940 resultados para Lungren, F. H. (Fernand Harvey), 1857-1932.


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Notre mémoire porte sur l’attrition de la marque d’usage PROVERBIAL de la 7e (1878) à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française (1932-35). L’informatisation des huit éditions achevées de l’ouvrage (Redon 2002), qui permet tant le relevé quantitatif que qualitatif des données, laisse voir que la marque jouit d’une grande stabilité dans les sept premières éditions, mais que son emploi chute considérablement de l’édition de 1878 à celle de 1932-35. Dans les limites notre projet, nous tâchons de comprendre le comment de cette érosion. Pour ce faire, nous avons recensé exhaustivement les lexies touches de la 7e à la 8e édition, en tenant compte des cas de figure logiquement possibles : retrait d’un article ou d’une lexie dans la 8e édition, lexies partagées avec la 7e édition mais a) dépouillées de la marque, b) marquées différemment ou c) hritières du marquage d’origine. Dans l’édition de 1878, PROVERBIAL s’applique à 4 674 lexies distribuées dans 1 645 articles. Au terme de notre recherche, nous identifions les expressions proverbiales disparues ou maintenues dans le passage crucial de la 7e à la 8e édition du Dictionnaire de l’Académie française. Nous en tirons des résultats qui portent, entre autres, sur la transformation du système de marquage dans la tradition du Dictionnaire de l’institution.

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Les relations franco-soviétiques font l'objet de nouvelles études depuis l'ouverture des archives russes après la chute du communisme au début des années 1990. La présente étude vise à cerner comment la presse française percevait l'URSS et ses relations avec la France entre 1932 et 1934. Cette période est cruciale, car elle correspond à l'arrivée du nazisme en Allemagne et à un certain rapprochement franco-soviétique. La prise du pouvoir par Hitler eut un impact majeur sur les relations entre les deux pays, mais ce ne fut pas toujours compris rapidement en entièrement. Les journaux analysaient la situation avec une perspective compromise par leurs opinions politiques ou leurs intérêts financiers. Néanmoins, nous observons une nette évolution de leurs points de vue sur les 21 mois étudiés ici. Cela est dû à l'aggravation de la menace allemande et à la politique menée par l'URSS et par une partie du corps politique français. Afin d'avoir un échantillon viable, nous nous intéresserons à quatre quotidiens majeurs : Le Figaro, Le Temps, Le Populaire et L'Humanité. Mis ensemble, ces journaux représentent l'essentiel du panorama politique français. Les journaux de droite se firent de moins en moins critiques vis-à-vis de l'URSS, sans pour autant abandonner leur méfiance. Ceux de gauche soutinrent le rapprochement, tout en restant incrédules quant à la situation réelle. Cette recherche en est une de la perspective de l'autre, du rôle des médias dans la société et de l'influence de l'idéologie politique.

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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothque de musique de l'Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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L’historien n’écrit pas de nulle part. Ancré dans son présent et participant à la société, il en épouse – ou critique – les projets, les utopies et les grands récits. Nous proposons dans ce travail d’approfondir cet ancrage à travers une histoire croisée et comparée des expériences du temps de deux historiens français (Michel de Certeau, François Furet) et d’un historien-sociologue québécois (Fernand Dumont). Notre objectif est double : il s’agit d’établir, dans un premier temps, les correspondances entre leurs expériences lors de deux tournants, celui des années 1960 et celui des années 1970. Tout en prenant en compte les contextes des auteurs à l’étude, nous élargirons l’échelle d’analyse afin de cerner la contemporanéité d’expériences du temps qui ne se réduisent pas aux seuls cadres nationaux. Nous pourrons ainsi établir les coordonnées des régimes d’historicité à chaque tournant en contribuant à préciser les différentes combinaisons des modes futuristes et présentistes en jeu. Dans un deuxième temps, nous explorerons les liens entre historiographie et régime d’historicité afin de mettre en évidence les jonctions entre les considérations épistémologiques et l’horizon d’attente des historiens à l’étude. En abordant plus spécifiquement la question du rôle de l’historien dans sa société, nous jaugeons les transformations parallèles de son expérience du temps et de ses pratiques historiographiques. Le passage de l’expérience d’une Histoire en marche au tournant de 1960 à celle d’une histoire bloquée au tournant de 1970 affecte considérablement la place et le statut de l’historien. D’éminent passeur du temps à l’écoute du sens du progrès, l’historien voit son statut contesté et marginalisé, ce qui ne veut pas dire que son rôle est moins important. Qu’il débusque des alternatives passées ou court-circuite des téléologies, il est chargé de maintenir coûte que coûte ouverts les horizons du temps. Nous verrons spécifiquement le sens que prenait cette tâche à un moment où la possibilité d’une « société nouvelle », après Mai 68, pointait à l’horizon des contemporains.

