La frontera sur de América del Sur: hacia una nueva aproximación

Argentina, Uruguay y Chile resuelven la cuestión indígena en el siglo XIX. Uruguay es el primer país latinoamericano que "soluciona" el problema hacia fines del primer tercio de este siglo. Allí el proceso de sustitución poblacional fue de tal magnitud que en la actualidad Uruguay es el único país de América del Sur "donde no existen indios". Por su parte, argentinos y chilenos finalizaron en 1880 el secular conflicto interétnico (con los mapuches) de maneras muy diferentes. Las semejanzas y diferencias entre las políticas indigenistas y los procesos desarrollados en cada uno de ellos son un buen punto de partida para estudiar las relaciones interétnicas en la "gran línea de frontera" que se extiende desde el Bío Bío (Chile) al Yi (Uruguay). (...) En el presente se piensa profundizar el estudio de la configuración de las fronteras meridionales en el Cono Sur, a lo largo del siglo XIX, poniendo especial énfasis en la bibliografía y procesos de la frontera chilena y uruguaya. Se procurará al mismo tiempo continuar resignificando el problema fronterizo y de la fricción interétnica trabajando el tema con una sola gran globalidad temporal y espacial. Es por ello que se tratará de acceder a la "frontera ampliada" (desde el Bío Bío en Chile pasando por el río Negro en Argentina, al Yi en Uruguay) considerando el marco teórico en las fronteras chilena, uruguaya y argentina. La "gran frontera" entre el territorio indio y el blanco permitirá así articular la historia económica, política, social y cultural de los espacios en los que, a lo largo del siglo XIX, unos consolidaron la soberanía nacional y otros iniciaron un largo camino signado por la derrota militar, pérdida de la tierra y destribalización. (...) Objetivos Generales: 1. Profundizar el estudio de las relaciones interétnicas en los espacios de consolidación de la soberanía nacional en el Cono Sur. 2. Avanzar en la construcción de enfoques teóricos y metodológicos que permitan explicar la complejidad de las relaciones interétnicas. 3. Continuar la ampliación del marco documental y bibliográfico. 4. Confrontar el resultado en dos niveles: fuentes y producciones historiográficas nacionales. 5. Establecer relaciones entre los distintos niveles históricos: regionales, provinciales, nacionales e internacionales. 6. Obtener un panorama historiográfico global.

A Plymouth, Mme [Nancy] Astor s'adresse à la foule après son élection à la Chambre des Communes : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Référence bibliographique : Rol, 57102

Mito, tragedia y metateatro en el teatro espanol del siglo XX : ensayo sobre el cuerpo y la conciencia en el drama

RÉSUMÉMythe, tragédie et méta-théâtre sont des termes techniques provenant de disciplines comme l'anthropologie, l'histoire, la théorie et la critique littéraires. Malgré le fait que l'on puisse les assigner à des périodes historiques déterminées, ce sont des notions qui ont encore un sens à la fois actuel (elles sont indispensables pour comprendre le théâtre contemporain) et concret (à travers les différentes poétiques qui les reconfigurent, elles affectent le spectateur d'une certaine façon, ont un effet déterminé sur son corps et sa conscience). Je propose donc de les définir synthétiquement en fonction de l'effet qu'ils produisent sur le spectateur qui est conçu comme une unité de corps et de conscience. Le corps étant défini comme le lieu des émotions, la conscience sera la connaissance que le sujet acquiert de soi et du monde en fonction de ces émotions. Or, le mûthos génère des émotions que la tragédie purge à travers le phénomène de la catharsis. En revanche, le méta-théâtre interrompt le processus émotif de la conscience. Tout en appuyant mes définitions sur des notions de psychologie, neurologie et physique quantique, j'oppose tragédie et méta-théâtre de la façon suivante: la tragédie produit une forme de conscience incarnée chez le spectateur, alors que le méta-théâtre n'aboutit qu'à une forme de conscience cartésienne ou vision désincarnée. J'applique ensuite cette conception à une série de pièces importantes de l'histoire du théâtre espagnol au XXe siècle qui comportent toutes une part de réécriture d'un ou de plusieurs mythes. Je constate une généralisation du traitement méta-théâtral de la réécriture, au détriment non du tragique, mais de la tragédie proprement dite. Par conséquent, je diagnostique un déficit d'incarnation dans le théâtre espagnol au XXe siècle.

Approches exégétiques du Deutéronome. Brève histoire de la recherche sur le Deutéronome depuis Martin Noth.

Depuis la parution des Überlieferungsgeschitliche Studien de Martin Noth, le livre du Deutéronome joue un rôle central dans la discussion exégétique. L'A. cherche à faire le point sur le chemin parcouru depuis cinquante ans. Au niveau diachronique, aucun consensus n'apparaît sur les questions de la datation et des rédactions successives. Le modèle le plus performant semble être Deutéronome primitif sous Josias suivi à l'époque de l'exil de son insertion dans l'historiographie, puis de plusieurs retouches rédactionnelles. Au niveau théologique, les thèmes de la loi, de l'alliance, du pays, de l'exode et des pères en sont l'épine dorsale

Copie d'une lettre d'un curé, député, à ses paroissiens sur son serment ([Reprod.])

Collection : Les archives de la Révolution française ; 8.544