823 resultados para substance use disorders


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La schizophrénie est une maladie mentale grave qui présente une comorbidité fréquente avec la toxicomanie et avec divers troubles immunitaires. Une méta-analyse réalisée récemment dans notre laboratoire a montré une augmentation d’IL-6 (une cytokine pro-inflammatoire), du récepteur soluble d’IL-2 (un marqueur d’activation du système immunitaire), et d’IL-1RA (une cytokine anti-inflammatoire) dans la schizophrénie, suggérant l’existence d’un syndrome inflammatoire dans cette maladie. La toxicomanie aussi est associée au dérèglement du réseau des cytokines inflammatoires, mais les effets dépendent du type de drogues et ils sont parfois diamétralement opposés. On dispose encore de peu d’informations sur le statut immunitaire et inflammatoire des patients qui ont un double diagnostic de schizophrénie et de toxicomanie. Le but de ce travail était d’explorer l’existence d’un état inflammatoire systémique chez les patients schizophrènes et toxicomanes, et l’influence du traitement avec un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine. Les objectifs spécifiques étaient : 1) Mesurer les concentrations plasmatiques des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes et toxicomanes avant, pendant et après traitement avec la quétiapine ; et 2) Faire des études de corrélations entre les taux de cytokines, les symptômes cliniques, et la consommation de drogues. Les résultats montrent que comparativement aux contrôles normaux, les patients avec un double diagnostic présentent une augmentation d’IL-6, d’IL-1RA, du sIL-2R et d’IL-8 avant traitement à la quétiapine. Les augmentations des concentrations plasmatiques d’IL-1RA sont particulièrement importantes chez les patients avec double diagnostic, si on les compare à celles publiées chez les schizophrènes sans toxicomanie. Le traitement à la quétiapine n’influence pas les concentrations plasmatiques de ces cytokines, sauf sIL-2R qui augmente davantage au cours du traitement. Des corrélations positives de puissance modérée sont retrouvées entre IL-6 et dépression, IL-6 et alcool, IL-1RA et cognition, IL-8 et dépression, IL-8 et alcool, sIL-2R et cannabis. Notre étude révèle que la réponse inflammatoire est activée chez les schizophrènes et toxicomanes. De plus, la toxicomanie semble jouer un rôle facilitant ou potentialisateur dans les augmentations des taux circulants d’IL-1RA. Les études en cours sur différentes populations de schizophrènes avec ou sans toxicomanie, et chez des toxicomanes non schizophrènes permettront de préciser le rôle des différentes drogues d’abus dans le syndrome inflammatoire chez les schizophrènes, ainsi que les implications de ce syndrome sur le plan clinique et thérapeutique.

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Peu d’études explorent les fréquences de traumas et d’état de stress posttraumatique (ÉSPT) chez les itinérants, spécifiquement parmi ceux avec des troubles liés à l’utilisation de substances (TUS). L’objectif principal de cette étude était de mesurer les fréquences de trauma et d’ÉSPT parmi les usagers en traitement pour des TUS à Montréal. L’autre objectif était de vérifier les différences entre ceux ayant ou non un ÉSPT. 51 individus itinérants, 9 femmes et 42 hommes, ont constitué l’échantillon. L’âge moyen était de 46 ans (SD = 7.19). Les participants ont vécu en moyenne 4.24 (SD = 2.06) types de trauma. 49% de l’échantillon avaient potentiellement un diagnostic d’ÉSPT. La majorité avait: un parent alcoolique, vécu un trauma dans l’enfance et un soutien social faible. Les participants qui avaient potentiellement un diagnostic d’ÉSPT: avaient un parent alcoolique, vécurent un trauma dans l’enfance et utilisaient davantage de stratégies de coping inadaptées.

