th and 20th centuries, namely on the railways. In Portugal, railways take-up was a wide and ample debate, coinciding with an uprising turmoil on the Portuguese political outskirt and a phase of economic frailty. It’s in this context that the construction of the South and Southeast Line took place (followed, later on, by its extension until Vila Real de Santo António and by the construction of the Portimão’s branch). This enterprise is, as we pretend to prove in this master’s thesis, a clear example of the Portuguese reality, enabling us to understand and to get to know those who intervened in the construction’s process (the engineers and the companies) as well as determining influences and technique transfers that have taken place.
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(Introdução): Après une formation en architecture, la participation au Master TPTI a été une occasion précieuse pour acquérir de nouvelles connaissances, théoriques et pratiques, en rapport avec l'histoire, le patrimoine et l’environnement dans son sens le plus large. Ces dimensions ont souvent été d’un grand apport pour bien des oeuvres et interventions architecturales et leur ont permis de convaincre et de s’imposer au temps. Elles occupent également une place devenue de plus en plus importante dans la réflexion sur bien des sujets dont la gestion territoriale et l’exploitation des ressources naturelles. Leur considération favorise des approches intégrées et est même indispensable pour toute oeuvre ou intervention visant la durabilité. Elle est, en tout cas, indispensable pour l’étude d’un thème comme celui des friches liées à l’exploitation des ressources naturelles, que nous tentons d’aborder dans ce mémoire à travers le cas des carrières de grès-calcaire des environs de la ville de Korba, en Tunisie. En effet, par ses enseignements variées et pluridisciplinaires, le Master TPTI, nous a offert une ouverture sur l'histoire et l'anthropologie des techniques ainsi que la conservation, la gestion et la valorisation du patrimoine industriel, historique et culturel. En plus des séminaires et des contacts directs avec des professionnels de différents domaines et pays, une place importante a été accordée aux visites de terrains. A tout cela s'ajoute une mobilité de spécialité, qui dans notre cas, a eu lieu au Département d'Economie à l'Université d'Alicante. Le premier volet de ce mémoire sera consacré au projet personnel qui traite, comme évoqué plus haut, des carrières de Korba et ses environs. Il est le fruit d'un travail au cours duquel nous avons essayé, sur les deux années du Master, de tirer profit des différents enseignements dispensés afin d’enrichir notre réflexion sur le thème.
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(Introdução): La rédaction de ce document entre dans le cadre de la dernière étape du parcours du Master TPTI (Technique, Patrimoine, territoire de l’industrie). Piloté par l’université Paris 1 panthéon Sorbonne, en partenariat avec les universités de padou (Italie) et d’Evora (Portugal), le Master TPTI forme à l’expertise des environnements techniques, à la muséalisation du patrimoine et des paysages culturels. Ce parcours (France, Italie et Portugal) nous à permis de découvrir de nouvelles approches dans le domaine de la culture et du patrimoine en général et industriel en particulier. Ces approches nouvelles concernent surtout l’histoire des techniques dispensée à l’université Paris 1 panthéon Sorbonne et sur les paysages culturels de l’industrie dispensés au Portugal. L’histoire des techniques qui paraissait au début confuse nous a permis d’avoir une lecture claire sur la notion anthropologique de la culture. Les régimes de la pensée opératoire caractérisée par le régime de la pratique, de la technique et de la technologique, nous ont permis de comprendre les fondements de l’innovation technique mais aussi le passage de l’oralité à l’écrit. C’est en effet la compréhension des ces régimes qui nous a aidé à mieux saisir la manière dont la technique se manifeste dans les sociétés orales, se maintien et se transmet. Le senegal, qui fait l’objet de notre étude présente une diversité ethnique assez complexe. Chacune de ses ethnies a su, a sa manière inventer sa technique lui permettant de maitriser son environnement, dons une technique bien différente des autres. Si les « lebou » du cap vert ont su inventer l’une des plus anciennes traditions artisanales dans la pêche et les al poulhar, sur l’élevage, les sereer qui font le point focal de notre étude ont marqué le paysage par l’une des civilisations agraires les plus anciennes venues des civilisations du Nil.
