461 resultados para S. suis
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Streptococcus suis est un important pathogène porcin et humain, causant méningites et septicémies. Des études suggèrent que S. suis dispose de facteurs de virulence, notamment sa capsule polysaccharidique (CPS), qui lui permettent de moduler les fonctions des cellules dendritiques (DCs), situées à l’interface entre l’immunité innée et adaptative. Les difficultés à développer un vaccin efficace suggèrent aussi une altération de la voie T dépendante. L’objectif général du projet était d’évaluer l’effet de S. suis sur l’activation des cellules T CD4+ ainsi que sur la capacité de présentation antigénique des DCs. Nous avons étudié dans un modèle murin in vivo la réponse T CD4+ mémoire lors d’infections primaire et secondaire. Une faible réponse mémoire centrale a été obtenue, suggérant que la réponse adaptative générée contre S. suis est limitée. Étant donné l’importance du complexe majeur d’histocompatibilité (MHC) de classe II dans la présentation antigénique, nous avons évalué in vitro et in vivo l’expression de ces molécules chez les DCs. Une modulation de l’expression du MHC-II par S. suis a été observée. L’analyse de la transcription de gènes impliqués dans la régulation transcriptionnelle et post-transcriptionnelle du MHC-II nous permet de suggérer que S. suis régule à la baisse la synthèse de nouvelles molécules et favorise leur dégradation lysosomale. Cette stratégie, dans laquelle la CPS ne jouerait qu’un rôle partiel, permettrait à S. suis d’échapper à la réponse adaptative T dépendante. Les résultats de cette étude fourniront de nouvelles perspectives dans la compréhension de la réponse adaptative lors de l’infection par S. suis.
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The porcine reproductive and respiratory syndrome virus (PRRSV) is one of the most important swine pathogens and often serves as an entry door for other viral or bacterial pathogens, of which Streptococcus suis is one of the most common. Pre-infection with PRRSV leads to exacerbated disease caused by S. suis infection. Very few studies have assessed the immunological mechanisms underlying this higher susceptibility. Since antigen presenting cells play a major role in the initiation of the immune response, the in vitro transcriptional response of bone marrow-derived dendritic cells (BMDCs) and monocytes in the context of PRRSV and S. suis co-infection was investigated. BMDCs were found to be more permissive than monocytes to PRRSV infection; S. suis phagocytosis by PRRSV-infected BMDCs was found to be impaired, whereas no effect was found on bacterial intracellular survival. Transcription profile analysis, with a major focus on inflammatory genes, following S. suis infection, with and without pre-infection with PRRSV, was then performed. While PRRSV pre-infection had little effect on monocytes response to S. suis infection, a significant expression of several pro-inflammatory molecules was observed in BMDCs pre-infected with PRRSV after a subsequent infection with S. suis. While an additive effect could be observed for CCL4, CCL14, CCL20, and IL-15, a distinct synergistic up-regulatory effect was observed for IL-6, CCL5 and TNF-α after co-infection. This increased pro-inflammatory response by DCs could participate in the exacerbation of the disease observed during PRRSV and S. suis co-infection.
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The porcine reproductive and respiratory syndrome virus (PRRSV) is one of the most important swine pathogens and often serves as an entry door for other viral or bacterial pathogens, of which Streptococcus suis is one of the most common. Pre-infection with PRRSV leads to exacerbated disease caused by S. suis infection. Very few studies have assessed the immunological mechanisms underlying this higher susceptibility. Since antigen presenting cells play a major role in the initiation of the immune response, the in vitro transcriptional response of bone marrow-derived dendritic cells (BMDCs) and monocytes in the context of PRRSV and S. suis co-infection was investigated. BMDCs were found to be more permissive than monocytes to PRRSV infection; S. suis phagocytosis by PRRSV-infected BMDCs was found to be impaired, whereas no effect was found on bacterial intracellular survival. Transcription profile analysis, with a major focus on inflammatory genes, following S. suis infection, with and without pre-infection with PRRSV, was then performed. While PRRSV pre-infection had little effect on monocytes response to S. suis infection, a significant expression of several pro-inflammatory molecules was observed in BMDCs pre-infected with PRRSV after a subsequent infection with S. suis. While an additive effect could be observed for CCL4, CCL14, CCL20, and IL-15, a distinct synergistic up-regulatory effect was observed for IL-6, CCL5 and TNF-α after co-infection. This increased pro-inflammatory response by DCs could participate in the exacerbation of the disease observed during PRRSV and S. suis co-infection.