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Contexte Les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS) sont associés à une variété de troubles psychiatriques entre autre une instabilité comportementale et affective. Plusieurs études suggèrent que les antipsychotiques atypiques peuvent être utiles dans le traitement de la toxicomanie. L’objectif principal de la présente étude à devis ouvert est d’évaluer l’efficacité de la quétiapine sur les variables reliés à la toxicomanie chez des poly-toxicomanes sans psychose comorbide entrant en désintoxication. Méthodes Dans le cadre d’une étude pharmacologique à devis ouvert d’une durée de 12 semaines, trente-trois polytoxicomanes entrant en désintoxication et répondant à un ou plusieurs critères d’abus/dépendance à une substance du DSM-IV ont été recrutés. Les patients présentant un autre trouble comorbide à l’Axe I ont été exclus. Les envies de consommer, les quantités consommées, les jours de consommation ainsi que la sévérité de la toxicomanie ont été évalués au point de départ (semaine 0) et à la fin de l’étude (semaine 12). Les symptômes psychiatriques et dépressifs furent aussi évalués. Résultats 26 des 33 patients complétèrent plus de 9 semaines de traitement. Les résultats relatifs à la dernière observation reportée (LOCF) ont montré une amélioration significative des envies de consommer, des quantités consommées, des jours de consommation, de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et dépressifs. Conclusions Nos résultats ne peuvent être attribués en soi aux effets pharmacologiques de la quétiapine, et ce compte tenu d’abord du type d’étude à devis ouvert à laquelle nous avons procédée, ainsi que le petit nombre de sujets impliqués et enfin le fait que les participants étaient impliqués dans une thérapie intensive. Ceci dit, nos résultats suggèrent quand même que la quétiapine peut être bénéfique dans le traitement des toxicomanes entrant en désintoxication. Des études randomisées sont de mises pour déterminer la pertinence de ces résultats.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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La schizophrénie est une maladie complexe et a une prévalence approximative de 1% dans la population générale. Au sein des paradigmes neurochimiques, la théorie étiologique de la dopamine est celle qui prévaut alors que sont de plus en plus impliqués d’autres circuits de neurotransmission comme celui du glutamate. En clinique, les patients atteints de schizophrénie ont une grande propension à consommer des substances, particulièrement du cannabis. Nous avons cherché à étayer l’hypothèse d’un désordre du système cannabinoïde endogène, un important neuromodulateur. Ce mémoire propose d’abord dans un premier article une revue exhaustive de la littérature explorant le système endocannabinoïde et ses implications dans la schizophrénie. Puis, nous exposons dans un second article les résultats d’une recherche clinique sur les endocannabinoïdes plasmatiques dans trois groupes de sujets avec schizophrénie et/ou toxicomanie, pendant 12 semaines. Nous avons observé un effet miroir de deux ligands endocannabinoïdes, l’anandamide et l’oleylethanolamide, qui étaient élevés chez les patients avec double diagnostic et abaissés chez les toxicomanes, au début de l’étude. Au terme de l’étude, l’élévation des endocannabinoïdes s’est maintenue et nous avons supposé un marqueur de vulnérabilité psychotique dans un contexte de consommation. Finalement, nous avons analysé les résultats en les intégrant aux connaissances moléculaires et pharmacologiques ainsi qu’aux théories neurochimiques et inflammatoires déjà développées dans la schizophrénie. Nous avons aussi tenu compte des principales comorbidités observées en clinique: la toxicomanie et les troubles métaboliques. Cela nous a permis de proposer un modèle cannabinoïde de la schizophrénie et conséquemment des perspectives de recherche et de traitement.

