852 resultados para heart rate recovery
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L’eugénol permet d’induire une anesthésie chirurgicale chez la grenouille africaine à griffes (Xenopus laevis) sans causer de lésions chez des grosses grenouilles (90-140g). Le premier objectif de la présente étude était de déterminer la durée de l’anesthésie et d’évaluer la dépression du système nerveux central ainsi que les changements de saturation en oxygène et de fréquence cardiaque chez des petites (7.5 ± 2.1 g) et moyennes (29.2 ± 7.4 g) grenouilles Xenopus laevis en fonction du temps d’exposition à un bain d’eugénol de 350 µL/L. Suite à une immersion de 5 ou 10 minutes, la réponse au test à l’acide acétique, au réflexe de retrait et au réflexe de retournement était absente pendant 1 heure (petites grenouilles) et 0,5 heure (moyennes) et l’anesthésie chirurgicale durait au maximum 15 et 30 minutes chez les petites et moyennes grenouilles respectivement. La saturation en oxygène n’était pas affectée de façon significative, mais la fréquence cardiaque était diminuée jusqu’à 1 heure post-immersion dans les deux groupes. Le deuxième objectif était de déterminer la toxicité de l’eugénol chez des grenouilles de taille moyenne après une ou trois administrations à une dose anesthésique, avec ou sans période de récupération d’une semaine. Histologiquement, il y avait de l’apoptose tubulaire rénale et des membranes hyalines pulmonaires après une administration, et de la nécrose hépatique et des hémorragies dans les tissus adipeux après trois administrations. Ces résultats suggèrent que le poids corporel est un paramètre important à considérer lors de l’anesthésie de grenouilles Xenopus laevis par immersion dans l’eugénol.
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Les somnambules présentent des caractéristiques qui suggèrent un dysfonctionnement dans la régulation du sommeil lent profond (SLP). La fonction autonome est étroitement liée à la régulation des stades de sommeil et reflète l’intensité du SLP. Notre objectif est d’étudier la fonction autonome pendant le SLP des somnambules et des sujets témoins avant et après une privation de sommeil. Quatorze somnambules adultes (9 femmes et 5 hommes ; 28,1 ± 5,8 ans) et 14 sujets témoins appariés pour l’âge et le sexe (27,8 ± 6,0 ans) ont été évalués par vidéo - polysomnographie pour une nuit de base et pendant le sommeil de récupération après 25 heures de privation de sommeil. La fréquence cardiaque (FC) et les composantes spectrales de la variabilité de la FC ont été évaluées. Les composantes de basses (LF) et de hautes fréquences (HF) en valeur absolue et en unités normalisées (LFn et HFn) ainsi que le ratio LF/HF ont été analysés à partir de segments de 5 minutes d’électrocardiogramme sélectionnés lors du SLP des deux premiers cycles de sommeil. Au cours du premier cycle de sommeil, les somnambules, mais pas les sujets témoins, ont montré une diminution des LFn et du ratio LF/HF ainsi qu’une augmentation des HFn lors du sommeil de récupération par rapport au sommeil normal. Au cours du deuxième cycle, les somnambules ont montré une FC plus élevée en sommeil de récupération par rapport au sommeil de base et l’inverse a été trouvé chez les sujets témoins. Les somnambules ont montré une augmentation de l’activité parasympathique ainsi qu’une diminution de l’activité sympathique au cours du premier cycle du sommeil de récupération par rapport à la valeur initiale. Puisque cette fenêtre de temps est fortement associée à la survenue d'épisodes de somnambulisme chez les sujets prédisposés, cette hyperactivité parasympathique pourrait être impliquée dans la physiopathologie de somnambulisme.