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We investigated the effect of an extract from a helminth (Ascaris suum) in zymosan-induced arthritis (ZYA) or collagen-induced arthritis (CIA). Rats and mice, respectively, received 1 mg and 0.1 mg zymosan intra-articularly (i.a.). Test groups received an A. suum extract either per os (p.o.) or intraperitoneally (i.p.) 30 min prior to i.a. zymosan. Controls received saline. Hypernociception was measured using the articular incapacitation test. Cell influx, nitrite, and cytokine levels were assessed in joint exudates. The synovia and distal femoral extremities were used for histopathology. Cartilage damage was assessed through determining glycosaminoglycan (GAG) content. DBA/1J mice were subjected to CIA. The test group received A. suum extract i.p. 1 day after CIA became clinically detectable. Clinical severity and hypernociception were assessed daily. Neutrophil influx was determined using myeloperoxidase activity. The A. suum extract, either i.p. or p.o., significantly and dose-dependently inhibited cell influx and hypernociception in ZYA in addition to reducing GAG loss and ameliorating synovitis. The A. suum extract reduced i.a. levels of NO, interleukin-1 beta (IL-1 beta), and IL-10 but not tumor necrosis factor alpha (TNF-alpha) in rats subjected to ZYA while reducing i.a. IL-10, but not IL-1 beta or TNIT-alpha, levels in mice. Clinically, mice subjected to CIA treated with the A. suum extract had less severe arthritis. Hypernociception, myeloperoxidase activity, and synovitis severity were significantly reduced. These data show that a helminth extract given p.o. protects from arthritis severity in two classical arthritis models. This A. suum effect is species independent and functions orally and parenterally. The results show clinical and structural benefits when A. suum extract is given either prophylactically or therapeutically.
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Tese de doutoramento em Ciências da Educação
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Résumé I (Pratiques Pédagogiques)- Ce compte-rendu du stage réalis pour ma deuxième année de master rapporte le résultat de l’observation des cours donnés à trois élèves de niveaux différents par le professeur de harpe de l’Ecole de Musique « Nossa Senhora do Cabo » à Linda-a-Velha, commune de Oeiras, située près de Lisbonne. Grâce à l’activité du professeur, et par le suivi de l’évolution de ses élèves tout au long de l’année scolaire 2012-2013, tant sur le plan technique que sur le plan musical, j’ai pu participer à toutes les étapes de leur apprentissage et retrouver quelques principes pédagogiques fondamentaux. Ainsi, j’ai constaté la nécessité d’une organisation didactique solide dans la définition d’objectifs, la planification du travail, le choix des méthodes d’étude, mais souple par la régulation des rythmes d’apprentissage et des techniques d’acquisition. La métacognition est aussi une notion composante essentielle de la pratique du professeur, dont un des grands objectifs est de développer chez ses élèves la capacité de se prendre en charge seul. J’ai également apprécié l’importance de l’aspect relationnel intrinsque à toute situation d’apprentissage, ainsi que celle de la connaissance des théories de la motivation, atout important permettant d’agir au niveau psychologique sur les élèves et d’obtenir à plus ou moins long terme des changements comportementaux influents sur la qualité de ces apprentissages. J’ai enfin essayé de dégager différents types d’approches pédagogiques possibles, parmi les stratégies observées chez le professeur, ainsi que d’après quelques éléments de réflexion personnelle.
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Á... Á propos d’Erosphère propos d’Érosphère, dans un entretien pour la Revue LIEN2 en 1992, François Bayle explique que le projet d’une Suite fut déclenché par la composition de la 1ère œuvre du cycle – Tremblement de terre très doux. Il y indique : « je me suis petit à petit aperçu, en réalisant cette pièce, que j’y traitais d’un problème inhérent à l’acous- matique : celui du désir, [...] c’est-à-dire des sons appétissants, des sons voluptueux, ce qui m’a entraîné vers un projet plus vaste que j’ai appelé Érosphère, cette loi de gravitation du désir. »3 Plus tard le compositeur déclare : « Au moment d’Érosphère mon projet portait sur les mécanismes du désir, l’érotisme sonore, d’où le titre d’Éros- phère. Découvrir les archétypes érotiques des formes sonores. »4 Dans les notes qui accompagnaient la première édition en disque, Bayle présente sa définition du mot Érosphère : Ce tissu nerveux qui enveloppe notre monde habité d’un réseau d’ondes modulées à une infinité de fréquences, ce nuage de chaleur infra et supra sensorielle que diffusent des mégas milliards d’ émetteurs biologiques, cet anneau où circule la force de ce cosmos, je l’appelle l’érosphère.
