458 resultados para Cerros Orientales
Resumo:
Plântulas originárias de populações híbridas, em geração F2, de 26 cruzamentos entre cultivares de trigo tolerantes (BH-1146, IAC-227, IAC-24, IAC-60, C-3, IAC-5, IAC-18 e IAC-21) e sensíveis (Anahuac 75, IAC-287, IAC-289, Siete Cerros e Veery "S") à toxicidade de alumínio e de 18 cruzamentos entre cultivares tolerantes (BH-1146, IAC-227, IAC-24, IAC-60, C-3, IAC-5, IAC-21, C-17, IAC-74 e IAC-18) foram avaliadas em relação à tolerância a 3 mg/L de Al3+, empregando soluções nutritivas. A tolerância à toxicidade de alumínio foi medida pela capacidade de crescimento da raiz primária central em solução nutritiva completa, após um tratamento de 48 horas em solução contendo 3 mg/L de Al3+. Avaliando-se as plântulas das populações F2 provindas de cruzamentos entre cultivares tolerantes e sensíveis, verificou-se que a tolerância à toxicidade de Al3+ foi dominante, e que em 24 dos cruzamentos, as cultivares tolerantes diferiram das sensíveis por um par de genes. Não foi detectada diferença entre as cultivares tolerantes em relação ao par de genes dominantes em relação à tolerância. Qualquer uma dessas cultivares poderá ser utilizada como fonte de tolerância num programa de cruzamentos em que essa característica for desejada.
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El objetivo de este artículo es investigar algunas de las características de la transición de la fecundidad en el nordeste peninsular. Para ello se ha utilizado el censo de 1920, que es el primero que incluye una pregunta sobre el número de hijos nacidos vivos declarado por las mujeres alguna vez casadas. Esta fuente de información retrospectiva permite analizar las diferencias espaciales de fecundidad existentes a finales del siglo XIX y principios del XX. Los resultados muestran un elevado contraste entre las altas descendencias presentes en las provincias occidentales de la depresión ibérica y la baja fecundidad de las orientales, lo que demostraría la existencia de distintos patrones de fecundidad. Sin embargo, algunos indicios parecen caracterizar el valle del Ebro como una zona, no de ruptura, sino de transición entre la baja y la alta fecundidad, debido a la difusión de los comportamientos.
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Después de revisar las dos grandes tradiciones corporales de la China milenaria -prácticas respiratorias y artes marciales- se analiza la práctica del tai chi que, como es sabido, constituye una actividad cotidiana en los países orientales. Alrededor de dicha práctica se dan una serie de acciones corporales, meditativas y respiratorias en consonancia con la cosmovisión y valores de la cultura china que se caracteriza por su sentido global y unitario. Por último, los autores formulan una serie de consideraciones con la intención de incorporar su práctica a la educación física en orden a desarrollar una conciencia corporal abierta -más allá de las técnicas- a valores espirituales.
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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.
Resumo:
El artículo intentará ofrecer una pincelada sobre qué nos deparan las unidades fraseológicas de diversas procedencias cuando se refieren a otras lenguas o a sus hablantes. La connotación es casi siempre peyorativa para la lengua del otro, se trate de una variante vernácula minorizada, como el patués, o de cualquier idioma extranjero ininteligible y por ello molesto a los autóctonos. El prejuicio lingüístico, constante universal que persiste en nuestro mundo globalizado bajo diversas formas, puede originarse por circunstancias históricas, en el caso de contactos entre pueblos por movimientos migratorios, conflictos bélicos o directamente por invasiones. Sería el caso del pidgin English para los súbditos de Su Majestad que se vieron obligados a aprender la lengua del Imperio, o del parler petit nègre de los africanos orientales en el siglo XIX. La algarabía es ahora sinónimo de confusión lingüística y antaño de lengua árabe, incomprensible para los peninsulares, «que hablaban en cristiano». En otras ocasiones, se trata del estereotipo de la cultura remota desconocida, como «Me suena a chino». Nuestra cata abarcará, entre otros, ejemplos en inglés, francés, castellano y catalán.