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La Tunisie a été toujours considérée comme terre de rencontre de plusieurs civilisations, compte tenu de son emplacement stratégique et de son histoire très enracinée. En effet, depuis l’Antiquité ce pays a connu l’installation ou le passage de plusieurs ethnies, qui ont profondément marqué les trois milles ans de son Histoire en dépit de la période ou de la nature de l’occupation et dont les traces constituent aujourd’hui le patrimoine de ce pays. Cet héritage matériel et immatériel semble être parmi les plus riche de la Méditerranée, pour ce, plusieurs villes historiques et sites archéologiques ont été inscrites sur la liste du patrimoine mondial depuis plusieurs décennies. Plusieurs composantes de ce patrimoine furent l’objet de certains projets d’inventaire et d’études, de sauvegarde et de valorisation, tels les sites archéologiques libyques, puniques ou romains, ou même les villes arabo-islamiques. Plusieurs musées, circuits culturels et Parcs archéologiques furent crées. D’autres projets de mise en valeur sont en cours, tels ceux des villes et des villages andalous ou ceux des villages montagneux et des Ksours du sud tunisien… alors que le patrimoine architectural espagnol en Tunisie n’a pas eu jusqu’à présent l’intérêt qu’il mérite malgré son importance et son authenticité et doit être aujourd’hui sauvegardé, mis en valeur et intégré dans la vie patrimoniale et le les circuits culturels et touristiques de la région. Le présent travail réalisé dans le cadre du mémoire de master traite la problématique de la sauvegarde et la mise en valeur d’un monument de type défensif comme cas d’étude. Il s’agit de la Karraka, forteresse bâtie à la ville de la Goulette réagissant à son milieu comme un organisme vivant avec toutes ses variations et déformations de volumes et surtout dans cette typologie dite défensive en se concentrant sur le rôle magistral de la Karraka. L’objectif final de ce projet est de mettre en valeur la validité d’une perception dynamique du patrimoine à travers l’étude de ce monument défensif dans son contexte historique et géographique en particulier et l’essai sur l’histoire de la Goulette; ABSTRACT: Tunisia has always been considered as the meeting earth of several civilizations regarding its strategic position on its deep rooted history. Since the antiquity this country was known the installation or the passage of several ethnics which deeply marqued the three Milles years of its history despite the difficult period of the French occupation its traces are still the country's heritage. This tangible and intangible heritage seems to be among the richest in the Mediterranean in several historic towns and archaeological sites have been listed on the World Heritageas well List for several decades. Many components of this heritage were the object of some inventory projects and studies, Backup and recovery, such the archaeological sites Libyan, Punic, Roman, and even the Arab Islamic cities. Many museums created cultural tours and archaeological parks, we have also other development projects are on the way, such as the Andalusian villages and those of mountain villages and southern Tunisia Ksours….. While the heritage of Spanish architecture in Tunisia has no interest despite its importance and authenticity it must be saved, and it must integrated into the life and heritage and the cultural tours of the region. This work carried out under the master thesis deals with the problem of preservation and development of a defensive type of monument as a case study “ Karraka” This fortress was built in the city of « La Goulette » reacting to his environment as a living organism with all its variations and volume deformations and especially in this so-called defensive typology by focusing on the role of magisterial Karraka. The final objective of this project is to highlight the validity of a dynamic perception of heritage through the study of the defensive monument in its historical and geographical context in particular and the article on the history of « La Goulette ».