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Zusammenfassung zur Inaugural-Dissertation: Von „weiblichen Vollmenschen“ und Klassenkämpferinnen – Frauengeschichte und Frauenleitbilder in der proletarischen Frauenzeitschrift „Die Gleichheit“ (1891-1923). Die wissenschaftliche Bedeutung, die der SPD-Frauenzeitschrift „Die Gleichheit“ (1891-1923) als Quelle der Geschichte der Frauenbewegung zukommt, spiegelt sich weder in Darstellungen zur Geschichte der SPD noch in der Geschichtsschreibung der deutschen Frauenbewegung wider. Auch ist die „Gleichheit“, Presseorgan der organisierten proletarischen Frauenbewegung Deutschlands und der Sozialistischen Fraueninternationale, bisher kaum Gegenstand einer umfassenden publizistischen Analyse gewesen. Es galt daher, zumindest das Hauptblatt der „Gleichheit“, die an ihr beteiligten Personen, ihre Strukturen und ihr Selbstverständnis möglichst detailliert und anhand publizistischer Kriterien darzustellen. Wandlungen ihres Erscheinungsbildes, ihrer editorischen und personellen Strukturen oder ihres Seitenumfangs markieren entscheidende Wendepunkte der deutschen Politik während des deutschen Kaiserreichs und der Weimarer Republik. Ihr Niveau lag deutlich über dem einer allgemeinen Frauenzeitschrift, eines Mitteilungs- oder Unterhaltungsblattes. Ihr Ziel war es, sowohl politisches Schulungsblatt fr die engagierten Genossinnen als auch Agitationsmittel fr die indifferenten Proletarierinnen zu sein. Inwieweit sie mit dieser Zielsetzung erfolgreich war, kann jedoch selbst die große Zahl ihrer Abonnements (der Hchststand lag 1914 bei 124.000 Exemplaren) nicht validieren. Tatsächlich ließ gerade der von ihrer langjährigen Redakteurin Clara Zetkin (1857-1933) angestrebte hohe intellektuelle Anspruch die „Gleichheit“ jedoch nicht zu einem Medium der Massen werden. Im Mai 1917 entschied sich der SPD-Parteivorstand, der dem Burgfrieden abträglichen, konsequent sozialistischen und internationalistischen Haltung Zetkins keine öffentliche Plattform mehr zu geben und entließ sie aus der Redaktion. Die Leitung der „Gleichheit“, die auch bis zu diesem Zeitpunkt durchaus keine „One-Woman-Show“ war, oblag schließlich bis zu ihrem letztmaligen Erscheinen im September 1923 noch einigen weiteren Redakteurinnen und Redakteuren (Marie Juchacz (1879-1956), Heinrich Schulz (1872-1932), Clara Bohm-Schuch (1879-1936), Elli Radtke-Warmuth (?-?) und Mathilde Wurm (1874-1935)). Deren Tätigkeit fr die „Gleichheit“ wurde jedoch bisher kaum wissenschaftlich reflektiert. Dies gilt auch fr die ausgesprochen internationale Zusammensetzung oder die männlichen Mitglieder des MitarbeiterInnenstabes. Indem sie sich selbst in der Tradition und als Teil eines Netzwerkes deutscher Frauen­öffentlichkeit („Die Frauen-Zeitung“ (1849-1852), „Die Staatsbürgerin“ (1886) und „Die Arbeiterin“ (1890-1891)) sah und indem sie besonders mittels frauen­geschichtlicher und frauenbiographischer Inhalte das Selbstbewusstsein ihrer Leserinnen zu frdern versuchte, betrieb die „Gleichheit“ gezielt Frauengeschichtsschreibung. Zahlreiche Artikel porträtieren Frauen aus Geschichte und Gegenwart und stellen in ihrem elaborierten Stil „Typen“ bzw. „Vorbilder“ dar. Um die Frage beantworten zu können, welche Frauen der Geschichte und welche ihrer Charaktereigenschaften von der „Gleichheit“ als vorbildlich fr Sozialdemokratinnen erachtet wurden, wurden die biographischen Artikel zu 173 Frauen nach Analyse ihrer Inhalte und ihres Duktus vier Frauenleitbildern zugeordnet. Die Kategorisierung der einzelnen Frauenleitbilder „weiblicher Vollmensch, „sozialistische Mutter“, „sozialistische Ehefrau“ und „Klassenkämpferin“ lehnt sich wiederum an den von Zetkin bereits 1898 veröffentlichten Artikel „Nicht Haussklavin, nicht Mannweib, weiblicher Vollmensch (Die Gleichheit, Jg. 08/ Nr. 02/ 19.11.1898/ S. 1.) an. Sämtliche frauenbiographischen Artikel appellieren an die „Gleichheit“-Leserinnen, die oft selbst gesetzten Grenzen ihrer Handlungs – und Entwicklungsmöglichkeiten zu sprengen. Die sich daraus ableitenden Identifikationsangebote waren somit nicht auf dem Reissbrett ent­worfen, sondern basierten auf geschichtlicher Erfahrung und antizipierendem Bewusstsein. Diese Leitbilder versuchten, Realität und Utopie miteinander zu verbinden und konnten daher kaum frei von Widersprüchen sein. Wie die „Gleichheit“ selbst, so blieben auch ihre Ansätze politischer Frauen­bildung teilweise zwischen revolu­tionärem Umsturz und traditioneller Kontinuität gefangen. Indem sich die „Gleichheit“ historischer Vorbilder bediente, machte sie jedoch konkrete Ansprüche geltend: Sie forderte den weiblichen Anteil an Geschichte, an politischer Macht und am öffentlichen Bewusstsein.