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Com a finalidade de caracterizar efetivamente a septicemia na salmonelose prolongada, em 6 pacientes, dos quais 2 com resistência antibiótica e quimioterápica, procedeu-se a hemoculturas seriadas, consecutivas ou não, durante um período que oscilou entre 25 e 113 dias. Em cada paciente, numa média de 7 hemoculturas, foram isoladas, respectivamente, as seguintes salmonelas: S. typhi, S. paratyphi C, S. panamá, S. cholerae-suis var. Kunzendorf e S. paratyphi A. No caso em que se isolou a S. paratyphi A, em uma das hemoculturas isolou-se, também, a S. montevideo. A duração média da septicemia nos 6 pacientes foi de 73 dias. A se considerarem procedentes os informes dos pacientes quanto ao início da doença, a septicemia, com tôda a probabilidade, deve ter tido a duração média de 4 meses. Por outro lado, tomando por base a identidade do quadro clínico e a coincidência fisiopatológica dos casos estudados, é possível admitir-se a ocorrência de septicemias de longa duração nos demais 31 casos pelas seguintes salmonelas: S. newport, S. dublin, S. cholerae-suis, S. typhimurium, S. anatum, S. derby, e Salmonellas sp (não sorològicamente identificadas). Com base nestes achados, o A. acredita não ser possível admitir-se, na salmonelose em estudo, a diferença fundamental entre salmonelas adaptadas ou não à espécie humana, conforme preceitua a Doutrina de Kiel; considera, também, limitadas as restrições preconizadas pela Doutrina de Montevidéu aos conceitos fisiopatogenéticos da escola alemã. De fato, salmonelas do grupo tifiparatifi e outras consideradas adaptadas aos animais têm produzido, indistintamente em crianças e em adultos, quadros clínicos indistinguíveis, nos quais transcende a septicemia de longa duração e tornam-se manifestas a disproteinemia marcante e a hiperplasia do S.R.E. Finalmente, discute-se no trabalho o papel representado por uma srie de fatores que podem atuar, acarretando alterações no organismo parasitado e criando condições à multiplicação das salmonelas e à manutenção da infecção. Dentre êles foram ressaltados: a associação parasitária, especialmente a esquistossomose mansoni; a desnutrição crônica; a disproteinemia marcante, seja devida à deficiência de prótides, seja em decorrência ao estado reacional do S.R.E., seletivamente agredido pelas salmonelas; modificações do estado imunitário, quer por inibição da anticorpogênese e da fagocitose, quer devida à inadequada propriedade imunológica das globulinas, extraordinariamente aumentadas na doença.
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Relatório de estágio de mestrado em Ensino de Informática
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Las enfermedades infecciosas bacterianas del perro de mayor importancia en salud pública son la Brucelosis y la Leptospirosis canina. Ambas enfermedades se encuentran mundialmente difundidas. En nuestro país no se conocen datos concretos de prevalencia. Si bien las pérdidas que generan en criaderos comerciales son cuantiosas, no se comparan con el riesgo zoonótico que estas patologías representan para la comunidad. El agente etiológico de la Brucelosis en el perro, es principalmente B. canis , aunque también se describen infecciones con cepas de B. abortus</i>, melitensis</i> y suis.El diagnóstico de esta enfermedad es diferente según el tipo de cepa actuante. (...) El agente etiológico de la Leptospirosis en el perro es principalmente Leptospira canicola, pero también se afecta con otros serovares del género L. interrogans. Este animal juega un rol muy importante como diseminador del microorganismo en el medio ambiente y de allí la posibilidad de contagio al hombre, ya que la enfermedad se transmite por contacto directo con material contaminado como agua, tierra, vegetales contaminados con orina de animales infectados. (...) Objetivo general: Se plantea como objetivo del presente proyecto, determinar la tasa de infección a B. spp, y Leptospira interrogans en los perros ingresados al hospital de Clínica Animal de la Facultad de Agronomía y Veterinaria de la Universidad Nacional de Río Cuarto. Objetivos específicos: 1. Elaborar el antígeno para realizar la técnica de Inmunodifusión utilizada en el diagnóstico de Brucella canis. 2. Realizar la técnica de ID y compararla con los resultados obtenidos mediante técnicas de aglutinación capaces de detectar la infección por B. abortus. (BPA, Rosa de Bengala, 2ME, Lenta en tubo Wright). 3. Hemocultivo de animales serológicamente positivos a Brucella sp. 4. Determinar mediante la técnica de microaglutinación, las tasa de infección frente a distintos serovares de Letospira interrogans.