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Introducción: el Trastorno Límite de la Personalidad afecta del 2% al 6% de los adultos en Estados Unidos. Es una condición de alta relevancia dentro de las patologías psiquiátricas debido a características como impulsividad, inestabilidad en las relaciones interpersonales, disregulación en el estado de ánimo y comportamiento agresivo. Esto determina un impacto negativo en la funcionalidad del individuo siendo la agresividad contra sí mismo o contra otras personas uno de sus componentes claves. Métodos: Revisión sistemática de la literatura de artículos de bases de datos y búsqueda manual de revistas relacionadas que aportaran la mejor evidencia con el fin de encontrar estudios que evaluaran, con instrumentos objetivos, los tratamientos farmacológicos disponibles para el manejo de la agresividad en el TLP .Se evaluó calidad metodológica y los estudios se organizaron en tablas de evidencia. Resultados: La búsqueda arrojo 1081 artículos de los cuales se seleccionaron 52 como potenciales y cinco fueron incluidos en esta revisión. Se clasificaron como nivel de evidencia Ib. El topiramato, el aripiprazol, el divalproato y la fluoxetina mostraron mejores resultados que el placebo especialmente en agresividad e impulsividad. El topiramato fue asociado con pérdida de peso. Los medicamentos fueron seguros y bien tolerados. Discusión: Los medicamentos evaluados mostraron ser mejores que placebo. La diversidad en las escalas utilizadas genera complejidad en la interpretación de resultados. Conclusión: La evidencia sugiere que el tratamiento farmacológico es efectivo en síntomas como agresividad e impulsividad comparado con placebo. Deben considerarse estudios que evalúen combinaciones de fármacos y psicoterapia.

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El trasplante de órganos y/o tejidos es considerado como una opción terapéutica viable para el tratamiento tanto de enfermedades crónicas o en estadios terminales, como de afectaciones no vitales, pero que generen una disminución en la calidad de vida percibida por el paciente. Este procedimiento, de carácter multidimensional, está compuesto por 3 actores principales: el donante, el órgano/tejido, y el receptor. Si bien un porcentaje significativo de investigaciones y planes de intervención han girado en torno a la dimensión biológica del trasplante, y a la promoción de la donación; el interés por la experiencia psicosocial y la calidad de vida de los receptores en este proceso ha aumentado durante la última década. En relación con esto, la presente monografía se plantea como objetivo general la exploración de la experiencia y los significados construidos por los pacientes trasplantados, a través de una revisión sistemática de la literatura sobre esta temática. Para ello, se plantearon unos objetivos específicos derivados del general, se seleccionaron términos o palabras claves por cada uno de estos, y se realizó una búsqueda en 5 bases de datos para revistas indexadas: Ebsco Host (Academic Search; y Psychology and Behavioral Sciences Collection); Proquest; Pubmed; y Science Direct. A partir de los resultados, se establece que si bien la vivencia de los receptores ha comenzado a ser investigada, aún es necesaria una mayor exploración sobre la experiencia de estos pacientes; exploración que carecería de objetivo si no se hiciera a través de las narrativas o testimonios de los mismos receptores

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El trastorno de hiperactividad y déficit de atención (THDA), es definido clínicamente como una alteración en el comportamiento, caracterizada por inatención, hiperactividad e impulsividad. Estos aspectos son clasificados en tres subtipos, que son: Inatento, hiperactivo impulsivo y mixto. Clínicamente se describe un espectro amplio que incluye desordenes académicos, trastornos de aprendizaje, déficit cognitivo, trastornos de conducta, personalidad antisocial, pobres relaciones interpersonales y aumento de la ansiedad, que pueden continuar hasta la adultez. A nivel global se ha estimado una prevalencia entre el 1% y el 22%, con amplias variaciones, dadas por la edad, procedencia y características sociales. En Colombia, se han realizado estudios en Bogotá y Antioquia, que han permitido establecer una prevalencia del 5% y 15%, respectivamente. La causa específica no ha sido totalmente esclarecida, sin embargo se ha calculado una heredabilidad cercana al 80% en algunas poblaciones, demostrando el papel fundamental de la genética en la etiología de la enfermedad. Los factores genéticos involucrados se relacionan con cambios neuroquímicos de los sistemas dopaminérgicos, serotoninérgicos y noradrenérgicos, particularmente en los sistemas frontales subcorticales, corteza cerebral prefrontal, en las regiones ventral, medial, dorsolateral y la porción anterior del cíngulo. Basados en los datos de estudios previos que sugieren una herencia poligénica multifactorial, se han realizado esfuerzos continuos en la búsqueda de genes candidatos, a través de diferentes estrategias. Particularmente los receptores Alfa 2 adrenérgicos, se encuentran en la corteza cerebral, cumpliendo funciones de asociación, memoria y es el sitio de acción de fármacos utilizados comúnmente en el tratamiento de este trastorno, siendo esta la principal evidencia de la asociación de este receptor con el desarrollo del THDA. Hasta la fecha se han descrito más de 80 polimorfismos en el gen (ADRA2A), algunos de los cuales se han asociado con la entidad. Sin embargo, los resultados son controversiales y varían según la metodología diagnóstica empleada y la población estudiada, antecedentes y comorbilidades. Este trabajo pretende establecer si las variaciones en la secuencia codificante del gen ADRA2A, podrían relacionarse con el fenotipo del Trastorno de Hiperactividad y el Déficit de Atención.