Resumo:
Acquis le 23 février 1856 de M. Benjamin Duprat, libraire, suite à la vente Hurez, pour le prix de 182 francs, cf. étiquette de papier vert collée au contreplat "BENJAMIN DUPRAT Libraire de l'Institut, de la Bibliothèque impériale etc. Langues et Littérature orientales. Paris, Cloître-Saint-Benoît, 7" (contreplat sup.); B.n.F., département des Manuscrits, registre des acquisitions 1848-1893, n° 5021 "Recueil de chartes des XIIe, XIIIe et XIVe s., cartulaire sur le Cambrésis, in 4° vél."; Delisle, Cab. des mss., II, 303
Resumo:
Síntesis actualizada de los estudios monográficos realizados sobre las cerámicas comunes y ánforas de la ciudad de Tarraco desde finales del s. IV hasta inicios del s. VIII. Se hace especial hincapié en los últimos hallazgos del siglo VII que reflejan una intensificación de la presencia de materiales orientales en la ciudad.
Resumo:
Contient : 1 « Testament de GUILLAUME LE HONGRE, chevalier de la ville de Metz... Ceste devise fust faitte devant feste S. Luc euvangeliste, quant il out a millair M.CCC.LIX ans » ; 2 « Testamentum GALESII DE BALMA, domini VALAFINI,... Actum et datum apud Montem Revellum, in castro nostro dicti loci, duodecima mensis augusti, hora meridiei, anno Domini millesimo trecentesimo sexagesimo secundo ». En latin ; 3 « Codicillus GALESII DE BALMA, domini VALAFINI ». Même date. En latin ; 4 « Testament de JEAN DE SAULZ, escuyer, seigneur DE COURTIVRON, chancelier de Bourgongne... Le mardy vint cinquiesme jour du mois de janvier, l'an de grace courant mille trois cent soixante et dix neuf » ; 5 « Testament de CATHERINE D'ESTRABONE, dame D'AUMONT ». Après 1456 ; 6 « Testament de Jean d'Arsonvalle, evesque de Chaalon. Tiré des registres du parlement de Paris ». 23 et 24 août 1416. En latin ; 7 « Testament de messire JEHAN DE CHALLON, prince D'ORENGE et seigneur D'ARLAY,... Faict et donné en mon chastel de Lyons le Saulnyer... le 21 d'octobre 1417... Extraict des registres de l'officialité de l'arcevesché de Bezançon » ; 8 Testament de « CLAUDE DE MONTAGU, chevalier, Sr DE COULCHES, DE LONGVY et D'ESPOISSE,... Le cinquiesme jour de... l'an mil IIII.C. cinquante et trois » ; 9 Extrait du testament de Pierre Berland, archevêque de Bordeaux. Samedi 5 février 1457. En latin ; 10 « Testamentum illustris comitis Troyae, Joannis Cossa, domini de Grimaldo et de Marignana, magni Provinciae senescalli ». Dimanche 15 septembre 1476. En latin ; 11 « Testament d'Olivier, seigneur de La Marche, conseiller et premier maistre d'hostel de Mr l'archiduc d'Austriche ». Bruxelles, 8 octobre 1501 ; 12 « Testament de PHILIPPE DE MONTAGU, comtesse DE JOIGNY » ; 13 « Testament de... Loys, Sr de Graville, admiral de France... Au chasteau de Marcoussys, l'an 1516, le jeudi 26 juing » ; 14 « Testamentum Claudii de Seyssel, archiepiscopi Taurinensis ». Turin, dimanche 27 mai 1520. En latin ; 15 Testament de « GUILLAUME BUDE, conseiller du roy, maistre des requestes ordinaire de son hostel, et maistre de sa librairie... 23 juin 1536 » ; 16 Testament de « Guillaume Du Bellay, seigneur de Langey et Glatigny,... lieutenant general en Italye... Turin, le 13 novembre 1542 » ; 17 « Testament de Michel Nostradamus,... docteur en medecine et astrophile de la ville de Salon... 17 juin 1566 » ; 18 « Testament de Caesar de Nostredame, gentilhomme ordinaire de la chambre du roy... Salon, 23 janvier 1630 » ; 19 Testament d'« ODINET GODRAN, baron D'ANTILLY, president au parlement de Bourgoigne ». 3 février 1581 ; 20 « Testament de JACQUELINE DE ROHAN, marquise DE ROTHELIN ». Décédée en 1586 ; 21 Testament de FRANÇOIS, duc D'ALENÇON, fils de Henri II, roi de France. Château-Thierry, 8 juin 1584 ; 22 Testament de « JEANNOT PATOILLET, protonotaire du S. Siege... demeurant à S. Ligier ». 