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Las Clamidias son bacterias patógenas de los animales de producción, de vida silvestre y de compañía. Además de las pérdidas económicas que producen las infecciones en los planteles de producción bovina, ovina, caprina, porcina y aves de corral, la mayoría de las especies tienen importancia zoonótica, pudiendo dar origen a infecciones graves, potencialmente letales en el ser humano. El orden Chlamydiales está integrado por bacterias que actúan como parásitos intracelulares obligados que desarrollan su ciclo de vida únicamente dentro de inclusiones citoplasmáticas. En este orden se encuentra la familia Chlamydiaceae que comprende dos géneros, Chlamydia y Chlamydophila; y las especies, Chlamydia trachomatis, C. suis, C. muridarum, Chlamydophila psittaci, C. abortus, C. felis, C. caviae, C. pecorum, y C. pneumoniae. C. psittaci causa psitacosis o clamidiosis aviar. En Argentina, los primeros casos clínicos de psitacosis fueron reportados en 1929. Los criadores de aves y quienes las poseen como mascotas, representan el grupo de mayor riesgo; pero también las personas que trabajan en pajarerías y aquellas que por su empleo se ven expuestas a contraer la enfermedad (empleados en peladeros donde se carnean y procesan pollos y otras aves para consumo, veterinarios, empleados de zoológicos, etc.). La infección en humanos se presenta como una neumonía severa; con fiebre alta, escalofríos, dolor de cabeza, mialgia y dificultad respiratoria. Ocasionalmente puede presentarse vómitos, dolor abdominal, diarrea y complicaciones como miocarditis, endocarditis, encefalitis, ictericia y fallas multiorgánicas, que pueden ser fatales sino se le administra el tratamiento adecuado. La infección en las mujeres embarazadas puede producir neumonía, hepatitis, insuficiencia renal, sepsis, parto prematuro y muerte fetal. Existen más de 465 especies de aves en las que se registró C. psittaci, incluyendo ornamentales, de corral, silvestres, acuáticas y palomas. Las patologías que pueden producir en estos animales son neumonitis, conjuntivitis, encefalomielitis, placentopatías, fetopatías, anorexia, diarrea e infecciones persistentes asintomáticas u oligosintomáticas. En bovinos, C. pecorum, C. abortus y C. psittaci producen infecciones respiratorias y genitales; que se presentan como cuadros de enteritis, artritis, encefalomielitis, endometritis e hipofertilidad. En Argentina, la infección clamidial en el ganado caprino fue asociada a daños en el tejido uterino, abortos, partos prematuros y crías débiles. En equinos, C. psittaci y C. pneumoniae producen abortos y desrdenes respiratorios, con un gran impacto en ganadería que redunda en pérdidas económicas. Considerando que existen escasos estudios eco-epidemiológicos y clínicos que reporten el estado de situación de estas infecciones en nuestro medio, es que el presente trabajo propone actualizar y profundizar el conocimiento de las especies de Clamidias de importancia médico-veterinaria presentes en la provincia de Córdoba, Argentina. El desarrollo de este proyecto aportará la implementación de técnicas que mejorarán el diagnóstico microbiológico, confirmarán los cuadros clínicos; y por lo tanto contribuirá al conocimiento de estos agentes infecciosos en nuestra región. Esta información es indispensable para los organismos responsables de la Salud Pública (Ministerios de Salud y Educación, Municipios, etc.) para que puedan obrar en consecuencia y generar sistemas de alerta temprana, tomar medidas de prevención y medidas de control frente a la presencia de un brote epidémico por alguna cepa clamidial. "Eco epidemiology of Chlamydophila psittaci, C. pecorum and C. pneumoniae: Impact on public health "The Chlamydiae are bacterial pathogens of farm animals, wildlife and pets. Besides the economic losses that occur on campuses infections of cattle, sheep, goats, swine and poultry, most species are zoonotic, infections potentially fatal can cause in humans. The order Chlamydiales is composed of the family Chlamydiaceae comprising two genera, Chlamydia and Chlamydophila, and nine species, Chlamydia trachomatis, C. suis, C. muridarum, Chlamydophila psittaci, C. abortus, C. felis, C. caviae, C. pecorum, and C. pneumoniae. The clinical manifestations in humans are associated with severe pneumonia. Also, nonspecific gastrointestinal symptoms, and complications such as myocarditis, endocarditis, encephalitis, jaundice and multiple organ failure. There are over 465 species of birds where recorded C. psittaci, including ornamental plants, poultry, wild waterfowl and pigeons. Sick birds eliminate chlamydia in all secretions, asymptomatic birds can develop the disease through contact with other infected birds. The human infection occurs by inhalation of aerosolized secretions of infected birds. The prevalence of C. psittaci records in humans, birds, horses, goats and cattle are scarce in Latin America. In Argentina it has been detected chlamydial antibody prevalence in cattle in Buenos Aires and La Pampa (5) and Rockhopper Penguins (Eudyptes chrysocome) in the town of Santa Cruz (11). Detect this pathogen in these birds and learn about potential sources of infection would be of great public health significance. To develop an efficient system of medical and veterinary surveillance is essential to have reliable diagnostic techniques for detection and identification of Chlamydia in birds, animals and humans.