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Focalizar hacia dónde apunta el desarrollo del arte de la Educación Musical en España, quiénes han sido los impulsores de tales innovaciones y qué aportaciones se han llevado a cabo en el panorama educativo de este período de la historia de España. Contrastando estas fuentes documentales de la pedagogía española con el resto de países, se encuentran datos y sistemas comunes que responden a la trayectoria pedagógica musical en la que se situá este trabajo. El método adecuado es el método histórico-pedagógico ya que realiza un estudio científico sobre las características de los métodos, procedimientos musicales, materiales de enseñanza y los autores que los emplean en España, en el período comprendido entre 1823 y 1932. En primer lugar, se sitúan los aspectos pedagógicos generales de cada período que contextualizan los métodos de enseñanza musical; en segundo lugar, se presentan los métodos de enseñanza reglada de la Música, procedimientos y autores relevantes de la etapa, y en tercer lugar, se ofrecen los métodos de enseñanza particular de la Música. Este modo de proceder ayuda a estructurar el contenido de cada etapa revisando todo aquello que puede conectar con las metodologías actuales para revalorizar el caudal pedagógico del período señalado. Se intenta proceder a través de un estudio lineal de la enseñanza comenzando por la educación de Párvulos, Elemental, y de forma colateral del Magisterio, al objeto de ver cómo está tratada la enseñanza de la Música en cada uno de los tramos educativos y las interrelaciones que se establecen. La investigación se presenta dividida en tres períodos. Primera Etapa, titulada Descubrimiento (1823-1858). Segunda Etapa, denominada Desarrollo y Consolidación (1858-1890). Tercera Etapa, titulada Expansión y Apertura(1890-1932). El tema objeto de esta investigación del que se ha valido de fuentes documentales antiguas lleva a conclusiones de interés, especialmente desde el punto de vista metodológico. La recopilación de materiales para la enseñanza de la Música, Canto, Música y Canto o Enseñanza Artística, como se denomina esta materia a lo largo del siglo, ha permitido analizar la realidad educativa de España, en el período comprendido entre 1823 y 1932, al hilo de lo que acontece en Europa; una materia de enseñanza vinculada al Dibujo, a la Gimnástica, al Lenguaje y a la Higiene escolar. La revisión de tales documentos, organizados por etapas y de forma cronológica aporta una visión completa de la educación a nivel general y especialmente, de la teoría y práctica de la enseñanza musical a nivel escolar y particular. Todo ello lleva a escudriñar cada texto, contexto y autor para encontrar aspectos educativos de la enseñanza de la Música y del Canto en España, por minúsculos que parezcan, queriendo encontrar conexiones con los planteamientos educativos vigentes y desestimando todo lo que pueda ser una visión reduccionista de la enseñanza de este período de la historia, también matizado por el lenguaje moralista y religioso de la época. Se concluye diciendo que se ha encontrado suficientes datos para llenar de contenido las hipótesis iniciales. No obstante, se abren grandes horizontes y nuevas líneas de trabajo, válidas para futuras investigaciones para abordar en un futuro no muy lejano, tales como la recopilación de materiales escolares y práctica musical en la Provincia de Córdoba; Análisis musical de los cantos escolares y de la Música Popular en algunos centros educativos de España o el estudio comparativo de metodologías en la enseñanza de la Música dentro de España.

