541 resultados para Poésie africaine.
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This paper analyzes the rethinking of art criticism during French post-structuralism and deconstruction in the second half of the XX century. From Michel Foucault to Gilles Deleuze, from Jacques Derrida to Jean-Claude Lebensztejn, the article develops several conceptions and functions of art criticism by means of paradox, paying special attention to Henri Michaux’s essay on René Magritte En rêvant à partir de peintures énigmatiques [Dreams like Enigmatic Paintings].
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This article with the conception of space in Paul Celan's poetics, comparing it to Martin Buber's and developing a notion of 'realisation', important to both Celan and Buber. Partant du concept du fantastique en tant qu'espace dans laquelle les phénomènes sont véritablement perçus au lieu de simplement se dérouler, l'article montre comment la rupture avec la réalité accoutumée peut mener à une sensation intense de l'être. Chez Martin Buber se trouve la description d'un telle espace, où l'unité est créée à partir de la polarité de tout ce qui est. Le poème peut représenter un exemple d'un tel espace « réalisant ». La conception de l'espace chez Buber est démontrée en dialogue avec le poème STEHEN de Paul Celan, afin de montrer comment le monde réifié est « réalisé » par la poésie. Ainsi sont mis en valeur le rapport mutuel et le lien indispensable entre réalités sociales et la réalité du non-espace.
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La recherche sur le religieux en Afrique s’est beaucoup intéressée, ces vingt dernières années, au phénomène du « renouveau religieux », et elle s’est plutôt penchée sur la question des ruptures et des innovations qui en résultent. Le présent article interroge la réalité ce renouveau et explore, sur la base d’une étude de cas, la question des continuités et des ruptures dans les changements survenus [1]. Tout d’abord, il s’intéresse à la nature du renouveau religieux au Mozambique ; il examine ensuite les continuités historiques et dénominationnelles existantes au sein du renouveau pour discuter, dans une troisième section, l’impact des transformations religieuses sur la relation entre religion et politique. La conclusion tente, elle, de faire la part entre ruptures et permanences, et d’appréhender la question du renouveau au-delà de cette dichotomie.
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Thèse Docteur, EHESS, Discipline : Sociologie, 2004
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La critique a depuis longtemps identifié les lieux de lecture travaillés par les œuvres hébertiennes, de la Bible à Faulkner en passant par Chrétien de Troyes et les contes de fées. Mais si la lecture est un legs, un témoignage du passé qu’il est loisible d’interroger dans le présent de l’écriture, les œuvres d’Anne Hébert – l’adaptation cinématographique du Torrent en est l’illustration éclatante – constituent désormais un héritage dont les effets peuvent être analysés. Nous voudrions ici interroger ces deux modalités du legs d’Anne Hébert en nous attachant aussi bien aux traces des lectures de l’écrivaine qui parsèment son œuvre qu’à ce que cette dernière a légué en retour aux écrivains, ou cinéastes, qui lui succèdent. La présence de la bibliothèque de l’écrivaine au Centre Anne-Hébert est à cet égard à même d’ouvrir de nouvelles avenues de recherche, susceptibles de renouveler notre compréhension des œuvres. Ce n’est donc pas seulement d’intertextualité qu’il est question dans ces pages, ni de la notion ambigüe d’influence qu’elle était venue remplacer, mais bien de ce legs symbolique bien particulier que constitue la lecture. À quel héritage littéraire Anne Hébert a-t-elle puisé afin de rompre avec les discours social et littéraire du Canada français des années 1940? Quel traitement réserve-t-elle à l’héritage canadien-français, notamment religieux? Mais aussi, qu’en est-il, dans son œuvre, de cet enjeu majeur de la transmission, elle qui ne cesse de s’interroger, d’un texte à l’autre, sur les effets ineffaçables du passé à partir de son refoulement? Voilà quelques-unes des questions qui ont retenu l’attention des auteur(e)s de ce dossier, qui souhaite ainsi participer au renouvellement de la recherche sur cet aspect primordial du legs.