Subsdio ao melhor conhecimento do tifo exantemático neotrópico no Brasil: presença do virus no leite
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In articles, already published, we have proved that the strain V. B. of Brazilian virus, goes through the placenta (Macacus rhesus) (1) and the apparently normal gastro-intestinal tube (1934-1937) (Canis familiaris) (2). Today we present the idea that the Brazilian virus can reach the milk of an animal even when the latter has only the unapparent disease. In former articles (**), we have shown that the goat (Capra hircus) can be an excellent reservoir of Brazilian virus, having the strain V. B. in its blood and presenting a Weil Felix reaction high and in group, with the disease unapparent. When the goats are bred in the laboratory, and even in some foci of the disease, they give a negative Weil Felix, being zero for all the nine strains of Proteus. In the interior of Brazil, in many localities, goats substitute cows, in supplying milk for children and adults, and in some districts goats milk is considered superior to cows milk, possessing marvellous qualities for men, women an children. Having proved, now, that goats milk can contain the virus even when the animal presents nothing clinically, and having also shown that this virus goes through the digestive tube apparently sound, it is easy to understand how infants-in-arms, that is, only a few months old, living in strictly domestic surroundings, can contract the disease; we have many such cases on record. Protocol of the experiments: Goat nº 2, white, January 1948. This animal had been inoculated with the V. B. strain of the Brazilian virus in June 1947, via intra-peritoneal, presenting nothing then, not even a feverish reaction. On that occasion it was not possible to isolate the virus of the blood, although the Weil Felix reaction was positive, high and in group. Now January 17, 1948, seven months later, the same animal was reinoculated with a semple of virus V. B. in the same manner (intra-peritoneal) two days after bringing forth two sturdy kids. The virus V. B. was obtained from guinea-pig n. 7170 whose thermic graph was as follows: Temperatura 38,8 39,1 39,5 39,4 39,8 40,4 40,2 40,1 - + Necropsy Typical lesions. The spleen weighed 5 grammes. With 3c.c. of emulsion from the nervous system of this guinea-pig, we inoculated not only the goat, as also two guineapigs, number 14 and number 5. The following is the thermic graph of one: - Guinea-pig n. 14 38,9 39,1 39,2 39.2 40,7 41,0 40,5 40,4 40,1 - + Typical lesions. Guinea-pig n. 2 presented the following thermic graph after the infective inoculation: - 39,5 39,7 39,7 39,7 39,5 39,3 39,5 39,5 39,5 etc. Clinically, this animal presented nothing unusual, feeding well and suckling the kids normally. The Weil Felix reaction was positive, in group high very similar to the reaction obtained in June 1947, with the first infective inoculation. On the third, fourth, fifth, sixth and seventh day after the infective inoculation, we took milk from the goat and inoculated male guinea-pigs via intra-celular and via intra-peritoneal, giving 5 c.c. to each animal. Guinea-pig n. 4663, inoculated with 5 c.c. of milk, via intra-muscular, taken on the third day of the infectaive inoculation, presented the following thermic graph: - 38.8 (*) 39,1 39,0 39,1 40,1 40,1 40,8 (**) 40,8 Killed Typical deisions (***). The virus V. B. of this goat, circulated naturally in the blood up to the third day, having passed into the milk, producing nothing in the kids, on account of the natural resistance of these animals to the disease. The Weil Felix reaction and that of Widal for the Burcellas suis, abortus and militensis were negative for the goat and the kids. It is remarkable that, even with inoculation of the living virus after a period of seven months we cannot get a real and absolute immunity of sensitive animals. We shall return to this subject later. The hart Mazama simplicicornis may be a carrier of the virus in Brasil. The experimental serum against the virus of Exanthematic neotropical typhus has not protected guinea-pigs.