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Le thème du patrimoine culturel architectural et urbain continue d avoir une place importante dans le milieu technique et scientifique. Le concept s est élargi et aujourd hui comprend différentes procédures de projets d intervention. L importance accordée au thème amène à l inclusion de la matière de techniques rétrospectives et aux contenus qui en sont liés: conservation, restauration, restructuration et reconstruction d édifices et ensembles urbains, dans les parcours des cours d architecture et d urbanisme au Brésil établies par le Ministère de l Education Nationale (MEC) dans les années quatre-vingt-dix, postérieurement incorporés dans les directrices disciplinaires nationales. Nous partons des discussions théoriques et conceptuelles du Domaine du Patrimoine Culturel, ainsi que des principales théories pédagogiques d enseignements et d apprentissage articulées au projet. Dans ce contexte les objectifs principaux de cette thèse consistent à systématiser et à analyser les principales procédures méthodologiques contribuant pour la construction de méthodes d enseignement tournée vers des activités pratiques dans ce domaine. Pour cela, la recherche a été systématisée dans une approche à deux niveaux. En ce qui concerne le premier, basé sur des données secondaires, neuf cours d architecture et urbanisme ont étés identifiés entre institutions publiques d enseignement supérieur dont huit brésiliennes et une française, considérées représentatives en ce qui concerne les pratiques d enseignement de projet et de patrimoine culturel. Trente disciplines dédiées à la matière ont été également reconnues initialement, et postérieurement, cinq disciplines qui possèdent un emploi du temps dédié à la pratique de projet ont aussi été reconnues. Dans le deuxième cas, basée sur des données primaires, ont étés analysées les méthodologies et les stratégies d enseignement de projet basées sur les définitions des matières et des autres éléments des plans de travail avec des observations, des entrevues et des questionnaires en trois ateliers. Par rapport aux résultats nous avons constaté que toutes les écoles possèdent les contenus de la matière, mais peu d entre elles privilégient la relation du projet appliqué au patrimoine culturel. Nous avons constaté que les questions des projets dans ce contexte, même s elles sont considérées complexes, ont privilégié le listage et l analyse du site. L atelier qui intègre les fondements des théories de préservation, l histoire de l architecture et urbanisme et techniques anciennes et actuelles, est mis en valeur comme un modèle cohérent avec les propositions d intégration des connaissances théoriques et pratiques du projet appliqué à la discipline. Basé sur ces constatations il est possible de démontrer quatre étapes du projet appliqué au patrimoine culturel: 1ª) les fondements généraux qui concernent les bases théoriques sur la préservation, histoire et technique rétrospective, par exemple, l appropriation de lois et normes et la sensibilisation de l élève sur les questions de patrimoine culturel; 2ª) le contacte avec la réalité qui inclut l appropriation du problème à partir de ces acteurs, de ces échelles, de cette lecture de site et l analyse de l objet d étude; 3ª) le développement de la proposition qui inclut programmes (fonctions existantes et propositions), définitions du partit (types d intervention), conception (hypothèse et discussion) et définition de proposition; 4ª) la finalisation du projet qui consiste à développer la proposition avec sa représentation graphique et sa présentation finale. Nous concluons que le projet en Domaine du Patrimoine Culturel demande une attention spéciale et doit être présent dans les cursus considérant les principes généraux nécessaires à la formation de l élève. Le binôme projet / patrimoine signifie avoir dans le cursus universitaire les contenus et questions nécessaires les connaissances, les variables et possibilités existantes dans le projet appliqué au patrimoine culturel de façon à ce que ces connaissances soient incorporées dans l exercice de projet et n apparaissent pas comme un simple contenu théorique sans articulation avec la pratique. Naturellement ces conclusions n épuisent pas la réflexion sur la question. Nous espérons que les analyses faites contribuent à définir des méthodologies d enseignements capables d êtres vérifiées et testées dans la pratique en salle de cours, et puisse collaborer avec les nouvelles recherches surtout celles qui ont pour but des nouvelles théories pédagogiques d enseignement apprentissage du projet en Domaine du Patrimoine Culturel