22 juillet 1585 ; 23 Lettres de légitimation accordées par HENRI III, roi de France, à « Lune Patouillet, fille naturelle de Jeannot Patouillet et Jeanne Sailliot, du village d'Estrevaut, bailliage de Dijon... Donné à Dijon, au mois de febvrier, l'an 1575 » ; 24 à 26 Épitaphes d'«Odet Patoillet, d'Estrevaux », Richard Patoillet, et Jeannot Patoillet, le protonotaire. 1543, 1546, 1585. La première est en français, les deux autres sont en latin ; 27 Testament de « JAQUES DE GERMIGNY, Sr DE GERMOLLES, chevalier de l'ordre du roy, conseiller et maistre d'hostel ordinaire de sa maison, et cy devant ambassadeur pour S. M. en Levant », et de « JEHANNE BORLETTE, femme dud. Sr de Germigny,... Novembre 1585, en [la] ville de Chalon » ; 28 « Advis de conseil au proces de Mrs [Henri] de Vienne », baron de Chevreau, et François de Vienne, chevalier de Malte, « contre [Claude de La Baume], archevesque de Besançon ». Avant 1582. Commence par un extrait du testament de « dame JEHANNE DE MONBELIARD, [femme de] Loys de Chalon, prince d'Oranges et Sr d'Arlay » ; 29 Testament de « François, filz de feu Henry de Vienne, baron de Chevreaul,... Mostier, 25 octobre 1596 » ; 30 « Testamentum ROBERTI, cardinalis BELLARMINI,... Die 23 januarii, anno 1611 ». En latin ; 31 « Testament de FRANÇOIS PITHOU,... 20 novembre 1617 » ; 32 « Testament de PHILIPPE-GUILLAUME, prince D'ORANGE,... Faict à Bruxelles, le 20 de febvrier 1618 » ; 33 « Testament de messire GUILLAUME DU VAIR, evesque de Lizieux et garde des sceaux de France ». Du 10 juin au 5 juillet 1620 ; 34 « Testament de messire ANTHOINE FAVRE, baron de Peroges, de Domessin,... premier president au senat de Savoye... Faict à Chambery... ce 15 febvrier 1624 » ; 35 « Testamento di Leonor de Semeur, sigr de Tremon,... governatore per il re christianissimo di Francia della citta et paese di Macon di Bergongna... Nel... monasterio di molto reverendi padri capucini... sito sopra le fini d'Asti ». 14 juillet 1625. En italien ; 36 « Testament de Gabriel de Ste Marie, archevesque de Reims... Reims, 27 septembre 1628 » ; 37 « Exemplar testamenti cardinalis LUDOVISII ». Bologne, 10 avril 1629. En latin ; 38 « Testament de Nicolas Claude Fabri, seigneur de Peiresc, seigneur et abbé de Guistres, baron de Rians, conseiller du roy en sa cour de parlement de Provence... Aix, 22 juin 1637 » ; 39 Pièce imprimée, de 16 pages, contenant le « Testament de Mr le cardinal DE RICHELIEU ». Narbonne, 23 mai 1642 ; 40 « Testament d'ANNE DE MONTAFIE, comtesse DE SOISSONS,... Faict en mon chasteau de Creil, le 30 octobre 1642 » ; 41 « Premier testament de Gabriel de Syon,... prestre, docteur on theologie... et professeur royal... es langues orientales... Ligny le Chastel, 8 juin 1648 » ; 42 « Second Testament » du même. « Fontaine en Duesmois, 29 juin 1648 » ; 43 « Testament de CLAUDE DE SAUMAISE, chevalier de l'ordre du roy et conseiller en ses conseils d'Estat et privé... Spa, le 30 aoust 1653 » ; 44 Testament de « JEAN QUENAULT, conseiller du roy en ses conseils, et cy devant secretaire des commandemens de la feue reine Marie de Medicis,... Paris, 4 febvrier 1655 » ; 45 « Testament et codicille de Pierre Gassendi, prestre, prevost de Digne et professeur royal aux mathematiques à Paris ». 17 et 18 septembre 1655 ; 46 « Testament de Jules, cardinal Mazarin, duc de Nivernois et Donziois, pair de France ». Vincennes, 3 à 7 mars 1661 ; 47 « Testament d'Anne d'Autriche, royne de France et de Navarre... S. Germain en Laye, 13 aoust 1665 » ; 48 Pièce imprimée, de 6 pages, contenant le testament de « LOUIS DE LA RIVIERE, evesque de Langres... Petit Bourg, 22 may 1669 » ; 49 « Testamentum THEOPHILI VIAUT,... Datum in aula burgundica ». 1626. En latin ; 50 « Ejusdem epitaphium ». En latin ; 51 « Testamentum christianum cardinalis RICHELII ». En latin ; 52 « Testamentum politicum ». En latin ; 53 « Testamento della citta di Candia. Copia tratta da Pasquino, notaro publico ». En italien ; 54 « Testamento del Ruyseñor de Sa Eminencia ». En espagnol ; 55 « Epitaphio del Ruyseñor ». En espagnol