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Aunque han pasado cinco años desde su aprobación en Estados Unidos para el manejo de los Trastornos del Espectro Autista (TEA), en Colombia el uso de aripiprazol para esta indicación continúa siendo off-label. En este contexto, se ha propuesto la ejecución de una revisión sistemática de la literatura con el fin de conocer la eficacia y seguridad de esta estrategia terapéutica a la luz de la evidencia disponible en el manejo de niños y adolescentes con TEA

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Although traditionally obsessive-compulsive disorder (OCD) and impulse control disorders (ICD) have represented opposing ends of a continuum, recent research has demonstrated a frequent co-occurrence of impulsive and compulsive behaviours, which may contribute to a worse clinical picture of some psychiatric disorders. We hypothesize that individuals with 'impulsive' OCD as characterized by poor insight, low resistance, and reduced control towards their compulsions will have a deteriorative course, greater severity of hoarding and/or symmetry/ordering symptoms, and comorbid ICD and/or substance use disorders (SUD). The sample consisted of 869 individuals with a minimum score of 16 on the Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale (Y-BOCS). Of these, 65 had poor insight, low resistance, and reduced control towards compulsions ('poor IRC') and 444 had preserved insight, greater resistance and better control over compulsions ('good IRC'). These two groups were compared on a number of clinical and demographic variables. Individuals with poor IRC were significantly more likely to have a deteriorative course (p < 0.001), longer duration of obsessions (p = 0.017), greater severity of symmetry/ordering (p < 0.001), contamination/cleaning (p < 0.001) and hoarding (p = 0.002) symptoms, and comorbid intermittent explosive disorder (p = 0.026), trichotillomania (p = 0.014) and compulsive buying (p = 0.040). Regression analysis revealed that duration of obsessions (p = 0.037) and hoarding severity (p = 0.005) were significant predictors of poor IRC. In the absence of specific measures for impulsivity in OCD, the study highlights the utility of simple measures such as insight, resistance and control over compulsions as a phenotypic marker of a subgroup of OCD with impulsive features demonstrating poor clinical outcome. © 2012 Elsevier Ltd.