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Introduction: Les personnes ayant développé un état de stress post-traumatique (ÉSPT) évitent systématiquement d’aborder avec leurs proches le sujet du trauma ainsi que tout élément y étant associé. Cette forme d’évitement peut entraver le processus naturel de rétablissement. Les hypothèses suivantes peuvent être énoncées à cet égard. Tout d’abord, une discussion avec une personne proche et centrée sur le trauma peut être vécue comme étant anxiogène et, par conséquent, provoquer une augmentation de la fréquence du rythme cardiaque, d’ailleurs communément connue sous le nom de réactivité du rythme cardiaque. La réactivité provoquée par une telle situation peut positivement varier en fonction de l’intensité des symptômes d’ÉSPT. Cette association entre les symptômes et la réactivité peut, à son tour, varier en fonction des perceptions de la personne anxieuse du soutien social de la part de son proche et/ou de son entourage. Il en va de même pour les individus ayant développé un trouble anxieux comparable, soit le trouble panique (TP). Toutefois, toutes ces hypothèses n’ayant pas été jusqu’à maintenant vérifiées empiriquement, la présente thèse a eu pour objectif de les tester. Méthodologie: Un total de 46 personnes avec un ÉSPT et de 22 personnes avec un TP ont complété des entrevues diagnostiques et des questionnaires auto-rapportés concernant leurs symptômes ainsi que leurs perceptions des interactions sociales soutenantes et non soutenantes ou négatives avec leur proche significatif et leur entourage. Elles ont également participé à une interaction sociale avec une personne proche et centrée sur leur trouble anxieux, situation qui incluait également des mesures continues du rythme cardiaque. Résultats: Les résultats ont démontré qu’une interaction sociale centrée sur le trauma avec une personne proche provoquait une augmentation significative de la fréquence du rythme cardiaque des participants en comparaison à une interaction sociale non conflictuelle et non anxiogène avec cette même personne. Cette réactivité du rythme cardiaque corrélait de façon significative et positive avec l’intensité de leurs symptômes d’ÉSPT. Les résultats ont également permis de constater que l’hypothèse de modération concernant les perceptions d’interactions sociales positives était partiellement confirmée, soit pour les symptômes d’évitement; les perceptions d’interactions sociales négatives étant quant à elles associées de façon significative et positive à cette réactivité (c.à.d. suivant un effet principal). Quant aux personnes avec un TP, une atténuation significative dans la fréquence de leur rythme cardiaque fut observée dans le contexte analogue, atténuation qui était positivement liée à la sévérité de leurs attaques de panique. Certaines dimensions de leurs perceptions de soutien social étaient significativement et négativement liées à cette atténuation (c.à.d. suivant un effet principal). Discussion: La présente thèse a notamment démontré qu’il existait des liens entre les symptômes d’ÉSPT et la réactivité du rythme cardiaque dans le contexte d’une interaction sociale avec un proche et centrée sur le trauma. Elle a également permis de constater que les symptômes d’ÉSPT et les perceptions d’interaction sociales positives et négatives peuvent prédire cette réactivité. Dans l’avenir, des devis longitudinaux pourront informer davantage à propos de la direction des liens ici explorés.