Resumo:
Les Ephéméroptères constituent un ordre très archaïque d?insectes ailés, comprenant un nombre réduit d?espèces (actuellement environ 2500 espèces). Les larves sont aquatiques; la durée de ce stade est en général d?une année. Le stade adulte est par contre extrêmement bref: de quelques heures à quelques jours. La fonction quasi unique de ce stade est la reproduction. Par sa superficie, Madagascar est la quatrième île du monde. Elle est située dans la partie occidentale de l?Océan Indien à plus de 300 km de la côte africaine. Madagascar faisait partie du super-continent Gondwana. Elle s?est séparée de l?Afrique (-165 M.a.), puis a migré vers le Sud (-125 M.a.) avant de se détacher du sous-continent indien (-65 M.a.). La connaissance des Ephéméroptères malgaches était, jusqu?à très récemment, extrêmement limitée. Grâce au programme Biodiversité et biotypologie des eaux continentales malgaches, lancé conjointement par l?ORSTOM (actuel IRD, France) et le CNRE (Madagascar), un inventaire à large échelle de la macrofaune benthique malgache a été entrepris. La systématique de plusieurs familles d?Ephéméroptères (Tricorythidae, Polymitarcyidae, Palingeniidae,?), ainsi que d?autres groupes d?invertébrés (Trichoptères, Simuliidae, macrocrustacés) a fait l?objet d?études approfondies. La présente étude consistue un des volets de ce programme. Jusqu?au milieu des années 1990, seules quatre espèces valides appartenant à trois genres différents étaient décrites de Madagascar. En 6 ans, ce ne sont pas moins de 25 articles qui sont consacrés à la systématique des Baetidae, permettant de décrire 50 espèces et 8 genres nouveaux. La faune malgache des Baetidae compte actuellement 22 genres et 54 espèces. Malgré sa taille, Madagascar possède une richesse, tant générique que spécifique équivalente à celle d?un continent. Notre connaissance des Baetidae est suffisamment avancée pour mener une étude cladistique et biogéographique. La reconstruction phylogénétique a permis de mettre en évidence cinq lignées principales à Madagascar et de préciser, pour chacune d?elles, les genres inclus et les caractères propres. La faune des Baetidae malgaches présente un taux d?endémicité très élevé: 53 des 54 espèces et un tiers des genres sont endémiques. Elle montre des affinités extrêmement fortes avec la faune africaine, puisque 90% des genres présents à Madagascar ou en Afrique ont une répartition strictement restreinte à cette région. Les autres composantes, notamment orientales et océaniennes, sont négligeables; ces régions n?ont en commun avec Madagascar qu?un nombre restreint de genres cosmopolites. Ces affinités sont en contradiction avec les données géologiques de la dislocation du Gondwana. Plusieurs explications peuvent être données pour résoudre cette contradiction. La plus vraisemblable est que le pouvoir de dispersion des Ephéméroptères, et des Baetidae en particulier, est nettement sous-estimé. L?étude des faunes des îles volcaniques récentes, telles que les Comores, démontre clairement que les Baetidae sont capables de dispersion sur une distance de plus de 300 km. Il est donc possible d?envisager une colonisation de Madagascar à partir de l?Afrique continentale postérieure à la séparation des deux plaques. Nous avons établi des scénarios retraçant l?histoire biogéographique de chacune des cinq lignées. Pour quatre d?entre elles, l?Afrique continentale est le centre d?origine. La cinquième lignée aurait une origine paléarctique; l?Afrique représenterait un centre secondaire de spéciation. Ces lignées auraient secondairement colonisé Madagascar à partir de l?Afrique continentale. Ce travail ouvre donc d?importantes perspectives. Il rend possible l?utilisation à un niveau générique, voire spécifique, des Baetidae pour des travaux de faunistique ou d?