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Experiments for the investigation of dehydrogenase activity of washed cells of a strains of Br. abortus and another of Br. suis in presence of different single added substrates are reported. The activity was measured as the amount of formazan produced by the reduction of 2, 3, 5-triphenyltetrazolum chloride acting as a hydrogen ions acceptor, at pH 7.0. In a general manner the dehydrogenase activity of Br. suis was much more intense than that of Br. abortus (fig. 5). In the conditions of the experiments Br. abortus oxidized L-arabinose, D-galactose, D-glucose, glycerol, D-xylose, DL-alanine, D-fructose, and D-sorbitol. Brucella suis oxidized D-xylose, L-arabinose, D-glucose, D-galactose, DL-alanine, sodium acetate, maltose, glycine, D-fructose, and D-sorbitol. Glycerol was oxidized by Br. abortus but its oxidation by Br. suir was very slight. Sodium acetate and maltose were intensely oxidized by Br. suir but not by Br. abortus. The sites of more intense enzymatic acitivity were seen as small red colored round granules located in one pole of the cells.
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Introduction 1.1 Le sujet cérébral, rencontre entre le biologique et le social L'objectif de ce travail est d'éclairer une des voies par lesquelles le phénomène anthropologique de l'individualité prend corps au sein de l'environnement contemporain. L'individualisme est compris comme les divers processus par lesquels la détermination du sujet tend à s'autonomiser des appartenances préconstituées. Il est la forme sociologique qui gouverne la façon contemporaine de faire société depuis l'avènement de la «modernité ». Le choix de l'angle de la cérébralité pour aborder la question de recherche repose sur le postulat qu'une des particularités culturelles de la figure du sujet individuel contemporain est la tendance à attribuer aux mécanismes cérébraux le rôle déterminant dans la constitution de la subjectivité du sujet. Dès lors, si aujourd'hui, penser le cerveau c'est penser l'humain, il s'agit d'un phénomène anthropologique qui demande à être explicité. Il m'appartient de démontrer que le champ des neurosciences se profile comme révélateur privilégié pour observer comment penser l'individualité concorde avec l'établissement de vérités relatives au cérébral' . Faire l'anthropologie du proche et de l'actuel a ses intérêts mais comporte aussi des risques. La perte de ce qui faisait le moteur de la recherche anthropologique -l'altérité donnée des sujets de son observation - a été compense par l'émergence de nouveaux objets de travail et par des reconfigurations des rapports que l'anthropologue entretient avec son terrain. Le renouvellement du cadre de réflexion opéré par l'anthropologie au cours du siècle écoulé suit les transformations des pratiques sociales, culturelles et économiques qui s'opèrent au niveau mondial. L'échelle désormais planétaire de la circulation des acteurs sociaux et des objets de savoir a forcé la discipline à revoir la grille de lecture qui a longtemps oppos sociétés traditionnelles à sociétés modernes. La prise de conscience de la caducité du grand partage a engagé les anthropologues à s'intéresser à des phénomènes en rapport avec des problèmes rencontrés au sein de leur propre collectif et, dans le même mouvement, les a amenée à repenser les articulations entre le global et le local, le particulier et l'universel. Le bouleversement heuristique généré par ce repositionnement n'est toutefois pas exempt de nouvelles difficultés pour la recherche ethnographique. En se posant le défi d'étudier des traits culturels propres à sa société d'appartenance, l'anthropologie s'ouvre à des terrains enquête sur la façon dont, dans le monde occidental, le constat toujours plus pesant de la discordance entre les phénomènes de vieillissement cognitif et l'allongement de l'espérance de vie est traité. Dans une démarche ethnographique, il s'agit de voir quelles sont les logiques d'action et les pratiques sociales développées en réponse à ces inadéquations. La thématique impose une navigation entre des domaines théoriques spécialiss et des champs d'activités possédant chacun leurs cadres de référence. Une telle entreprise suppose une multiplication des systèmes de référence devant être pris en compte. Toutes les disciplines approchées au cours de ce travail abondent en métaphores utiles à la mise en ordre de leur pense et à la description de leurs objets de travail. Toutefois, faire résonner entre elles les différentes «cultures épistémiques » (Knorr-Cetina, 1999) pour mieux faire apparaître la trame sociale qui constitue leur arrière-fond équivaut souvent à forcer le trait. Le sens des mots varie selon leurs champs