911 resultados para Early christian literature Liturgy Critical edition


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The period, from the Iron Age through to what is sometimes
called the Early Christian Period or the Early Middle Ages, includes
some of the most enigmatic centuries in the whole of Irish
history. In this article we intend to look at various strands of evidence
that have become available from the perspective of dendrochronology.
However, interpretation of dendrochronological
results works best when there is other information to push
against. In the case of this period one of the best sources of parallel
information – information essentially as well dated as tree
rings – has to be records of atmospheric chemistry from the ice
cores that have been drilled at several locations across Greenland.
Combining such information with evidence from tree rings,
palaeoecological research, and occasionally from history, allows
us to trace out a series of events and episodes that form the beginnings
of an understanding of this period between the Iron
Age flowering – with sites such as Emain Mache, Tara, Cruachain
– and the Early Christian flowering – widespread foundation of churches and monasteries.

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The past two decades witnessed a global proliferation of national human rights and equality bodies. Yet the research literature remains critical of their performance, positing a series of explanations for the gap between the expectations of civil society and the contribution they make. Through a comparative analysis of six statutory human rights and equality bodies in the United Kingdom and Ireland, this article explores the range of factors that shape their performance.

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The first critical edition of Victorian theatrical burlesques, with an extensive critical and historical overview of the genre.

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Este estudo pretende, num primeiro momento, identificar as traduções portuguesas do discurso de Cícero Pro Archia , os seus autores e o contexto histórico e cultural em que foram produzidas. As traduções inéditas encontram- -se aqui editadas e as edições impressas com mais de uma edição têm uma edição crítica. Há ainda lugar a uma reflexão sobre as possíveis edições latinas do Pro Archia consultadas pelos tradutores. O segundo momento é dedicado à análise comparativa destas traduções, que assenta quer em aspectos linguísticos e lexicais específicos quer nos processos de tradução de cada texto, relacionando-os com o contexto de produção de cada uma.

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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.

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The field of classical studies has undergone a radical transformation with the arrival of the digital age, particularly with regard to the editing of ancient texts. As Umberto Eco (2003) pointed out, the digital age may mean the end of the history of variants and of the notion of the "original text." Among the texts of antiquity, the editing of Homer and of the New Testament are more especially susceptible to the effects of digital technology because of their numerous manuscripts. Whereas the "Homer Multitext" project recognizes that the notion of a synthetic critical edition is now seriously brought into question, the prototype of the online Greek New Testament continues to be based on the aim of obtaining a unique text, in the style of a printed critical edition. As it moves from a printed culture to the digital age, the editing of the Greek NT is also confronted by the emergence of non-Western scholarship. For example, the presence is to be noted of Arabic Muslim websites that examine Greek New Testament manuscripts but without directly interacting with Western scholarship.

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This study explores the tension that has emerged around the rise of home schooling in a faith-community strongly committed to establishing and maintaining day schools in the tradition of John Calvin. It aims to identify and understand factors that contributed to this tension and to find ways to bridge, diffuse, reduce, or eliminate it. In line with Calvin, personal convictions, and the nature of the community, the study takes a Christian epistemological and axiological stance. Its premise is that the integrity of the commvmity is more important than the manner in which its children are taught. The study reviews relevant literature and several interviews. It considers both secular and Christian literature to understand communities, community breakdown, and community restoration. It also examines literature about the significance of home, school, and community relationships; the attraction of Reformed day schools; and the appeal of home schooling. Interviews were conducted with 4 home schooling couples and 2 focus groups. One focus group included local school representatives, and the other home schoolers and school representatives from an area with reputedly less tension on the issue. Interviews were designed for participants to give their perspectives on reasons for home schooling, the existing tension, and ways to resolve the issues. The study identifies the rise of home schooling in this particular context as the initial issue and the community's deficiency to properly deal with it as the chief cause for the rising tensions. However, I argue that, within the norms the community firmly believes in, home schooling need not jeopardize its integrity. I call for personal, social, and spiritual renewal to restore the covenant community in gratitude to God.

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This qualitative research project explores the insights of Muslim women as teacher candidates completing pre-service programs in Ontario. Ontario schools cater to students from many ethnic, cultural and religious groups, including a sizable Muslim population. Muslims make up 4.6% of Ontario’s population with the highest concentration of Muslims in the GTA (Statistics Canada, 2011). The Muslim population in Ontario is of a significant enough number that, in a post 9/11 world, it has prompted discussion of how to integrate Muslim populations in Canada. In this research, I explore how Islamophobic sentiment is experienced in Ontario-based teacher education programs. I use Critical Race Theory (CRT) and Critical Race Feminism (CRF) to analyse and deconstruct experiences of female Muslim teacher candidates in pre-service programs. I discuss how Muslims are a racialized group that experience racism as discussed by critical race literature; however, there is a marked difference between how Muslim men and women experience gendered Islamophobia. By using in-depth research-based interviews, I explore how Muslim women perceived diversity, education, accommodations and Islamophobia in pre-service programs. This study adds to the current literature on critical race theory and anti-racist practices in education. Furthermore, this study adds to the voice of Muslim women in the discussion of diversity and inclusivity in educational institutions.

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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).