La fin (l’infini) du bruit


Autoria(s): Pires, Isabel
Data(s)

22/06/2012

22/06/2012

2009

Resumo

Á... Á propos d’Erosphère propos d’Érosphère, dans un entretien pour la Revue LIEN2 en 1992, François Bayle explique que le projet d’une Suite fut déclenché par la composition de la 1ère œuvre du cycle – Tremblement de terre très doux. Il y indique : « je me suis petit à petit aperçu, en réalisant cette pièce, que j’y traitais d’un problème inhérent à l’acous- matique : celui du désir, [...] c’est-à-dire des sons appétissants, des sons voluptueux, ce qui m’a entraîné vers un projet plus vaste que j’ai appelé Érosphère, cette loi de gravitation du désir. »3 Plus tard le compositeur déclare : « Au moment d’Érosphère mon projet portait sur les mécanismes du désir, l’érotisme sonore, d’où le titre d’Éros- phère. Découvrir les archétypes érotiques des formes sonores. »4 Dans les notes qui accompagnaient la première édition en disque, Bayle présente sa définition du mot Érosphère : Ce tissu nerveux qui enveloppe notre monde habité d’un réseau d’ondes modulées à une infinité de fréquences, ce nuage de chaleur infra et supra sensorielle que diffusent des mégas milliards d’ émetteurs biologiques, cet anneau où circule la force de ce cosmos, je l’appelle l’érosphère.

Identificador

978-2-9532179-1-9

http://hdl.handle.net/10362/7348

Idioma(s)

fra

Publicador

Magison

Direitos

openAccess

Palavras-Chave #François Bayle #Acousmograph #Analyse musicale #Acousmatique #Image-de-son
Tipo

bookPart