d'application et l'exercice de la mise en résonance peut s'avérer périlleux. Je me suis efforcée tout au long de ces pages de préciser de quel point de vue les énoncés considérés sont formulés. L'analyse anthropologique étant guidée par la recherche des points de liaison entre les différents registres, la démarche est forcément limitée dans le niveau d'approfondissement auquel elle peut tendre. Elle risque de décevoir les lecteurs experts dans les domaines soumis à la grille de lecture de cette discipline, non familiers avec les concepts anthropologiques. Il est probable qu'un certain flou subsiste dans la façon dont ces énoncés sont décris par rapport au traitement dont ils sont l'objet dans leurs disciplines respectives. Si on perd de vue la préoccupation centrale de l'anthropologie, consistant à éclairer le système de valeurs commun sous-tendant les pratiques sociales observées, la lecture d'un tel travail risque effectivement de rater son but. En revanche, en acceptant d'emblée de se prêter à un décentrement par rapport à son modèle disciplinaire, le lecteur doit pouvoir appréhender des aspects intéressant ses propres pratiques. S'intéresser à ce qui relie les savoirs et les pratiques au sein d'un monde commun, voilà un programme heuristique qui va à l'encontre de la logique de spécialisation.
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Summary Several studies have demonstrated that the number of pollen donors siring seeds of individual fruits is frequently greater than one and, consequently, that plants have multiple mates. Multiple paternity can have important consequences at the population level. It influences the genetic variability of a population, the reproductive success of males and the fitness of females and future generations. It also influences male-male interactions for fertilization and it is fundamental in providing opportunity of female choice. I investigated the occurrence and the importance of multiple paternity within fruits in natural populations of the dioecious Silene latifolia using microsatellite DNA markers, especially developed for this study. I found that multiple paternity occurs in all populations investigated in the European range of the species, varying from one to nine sires per fruit with a mean of three, suggesting that multiple paternity is highly prevalent in natural populations. In the presence of multiple paternity I investigated if there was a female genotype influence on siring success of the males. I used the same pollen mixture from two males and applied it to three replicate females of different relatedness (two full sisters and one unrelated). I found female genotype influence in one of the two populations investigated, which might reflect different population history. Since these results suggested some degree of female choice, we investigated whether the occurrence of multiple paternity and post-pollination selection could provide opportunity for inbreeding avoidance. First, I measured inbreeding depression at different life-cycle stages for offspring obtained by single-donor crosses with brothers or unrelated males replicated on distinct flowers on the same female plant. To address inbreeding avoidance, I determined paternity in crosses using mixed pollen loads of the two males. I found significant inbreeding depression in the studied population, even under benign experimental conditions, and although the unrelated male did not sire significantly more offspring, there was an effect of genetic dissimilarity on paternity. This suggests that paternity is affected by relatedness among mates, but maybe additionally affected by other factors such as pollen competitive ability or male-female interactions. Using inbred and outbred crosses, I further investigated sex ratio bias inheritance in this species, and found that sex ratio bias of the parental generation was significantly correlated to pollen germination success of the F2 generation, which suggests that sex ratio bias in this species results from the specific X/Y combination and not only on Y performance. An effect of X and Y is consistent with sex chromosome meiotic drive. In conclusion, I found multiple paternity to be widespread in the study species and that females of similar genotype produce similar paternity shares. I found that inbreeding depression is substantial, therefore receiving pollen from several donors might lead to fewer inbred offspring, I also found an effect of genetic dissimilarity on paternity shares, which indicates that there is some ability to discriminate against related pollen, although this seems not to be the only determinant of paternity outcome. Finally I found sex ratio bias to be dependent on both X and Y chromosomes as predicted by