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L’exercice en immersion dans l'eau peut générer des réponses hémodynamiques et cardiorespiratoires différentes à celles de l’exercice sur terraine sec. Cependant, aucune étude n’a comparé ces réponses sur vélo aquatique (VA) à celles sur vélo sur terrain sec (VS) à une même puissance mécanique externe (Pext). À cet égard, le premier travail de cette thèse visait, d’abord, à trouver les équivalences de Pext lors du pédalage sur VA en immersion à la poitrine par rapport au VS au laboratoire, en considérant que cela restait non déterminé à ce jour. Une équation de mécanique des fluides fut utilisée pour calculer la force déployée pour le système de pédalage (pales, leviers, pédales) et des jambes à chaque tour de pédale. Ensuite, cette force totale a été multipliée par la vitesse de pédalage pour estimer la Pext sur VA. Ayant trouvé les équivalences de Pext sur VA et VS, nous nous sommes fixés comme objectif dans la deuxième étude de comparer les réponses hémodynamiques et cardiorespiratoires lors d'un exercice maximal progressif sur VS par rapport au VA à une même Pext. Les résultats ont montré que le VO2 (p<0.0001) et la différence artério-veineuse (C(a-v)O2) (p<0.0001) étaient diminués lors de l’exercice sur VA comparativement à celui sur VS. Parmi les variables hémodynamiques, le volume d’éjection systolique (VES) (p˂0.05) et le débit cardiaque (Qc) (p˂0.05) étaient plus élevés sur VA. En plus, on nota une diminution significative de la fréquence cardiaque (FC) (p˂0.05). Étant donné qu’à une même Pext les réponses physiologiques sont différentes sur VA par rapport à celles sur VS, nous avons effectué une troisième étude pour établir la relation entre les différentes expressions de l'intensité relative de l'exercice (% du VO2max,% de la FCmax,% du VO2 de réserve (% de VO2R) et % de la FC réserve (% FCR)). Les résultats ont démontré que la relation % FCR vs % VO2R était la plus corrélée (régression linéaire) et la plus proche de la ligne d’identité. Ces résultats pourraient aider à mieux prescrire et contrôler l’intensité de l'exercice sur VA pour des sujets sains. Finalement, une dernière étude comparant la réactivation parasympathique après un exercice maximal incrémental effectué sur VA et VS en immersion au niveau de la poitrine a montré que la réactivation parasympathique à court terme était plus prédominante sur VA (i,e. t, delta 10 à delta 60 et T30, p<0.05). Cela suggérait, qu’après un exercice maximal sur VA, la réactivation parasympathique à court terme était accélérée par rapport à celle après l'effort maximal sur VS chez de jeunes sujets sains. En conclusion, nous proposons une méthode de calcul de la puissance mécanique externe sur VA en fonction de la cadence de pédalage. Nous avons démontré que pendant l’exercice sur VA les réponses hémodynamiques et cardiorespiratoires sont différentes de celles sur VS à une même Pext et nous proposons des équations pour le calcul du VO2 dans l’eau ainsi qu’une méthode pour la prescription et le contrôle de l’exercice sur VA. Finalement, la réactivation parasympathique à court terme s’est trouvée accélérée après un effort maximal incrémental sur VA comparativement à celle sur VS.
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Le stress augmente le risque de développer des maladies cardiovasculaires (CV) ainsi que de mourir de ces maladies. Selon certaines hypothèses, ce phénomène se produirait par le biais de réponses répétés de réactivité physiologique élevée ou de récupération physiologique prolongée, suite à un épisode de stress. La stabilité à long terme des réponses physiologiques face au stress a reçu peu d’attention. Objectifs: (1) Évaluer la stabilité temporelle de la réactivité et de la récupération physiologique suite au stress, à travers l’évaluation des systèmes cardiovasculaires et nerveux autonome, et ce sur un intervalle de 3 ans. (2) Déterminer si le sexe et l'âge agissent comme des variables modératrices. Méthodologie: Un total de 134 hommes et femmes en santé ont été recrutés au sein de la communauté et ont pris part à 2 séances en laboratoire. Quatre tâches, d’une durée de 5 minutes chacune et composée d’un élément de stress interpersonnel différent, ont été administrées. Chaque tâche était suivie d’une période de récupération de 5 min. Des mesures de la fréquence cardiaque (FC), de la pression artérielle (PA) et de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC : HF, LF et VLF) ont été obtenues. Des corrélations de Spearman et des régressions linéaires ont été effectuées. Résultats: Des corrélations test-retest significatives ont été obtenues pour toutes les mesures physiologiques, sauf pour la PA diastolique et la VLF, lors de la période de récupération. Aucune différence significative quant à la stabilité des réponses face au stress en fonction du sexe ou de l’âge des participants, n’a été trouvée. Conclusion: Les réponses physiologiques face au stress représentent des caractéristiques individuelles stables sur trois ans, peu affectées par le sexe et l’âge.