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Ce travail traite de la catégorie du « héros » et s'articule autour d'une comparaison entre les récits de la Grèce antique, principalement la poésie épique, et le Proche-Orient ancien, essentiellement les textes vétérotestamentaires - une étude dont l'objet est dès lors principalement textuel. Partant du constat, si simple mais lourd de conséquence, que le mot français « héros » vient du substantif grec rjpcoç, le texte débute par un travail de décentrement face aux référents contemporains liés à l'emploi du terme dans nos langues modernes : le « héros » n'est pas forcément le rjpcoç. Riche de cette analyse, la deuxième partie du travail se tourne vers l'Antiquité grecque, et plus précisément vers les poésies homérique et hésiodique. L'analyse de l'emploi du vocabulaire héroïque au sein de ces récits permet de cerner plus précisément les diverses figures appelées rjpcoç - figures qui semblent si différentes les unes des autres alors qu'elles partagent un qualificatif commun. Fort de cet apport quant à la compréhension du rjpcoç épique grec, une troisième partie questionne la présence de la catégorie du « héros » dans la Bible hébraïque mais aussi dans ses traductions en langues modernes. Constatant que le mot « héros » n 'apparaît jamais dans les langues anciennes que sont le grec de la LXX ou le latin de la Vulgate, les figures vétérotestamentaires sont repensées dans leur contexte proche- oriental, les voyant sous la lumière du Levant - lumière qui est la leur - et ce grâce au vocabulaire somme toute fort précis de la langue hébraïque. Finalement, une partie conclusive tente de mettre en exergue ce que la comparaison des récits grecs épiques et vétérotestamentaires a permis de soulever quant à leurs catégories « héroïques » respectives. L'enjeu est également de penser de manière critique ce que les cultures occidentales contemporaines nomment « héros », s'appuyant si souvent sur un « double héritage » gréco-romain et judéo-chrétien.
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Complainte (La) de Grece
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Daniel (Jehan), dit maistre Mîtou. Pronostication nouvelle (1533)
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« Ballet de l'Amour désarmé, dansé devant Monseigneur le Grand » (fol. 2). — « Ballet des supleeurs » (fol. 3). — « Le ballet du courtisan et des matrones » (fol. 4). — « La Mascarade des matrones » (fol. 17). — « Le Vray récit du ballet des matrones » (fol. 21). — « Récit du ballet des singes » (fol. 23). — « Le ballet des secrétaires de Saint-Innocent » (fol. 24). — Vers « pour le ballet des gentilhommes champetres habilléz à l'antique » (fol. 25). — « Dessein du ballet de Monseigneur le duc de Vendome » (fol. 26). — « Ballet de la Foire Saint-Germain (fol. 29). — « Ballet comique de la Reyne » composé pour les noces du duc de Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont en 1581, par Balthazard de Beaujoyeux, avec la collaboration de La Chesnaye pour les poésies et de Beaulieu pour la musique (fol. 48). — « A Monsieur de Malherbe, » poésie (fol. 88).
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Contient : I無依道人錄Wu yi dao ren lu.Entretiens de Wu yi dao ren ; II無相大師行狀Wu xiang da shi xing zhuang.Vie de Wu xiang da shi ; III禪宗永嘉集Chan zong yong jia ji.Collection de Yong jia, relative à la doctrine ; IV永嘉證道歌Yong jia zheng dao ge.Poésie sur la connaissance ; V天然是禪師梅花詩Tian ran shi chan shi mei hua shi.Poésies sur les fleurs de prunier ; VI天然是禪師雪詩Tian ran shi chan shi xue shi.Poésies sur la neige ; VII普明寺牧牛圖頌Pu ming si mu niu tu song.Planches et poésies au sujet du bœuf que l'on fait paître, de Pu ming si ; VIII眞寂和尚和牧牛圖頌Zhen ji he shang he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Zhen ji he shang ; IX報恩和尚和牧牛圖頌Bao 'en he shang he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Bao 'en he shang ; X東塔和尚和牧牛圖頌Dong da he shang he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Dong da he shang ; XI萬如禪師和牧牛圖頌Wan ru chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Wan ru shan shi ; XII東塔浮石禪師和牧牛圖頌Dong da fou shi chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Dong da Fou shi shan shi ; XIII玉林和尚和牧牛圖頌Yu lin heshang he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Yu lin he shang ; XIV箬庵禪師和牧牛圖頌Ruo an chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Ruo an shan shi ; XV山茨禪師和牧牛圖頌Shan ci chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Shan ci shan shi ; XVI桐月菴禪師和牧牛圖頌Tong yue an chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Tong