sex chromosome meiotic drive. Résumé Plusieurs études ont démontré qu'il n'était pas rare que les graines contenues dans un même fruit soient issues de la fécondation par plusieurs pollens provenant de mâles différents, ce qui sous-entend que les plantes peuvent avoir plusieurs partenaires sexuels. La paternité multiple peut avoir d'importantes consquences au niveau populationnel dans la mesure où elle peut influencer le degré de variabilité génétique de la population, le succès reproducteur des mâles, la fitness des femelles et des futures générations. La paternité multiple peut également avoir un impact sur les interactions mâle-mâle lors de la fertilisation et peut être considérée comme fondamentale vis-à-vis de la femelle, qui y trouve alors une opportunité de choisir son ou ses partenaires. Dans le cadre de ce travail de thèse j'ai cherché à déterminer si la paternité multiple était un phénomène observable et important dans les populations naturelles de l'espèce dioïque, Silene latifolia. Pour ce faire, j'ai utilis des marqueurs microsatellites, spécialement développés pour cette étude. J'ai observé des phénomènes de paternité multiple dans toutes les populations de l'étude, réparties dans l'aire de distribution européenne de l'espèce. Le nombre de pères par fruit varie de un à neuf, avec un nombre moyen de trois, ce qui signifie que la paternité multiple est très répandue dans les populations naturelles. En raison de ces résultats, je me suis demandée si le génotype de la femelle influence le succès de paternité des mâles. J'ai alors réalis des pollinisations manuelles sur la base d'un mélange de pollens issus de deux mâles, que j'ai appliqué sur trois femelles (réplicats) présentant différents degrés d'apparentement (deux soeurs. et une femelle étrangère). Il ressort de cette expérience que le génotype de la femelle peut influencer la paternité dans l'une des deux populations étudiées, ce qui pourrait refléter des différences en terme d'histoire des populations. Dans la mesure où ces résultats suggèrent un certain degré de choix chez la femelle, j'ai cherché à savoir si la paternité multiple et la slection post-pollinisation pouvaient être des moyens d'éviter les croisements consanguins. Dans un premier temps, j'ai évalué la dépression de consanguinité à différentes étapes du cycle de vie chez des descendants issus de croisements à un seul donneur, celui-ci étant alternativement un frère ou un étranger, répliqués sur plusieurs fleurs d'une même plante femelle. Afin d'estimer l'évitement de croisements consanguins, j'ai effectué des croisements dont le pollen était un mélange des deux mâles (frère et étranger), puis j'ai déterminé la paternité dans les fruits obtenus. J'ai pu mettre en évidence un effet de dépression de consanguinité- significatif dans les populations étudiées, même dans des conditions expérimentales moins rudes qu'à l'extérieur. Bien que le mâle étranger n'ait pas engendré un nombre significativement plus important de graines, il y avait un effet de dissimilarité génétique sur la paternité. Ceci suggère que la paternité est affectée par le degré d'apparentement entre les partenaires, mais qu'elle peut aussi être affectée par d'autres facteurs tels que la compétitivité du pollen ou encore par les interactions mâles-femelles. L'utilisation de croisements consanguins et hybrides m'a également permis d'étudier l'héritabilité du biais de sex ratio chez cette espèce. Il s'est avéré que le biais de sex ratio de la génération parentale était significativement corrélé au succès de germination du pollen de la génération F2, ce qui signifie que, chez cette espèce, le biais de sex ratio résulte d'une combinaison spécifique de X/Y et non uniquement de la performance de Y. Un effet de X et Y est compatible avec l'hypothèse de distorsion de sgrégation méiotique des chromosomes sexuels. En conclusion, il ressort de mes résultats que la paternité multiple est un phénomène largement répandu chez S. latifolia et la paternité accomplie par un mâle est plus similaire entre soeurs qu'avec une femelle étrangère J'ai également mis en évidence que la dépression de consanguinité a un impact considérable; aussi, recevoir du pollen de plusieurs donneurs différents pourrait permettre à la femelle de produire moins de descendants consanguins. J'ai aussi trouvé un effet de la dissimilarité génétique sur le partage de paternité, ce qui indique que la discrimination contre le pollen d'apparentés est possible, bien que cela ne semble pas être le seul facteur déterminant dans le résultat de la paternité. Enfin, j'ai trouvé que le biais de sex ratio est dépendant des deux chromosomes X et Y, conformément à la théorie de distorsion de sgrégation méiotique des chromosomes sexuels.