écologie, en particulier pour des études liées à la dégradation de la qualité de l?eau. Il devrait également pouvoir servir de base pour l?étude et la compréhension des phénomènes de dispersion et colonisation dans les îles et archipels de l?Ouest de l?Océan Indien.<br/><br/>Mayflies (Ephemeroptera) are among the oldest known flying insects and encompass a very small number of species (ca 2500 species). Larvae are strictly freshwater inhabitants; this stage lasts generally one year. The imaginal stage is extremely short, from few hours to few days, and is devoted almost entirely to reproduction. Madagascar is the fourth largest island in the world by area. It is situated in the western part of the Indian Ocean, at a distance of more than 300 km from the African coast. Madagascar belonged to Gondwana. It was first separated from the African plate (-165 M.y.), then moved to the South (-65 M.y.), before the break-off with the Indian plate (-65 M.y.). Knowledge of the Malagasy mayflies was until recently extremely poor. The program Biodiversity and Biotypology of Malagasy Freshwaters, jointly run by the French ORSTOM and the Malagasy CNRE, began a global survey of the freshwater macroinvertebrates. The systematics of several mayfly families (Tricorythidae, Polymitarcyidae, Palingeniidae,?), and other invertebrate groups (Caddisflies, Blackflies,?) was the subject of ground studies. Our present study is one part of this global program. Until the middle of the nineties, only four baetid species belonging to three different genera had been described from Madagascar. During the last six years, 25 papers were dedicated to the systematics of the Baetidae, allowing the description of 50 new species and 8 new genera. The Malagasy fauna encompasses now 22 genera and 54 species. Despite its size, Madagascar has the same diversity, at specific and generic level, as a continent. Our knowledge of the Baetidae is sufficient to perform a cladistic and biogeographical study. Our phylogenetic reconstruction allows us to propose five main lineages and to indicate, for each of them, the genera included and their features. The Malagasy fauna of Baetidae possesses a high level of endemicity: 53 of the 54 species and one third of the genera are endemic. It shows extremely strong affinities with the African fauna, as more than 90% of the genera present in Madagascar or in Africa have a distribution restricted to this area. Other components, especially Oriental and Oceanian, are negligible. These areas share with Madagascar only a few widespread genera. These African affinities are in contradiction with the geological events, especially the break-off history of Gondwana. Some explanations can be given to solve this contradiction. The most likely is that the dispersal power of the mayflies, especially of the Baetidae, is greatly underestimated. The study of recent volcanic islands, particularly of the Comoros, clearly demonstrates that the Baetidae are able to disperse over more than 300 km. Consequently, a colonisation by the Baetidae, of Madagascar from the continental Africa, after the break-off must be considered as possible. We have established scenarios explaining the biogeographical history of each of the five lineages. For four of them, Africa has to be regarded as the centre of origin. The fifth lineage probably has a Palearctic origin; Africa should be considered as a secondary centre of speciation. These lineages should have secondarily colonised Madagascar from continental Africa. This work opens up new perspectives. It allows the use of the Baetidae for faunistic and ecological studies, especially for problems related to water quality. It must be also considered as a first step for understanding the dispersion and colonisation of the islands of the western part of the Indian Ocean.