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Se realizó estudio cuasi experimental con el fin de comparar el efecto sobre la carga física de una intervención tecnológica y en la organización del trabajo en trabajadores en el cargo de horneros en la tarea de extracción de coque en Colombia. Se midió la carga física mediante frecuencia cardiaca e índice de costo cardiaco relativo en una población de trabajadores expuestos (37) y no expuestos (66) a una intervención tecnológica. La monitorización de la frecuencia cardiaca se realizó con 7 pulsímetros Polar RS 800cx debidamente calibrados. Las variables numéricas se describieron con base en la media aritmética, su desviación estándar, y el rango. Para evaluar la diferencia entre las medias de los grupos con respecto a la frecuencia cardiaca en reposo, media, máxima, índice de costo cardiaco relativo, gasto energético de trabajo se aplicó análisis de varianza de una vía. Se estableció a priori un nivel de significación estadística α = 0,05. Se encontraron diferencias estadísticamente significativas en el comportamiento de la frecuencia cardiaca media, frecuencia cardiaca máxima e índice de costo cardiaco relativo, entre los grupos de estudio. Se concluyó que este estudio valida la frecuencia cardiaca como una variable sensible para la medición del riesgo por carga física y a su utilidad en la evaluación intervenciones ergonómica. El estudio demostró que la intervención ergonómica logró controlar la carga física con una disminución significativa la frecuencia cardiaca, en el grupo de intervención.
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Durante o exercício, indivíduos com diabetes tipo 1 podem necessitar um aporte maior de carboidratos (CHO), do que os contidos nas bebidas esportivas, para manter os níveis de glicose sanguínea. OBJETIVO: Verificar a resposta glicêmica em adolescentes diabéticos tipo 1, durante 60 minutos e após 60 minutos do término de exercício submáximo (55-65% do VO2max) em ciclo ergômetro em 2 situações: (1) com a utilização de bebida carboidratada a 8% (CHO 8%) e (2) com a utilização de bebida carboidratada a 10% (CHO 10%). MÉTODOS: Dezesseis adolescentes (10 meninos e 6 meninas – 16,25 ± 2,65 anos), com diabetes tipo 1 controlada (HbA1c< 7,31%) e sem complicações da doença, pedalaram a 55-65% do VO2max por 60 min em dois dias separados. Os sujeitos ingeriram tanto a bebida com CHO 8% como a CHO 10% (2,62 g e 3,28 g de frutose; e 5,38 g e 6,72 g de glicose em 100 ml, respectivamente) em cada uma das duas sessões de exercício. As duas bebidas eram similares na cor e no sabor. O volume ingerido das bebidas foi de 5 ml·kg-1 15 min antes do exercício, e 2 ml·kg-1 a cada 15 min de exercício, oferecidos de forma randomizada e duplo-cega. RESULTADOS: Após 60 min de bicicleta, houve uma redução não significativa de 20,06 mg·dL-1 (p>0,05) e a manutenção (-0,533 mg·dL- 1)(p>0,05) da glicemia capilar com a ingestão das bebida CHO 8% e CHO 10%, respectivamente. Durante o exercício, a diferença entre os deltas das bebidas também não foi significativa (p=0,056). No período de recuperação, não foram encontradas diferenças significativas na glicemia entre as sessões. Também não foram encontradas diferenças significativas entre as sessões na freqüência cardíaca, taxa de percepção ao esforço, peso pré e pós-exercício e nos sintomas gastrointestinais. CONCLUSÃO: A ingestão de bebida contendo 8% e 10% de CHO preveniu uma redução significativa na glicemia induzida por uma hora de exercício contínuo em adolescentes com diabetes tipo 1.