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Aims To describe, in the context of DSM-V, how a focus on addiction and compulsion is emerging in the consideration of pathological gambling (PG). Methods A systematic literature review of evidence for the proposed re-classification of PG as an addiction. Results Findings include: (i) phenomenological models of addiction highlighting a motivational shift from impulsivity to compulsivity associated with a protracted withdrawal syndrome and blurring of the ego-syntonic/ego-dystonic dichotomy; (ii) common neurotransmitter (dopamine, serotonin) contributions to PG and substance use disorders (SUDs); (iii) neuroimaging support for shared neurocircuitries between behavioural and substance addictions and differences between obsessivecompulsive disorder (OCD), impulse control disorders (ICDs) and SUDs; (iv) genetic findings more closely related to endophenotypic constructs such as compulsivity and impulsivity than to psychiatric disorders; (v) psychological measures such as harm avoidance identifying a closer association between SUDs and PG than with OCD; (vi) community and pharmacotherapeutic trials data supporting a closer association between SUDs and PG than with OCD. Adapted behavioural therapies, such as exposure therapy, appear applicable to OCD, PG or SUDs, suggesting some commonalities across disorders. Conclusions PG shares more similarities with SUDs than with OCD. Similar to the investigation of impulsivity, studies of compulsivity hold promising insights concerning the course, differential diagnosis and treatment of PG, SUDs, and OCD.

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Although traditionally obsessive-compulsive disorder (OCD) and impulse control disorders (ICD) have represented opposing ends of a continuum, recent research has demonstrated a frequent co-occurrence of impulsive and compulsive behaviours, which may contribute to a worse clinical picture of some psychiatric disorders. We hypothesize that individuals with 'impulsive' OCD as characterized by poor insight, low resistance, and reduced control towards their compulsions will have a deteriorative course, greater severity of hoarding and/or symmetry/ordering symptoms, and comorbid ICD and/or substance use disorders (SUD). The sample consisted of 869 individuals with a minimum score of 16 on the Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale (Y-BOCS). Of these, 65 had poor insight, low resistance, and reduced control towards compulsions ('poor IRC') and 444 had preserved insight, greater resistance and better control over compulsions ('good IRC'). These two groups were compared on a number of clinical and demographic variables. Individuals with poor IRC were significantly more likely to have a deteriorative course (p < 0.001), longer duration of obsessions (p = 0.017), greater severity of symmetry/ordering (p < 0.001), contamination/cleaning (p < 0.001) and hoarding (p = 0.002) symptoms, and comorbid intermittent explosive disorder (p = 0.026), trichotillomania (p = 0.014) and compulsive buying (p = 0.040). Regression analysis revealed that duration of obsessions (p = 0.037) and hoarding severity (p = 0.005) were significant predictors of poor IRC. In the absence of specific measures for impulsivity in OCD, the study highlights the utility of simple measures such as insight, resistance and control over compulsions as a phenotypic marker of a subgroup of OCD with impulsive features demonstrating poor clinical outcome. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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OBJECTIVE: The aims of the present study were to assess the associations between mood, anxiety and substance use disorders, including their subtypes, and the prevalence of cardiovascular risk factors (CVRFs). METHOD: Thorough physical investigations, biological measures and standardized interview techniques were used to assess 3716 subjects of an urban area, aged 35-66 years. RESULTS: Atypical depression was associated with increased prevalence of overweight, diabetes and the metabolic syndrome (OR = 1.5, 95% C.I. 1.1-2.0; OR = 2.0, 95% C.I. 1.1-3.5, OR = 1.6, 95% C.I. 1.0-2.4 respectively), whereas decreased prevalence of overweight was found in melancholic (OR = 0.7, 95% C.I. 0.6-0.9) and unspecified depression (OR = 0.8, 95% C.I. 0.7-1.0). Alcohol abuse was associated with diabetes (OR = 1.8, 95% C.I. 1.1-2.9) and dyslipidemia (OR = 1.3, 95% C.I. 1.0-1.8), alcohol dependence with dyslipidemia only (OR = 1.4, 95% C.I. 1.0-2.0). Almost all mental disorders were associated with a lifetime history of regular cigarette smoking, and atypical depression, alcohol misuse and drug dependence were associated with inactivity. CONCLUSION: To conclude results emphasize the need to subtype depression and to pay particular attention to the atypical subtype. Comorbid alcohol misuse may further increase the cardiovascular risk. Efforts to diminish smoking in subjects with mental disorders could be crucial measures to reduce their high incidence of cardiovascular disease.