Resumo:
La revisión de estos bronces lleva a proponer una manufacturación indígena, una cronología inicial preibérica y una inspiración última en modelos orientales centromediterráneos presentes ya en la Península en horizontes anteriores o bien que reciben un nuevo impulso con las navegaciones fenicias o indígenas.
Resumo:
El valle de Ribes, situado en el extremo interior de los Pirineos orientales, representa una zona de transición entre las comarcas lluviosas del nordeste de Cataluña y el país relativamente seco y continental que se extiende por una gran parte de la vertiente meridional pirenaica.
Resumo:
Se presenta una lista de 19 táxones con interés corológico, del Alt Berguedá (Pirineos orientales), con algunas observaciones acerca de su ecología, y en algunos casos con su distribución en Cataluña. La lista incluye nuevas localidades pirenaicas para orófitos (Brassica repanda subsp. turbonis, Alyssum cuneifolium), plantas mediterráneas (Asparagus acutifolius, Arenaria modesta), sinantrópicas (Impatiens balfourii), etc.
Resumo:
En connexion avec un travail monographique sur la vallée de Ribes (Pyrénées orientales), l'auteur décrit huit associations nouvelles: Veronico (urticifoliae)-Betuletum, forêt acidophile et hygrophile propre aux versants très ombragés; Allio-Calamagrostietum arundinaceae, mégaphorbiée de l'alliance Calamagrostion; Bellardiochloo-Festucetum nigrescentis, pelouse' très acidophile peuplant les pentes rocheuses et chaudes de l'étage subalpin; Rhinantho (mediterranei)-Trisetetum flavescentis et Astrantio-Avenuletum pubescentis, prairies de fauche, la première ( al. Arrhenatherion') très étendue dans tout l'étage montagnard, la deuxième (al. Polygono-Trisetion) assez localisée dans le montagnard supérieur ; Gentianô' (luteae)-Trisetetum, type de prairie faisant le passage entre l'Arrhenatherion et le Mesobromion; et Swertio-Caricetum nigrae, bas marais d'haute montagne, silicicole mais pas nettement acidophile. Au sein de l'association Prunello-Sarothamnetum, l'auteur propose deux nouvelles sous-associations: buxetosum, la plus commune dans l'étage montagnard, et genistetosum purgantis, en contact avec le Genistion purgantis.
Resumo:
Coup d'oeil sur la flore de la vallée de Ribes (Pyrénées catalanes). On fait des commentaires critiques des principales publications apportant des données floristiques sur la contrée: le «Catàlech de la Flora de la Valí de Nuria», d'E. VAYREDA I VILA , la «Flora de la Valí de Nuria i els seus encontorns», de Frère SfeiMNEN, la «Flora de Catalunya», de J. CADEVALL I DARS et la «Végétation alpine des Pyrénées orientales», de J. BRAUNBLANQUET. On donne una liste partielle des espèces l'existence desquelles dans la région malgré y avoir été indiqués par divers auteurs parait inadmissible ou, au moins, fort douteuse. On indique la répartition dans la contrée de quelques plantes appartenant à des éléments phytogéographiques différents et on divise la contrée en des petits territoires, caractérisé chacun d'eux par de divers groupes d'espèces.
Resumo:
Les auteurs décrivent una nouvelle association de l'aliance Sedo-Scleranthion, le Trifolio-Thymetum caroli, jusqu'ici connu de la Cerdagne et de la vallée de -Ribes (Pyrénées orientales)