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Foram avaliadas possíveis alterações cardiorrespiratórias e no índice biespectral em cães anestesiados pelo isofluorano, associado ou não ao tramadol. Utilizaram-se 16 animais, distribuídos em dois grupos denominados GC (grupo-controle) e GT (grupo tramadol). Todos os cães foram induzidos e mantidos sob anestesia com isofluorano. Os animais do GC receberam 0,05ml/kg de solução salina a 0,9% e os do GT 2mg/kg de tramadol, ambos por via intramuscular. Foram avaliados: freqüência cardíaca, pressão arterial sistólica, diastólica e média, eletrocardiografia, freqüência respiratória, saturação de oxiemoglobina, concentração de dióxido de carbono ao final da expiração, índice biespectral e recuperação da anestesia. Concluiu-se que a administração de tramadol em cães anestesiados pelo isofluorano não produz alterações nas variáveis cardiorrespiratórias, no índice biespectral e no tempo de recuperação da anestesia, porém proporciona boa qualidade de recuperação anestésica.
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico
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INTRODUÇÃO: a necessidade de reposição ao máximo das perdas hídricas tornou-se estabelecida e difundida nos consensos internacionais. Entretanto, permanece pouco compreendida a influência da reposição quando administrada, igualmente, durante e após o exercício sobre parâmetros cardiorrespiratórios. OBJETIVO: analisar os efeitos da reposição hidroeletrolítica na frequência cardíaca (FC), pressão arterial sistólica (PAS), pressão arterial diastólica (PAD), saturação parcial de oxigênio (SpO2) e frequência respiratória (f) de jovens durante e após um exercício de longa duração. MÉTODOS: 31 jovens (21,55 ± 1,89 anos) realizaram três visitas ao laboratório (intervalo de 48 horas entre elas), sendo na primeira aplicado um teste incremental, para determinação da carga utilizada nas visitas seguintes, e nas duas últimas, denominadas protocolo controle (PC) e protocolo experimental (PE), os sujeitos foram submetidos a 10 min de repouso supino, 90 min de exercício em esteira ergométrica (60% do VO2pico) e 60 min de repouso supino. No PC não houve hidratação e no PE houve ingestão de solução isotônica. Os parâmetros FC, PAS, PAD, SpO2 e f foram mensurados no final do repouso; nos minutos 30, 60 e 90 do exercício, com exceção da f; e nos minutos 1, 3, 5, 7, 10, 20, 30, 40, 50 e 60 pós-exercício. Foi aplicado o teste t de Student ou teste de Mann-Whitney e ANOVA para medidas repetidas ou teste de Friedman seguidos de testes post hoc, com p < 0,05. RESULTADOS: a solução hidroeletrolítica proporcionou manutenção da PAS e da PAD, e menor incremento da FC durante o exercício; e promoveu retorno mais rápido da FC e conservou PAD, SpO2, PAS (a partir do 5º min) e f (a partir do 30º min) no período de recuperação. CONCLUSÃO: o protocolo de hidratação influenciou parâmetros cardiorrespiratórios de jovens durante e após a realização de atividade física submáxima de intensidade constante e longa duração.
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O presente estudo comparou valores de glicemia, frequência cardíaca em repouso e durante exercício, além da composição corporal entre hipertensos e normotensos. A amostra foi composta por 32 jovens do sexo masculino, com média de idade de 22,6 anos. Inicialmente, aferiu-se a pressão arterial, para divisão em dois grupos: hipertensos e normotensos. Posteriormente foram mensurados, glicemia em jejum, impedância bioelétrica, antropometria, e a frequência cardíaca no repouso, durante o teste de esforço máximo e na fase de recuperação. A análise estatística foi composta pelo teste t- Student e análise de variância para medidas repetidas two-way, entre os grupos. O valor de significância adotado foi p = 0,05. Os dados analisados mostraram que indivíduos hipertensos apresentam maiores índices metabólicos e valores hemodinâmicos do que indivíduos normotensos, sendo estes indicadores de risco cardiovascular.