yue an shan shi ; XVII一指菴禪師和牧牛圖頌Yi zhi an chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Yi zhi an shan shi ; XVIII荏轢道人嚴大參和牧牛圖頌Duo li dao ren yan da can he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Yan Da can ; XIX跛道人如念牧牛圖頌有序Po dao ren fu nian mu niu tu song you xu.Poésies au sujet du bœuf que l'on fait paître, avec préface, par Ru nian ; XX無依道人和牧牛圖頌Wu yi dao ren he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Wu yi dao ren ; XXI牧公道人項真本和牧牛圖頌Mu gong dao ren xiang zhen ben he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Xiang Zhen ben Mu gong dao ren ; XXII巨徹禪師和牧牛圖頌Ju zhe chan shi he mu niu tu song.Poésies sur les mêmes rimes, par Ju zhe shan shi ; XXIII巨徹禪師和白牛圖頌Ju zhe chan shi he bai niu tu song.Poésies sur le bœuf blanc, mêmes rimes, par Ju zhe shan shi
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Contient : Charroi de Nîmes ; Bataille d'Aliscamps ; Les trois aveugles de Compiègne ; Roman de la Rose, de Jean de Meung, avec le Codicille ; Livre de Sydrac ; Poésie farcie sur la Salutation angélique ; Roman de Merlin, en prose (fig) ; Vie de St Alexis, strophes 111-130 ; Mystère de la Passion ; Fragment d'un censier de Corbie (XIIIe s.). — Fragment d'un registre d'actes, en provençal, du diocèse de Nîmes (XVIe s.) ; Voyages de Marco Polo, en français. — Etc
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Contient : Lettre de Pluvignac à Mr Régis, prince des philosophes Cartésiens (Bergerac, 1er février 1693) ; « Nouveaux mémoires pour servir à l'histoire du Cartésianisme » ; « Examen du sentiment de Longin sur ce passage de la Genèse : Et Dieu dist : Que la lumière soit faite et elle fut faite ; » dedié « à Mgr. le duc de Montausier. » (1683) ; « P.-D. H[uet], Demonstratio evangelica » ; « Traitté de la situation du Paradis terrestre. — Pour le Journal des Savans » ; « Petri-Danielis Huetii... Alnetanæ Quæstiones de concordia rationis et fidei » ; « De l'origine de la poésie françoise, à Mr Foucaud, conseiller d'Estat » ; « Lettre à M. l'abbé Huet,... sur sa censure de la philosophie cartésienne. — Opuscules posthumes de M. Menjot, p. 139 »
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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »
Resumo:
Cette mémoire est une analyse du subtexte immanent dans le roman « 1979 » (2001) de Christian Kracht, auteur suisse, qui est le plus connu pour son début « Faserland » (1995). Ces oeuvres sont situées dans le mouvement de la littérature Pop allemande des années 1990 et en résultent en même temps. Dans ce contexte, le climat socio-politique après la réunification, notamment le Literaturstreit, jouera un rôle important dans mon interprétation comme fond de la poésie de Kracht. J’exposerai les difficultés que le discours de la littérature Pop porte en ce qui concerne l’œuvre de cet auteur, qui, même s’il est vu en général comme fondateur de ce genre littéraire en Allemagne, ne considère pas ses textes comme littérature Pop dans ses déclarations notoirement problématiques. Je devrais objecter que Kracht est en combat avec la littérature Pop d’une façon stylistique et pas rarement ironique, ce qui traverse la définition étroite dominante. Il fait cela en adoptant sur l’un côté le trait le plus signifiant du genre, à savoir le caractère superficiel extrêmement descriptif et en transmettant sur l’autre côté un message moral profond, ce qui rend impossible la classification de ses textes comme Pop, signifiant seulement le divertissement ou l’archivisme de Moritz Bassler. En fait, la fréquence de signifiants de Pop dans les textes de Kracht créent par leur arrangement un réseau de sens qui, dans le paradigme post- moderne, peut être décrit le mieux avec le terme « rhizome » de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En faisant ça, Kracht suit une autre tradition qui traverse les limites de la littérature Pop, comme il se sert de la décadence, de l’esthétisme et du symbolisme du fin-du-siècle d’un Hugo von Hofmannsthal, d’un Stefan George et d’un Joris-Karl Huysmans avec leurs pointes de mise en garde contre les déficits du modernisme, du libéralisme et du capitalisme, d’une façon nommée « fondamentalisme esthétique » par le sociologiste Stefan Breuer. Cette recherche se référera aux interprétations originales des textes source, aux évaluations de littérature d’accompagnement, à savoir des manuels scolaires en critique littéraire, en sociologie et en histoire allemande, aux comptes rendu, dissertations et entrevues et aux textes philosophiques. Cette mémoire est écrit en allemand.