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Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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La radicalité du changement culturel provoque une crise de la forma ecclesiae et introduit la question relative à quelle est la forme de l’Église la plus appropriée à l’annonce de l’évangile. L’Église italienne, que le présent travail a l’intention d’assumer en qualité de point de référence particulier, en est également intéressée: contrairement au passé, même le plus récent, la foi chrétienne n’est plus un patrimoine «de tous». La question se pose puisque, au nom de l’évangile, l’action de l’Église ne peut pas disperser, pourtant, le caractère universel de la foi en soi même (son être «pour tous»). Dans un tel scénario, s’enclenche le but que cette thèse se pose de poursuivre sur le plan de la pensée théologique-pastorale: elle veut accompagner l’Église en son être à l’intérieur de cette tension entre l’instance théologique d’une foi qui est «pour tous» et le donné sociologique dont il émerge qu’elle n’est plus «de tous». Beaucoup de projets contemporaines de réforme pastorale ont l’intention de faire face aux transformations de la culture afin d’empêcher tout injustifiée domestication. Cependant, comme cette thèse essaie à le prouver, ils risquent souvent de suggérer une rupture avec le passé récent du corps ecclésial. Pour eux la référence polémique est représentée par cette figure de «catholicisme populaire» avec qui, dans le contexte de la «civilisation paroissiale», l’expérience chrétienne est réussie à s’enraciner dans le tissu social. Dans ces projets, il est – en effet – assimilé d’une manière restrictive à une sorte de «catholicisme de masse», basé seulement sur des processus religieux de socialisation et d’uniformisation de l’expérience. Au contraire, le but de ce travail consiste en un essai de compréhension renouvelée de cette figure de vie chrétienne. Elle n’est retenue seulement selon la particulière forme historique qu’elle a adoptée dans le demain passé, marqué par une situation d’homogénéité culturelle, d’une Église de peuple, mais aussi comme principe opératoire qui désigne la capacité du christianisme de se réaliser en tant qu’élévation et transfiguration des formes anthropologiques de base. Cette perspective dynamique permet de trouver dans le «catholicisme populaire» un principe écclesio-génétique qui exalte l’interaction entre l’initiative ecclésiale et la sensibilité des croyants, et qui, tout en défendant la qualité théologale de l’expérience chrétienne, ne méprise pas la valeur pédagogique de son enracinement religieux. La dynamique qui préside au «catholicisme populaire», grâce à la confrontation avec une étude sur le terrain, conduit à l’individuation de certaines provocations à propos de la structure du corps ecclésial, en ce qui concerne les représentations, les actions, les sujets et les limites qui le caractérisent. Elles sont transposées de manière à envisager une réforme de l’Église qui s’avère applicable pour le présent et qui cherche à garder le caractère universel-non formel de la foi, c’est à dire son «pour tous».
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A cidade de Kanchipuram, no Estado de Tamilnadu, sul da Índia, é sinónimo de templos hindus, mas também do sari em seda. A migração de comunidades de tecelão para esta cidade começou durante o reinado da Dinastia Chola nos Séculos 8-13 d. C. Anteriormente, o pano de seda foi considerado como tecido dos Deuses e os tecelões satisfizeram as necessidades religiosas do templo da cidade. Paulatinamente, um tecido de seda torna-se, tanto um tecido dos "mortais", como dos Deuses, e houve um aumento da procura dos têxteis em seda, especialmente, do sari em seda. A particularidade dos tecelões de Kanchipuram reside na sua técnica complicada de tecelagem e nos ricos motivos que são uma expressão da paixão do tecelão. Nosso trabalho de investigação centra-se nas técnicas de tecelagem e no seu produto final - o sari - para destacar a sua singularidade. Neste contexto, quero propor um projecto de documentação dos motivos do sari, para ilustrar um dos principais meios de valorização desta tradição de tecelagem que remonta a vários séculos. RÉSUMÉ: La ville de Kanchipuram, située dans l'état du Tamilnadu, dans le sud de l'Inde, fait souvent écho aux temples hindous mais également au sari en soie. Les tisserands ont migré à l'époque Chola (850- 1279 ap.J.C.) pour répondre aux besoins religieux de la ville car au départ, la soie était un tissu destiné à I 'usage des dieux. Au fur et à mesure, la soie est devenue aussi bien un tissu destiné aux 'mortels' qu'aux dieux. Ces tisserands ont connu par la suite, une forte demande, plus particulierement, pour les saris en soie. La particularité des tisserands de la ville de Kanchipuram réside dans sa technique laborieuse de tissage et dans les motifs élaborés parle billet desquels s'exprime la passion du tisserand dans sa tâche. Le présent mémoire s'attache à la technique de tissage et à son produit final - le sari - pour mettre en valeur son unicité. Dans ce cadre, je propose un projet de documentation des motifs des saris pour illustrer un des vecteurs clés de valorisation de cette tradition de tissage qui remonte à plusieurs siecles. ABSTRACT: The city of Kanchipuram, located in the State of Tamilnadu in southern India, is synonymous with Hindu temples and silk saris. The migration of weaver communities to the city started during the Chola reign (81 131 centuries A.D). Early on, silk was considered the cloth of the gods and these weavers met the needs of the temple city by producing silk textiles for religious use. Gradually, silk became a cloth as much for the 'mortais' as for the gods and demand increased for silk textiles, especially saris. The importance of Kanchipuram weaving lies in its complex techniques and rich motifs as expressions of the. weaver’s passion. This text examines the weaving techniques popularly known as the korvai technique, as well as the saris produced using this technique. ln addition, it attempts to catalogue certain motifs woven into the saris as a first step in promoting and valorizing the cultural richness of an art dating back several centuries.