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Morbidly obese patients present an increase in heart rate, blood pressure and perceived exertion besides lower walking ability compared to normal weight people. However, little is known about how these variables are presented after bariatric surgery. Moreover, despite the distance walked during the six-minute walk (6MWT) improve after surgery is not well established if the level of physical activity influences this improvement. Objective: To evaluate cardiovascular performance, perceived effort, ability of walking and physical activity level of patients with morbid obesity before and after bariatric surgery. Methods: The cardiovascular performance, perception of effort, the ability to walk and level of physical activity were assessed in 22 patients before (BMI = 50.4 kg/m2) and after (BMI = 34.8 kg/m2) bariatric surgery through the 6MWT. The heart rate, blood pressure and perceived exertion were assessed at rest, at the end of the 6MWT and in the second minute post-test (HR recovery). The ability to walk was measured by total distance walked at the end of the test while the level of physical activity was estimated by applying the Baecke questionnaire, analyzing domains occupation, leisure and locomotion and leisure and physical activity. Results: The HR at rest and recovery decreased significantly (91.2 ± 15.8 bpm vs. 71.9 ± 9.8 bpm, 99.5 ± 15.3 bpm vs 82.5 ± 11.1 bpm, respectively), as well as all the arterial pressure and perceived exertion after surgery. The distance achieved by the patients increased by 58.4 m (p = 0.001) postoperatively. Time postoperatively had correlation with the percentage of excess weight lost (r = 0.48, p = 0.02), BMI (r =- 0.68, p = 0.001) and the Baecke (r = 0.52, p = 0.01) which did not happen with the distance walked (r = 0.37, p = 0.09). Despite weight loss, patients showed no difference in the level of physical activity in any of the areas before and after surgery. Conclusion: The cardiovascular performance, the perception of effort and ability to walk seem to improve after bariatric surgery. However, despite improvement in the ability to walk by the distance achieved in the 6MWT after weight loss, this is not reflected in an increase in physical activity level of obese patients after surgery
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Objective-To evaluate the cardiorespiratory and intestinal effects of the muscarinic type-2 (M-2) antagonist, methoctramine, in anesthetized horses.Animals-6 horses.Procedure-Horses were allocated to 2 treatments in a randomized complete block design. Anesthesia was maintained with halothane (1% end-tidal concentration) combined with a constant-rate infusion of xylazine hydrochloride (1 mg/kg/h, IV) and mechanical ventilation. Hemodynamic variables were monitored after induction of anesthesia and for 120 minutes after administration of methoctramine or saline (0.9% NaCl) solution (control treatment). Methoctramine was given at 10-minute intervals (10 mug/kg, IV) until heart rate (HR) increased at least 30% above baseline values or until a maximum cumulative dose of 30 mug/kg had been administered. Recovery characteristics, intestinal auscultation scores, and intestinal transit determined by use of chromium oxide were assessed during the postanesthetic period.Results-Methoctramine was given at a total cumulative dose of 30 mug/kg to 4 horses, whereas 2 horses received 10 mug/kg. Administration of methoctramine resulted in increases in HR, cardiac output, arterial blood pressure, and tissue oxygen delivery. Intestinal auscultation scores and intestinal transit time (interval to first and last detection of chromium oxide in the feces) did not differ between treatment groups.Conclusions and Clinical Relevance-Methoctramine improved hemodynamic function in horses anesthetized by use of halothane and xylazine without causing a clinically detectable delay in the return to normal intestinal motility during the postanesthetic period. Because of their selective positive chronotropic effects, M-2 antagonists may represent a safe alternative for treatment of horses with intraoperative bracycardia.