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Esta comunicación, presentada en el XV Congreso de Historia de la Educación celebrado en Pamplona, en julio de 2009, ofrece un acercamiento al papel desempeñado por los maestros de la primera infancia desde mediados del siglo XIX hasta 1970. Se analizan los cambios surgidos en la formación inicial, el grado de especialización alcanzado, y cuáles han sido los criterios y mecanismos de selección y acceso a la profesión hasta la plena especialización marcada por la Ley General de Educación de 1970.

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El estudio de la estructura administrativa de la provincia de Bogotá en el siglo IX es importante por cuanto se muestra por primera vez cuales fueron los primeros entes administrativos que se crearon durante este periodo, fundamentalmente durante la vigencia de la constitución de 1832. El régimen territorial de las provincias se dividió a su vez en cantones y éstos, en distritos parroquiales.

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“Perseguir el vicio y amparar la virtud”: Prostitución, lujuria y control en Pereira 1857-1907 examina los distintos estereotipos, discursos, mecanismos políticos y dispositivos establecidos con el fin de controlar los discursos de género, específicamente, aquellos alrededor de la prostitución en el Distrito de Pereira en el período de 1857 a 1907. Políticas públicas, diarios de viajeros, prensa local, estudios médicos y otros documentos son usados para argumentar que a finales del siglo XIX y principios del XX el establecimiento de controles sobre el género, la sexualidad y la prostitución fueron uno de los aspectos centrales en la constitución sociopolítica de la ciudad de Pereira. “Perseguir el vicio y amparar la virtud”: Prostitución, lujuria y control en Pereira 1857-1907 recalca la importancia de investigar la relación entre el control de la sexualidad y la implantación de los mecanismos y tecnologías del Estado-Nación. Valiéndose de las perspectivas de la antropología histórica y del género, esta investigación provee un acercamiento que permite comprender cómo el Estado utilizó las políticas de control sobre la sexualidad, la prostitución y la lujuria en como vías de implantación de mecanismos de normalización y vigilancia sobre la población de la naciente ciudad de Pereira.

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Se re??ne la escasa informaci??n disponible sobre la educaci??n en el municipio de Algaida en la primera mitad del siglo XIX haciendo especial incidencia sobre la evoluci??n de las escuelas y la escolarizaci??n. Por una parte se detalla la situaci??n entre 1783 y 1833, cuando la educaci??n primaria se encontraba en manos de cl??rigos y maestras solteras, y por otro, el periodo de normalizaci??n de la escolarizaci??n, entre 1833 y 1857. Entre otras cuestiones se recoge la figura de Joan Antoni Mulet Munar, que fue alumno en la Escuela Normal de Maestros de Palma y maestro de la escuela de ni??os a partir de 1852, cuando Margalida Tom??s abandonaba la escuela de ni??as en la que hab??a trabajado como maestra desde 1830, y se incorporaba en su puesto Esperan??a Rossell??, sustitu??da posteriormente por Francisca Mas Rigo. Finalmente se comenta la situaci??n de las escuelas de Pina y Randa.