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Objective-To evaluate cardiopulmonary effects of glycopyrrolate in horses anesthetized with halothane and xylazine.Animals-6 horses.Procedure-Horses were allocated to 2 treatment groups in a randomized complete block design. Anesthesia was maintained in mechanically ventilated horses by administration of halothane (1% end-tidal concentration) combined with a constant-rate infusion of xylazine hydrochloride (1 mg/kg/h, IV). Hemodynamic variables were monitored after induction of anesthesia and for 120 minutes after administration of glycopyrrolate or saline (0.9% NaCl) solution. Glycopyrrolate (2.5 mug/kg, IV) was administered at 10-minute intervals until heart rate (HR) increased at least 30% above baseline or a maximum cumulative dose of 75 mug/kg had been injected. Recovery characteristics and intestinal auscultation scores were evaluated for 24 hours after the end of anesthesia.Results-Cumulative dose of glycopyrrolate administered to 5 horses was 5 mug/kg, whereas 1 horse received 75 mug/kg. The positive chronotropic effects of glycopyrrolate were accompanied by an increase in cardiac output, arterial blood pressure, and tissue oxygen delivery. Whereas HR increased by 53% above baseline values at 20 minutes after the last glycopyrrolate injection, cardiac output and mean arterial pressure increased by 38% and 31%, respectively. Glycopyrrolate administration was associated with impaction of the large colon in I horse and low intestinal auscultation scores lasting 24 hours in 3 horses.Conclusions and Clinical Relevance-The positive chronotropic effects of glycopyrrolate resulted in improvement of hemodynamic function in horses anesthetized with halothane and xylazine. However, prolonged intestinal stasis and colic may limit its use during anesthesia.
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JUSTIFICATIVA E OBJETIVOS: Os bloqueadores neuromusculares (BNM) são freqüentemente utilizados em anestesia pediátrica e não existe aquele considerado ideal. O objetivo deste trabalho foi avaliar o rocurônio, o atracúrio e o mivacúrio, em crianças, quanto ao tempo de latência e de recuperação, à interferência sobre as variáveis hemodinâmicas e às condições de intubação traqueal. MÉTODO: Sessenta e sete crianças, estado físico ASA I e II, com idade variando de 2 anos e 6 meses a 12 anos, foram anestesiadas com alfentanil (50 µg.kg-1), propofol (3 mg.kg-1), sevoflurano e N2O/O2 e divididas em três grupos: G1 = rocurônio 0,9 mg.kg-1 (n = 22); G2 = atracúrio 0,5 mg.kg-1 (n = 22) e G3 = mivacúrio 0,15 mg.kg-1 (n = 23). A monitorização do bloqueio neuromuscular foi realizada com o método de aceleromiografia no trajeto do nervo ulnar. Foram estudados: o tempo de latência (TL), a duração clínica (T25), o tempo de relaxamento (T75) e o índice de recuperação (T25-75). A pressão arterial média (PAM) e a freqüência cardíaca (FC) foram registradas em seis momentos, bem como as condições encontradas no momento da intubação traqueal. RESULTADOS: A mediana do TL foi de 0,6 minutos em G1, 1,3 minutos em G2 e 1,9 minutos em G3. A mediana do T25 foi em G1 = 38 minutos, G2 = 41,5 minutos e G3 = 8,8 minutos. A mediana do T75 foi em G1 = 57,7 minutos, G2 = 54,6 minutos e G3 = 13,6 minutos. A mediana do índice de recuperação (T25-75) foi em G1 = 19,7 minutos, G2 = 13,1 minutos e G3 = 4,8 minutos. As condições de intubação traqueal foram consideradas excelentes na maioria dos pacientes de ambos os grupos. Não houve modificações clínicas importantes da PAM e da FC. CONCLUSÕES: O rocurônio, 0,9 mg.kg-1, teve o menor tempo de latência e o mivacúrio, 0,15 mg.kg-1, o menor tempo de recuperação nos pacientes pediátricos anestesiados com sevoflurano. Também, o rocurônio, o mivacúrio e o atracúrio não determinaram alterações hemodinâmicas de importância clínica relevante e proporcionaram excelentes condições de intubação traqueal.